Plessé
Plessé est une commune de l'Ouest de la France, dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire.
Plessé | |||||
Monument aux morts 14-18. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Loire-Atlantique | ||||
Arrondissement | Châteaubriant-Ancenis | ||||
Intercommunalité | Redon Agglomération | ||||
Maire Mandat |
Aurélie Mezière 2020-2026 |
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Code postal | 44630 | ||||
Code commune | 44128 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Plesséen(ne) | ||||
Population municipale |
5 257 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 50 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 32′ 33″ nord, 1° 53′ 09″ ouest | ||||
Altitude | Min. 1 m Max. 66 m |
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Superficie | 104,38 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Pontchâteau | ||||
Législatives | Sixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Géolocalisation sur la carte : Loire-Atlantique
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | http://www.mairie-plesse.fr/ | ||||
Géographie
Plessé est situé à 20 km au sud-est de Redon et est contiguë à la forêt du Gâvre.
Les communes limitrophes sont : Avessac, Fégréac, Guenrouet, Le Gâvre et Guémené-Penfao.
Cette commune a la particularité de comporter trois bourgs : Plessé, Le Coudray et Le Dresny. Elle s’étend sur près de 10 400 hectares (104 km2) — la superficie de Paris intra muros —, soit le quatrième territoire de la Loire-Atlantique par la superficie, et le centième de France.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Blain », sur la commune de Blain, mise en service en 1989[7] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,1 °C et la hauteur de précipitations de 831 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Nazaire-Montoir », sur la commune de Montoir-de-Bretagne, mise en service en 1957 et à 31 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,3 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,6 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Plessé est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (86,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (40,1 %), terres arables (32 %), forêts (12,2 %), prairies (11,6 %), zones urbanisées (2,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,8 %), zones humides intérieures (0,8 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes : Plebe que dicitur Sei en 854, Castellum quod dicitur Sei en 903, Ploissiaco en 1062, Plesseit au XIIIe siècle, Plexiacum en 1267, Pleusse et Plusse en 1254, Plesse en 1287, Plesseyacum [?] en 1371[21],[22],[23].
Plessé est un toponyme breton, dont le premier élément Ples- (*Plé-) représente le vieux breton ploev, pluev > moyen breton ploe qui signifie « paroisse »[24],[25]. Ce terme breton, issu du latin plebs, plebis, est commun dans la toponymie bretonne comme premier élément de toponyme et toujours associé à un autre élément[24], sous diverses formes, dont Ples-, Plé-, mais encore Plou-, Plo-, Plu-, Pleu-. Les noms de lieux voisins Lancé (à moins de 5 km à vol d'oiseau) et Tressé (à moins de 8 km à vol d'oiseau) confortent cette hypothèse, car il faut sans doute y reconnaître d'anciens *Lan-sei et *Tré-sei, dont le second élément -sé est le même et dont les premiers éléments s'expliquent respectivement par le vieux breton lan « lieu consacré » et tref « habitation, village » (trève)[26].
Le second élément -sé semble être, soit un nom de lieu antérieur[24], soit un anthroponyme[25]. Il s'agit peut-être du nom de personne d'origine germanique Sigo[25],[27].
« La Paroisse de Sei ».
Plusieurs formes anciennes latinisées présentent le suffixe (-i)-acum (en contradiction avec la plus ancienne) qui explique la majorité des finales en -é à l'ouest de la France et qui ont permis à Albert Dauzat de formuler une hypothèse basée sur le réemploi d'un nom de lieu antérieur, à savoir un type *Siacum, Ernest Nègre les rejette implicitement et ne se base que sur la forme la plus ancienne. En effet, -iacum a difficilement pu aboutir à -ei de manière aussi précoce que le IXe siècle. En outre, -iacum aurait dû se perpétuer sous la forme -ac qui est la terminaison la plus usuelle dans les environs.
Plessé possède un nom en gallo, la langue d'oïl locale : Plesei (écriture ELG, prononcé [plə.sə])[28].
En breton, son nom est Plesei[29].
Histoire
Une occupation est attestée dès la préhistoire (Néolithique), comme le montrent le menhir de Pierre-Folle et les bracelets et haches de l’âge de bronze, retrouvés lors de fouilles archéologiques.Village de l’angle, Base mythique de carheil, créé en 1432, détruit par les allemands et reconstruit par le petit frère de Jules César À l'époque gallo-romaine, la voie romaine menant de Vannes à Blain passe sur le territoire communal de Plessé.
