Radepont

Radepont est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.

Radepont

La mairie.
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Eure
Arrondissement Les Andelys
Intercommunalité Communauté de communes Lyons Andelle
Maire
Mandat
Patrick Minier
2020-2026
Code postal 27380
Code commune 27487
Démographie
Gentilé Ratispontains
Population
municipale
657 hab. (2018 )
Densité 42 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 21′ 07″ nord, 1° 19′ 45″ est
Altitude Min. 18 m
Max. 156 m
Superficie 15,81 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Rouen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Romilly-sur-Andelle
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Radepont
Géolocalisation sur la carte : Eure
Radepont
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Radepont
Géolocalisation sur la carte : France
Radepont

    Géographie

    Localisation

    Radepont est située dans la vallée de l'Andelle, entre Fleury-sur-Andelle et Douville-sur-Andelle.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 10,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 13,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 758 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968[9] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[10],[Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Radepont est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (60,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (60,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (60,8 %), terres arables (21 %), prairies (13,3 %), zones urbanisées (4,9 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    La station gallo-romaine de Ritumagus[21] est attestée à cet endroit par les Itinéraires, du gaulois ritu-, gué (de l'Andelle) et du gaulois magus, plaine ou marché[22].

    Radepont est attesté sous les formes Radipons vers 1034[23], Ratepont vers 1190[24], Radepontis en 1203[25]. Le premier élément est un anthroponyme de type germanique, dont la forme exacte ne fait pas l'unanimité chez les toponymistes :

    Le second élément est l'appellatif roman -pont, utilisé comme déterminé selon l'usage influencé par le germanique. Ce même type toponymique se retrouve dans la France du Nord par exemple dans Senarpont (Somme), Hubertpont (Aisne), Carlepont (Oise), etc.[28], tous précédés d'un nom de personne d'origine germanique.

    Histoire

    Énonciations tirées de la source en référence[29].

