Charleval (Eure)
Charleval est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.
Pour les articles homonymes, voir Charleval.
Charleval | |
La mairie. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Eure |
Arrondissement | Les Andelys |
Intercommunalité | Communauté de communes Lyons Andelle (siège) |
Maire Mandat |
Pascal Calais 2020-2026 |
Code postal | 27380 |
Code commune | 27151 |
Démographie | |
Gentilé | Charlevalais |
Population municipale |
1 761 hab. (2018 ) |
Densité | 125 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 22′ 18″ nord, 1° 23′ 02″ est |
Altitude | Min. 28 m Max. 140 m |
Superficie | 14,14 km2 |
Unité urbaine | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de Romilly-sur-Andelle |
Législatives | Cinquième circonscription |
Localisation | |
Les habitants sont des Charlevallais.
Géographie
Localisation
Village situé dans l'Eure, dans la vallée au confluent de l'Andelle et de la Lieure, proche de la route Paris-Rouen, passant à Fleury-sur-Andelle et proche de Lyons-la-Forêt.
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968[9] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[10],[Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 11 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Charleval est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Fleury-sur-Andelle, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[17] et 4 615 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[18],[19]. La commune est en outre hors attraction des villes[20],[21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (47,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (46,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (47,2 %), terres arables (28,8 %), prairies (17 %), zones urbanisées (5,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,5 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].
Toponymie
Ancien établissement gaulois nommé Noviomagus ou Noviodunum, mots signifiant respectivement « nouveau marché » et « nouvelle forteresse » en gaulois et qui a donné Noyon, appellation médiévale à laquelle fut substituée en 1573 celle de Charleval en l'honneur de Charles IX[24], qui y fit construire un château, inachevé à la mort du roi[25].
La citation du lieu en tant que Noviomum dans la Gesta de Fontenelle, si elle s'applique bien à ce Noyon, justifie un primitif Noviomagus[26].
Histoire
L'origine du lieu à l'an 830 environ et concerne un prieuré qui dépendait de l'Abbaye de Saint-Wandrille de Fontenelle. Guillaume, comte d'Évreux, fonde en 1107 le prieuré Saint-Martin de Noyon-sur-Andelle, rattaché à l'abbaye de Saint-Évroult, dans l'Orne.
À l'époque anglo-normande, Henri Ier fit bâtir en 1118 à Noyon un château fort. C'est là qu'auraient été retenus des prisonniers de la bataille de Brémule, perdue par le roi de France Louis VI le Gros. Il confia la garde de ce château à Guillaume de Montmorency, fils de Thierry[27]
Le comte d'Évreux (dont les Montfort-l'Amaury) reste seigneur de Noyon-sur-Andelle jusqu'à Amaury VI qui en 1195 et 1200 doit céder son comté au roi Philippe-Auguste, avec les droits sur Noyon.
En 1285, Enguerrand de Marigny construit à Noyon un petit hôpital.
Le village fut rebaptisé par le roi Charles IX en personne du nom de Charleval en 1573. Aimant à chasser en forêt de Lyons, le jeune monarque fut séduit par ce site et décida d'acquérir l'endroit. Il fit exproprier les tenanciers occupant les terres où il désirait asseoir son château : le prieuré Saint-Martin fut détruit à ce moment ; quarante-quatre maisons furent détruites ainsi que le prieuré et l'Hôtel-Dieu, tout un quartier. Il spécifia la construction d'un château de style Renaissance française. Il devait être quatre fois plus grand que le château de Chambord et de style baroque[28]. Les travaux débutèrent avant 1570. La Saint-Barthélémy ralentit les travaux de construction, alors que les jardins commençaient à prendre leur essor. La mort du roi le 30 mai 1574 marque la fin du chantier. Seul affleurait le premier étage du seul corps de bâtiment entrepris. Un logis provisoire fut cependant édifié, afin de permettre au roi de brefs séjours. Il comprenait deux pavillons dits « du Roi » et « de la Reine ». Le second subsiste encore aujourd'hui, devenu une maison d'habitation appartenant à un particulier. Le seul vestige du château est la cheminée dans la salle des fêtes de la commune.
Le passage de Noyon-sur-Andelle à Charleval (le val de Charles) restera la plus grande empreinte de cette époque, importante pour l'histoire du village.
La commune de Transières fut rattachée à Charleval le 2 février 1809.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement des Andelys du département de l'Eure. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la cinquième circonscription de l'Eure.
