Répartition géographique du roumain

Le nombre total de locuteurs du roumain dans le monde est estimé à 28 millions par l’Union latine[1], alors que l’estimation d’Ethnologue, Languages of the World est de 23,6 millions[2]. Sur les 28 millions, le nombre de ceux dont c’est la langue maternelle serait de 24 millions. Parmi les locuteurs de roumain sont également à compter ceux de la langue appelée moldave dans l’ancienne Union soviétique, ainsi qu'au moins une partie des locuteurs appelés Valaques en Serbie et en Bulgarie, étant donné que cet ethnonyme est utilisé dans ces pays non seulement pour dénommer les Aroumains, mais aussi les Roumains de la vallée du Timoc. À noter aussi que le nombre de locuteurs de roumain émigrés n’apparaît que dans les données statistiques de certains pays, dans la plupart des pays étant pris en compte les citoyens de Roumanie et de la Moldavie. On ne sait pas combien de ceux-ci parlent roumain, ni combien sont établis définitivement dans ces pays et combien temporairement, c’est-à-dire on ne peut savoir si ces derniers sont ou non compris aussi bien dans les statistiques de Roumanie et de Moldavie, que dans celles des pays d’accueil.

Répartition des locuteurs de roumain langue maternelle par pays.

Répartition des locuteurs de roumain par pays

PaysNombre de personnesStatut des personnesAnnée
Roumanie17 176 544de langue maternelle roumaine2011[3]
Moldavie2 184 098se déclarant de langue maternelle roumaine[4]/ moldave[5]2014[6]
Italie1 279 227citoyens de Roumanie[7] et de Moldavie[8]2016[9]
Espagne798 104citoyens de Roumanie2011[10]
Ukraine327 703se déclarant de langue maternelle roumaine[11] / moldave[12]2001[13]
Israël250 000[14]citoyens israéliens de langue maternelle roumaine1993[15]
Transnistrie165 200enregistrés comme Moldaves2011[16]
États-Unis d'Amérique154 625parlant roumain en famille2013[17]
Allemagne148 183citoyens de Roumanie[18] et de Moldavie[19] figurant dans le Registre central des étrangers2011[20]
France126 526citoyens français ou roumains originaires de Roumanie2018[21]
Russie117 261locuteurs de roumain[22] / moldave[23]2010[24]
Canada93 135de langue maternelle roumaine2011[25]
Autriche91 271nées en Roumanie[26] et en Moldavie[27]2015[28]
Serbie72 170de langue maternelle roumaine[29] et « valaque »[30]2011[31]
Belgique65 768citoyens de Roumanie2015[32]
Grèce56 915citoyens de Roumanie[33] et de Moldavie[34]2011[35]
Portugal31 505citoyens de Roumanie2014[36]
Chypre24 376citoyens de Roumanie2011[37]
Irlande21 416nées en Roumanie[38] et en Moldavie[39]2011[40]
Danemark18 828nées en Roumanie2015[41]
Pays-Bas18 740originaires de Roumanie2014[42]
Australie17 230[14]nées en Roumanie2016[43]
Hongrie13 886de langue maternelle roumaine2011[44]
Suède28 912citoyens de Roumanie[45] et de Moldavie[46]2016[47]
Norvège12 007citoyens de Roumanie2015[48]
Bulgarie6 412enregistrées comme Valaques[49], Roms de langue maternelle roumaine[50] et Roumains[51]2011[52]
Croatie955de langue maternelle roumaine2011[53]
Slovénie122d’ethnie roumaine2002[54]

En dehors de la Russie et de l’Ukraine, dans les anciennes républiques soviétiques aussi il y a des roumanophones (dits moldaves) en relativement petit nombre. Ils sont arrivés surtout en tant que déportés dans la période stalinienne en Azerbaïdjan (1 400)[55], au Tadjikistan (580)[56] au Turkménistan (1560)[57], et surtout au Kazakhstan (33 000)[58].

On peut aussi prendre en compte les Boyash, Roms de langue maternelle roumaine, dont le nombre est impossible à préciser, puisqu’il n’est nulle part indiqué séparément de celui des autres Roms. Il y a des estimations dans certains pays, selon lesquelles il y en aurait 10 à 20 mille en Croatie[59], quelques milliers en Bulgarie[60] et quelques centaines en Slovaquie[61].

Statut du roumain

Langue officielle

Le roumain est langue officielle premièrement en Roumanie mais aussi dans d’autres pays.

