Plancher-Bas

Plancher-Bas est une commune française située dans le département de la Haute-Saône, en région Bourgogne-Franche-Comté. Elle fait partie de la communauté de communes Rahin et Chérimont. Le village se situe dans la région vallonnée du massif des Vosges.

Plancher-Bas

Blason
Administration
Pays France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Haute-Saône
Arrondissement Lure
Intercommunalité Communauté de communes Rahin et Chérimont
Maire
Mandat
Luc Sengler
2020-2026
Code postal 70290
Code commune 70413
Démographie
Population
municipale
1 934 hab. (2018 )
Densité 66 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 43′ 19″ nord, 6° 44′ 01″ est
Altitude Min. 366 m
Max. 850 m
Superficie 29,12 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Plancher-les-Mines
(ville-centre)
Aire d'attraction Belfort
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Héricourt-1
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
Plancher-Bas
Géolocalisation sur la carte : Haute-Saône
Plancher-Bas
Géolocalisation sur la carte : France
Plancher-Bas
Géolocalisation sur la carte : France
Plancher-Bas
Liens
Site web mairie-plancher-bas.fr

    Ses habitants sont appelés les Plancherots[1].

    Géographie

    Localisation

    Plancher-Bas se trouve dans la haute vallée du Rahin composée d'alluvions fluvio-glaciaires. Le village est situé dans une zone vallonnée et accidentée dans le département de la Haute-Saône en région Bourgogne-Franche-Comté. La majeure partie du territoire communal est boisée[1].

    Communes limitrophes

    Géologie

    Plancher-Bas est construite sur le plateau de Haute-Saône dans la dépression sous-vosgienne[2] et s'appuie sur le versant méridional du massif des Vosges[3]. Le bassin houiller stéphanien sous-vosgien s’étend sur le territoire communal et aux alentours, entre Lure et le bassin potassique. Au lieu-dit les Granges-Godey, situé au sud-est de la commune, non loin d'Errevet, des veines de houille situées à faible profondeur sont découvertes mais ne sont pas exploitées[4].

    Climat

    L'éloignement de la région de Plancher-Bas à la mer est important à l'échelle de la France : au moins 600 km de l'Atlantique, et 500 km de la Méditerranée. Cette position engendre un climat semi-continental, caractérisé par des fortes amplitudes thermiques journalières et annuelles. Les étés chauds et lourds de Plancher-Bas alternent avec des hivers secs marqués par un froid plus vif. Les températures peuvent y descendre fréquemment en dessous de −10 °C. Les précipitations sont importantes en raison de la présence des massifs montagneux qui, à l'est, font obstacle à l'évacuation des masses d'air humides sur la Suisse. Dans la commune proche de Ronchamp, le cumul des précipitations annuelles de l'ordre de 1 700 mm/an. En hiver, en raison du froid, les précipitations, se produisent sous forme de neige[5].

    Relevés des précipitations et heures d'ensoleillement à Luxeuil-les-Bains – Saint-Sauveur[6]
    MoisJanv.Fév.MarsAvr.MaiJuinJuil.AoûtSept.Oct.Nov.Déc.Total année
    Heures moyennes d'ensoleillement 65.2 89.7 133.6 167.5 198.1 225.5 247.8 229.5 169.5 120 73.5 55.1 1776
    Moyennes mensuelles de précipitations (mm) 85.3 74.9 79.2 73.1 97.9 88.2 85.5 77.9 80.9 99.8 94.2 103.1 1049.1
    Relevés de températures à Luxeuil-les-Bains – Saint-Sauveur
    MoisJanv.Fév.MarsAvr.MaiJuinJuil.AoûtSept.Oct.Nov.Déc.Moyenne année
    Températures minimales moyennes (°C) -1.9 -1.8 1.1 3.5 8.0 11.1 13.1 12.7 9.4 6.2 1.7 -0.6 5.2
    Températures moyennes (°C) 1.6 2.6 6.4 9.6 14.0 17.2 19.4 19.0 15.2 11.1 5.6 2.5 10.4
    Températures maximales moyennes (°C) 5.1 7.0 11.6 15.6 20.0 23.3 25.7 25.4 21 16.0 9.5 5.6 15.5

    Urbanisme

    Typologie

    Plancher-Bas est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Plancher-les-Mines, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[10] et 2 940 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[11],[12].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Belfort, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 91 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (77,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (77,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (74,6 %), zones agricoles hétérogènes (18,4 %), zones urbanisées (3,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,6 %), prairies (1,2 %)[15].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[16].

