Guenrouet

Guenrouet, ou Guenrouët (prononcé [gɛ̃.ʁwɛt]) est une commune de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire.

Guenrouet

Blason
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Loire-Atlantique
Arrondissement Saint-Nazaire
Intercommunalité Communauté de communes du pays de Pont-Château - Saint-Gildas-des-Bois
Maire
Mandat
Frédéric Millet
2020-2026
Code postal 44530
Code commune 44068
Démographie
Gentilé Guérinois
Population
municipale
3 357 hab. (2018 )
Densité 48 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 31′ 12″ nord, 1° 57′ 13″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 73 m
Superficie 69,9 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Pontchâteau
Législatives Septième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Guenrouet
Géolocalisation sur la carte : Loire-Atlantique
Guenrouet
Géolocalisation sur la carte : France
Guenrouet
Géolocalisation sur la carte : France
Guenrouet
Liens
Site web http://www.guenrouet.fr/

    Géographie

    Situation de la commune de Guenrouet dans le département de la Loire-Atlantique.

    Guenrouet est située à 20 km au sud-est de Redon.

    Les communes limitrophes sont Plessé, Séverac, Saint-Gildas-des-Bois, Sainte-Anne-sur-Brivet, Quilly, Bouvron, Blain et Le Gâvre.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 12 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 13,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 806 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Blain », sur la commune de Blain, mise en service en 1989[7] et qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,1 °C et la hauteur de précipitations de 831 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Nazaire-Montoir », sur la commune de Montoir-de-Bretagne, mise en service en 1957 et à 26 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,3 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,6 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Guenrouet est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (89,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (36,1 %), prairies (32 %), terres arables (19 %), forêts (6,2 %), zones urbanisées (3 %), zones humides intérieures (2,4 %), mines, décharges et chantiers (1 %), eaux continentales[Note 5] (0,4 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Guenruth en 1090, Guenreth au XIIe siècle, Guenret en 1287, Griamiet en 1630, Guerroit en 1672, Guenret en 1731 [21]. En breton gwenn signifie blanc et red signifie gué, le gué blanc donc.

    Le nom de la commune, tel que répertorié par le Code officiel géographique de l'Insee, est Guenrouet[22] alors que Guenrouët avec un tréma est utilisé de manière générale. Ainsi, ce toponyme est utilisé par le site officiel de la mairie[23] et par le site officiel de la communauté de communes[24].

    Le nom de la ville en breton est aujourd'hui Gwenred[21].

    Guenrouët possède aussi un nom en gallo, la langue d'oïl locale : Genroèt (écriture ELG)[25].

    Histoire

    • La paroisse aurait été fondée par Alain Ier de Bretagne « le Grand » au IXe siècle. La commune fait partie de la Bretagne historique.
    • La famille de Saint-Marsault a été seigneur de Pontcorhan[26].
    • Pendant la Révolution, Guenrouët abrite une troupe révolutionnaire dans le presbytère mais la population se montre hostile à la Constitution civile du clergé et cache des prêtres réfractaires.
    • La construction du canal de Nantes à Brest, sous la monarchie de Juillet, favorise le développement de la commune.
    • La commune paie un lourd tribut aux deux conflits mondiaux, notamment par les bombardements de la poche de Saint-Nazaire, d'août 1944 à mai 1945 : 80 000 obus tombent sur la commune, dont 35 000 sur le bourg. L'église de la section de Notre-Dame-de-Grâce est alors très endommagée, la moitié de la toiture est écroulée ; déstabilisé et seulement maintenu par son ferrage, le clocher est jugé dangereux et doit être abattu en 1949[27]. L'église du bourg de Guenrouët est hors d'usage. Le culte et la population du bourg se réfugient dans plusieurs chapelles de fortune, représentées après la guerre sur les vitraux neufs de l'église, restaurée par la suite. Celle de Notre-Dame-de-Grâce est relevée dans un style moderne, assez semblable dans les grandes lignes à celui de l'église de Saint-Omer de Blain, village libéré par les Américains et dont l'église est nuitamment dynamitée par les Allemands, qui en occupent une partie.

    Emblèmes

    Héraldique

    Blasonnement :
    D'azur à une église d'argent terrassée de sinople, la terrasse chargée d'une divise ondée d'argent surchargée de trois poissons de gueules.
    Commentaires : Blason conçu par M. J. Chassé en 1949.

    Devise

    La devise de Guenrouet : Diruta Restitui (devise par l'abbé L. Verger).