    • Au XIIe siècle, Radepont, qui était la propriété de l'abbaye Saint-Pierre de Préaux vers 1130 passe aux Beaumont-le-Roger-Meulan-Leicester, qui ont aussi Noyon-sur-Andelle et Pîtres en partie.
    • 1185 : Fondation de l'abbaye Notre-Dame de Fontaine-Guérard par Robert III de Beaumont.
    • Seconde moitié du XIIe siècle : Radepont, Fleury-sur-Andelle, Noyon-sur-Andelle passent aux Le Chambellan du Plessis-(Nicole) : Brice, fils de Robert du Plessis. En 1194-1195, Richard Cœur de Lion fait construire un château[30],[31] sur cette terre, qui servira d'appui à Château-Gaillard, et encore en 1203 juste avant la conquête française menée par Philippe Auguste, Jean sans Terre complète cette fortification.
    • Luce Le Chambellan du Plessis, fille de Brice, épouse Robert IV de Poissy sire de Pont-Saint-Pierre, Romilly et Longboel, et de la moitié d'Acquigny, par sa mère Isabelle du Neubourg, de la famille de Beaumont-le-Roger-Neubourg-Warwick, femme de Robert III de Poissy.
    • Philippe Auguste saisit ces biens vers 1203-1204 sur Robert IV de Poissy, puis les rendra en tout ou partie. Ainsi, Radepont est attribué à Pierre de Moret, fidèle du roi, avec Noyon-sur-Andelle. Puis le roi échange Noyon à Pierre de Moret contre Venables, et le redonne aux Poissy en 1213. Quant à Radepont, il est finalement partagé entre les Moret et les Poissy par un accord familial vers 1218 (car les Moret et les Poissy sont désormais proches parents, Luce du Plessis veuve de Robert IV s'étant remariée à Pierre de Moret : Robert V de Poissy et Jean de Moret sont demi-frères utérins).
    • La part des Moret fut acquise au XVIe siècle par Charles de Luxembourg-Martigues, fils de François. Il la vendit à Philippe deRoncherolles baron de Pont-Saint-Pierre, dont la fille Anne la transporta à son mari André de Bourbon-Ligny-Rubempré († 1577 ; branche naturelle capétienne issue de Jean VIII de Bourbon-Vendôme). Madeleine, fille d'Anne et André, épouse en 1593 Jean Ier de Gonnelieu : leur fille Marie épouse Léonor du Bosc sire de l'autre part de Radepont (voir plus bas ; d'où la réunion des deux parts, au moins à terme ? : au XVIIIe siècle, le marquis Jean-Léonor du Bosc, voir plus bas, achète le domaine de "Montaigu" en 1788 pour agrandir son parc et construire son château), alors que leurs fils Nicolas Ier et Jérôme continuent la lignée. Anne-Marguerite-Adrienne, petite-fille de Jérôme épouse en 1730 Gabriel Hue sire de Montaigu (famille venue des élections de Bayeux et Saint-Lô : Montaigu-les-Bois et Le Mesnil-Hue ?) et de Langevinière (à Sains), d'où postérité.
    • La part des Poissy (part principale) passa aux Léon puis aux Rohan : Robert V de Poissy, sire de Radepont, Fontaine-Guérard, Fleury-sur-Andelle et Noyon-sur-Andelle, Hacqueville, Vieux-Manoir, Buchy, Bois-Héroult et Malvoisine (quatre fiefs Talbot), seigneur de la moitié d'Acquigny, seigneur pour moitié de Pont-Saint-Pierre, Romilly-sur-Andelle-Longboel et Pîtres (les d'Hangest ont l'autre moitié), épouse Mathilde Talbot < Guillaume de Poissy < Robert VI époux d'Isabelle de Montmorency-Marly, puis Mathilde (Mahaut) de Poissy (sœur plutôt que fille de Robert VI) qui épouse Hervé IV de Léon[32] († vers 1290-95) < Hervé V mari de Jeanne de Rohan fille d'Alain V < Hervé VI mari de Jeanne de Montmorency (le frère cadet d'Hervé VI est Guillaume Ier sire d'Hacqueville) < Hervé VII époux de Marguerite d'Avaugour < Hervé VIII, puis sa sœur Jeanne qui épouse en 1349 Jean Ier vicomte de Rohan (Marie dame de Buchy, Malvoisine et d'un quart d'Acquigny, sœur de Jeanne et Hervé VIII, épouse Jean de Kergorlay d'où les Montfort-sur-Meu puis les comtes de Laval ; Catherine, la dernière sœur, épouse en secondes noces son cousin Guillaume II de Léon d'Hacqueville petit-fils de Guillaume Ier ci-dessus, et la fille de Guillaume II, Marguerite de Léon dame d'Hacqueville, épouse Guillaume V de Roncherolles sire de Pont-Saint-Pierre † à Azincourt en 1415) < Alain VIII de Rohan († 1429) époux de Béatrix de Clisson < Alain IX († 1462 ; arrière-grand-père du roi François Ier)… Un accord vers 1400 avec les Léon d'Hacqueville semble échanger les possessions normandes des Rohan contre les droits bretons des derniers Léon, qui recevraient ainsi Pont, Noyon et Radepont.
    • De toute façon, l'occupation anglaise de la guerre de Cent Ans rompt la succession féodale : on trouve au XVe siècle comme seigneurs de Pont-Saint-Pierre, Noyon-sur-Andelle et Radepont : Jean Possemer, nommé par les Anglais, puis Olivier le Daim conseiller de Louis XI (vers 1470-73 ; exécuté en 1484). Au XVIe siècle, Radepont passe aux Teufles (Langoys, 1491 < Jean), puis vers 1530 aux du Bosc[33] seigneurs d'E(s)mendreville et Tendos près de Rouen, qui le garderont : Louis II du Bosc épouse en 1503 Marie des Planches dame de Bourneville, possessionnée à Radepont et Fleury-sur-Andelle < Louis III épouse Jeanne Sureau dame de Bondeville < Robert († 1592) mari de Marie de Briqueville fille de Françoise de la Luzerne < Léonor Ier évoqué plus haut < Nicolas < Léonor II épouse Madeleine baronne d'Aubigny < Jean-Léonor marquis de Radepont, (1725-1806) maréchal de camp en 1781, accueille le duc de Penthièvre (grand-père du roi Louis-Philippe, venu de son domaine de Bizy en 1790 et 91), marié en 1774 à Aglaé-Louise d'Espinay-Saint-Luc < marquis Auguste-Léonor-Victor pair de France sous la Restauration, épouse Gabrielle-Julie de Clermont-Tonnerre < Aimé-Louis, qui vend le domaine en 1844 à Charles Levavasseur, qui avait hérité de son père Jacques l'abbaye de Fontaine-Guérard (achetée en 1821-1822 : filature).