En république de Moldavie également, le roumain est « langue de l’État », appelé moldave à l’époque soviétique. En 1991, la Déclaration d’indépendance de la République de Moldavie[62] l’appelle « roumain », puis la constitution adoptée en 1994 l’appelle « moldave »[63]. Le dernier en date (2013) des actes normatifs dans la matière l’appelle de nouveau « roumain »[64].

En Transnistrie, le moldave est langue officielle à côté du russe et de l’ukrainien[65].

Parmi d’autres langues minoritaires, le roumain aussi a le statut de « langue d’usage officiel » en Serbie, dans les localités où la proportion de roumanophones atteint les 15 %[66]. Ces localités sont énumérés dans un document du Secrétariat provincial pour l’éducation, les réglementations, l’administration et les minorités nationales – communautés nationales de Voïvodine[67]. Cependant, la langue maternelle des Roumains de la vallée du Timok a un autre statut.

Le roumain en Serbie (carte incluant le Kosovo) :
  • 1-5 %     
  • 5-10 %   
  • 10-15 % 
  • 15-25 %    
  • 25-35 %    
  • au-dessus de 35 %
La langue roumaine en Voïvodine orientale
  • le roumain d’usage officiel dans toute la commune
  • le roumain d’usage officiel dans quelques communautés locales

Le roumain est également l’une des langues officielles de l’Union européenne et de l’Union latine, organisation des pays de langues romanes.

Langue minoritaire

Sans être officiel, dans certains pays voisins ou proches de la Roumanie, le roumain a un statut juridique, dans la mesure où il est une langue minoritaire reconnue. Ce sont les pays signataires de la Charte européenne des langues régionales ou minoritaires qui, dans la déclaration annexée à leur signature, ont mentionné le roumain[68].

En Ukraine, surtout dans les régions de Transcarpatie, Tchernivtsi (Bucovine) et d’Odessa, dans les localités à population majoritairement roumaine, le roumain aussi peut être utilisé dans les contacts avec les autorités. Il y a un enseignement, ainsi qu’une presse écrite et des émissions de radio et de télévision en roumain.

En Hongrie, le roumain et, séparément, l’idiome des Boyash, ont le statut de langues minoritaires. On enseigne en roumain aussi dans certains établissements[69], il y a des publications[70] et des émissions radio et de télévision en roumain. Après avoir été standardisé, l’idiome des Boyash est également enseigné[71].

En Croatie aussi, le « roumain boyash », comme on l’appelle officiellement, est une langue minoritaire reconnue.

En Serbie, l’idiome appelé « valaque » a le statut de langue minoritaire à côté du roumain.

La Bosnie-Herzégovine aussi a inscrit le roumain parmi ses langues minoritaires, mais il n’y a pas de données sur les locuteurs de cette langue dans ce pays.

Langue seconde et langue étrangère

D’après le site de l’Union latine, le roumain serait parlé par 4 millions de personnes en tant que langue seconde[1]. Parmi celles-ci il y a tout d’abord les citoyens de la Roumanie et de la Moldavie dont la langue maternelle est autre que le roumain. En Roumanie il peut s’agir de 2,9 millions de personnes. Selon les données du recensement de 1979 effectué dans la République socialiste soviétique moldave de l’époque, sur une population totale de 3 372 051 personnes[72], 4 %, c’est-à-dire 134 000 environ ont désigné le moldave comme leur langue seconde[73].

Il peut aussi y avoir des connaisseurs du roumain parmi les non roumanophones originaires d’autres pays qui ont vécu temporairement en Roumanie dans le passé, ou parmi ceux qui y vivent actuellement en tant qu’étudiants, employés, personnes d’affaries, etc. En 2011, 42 936 ressortissants de pays en dehors de l’UE (à part ceux de Moldavie), et en 2012, 42 953 ressortissants de l’UE figuraient dans les évidences des autorités roumaines[74].

Le roumain enseigné en tant que langue étrangère est présent dans de nombreux pays. Il y a des lectorats de roumain dans 49 établissements d’enseignement supérieur de 29 pays[75], où l’on enseigne le roumain à divers niveaux, activité coordonnée par l’Institut de la langue roumaine[76].

Lettres de l’alphabet roumain sur un clavier d'ordinateur.

L’Institut culturel roumain[77] aussi s’occupe de l’enseignement du roumain langue étrangère[78] dans le cadre de son réseau présent en Roumanie et dans d’autres pays.