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1977 1978 Claude Goin    
    1978 juin 1995 Joseph Trégret    
    juin 1995 mars 2008 Pierre Moutel    
    mars 2008 mai 2020 Sylvain Robert[Note 6] DVG Enseignant en collège
    mai 2020 En cours Frédéric Millet    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    Selon le classement établi par l'Insee, Guenrouet est une commune multipolarisée. Elle fait partie de la zone d'emploi de Saint-Nazaire et du bassin de vie de Saint-Gildas-des-Bois. Elle n'est intégrée dans aucune unité urbaine[28]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « peu dense » : 79 % des habitants résidaient dans des zones « peu denses » et 21 % dans des zones « très peu denses »[29].

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[31].

    En 2018, la commune comptait 3 357 habitants[Note 7], en augmentation de 3,17 % par rapport à 2013 (Loire-Atlantique : +6,31 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 6051 5621 7051 9411 9552 0762 1532 5802 723
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 9553 1843 3443 4233 4433 6493 6793 9243 814
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    3 6393 6063 6493 2613 1433 0102 9182 7532 693
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    2 6142 3682 1562 2702 3832 4082 7802 8333 222
    2017 2018 - - - - - - -
    3 3493 357-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Les données suivantes concernent l'année 2013. La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (22,4 %) est en effet inférieur au taux national (22,6 %) et au taux départemental (22,5 %)[34],[35],[36]. À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (51 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %)[34],[35],[36].

    Pyramide des âges à Guenrouet en 2013 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90 ans ou +
    1,2 
    6,2 
    75 à 89 ans
    10,3 
    14,4 
    60 à 74 ans
    12,5 
    19,4 
    45 à 59 ans
    18,4 
    23,3 
    30 à 44 ans
    20,9 
    13,1 
    15 à 29 ans
    13,7 
    23,5 
    0 à 14 ans
    23,1 
    Pyramide des âges de la Loire-Atlantique en 2013 en pourcentage[35]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90 ans ou +
    1,3 
    5,8 
    75 à 89 ans
    9,1 
    13,5 
    60 à 74 ans
    14,6 
    19,6 
    45 à 59 ans
    19,2 
    20,8 
    30 à 44 ans
    19,6 
    19,4 
    15 à 29 ans
    17,7 
    20,5 
    0 à 14 ans
    18,5 

    Économie

    La commune partage avec sa voisine Sévérac un parc éolien construit à l'initiative des citoyens[37], inauguré le [38].

    Lieux et monuments

    • Église (XIXe siècle) : ses vitraux, réalisés par Gabriel Loire (maître verrier à Chartres) illuminent le chœur de l'église et racontent, à leur manière, la poche de Saint-Nazaire sur la commune de Guenrouët.
    • Canal de Nantes à Brest : calme, verdure et rivière tranquille.
    • Église Notre-Dame-de-Grâce (XIXe siècle) : église de construction moderne et son chemin de croix réalisé à la fourchette.
    • Château du Grény. Château de Bogdelin. Chapelle de Cougou. Chapelle de Bolhet. Vieille chapelle Saint-Clair.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    6. Réélu en 2014.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Blain - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Guenrouet et Blain », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Blain - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Guenrouet et Montoir-de-Bretagne », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Saint-Nazaire-Montoir - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Saint-Nazaire-Montoir - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Saint-Nazaire-Montoir - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
    22. Guenrouet sur le site de l'Insee
    23. Site officiel de la mairie
    24. Site officiel de la communauté de communes du Pays de Pont-Château - Saint-Gildas-des-Bois
    25. « Villes bretonnes, noms gallo », Geobreizh (consulté le ).
    26. Nobiliaire de Bretagne, Pol Potier de Courcy.
    27. https://www.guenrouet.fr/leglise-de-notre-dame-de-grace
    28. « Commune de Guenrouet (44068) », Insee (consulté le ).
    29. « La grille communale de densité », Insee (consulté le ), données récupérées dans un fichier téléchargeable sous format Excel.
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    34. « Chiffres clés Évolution et structure de la population - Guenrouet - POP T0-T3 - Population par sexe et âge en 2013 », sur insee.fr, Insee (consulté le ).
    35. « Résultats du recensement de la population de la Loire-Atlantique - POP T0-T3 - Population par grandes tranches d'âges », sur insee.fr, Insee (consulté le ).
    36. « Résultats du recensement de la population française - POP T0-T3 - Population par grandes tranches d'âges », sur insee.fr, Insee (consulté le ).
    37. « Sévérac-Guenrouët : Un parc éolien en mode participatif », sur presseocean.fr, (consulté le ).
    38. Baptiste Langlois, « L’éolien citoyen a le vent dans le dos », sur say-yess.com, (consulté le ).
    • Portail de la Loire-Atlantique
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.