Plessé fut créé par des bretons immigrés de Grande-Bretagne au VIe siècle lorsqu'ils furent chassés sous la pression saxonne. Aucun texte ne relate cet événement, seule la toponymie bretonne qui représente près du quart des toponymes communaux, nous donne quelques indications. Le nom de Plessé apparaît en 854 dans une charte en langue latine du cartulaire de Redon sous la forme Plebs que dicitur Sei, indiquant qu'il s'agit d'une paroisse primitive bretonne. De plus nous rencontrons une grande diversité de toponymes bretons, notamment les termes suivants:
- Plou (communauté paroissiale), Plessé. - Tré (lieux habités et cultivés) avec Trélan, Trémar, Trégouët, Tressé, Tresnard.
- Lan (monastère), Lancé. - Lès (résidence nobiliaire), Hinlais. - Ran (tenure d'un colon) Randurand. - Ker (village) Carguemetz noté Kerguemer en 1431 (aveu du domaine de Kerguemer, ADLA E336).
On rencontre un nombre notable de noms communs comme :
- Draen (épine), Le Dresny (lieu épineux)
- Karreg (rocher), Carreux
- Kailhastreg (pierreux), Calestré
- Faou (hëtre), Pinfoux
- Bod (buisson), Le Bodan
- Toull (creux, trou), Toulan
- Govel (forge), Govello
- Menez (mont), Le Menet, etc.
Il existe quelques lieux-dits construits à partir d'anthroponymes bretons locaux comme Guéguen dans La Guiguenais, Menguy avec La Mainguisserie, Quelmé forme archaïque du moderne Calvez dans Carguemetz.
La présence d'authentiques Ker comme Carguemetz, et la présence de nom de famille breton dans la toponymie permettent de penser que la langue bretonne était encore en usage au XIIe siècle. Mais l'absence d'évolution de Quelmez en Calvez plaide pour une disparition antérieure au XIVe siècle. On peut légitimement estimer que l'usage du breton s'est perdu entre la fin du XIIe siècle et le début du XIVe siècle sous la pression du Gallo. Les toponymes désignant des lieux peuplés de saules laissent paraître deux influences. Au nord de la commune la présence du lieu-dit La Saudre près de la Guiguenais montre une influence Rennaise, tandis qu'au sud La Sauze au Coudray indique une influence Nantaise.
De 897 à 903, Alain le Grand, duc de Bretagne, y installe sa résidence et y mène grande cour. C'est l’âge d’or de la cité plesséenne[30]. Cependant, ses successeurs s’installent à Rieux.
Au début du XIVe siècle, Arthur II fait construire une aumônerie à Rozay.
Pendant la guerre de Cent Ans, le territoire est dévasté successivement par les Français et les Anglais.
À l'époque des guerres de Religion, Plessé est sous la domination de la famille de Rohan, de Blain, et devient un refuge pour les fidèles du culte réformé. En 1670, des missionnaires y sont envoyés par l’évêque de Nantes, afin de susciter des conversions au catholicisme.
Pendant la Révolution, les bois de la commune servent de refuge à des réfractaires, ainsi qu'à des rescapés du désastre de Savenay ().
Les résistants d'obédience autonomiste bretonne du groupe Liberté (agissant sur la Brière et Saint-Nazaire) ont eu une base à Plessé en 1944-45 (la photo du 2e article en lien y a été prise), puis en lien avec le commandant Verliac, ils ont contribué à fournir l'encadrement du Bataillon de la poche de Saint-Nazaire[31], dernière région de France à être libérée, le [30].
Le monument aux morts 14-18 et 39-45 est situé dans le cimetière communal (47° 32′ 23″ N, 1° 53′ 16″ O )[32].
Politique et administration
Liste des maires
Démographie
Selon le classement établi par l'Insee, Plessé fait partie de l'aire urbaine et de la zone d'emploi de Nantes et du bassin de vie de Guémené-Penfao. Elle n'est intégrée dans aucune unité urbaine[35]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « peu dense » : 85 % des habitants résidaient dans des zones « peu denses » et 15 % dans des zones « très peu denses »[36].
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[38].
En 2018, la commune comptait 5 257 habitants[Note 7], en augmentation de 4,78 % par rapport à 2013 (Loire-Atlantique : +6,31 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Pyramide des âges
Les données suivantes concernent l'année 2013. La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (21,8 %) est en effet inférieur au taux national (22,6 %) et au taux départemental (22,5 %)[41],[42],[43]. Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (50,9 % contre 48,4 % au niveau national et 48,7 % au niveau départemental)[41],[42],[43].