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Fleury-sur-Andelle[29]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune intègre le canton de Romilly-sur-Andelle.
Intercommunalité
La commune était le siège de la communauté de communes de l'Andelle créée fin 1992.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[30], cette intercommunalité fusionne avec la communauté de communes du canton de Lyons-la-Forêt pour créer, le , la communauté de communes Lyons Andelle dont elle est désormais le siège.
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[37].
En 2018, la commune comptait 1 761 habitants[Note 10], en diminution de 4,29 % par rapport à 2013 (Eure : +0,83 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Sports
- CFC → Charleval Football club (date de création : 1910).
- Club judo de Charleval.
- La pétanque charlevalaise.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Le château de Charleval : En 1570, Charles IX commanda la construction d'un château qui resta inachevé [39].
- L'église Saint-Denis, d'origine romane.
- La vallée de la Lieure, site naturel protégé.
- L'usine Mesnel (joints automobile).
Personnalités liées à la commune
- Charles IX, roi de France, concepteur du projet de château.
- Charles Faucon de Ris (1612 - Paris, 1688), poète, ami de Scarron.
- John Law acquit en 1720 le domaine de Charleval pour y établir une manufacture.
- Ernest Conseil (Charleval, 1879 - Tunis, 1930), médecin, disciple de Charles Nicolle.
Seigneurs de Noyon-sur-Andelle / Charleval
- Début XIe siècle : Guillaume, comte d'Évreux.
- À la suite de l'exil de Guillaume en Anjou, Noyon devient une possession du duc de Normandie Henri Ier Beauclerc.
- En plus des comtes d'Evreux, Il y avait une autre famille seigneuriale, les Beaumont-le-Roger-Meulan-Leicester, aussi maîtres d'Elbeuf et de Radepont, Fontaine-Guérard où ils fondent une abbaye.
- Dans la deuxième moitié du XIIe siècle, ils sont remplacés par les Le Chambellan du Plessis-(Nicole) (à Amfreville-sous-les-Monts ; Robert puis son fils Brice, chambellans d'Henri II et panetiers de Normandie), qui se constituent un domaine stratégique sur l'Andelle avec Radepont, Fleury-sur-Andelle, Bourg-Beaudouin, plus Gouy sur la Seine. La succession de ces derniers passe à la fille de Brice, Luce du Plessis, qui épouse Robert IV de Poissy, héritier par sa mère Isabelle du Neubourg d'Acquigny, Pont-Saint-Pierre, Romilly-Longboël. Philippe Auguste saisit tous ces biens vers 1203-1204, mais les restitue vite, au moins en partie.
- 1207 : Philippe-Auguste échange à Pierre de Moret Venables, contre Noyon (Pierre de Moret, fidèle du roi, avait reçu Noyon-sur-Andelle et Radepont ; il sera le deuxième mari de Mahaut du Plessis, veuve de Robert de Poissy vers 1218 ? ; leur fils Jean sera le demi-frère utérin de Robert V de Poissy ; vers 1218, les Poissy et les Moret se partagent Radepont, Fleury et Fontaine-Guérard).
- 1213 : Philippe-Auguste rend Noyon à Robert IV de Poissy, premier mari de Luce Le Chambellan du Plessis, fille de Brice.
- Par le jeu des mariages, Noyon va passer entre les mains des familles de Poissy, de Léon (aussi seigneurs d'Acquigny), puis de Rohan. Mathilde de Poissy, fille de Guillaume et sœur de Robert VI, épouse vers 1260 Hervé IV de Léon (seigneur de Léon)[40]. En 1349, Jeanne de Léon épouse Jean Ier de Rohan qui, à la suite de la mort sans héritier d'Hervé VIII de Léon en 1363, récupère la seigneurie de Léon et de Noyon. Jeanne de Rohan[41] fille de Jean Ier de Rohan, sœur d'Alain VIII et tante d'Alain IX, épouse en 1374 Robert d'Alençon[42] puis Pierre II d'Amboise.
Ce ramage des seigneurs de Léon a l'ascendance suivante[43] :
- Hervé IV de Léon (seigneur de Léon), marié vers 1260 avec Mathilde (Mahaut) de Poissy, décédé en 1281, seigneur de Noyon-sur-Andelle par son mariage.
- Son père est Hervé III de Léon (seigneur de Léon), marié avec Marguerite de Châteauneuf et Senonches, décédé vers 1240.