    L'Armée du salut a assuré le fonctionnement d'un centre d'hébergement destiné aux relégués jugés antisociaux, après l'abolition du bagne[34].

    Politique et administration

    La commune est intégrée à la structure intercommunale en 2012.

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
      1848 M. Drely    
    1848   M. Dessaint    
    Les données manquantes sont à compléter.
    1866 1875 Charles Levavasseur    
    1897 1931 Jacques Le Vavasseur   Industriel
    Les données manquantes sont à compléter.
    1937   Salmon-Legagneur    
    1946   Valette    
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 mars 2014 Françoise Fournier    
    mars 2014 En cours Patrick Minier SE Cadre

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[36].

    En 2018, la commune comptait 657 habitants[Note 6], en diminution de 3,24 % par rapport à 2013 (Eure : +0,83 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    426449522461673803886261916
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    878906906920928775827781837
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    803741783676675655610601711
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    748739691647737710756741655
    2018 - - - - - - - -
    657--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestation culturelle

    Radepont a accueilli en 2017 le Concours international de peinture grand format en Normandie.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Abbaye de Fontaine-Guérard.
    Église Saint-Germain de Radepont.
    Château de Radepont.

    Site inscrit

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Jean-François Belhoste, « La filature Levavasseur à Fontaine Guérard : un monument du patrimoine industriel en quête d'avenir », dans Études normandes, 2009
    • P. Anselme, Histoire généalogique et chronologique de la maison royale de France, des pairs, grands officiers de la Couronne, de la Maison du Roy et des anciens barons du royaume…, tome 6. Seigneurs de Radepont. 1726-1733[41].

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
    2. « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station météofrance Rouen-Boos - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Radepont et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. À ne pas confondre avec Rotomagus, nom également celtique qui a abouti par évolution phonétique à Rouen.
    22. François de Beaurepaire, Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, éditions Picard, 1981, p. 163.
    23. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 554b.
    24. François de Beaurepaire, op. cit.
    25. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Librairie Droz, 17465, p. 972.
    26. Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit.
    27. Marie-Thérèse Morlet, NPAG, I, 182b, in Ernest Nègre, op. cit.
    28. Ernest Nègre, op. cit.
    29. « Histoire du château de Radepont et de l'abbaye de Fontaine-Guérard, par Léon Fallue, 1851 », sur https://books.google.f.
    30. Notice no IA00016827.
    31. « Château de Radepont », sur Normannia.
    32. « Généalogie des Hervé de Léon », sur Société archéologique du Finistère, 2002, par Patrick Kernévez et Frédéric Morvan.
    33. « Radepont », sur Dictionnaire de la Noblesse par Aubert La Chesnaye des Bois, tome XI, 1776.
    34. Jean-Claude Vimont, « ; DOI : 10.4000/criminocorpus.2833Figures paradoxales d’antisociaux des années 50 », Criminocorpus, Les rebelles face à la justice, mis en ligne le 10 octobre 2014, consulté le 1er janvier 2016.
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    39. Notice no IA00016825, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    40. « Les abords de l'abbaye de Fontaine-Guérard à Douville-sur-Andelle et Radepont », sur Carmen - L'application cartographique au service des données environnementales (consulté le ).
    41. gallica.bnf.fr
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