Lieux et monuments
- Pierre Folle : menhir.
- L'église Saint-Pierre datée de 1875, on y voit une statue de saint Clair datant du XVIe ou XVIIe siècle[44];
La commune compte deux monuments historiques :
- la chapelle du château de Fresnay, située dans le bourg de Plessé, a été construite aux XVe et XVIe siècles. Elle a été inscrite par arrêté du [45] ;
- la chapelle de l’ancien château de Carheil[46], au sud-ouest de la commune, a été construite au milieu du XIXe siècle. Elle a été classée par arrêté du [47].
Loisirs et culture
À Plessé, plusieurs sports sont pratiqués, dont :
- le football ;
- le judo[48] ;
- le multisport.
- téléski nautique : Wake Park Plessé
Personnalités liées à la commune
- Fine, l'égérie de l'édition 2017 du Salon International de l'Agriculture de Paris, vache de race Bretonne Pie-Noir ; Cédric Briand, son éleveur, présente cette race à petit effectif qui faillit disparaître. Née en à la ferme des Sept chemins à Plessé, Fine est belle et fière, avec son caractère de meneuse et sa robe tachetée noire et blanche. Fine est, en taille, la plus petite vache de France.
- Personnalités nées à Plessé :
- Jean de Lespinay (1448-1524), noble écuyer, trésorier et receveur général des finances du Duché de Bretagne, Conseiller du Roi de France.
- Anne-François-Guillaume du Cambout de Beçay (1685-1729), prélat.
- Pierre Louis du Cambout ( - château de Carheil[46],[47], Plessé † - château de Carheil, Plessé), 4e marquis de Coislin, homme politique français du XIXe siècle.
- Lucien Mazan, dit « Petit Breton », (1882-1917) champion cycliste, vainqueur du Tour de France en 1907 et 1908.
- Charles Perron (1893-1958), artiste peintre.
- Michel Manoll (1911-1984), écrivain, poète, ami de René-Guy Cadou.
- Jérôme Levesque (1919-2017), général et résistant.
- Clément Guillon (1932-2010), ancien évêque de Quimper.
- Personnalités ayant vécu à Plessé :
- Catherine de Parthenay, au château de Fresnay.
Annexes
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives aux organisations :
- Ressource relative à la géographie :
- Site de la mairie
- Site d'information sur la commune
- Site du téléski nautique de Plessé
Notes et références
Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Réélu en 2001.
- Réélu en 2014.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Blain - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
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- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Erwan Vallérie, Traité de toponymie historique de la Bretagne[réf. incomplète].
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France (lire en ligne)
- Site de KerOfis : formes anciennes de Plessé
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, éditions Larousse 1963 (Réédition Guénégaud 1979)
- Ernest Nègre, op. cit.
- Bertrand Luçon, Noms de lieux bretons du Pays nantais - 4100 toponymes, Yoran Embanner, 2016
- Marie-Thérèse Morlet, NPAG, I, p. 300.
- « Villes bretonnes, noms gallo », Geobreizh (consulté le ).
- Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
- « Découvrir la commune - son histoire », sur mairie-plesse.fr (consulté le ).
- http://www.nantes.maville.com/actu/actudet_-L-hermine-(bretonne)-contre-la-croix-gammee_dep-470479_actu.Htm https://www.ouest-france.fr/actu/actu_B_-Resistance-l-hermine-contre-la-croix-gammee_8619-470012_actu.Htm
- La liste des soldats décédés des 2 guerres se trouve sur le relevé no 7399 du site MémorialWebGen.
- « Municipales à Plessé. Aurélie Mézière et son équipe prennent leurs fonctions », Ouest-France, (consulté le ).
- « Commune de Plessé (44128) », Insee (consulté le ).
- « La grille communale de densité », Insee (consulté le ), données récupérées dans un fichier téléchargeable sous format Excel.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Chiffres clés Évolution et structure de la population - Plessé - POP T0-T3 - Population par sexe et âge en 2013 », sur insee.fr, Insee (consulté le ).
- « Résultats du recensement de la population de la Loire-Atlantique - POP T0-T3 - Population par grandes tranches d'âges », sur insee.fr, Insee (consulté le ).
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- « Article "Plessé" sur "Infobretagne.com" ».
- Notice no PA44000015, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « patrimoine-de-france.com », Château de Carheil (ancien) (consulté le ).
- Notice no PA00108768, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Judo club plesséen », sur le site officiel du club (consulté le ).
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