- Son grand-père est Hervé II de Léon (seigneur de Léon), marié avec Anne de Guémené.
- Décédé en 1344, Hervé VII de Léon, marié à Marguerite d'Avaugour, fut lui aussi seigneur de Noyon-sur-Andelle.
- Il semble que par un partage familial vers 1400, les fiefs normands (Pont-Saint-Pierre, Noyon, Radepont) passent aux Léon d'Hacqueville, qui cèdent leurs biens bretons aux Rohan. De toute façon, la guerre de Cent Ans et l'occupation anglaise amènent une rupture féodale au XVe siècle : Noyon, Radepont et Pont-Saint-Pierre sont détenus par Jean Possemer, au service des Anglais ; puis vers 1470-1474 la terre de Noyon est acquise par le conseiller de Louis XI Olivier le Daim, qui se verra confisquer ses terres quelques années plus tard par Charles VIII. Il acquiert aussi le comté de Meulan et les seigneuries de Pont-Saint-Pierre, Radepont, mais sera exécuté en 1484.
- À la fin du XVe siècle, Jean Le Sec seigneur de Gaillardbois est aussi sire de Noyon, puis sa fille Guillemette qui épouse d'abord l'amiral Guillaume de Casenove puis Jean d'Orglandes (mort en 1515). En 1493 Jean d'Orglandes, écuyer, sieur de Prétot (Cotentin), également maître-enquêteur et réformateur général des Eaux et Forêts de Normandie et Picardie, est par son mariage seigneur de Noyon et Gaillardbois.
- Dans la deuxième moitié du XVIe siècle les Casenove, issus du premier mariage de Guillemette Le Sec, s'effacent devant Philippe III de Boulainvilliers comte de Dammartin, fils de Françoise d'Anjou-Mézières-Dammartin, comte de Fourquembergue et de Courtenay.
- 1573 : Philippe de Boulainvillers se voit échanger par Charles IX Noyon contre les terres et la châtellenie du Vaudreuil[44]. Mais Charles IX meurt dès 1574.
- 1577 : Faucon de Ris acquiert Charleval de Henri III. Les Faucon du Ris sont comtes de Bacqueville-en-Vexin en 1660.
- 1651 : Charleval est élevé en marquisat en faveur de Louis Faucon de Ris, premier président au Parlement de Rouen[45]. En 1668 Charlotte Maignard (de la famille des seigneurs de Bernières-sur-Seine) épouse Charles Faucon du Ris († 1691).
- 1720 : Charleval est acquis par John Law, puis en 1724 par les Frémont d'Auneuil, marquis de Rosay-en-Vexin en 1680, qui ont aussi Bry-sur-Marne.
Liste des curés de Charleval
D’après une plaque à l’intérieur de l’église.
- 1249 - 1254 : Robert
- 1258 - 1262 : Guillaume du Hamel
- 1263 - 1269 : Jean de Tanguand
- ? - 1463 : Étienne Godefroy
- 1463 - 1485 : Jean Dupont
- 1485 - 1488 : Jean Lucas
- 1488 - 1495 : Jean Roussel
- 1495 - 1497 : Mathieu Deschamps
- 1497 - ? : Jean de Varennes
- ? - 1502 : Richard Duval
- 1502 - 1505 : Félix de Brye
- ? - 1516 : René de Brye
- 1516 - ?: Louis Cado
- ? - 1538 : Jean Cartier
- 1538 - ?: Clément Canel
- ? - 1541 : Nicolas Le Gras
- 1541 - 1542 : P. de Bauquemare
- 1542 - 1548 : Jean Le Conte
- 1548 - 1558 : Jacques Dupas
- 1558 - ?: Laurent Carbonel
- ? - 1571 : Etienne Théroulde
- 1571 - 1578 : Jacques Noël
- ? - 1588 : Jean Beuzelin
- 1588 : Guy Lefebvre
- 1589 - 1602 : Jean Lefebvre
- 1602 - 1643 : Jean Joua
- 1643 - ? : Jacques Bellot
- ? - 1667 : Jean Merlin
- 1667 - 1676 Louis Le Vigeureux
- 1676 - 1690 : Pierre Barbey
- 1690 - ? : Joseph Le Brun
- ? - 1735 : Guillaume Dubosq
- 1735 - 1738 : Jacques Brunel
- 1738 - 1740 : Jacques Reverd
- 1740 - ? : Antoine Desnoyers
- 1758 - ? : Evrard
- 1784 - 1792 : Jacques ou Charles Le Roux
- 1792 - 1793 : Hubert Renard, curé constitutionnel[Note 11]
- 1800 - 1802 : Jacques ou Charles Le Roux
- 1803 - 1825 : Antoine ou Adrien Le Monnier[Note 12]
- 1825 - 1855 : Louis Guérin
- 1855 - 1899 : Alfred Dusaussay
- 1899 - 1900 : Paul Jullien
- 1900 - 1909 : Marie Jamet
- 1909 - 1921 : Louis Dieul
- 1922 - 1931 : Paul Lamboy
- 1932 - 1936 : Ferdinand Baudin
- 1936 - 1947 : Gérard Denouette
- 1947 - 1980 : André Provost
- 1980 - 1986 : Manoël Arinal
- ? - 2003 : Claude Samson
Voir aussi
Bibliographie
- Auguste Le Prévost, Mémoires et notes de M. Auguste Le Prévost pour servir à l'histoire du département de l'Eure. Tome 1, Évreux, Imprimerie de A. Hérissey, 1862-1869.