Sur Internet

En Roumanie, l’utilisation d’Internet est en constante augmentation. En 2010 il était utilisé par 35,5 % de la population et le nombre de sites avec le nom de domaine .ro était supérieur à 500 000. Le coefficient qui représente la place du roumain sur Internet était de 0,62 en 2007, ce qui est peu par comparaison à celui de l’anglais (4,44), du français (2,24) ou de l’italien (2,93), mais parmi les langues romanes, seul le roumain a marqué une augmentation entre 2005 et 2007[79]. Entre 2006 et 2016, le pourcentage d'internautes en Roumanie est passé de 24,7 % à 59,5 %, en Moldavie, il est passé de 19,6 % à 71 %[80].

Notes et références

  1. Site de l’Union Latine, page Le roumain (consulté le 24 mai 2017).
  2. (en) Site d’Ethnologue, page Roumain (consulté le 24 mai 2017).
  3. (ro) Institutul Național de Statistică. Recensământul populației și al locuințelor. Rezultate (Recensement de la population et des habitations. Résultats). Tab10. Populaţia stabilă după limba maternă – judeţe, municipii, oraşe, comune (Tableau 10. La population stable selon la langue maternelle – départements, villes, communes rurales) (consulté le 24 mai 2017).
  4. 558 506 personnes.
  5. 1 544 119 personnes.
  6. (ro) Biroul Național de Statistică, Rezultatele Recensămîntului Populației și al Locuințelor 2014. Caracteristici – Populație 1 (populația pe raioane, sexe, vârste, etnie, limba maternă, limba vorbită) (Résultats du recensement de la population et des habitations – 2014 Caractéristiques – Population 1 (la population par districts, sexes, âges, ethnies, langue maternelle, langue parlée). Tableau 13. – Structura populației după limba maternă, în profil teritorial, în 2014 (Structure de la population selon la langue maternelle, en 2014) (consulté le 24 mai 2017).
  7. 131 839 personnes.
  8. 147 388 personnes, peut-être pas toutes roumanophones en famile.
  9. (it) I.Stat, Stranieri residenti al 1° gennaio – Cittadinanza (Étrangers résidents le 1er janvier – Citoyenneté) (consulté le 24 mai 2017).
  10. (en) Instituto Nacional de Estadística, Population and Housing Censuses 2011 (Recensement de la population et des habitations – 2011), 2012, p. 8 (consulté le 24 mai 2017).
  11. 142 671 personnes.
  12. 185 032 personnes.
  13. (en) Derjavny komitet statistiki Ukraïny, Distribution of the population of Ukraine's regions by native language (Répartition de la population de l’Ukraine par régions et par langues maternelles) (consulté le 24 mai 2017).
  14. Estimation.
  15. (en) Statistical Abstract of Israel, 1993, cité par Ethnologue, page Romanian (consulté le 24 mai 2017).
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  17. (en) U.S. Census Bureau, Detailed Languages Spoken at Home and Ability to Speak English for the Population 5 Years and Over: 2009-2013, tableau Detailed Languages Spoken at Home and Ability to Speak English for the Population 5 Years and Over for United States: 2009-2013 (Langues détaillées parlées en famille et habilité de parler l’anglais pour la population des États-Unis âgée de 5 ans et plus : 2009-2013) (consulté le 24 mai 2017).
  18. 137 965 personnes.
  19. 10 218 personnes.
  20. (de) Statistisches Bundesamt Deutschland, Ausländische Bevölkerung nach Zensus und Ausländerzentralregister (AZR) (La population étrangère selon le recensement et le Registre central des étrangers], Wiesbaden, 2014, p. 3-4 (consulté le 24 mai 2017).
  21. de la Roumanie consulté le 28 novembre 2019.
  22. 96 061 personnes.
  23. 21 201 personnes.
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  26. 271 personnes.
  27. 2 167 personnes.
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  29. 29 075 personnes.
  30. 43 095 personnes.
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  32. Statistics Belgium, Population par nationalité et par sexe 2015 (consulté le 24 mai 2017).
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  65. Cf. (ru) Constitution de 2006, article 12 (consulté le 24 mai 2017).
  66. Cf. la (sr) Loi concernant l’usage officiel des langues et des graphies de 2005, chapitre 3, article 11 (consulté le 24 mai 2017).
  67. (sr) Langues et graphies d’usage officiel dans les statuts des villes et communes sur le territoire de la P. A. de Voïvodine (consulté le 24 mai 2017).
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Sources bibliographiques

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  • (en), (ro) Trandabăț, Diana et al. The Romanian Language in the Digital Age La langue roumaine dans l’âge numérique »], Springer, 2011 (consulté le )
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