- Louis-Étienne Charpillon et Anatole Caresme, Dictionnaire historique, géographique, statistique de toutes les communes de l'Eure, Les Andelys : Delcroix, 1868-1879, p. 731-740.
- Charleval (Eure), l'Élan Républicain, Aumale, 2005.
- Françoise Boudon, Claude Mignot, « Château de Charleval » dans Jacques Androuet du Cerceau, les dessins des plus excellents bâtiments de France, Cité de l'architecture et du patrimoine, Paris, 2010, p. 168-171.
Notes et références
Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Le maire Louis Ratel est suspendu pour cause de faillite.
- Le maire Louis Leroux est destitué de ses fonctions, pour ne pas avoir poursuivi des soldats déserteurs.
- Le maire Alexandre Chaillou est confirmé dans ses fonctions de maire à la suite de la fusion de Transières avec Charleval le 2 février 1809.
- François Hezet, conseiller municipal remplissant les fonctions de maire.
- Adjoint, Edmond Peynaud exerce les fonctions de maire, en l'absence d'Augustin Guérard, jusqu'à sa mort.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Le curé Hubert Renard est emprisonné en 1793 pour avoir tenu des propos inciviques.
- Antoine ou Adrien Le Monnier, curé de Transières jusqu'à la fermeture de son église en 1794. Le régime concordataire français de 1801 supprime la cure de Transières. Toutefois, il succède à la cure de Charleval, à la suite de la mort de Charles Le Roux.
Références
- « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
- « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station météofrance Rouen-Boos - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
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- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
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- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
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- François de Beaurepaire, op. cit.
- Orderic Vital L. XII
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
- Daniel Bellavoine est décédé au cours de son mandat le d'une hémorragie. Voir Charleval: le maire Daniel Bellavoine est décédé, 26 décembre 2011
- « Charleval : Denis Lebaillif élu maire », Paris Normandie, (www.paris-normandie.fr/politique/charleval-denis-lebaillif-elu-maire-659806-HEPN659806, consulté le ).
- Aurélie Hébert, « Denis Lebaillif démissionne de son mandat de maire de Charleval : Élu depuis février 2012, le maire de Charleval annoncera officiellement sa décision de démissionner de son mandat de maire lundi 12 juin 2017, lors du conseil municipal », L'Impartial, (lire en ligne, consulté le ).
- Aurélie Hébert, « Lâché par son conseil, le maire préfère démissionner : C'était eux ou lui. Denis Lebaillif a donc jeté l'éponge, mis en cause par son conseil municipal. Une divergence de point de vue quant à la gouvernance de la commune », L'Impartial, (lire en ligne, consulté le ).
- Aurélie Hébert, « Pascal Calais élu maire de Charleval : Jeudi 19 octobre 2017, Pascal Calais, a pris la tête de la municipalité de Charleval qui comptera cinq adjoints et trois conseillers délégués », L'Impartial, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Château de Charleval », notice no IA00017328, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Décédé vers 1290 et enterré à l'abbaye de Fontaine-Guérard.
- Fille de Jean Ier de Rohan et de Jeanne de Léon.
- Comte du Perche, de la maison de Valois ; fils du comte Charles II d'Alençon.
- http://racineshistoire.free.fr/LGN/PDF/Chateauneuf-en-Thymerais.pdf
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