    Histoire

    L'église vers 1900.

    Origine

    En 600, un moine s'installe dans la forêt de Saint-Antoine avant qu'un prieuré et une chapelle ne soient construits[17]. En 1178, le village de Planchicum est inscrit dans les archives. En 1232, l'abbé de Lure, seigneur de Passavant (vallée du Rahin) est fait prince. En 1687, Plancher-Haut, devenu Plancher-les-Mines devient indépendant de Plancher-Bas (dont il était un hameau) après l'accroissement démographique provoqué par l'exploitation des mines[17],[1].

    Industries

    Influencé par les usines et mines métalliques de la vallée de Saint-Antoine et par les houillères de Ronchamp, le village développe une activité industrielle dès le XVIIIe siècle. Une usine d'horlogerie s'installe à Mont dès 1786, c'est ensuite l'activité textile qui se développe avec quatre usines au centre[18].

    Plusieurs industries ont perduré entre le XIXe siècle et le XXe siècle, principalement des usines métallurgiques et des fonderies mais aussi une papeterie ayant notamment appartenu à Louis-Emile Desloye qui fabriquait sa pâte à papier à partir de chiffons[19]. La commune comptait également des artisanats variés (maréchal-ferrant, forgeron, charron, sabotier, ébéniste)[18].

    Une autre activité, qui perdura jusque dans les années 1970, est la récolte de l'écorce de chêne, de laquelle on tirait le tan, qui servait au traitement du cuir animal (tannage des peaux). Cette activé est alors un moyen de rémunération non négligeable pour les familles locales. Deux moulins dont les meules broyaient les écorces séchées ont été en activité au village, actionnés par le courant du Rahin. Après 1914 elles étaient envoyées par fagots en Suisse ou dans le Nord de la France dans des wagons chargés à la gare de Champagney. Des moulins à grains notamment étaient installés le long du Rahin[18].

    Époque contemporaine

    À la fin de l'Occupation, le 20 novembre 1944[20], Plancher-Bas est libéré par la 1ère division française libre commandée par le général Brosset après deux mois de combats[21]  : l'avancée des armées de libération dans la région avait été ralentie à la fin du mois de septembre (du fait notamment des lenteurs du ravitaillement) et le front s'était stabilisé du 2 octobre au 19 novembre sur une ligne reliant Belfahy, Fresse et Ronchamp (voir aussi Libération de la France et 1ère division blindée).

    Les combats de la libération auraient causé la mort de 27 personnes dans la population de la commune[22].

    Le village se voit remettre la Croix de guerre avec étoile de vermeil, pour les actes de résistance de la part de certains habitants. Cette décoration est décernée le puis remise le [1].

    Politique et administration

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires depuis la Libération
    Période Identité Étiquette Qualité
    février 1945 octobre 1947 Charles Gillet    
    octobre 1947 mars 1977 Maurice Parisot    
    mars 1977 mars 1983 Hubert Guerrin PCF Instituteur
    Conseiller général du canton de Champagney (1985-2004)
    mars 1983 mars 2014 Roland Germain[25] PCF  
    mars 2014 En cours
    (au 29 mai 2020)
    Luc Sengler[26] DIV puis DVD Réélu pour le mandat 2020-2026[27]

    Finances locales

    En 2015, les finances communales était constituées ainsi[28] :

    • total des produits de fonctionnement : 1 895 000 , soit 946  par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 1 263 000 , soit 630  par habitant ;
    • total des ressources d’investissement : 560 000 , soit 280  par habitant ;
    • total des emplois d’investissement : 529 000 , soit 264  par habitant ;
    • endettement : 2 246 000 , soit 1 121  par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d'habitation : 9,06 % ;
    • taxe foncière sur le bâti : 10,54 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 102,43 % ;
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 58,19 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 20,89 %.

    Divisions territoriales

    Carte départementale représentant en rouge la communauté de communes Rahin et Chérimont.

    Plancher-Bas fait partie du département de la Haute-Saône, en région Bourgogne-Franche-Comté. La commune appartient également canton de Champagney, situé dans l'arrondissement de Lure[29],[30].

    En outre, le village fait partie de la communauté de communes Rahin et Chérimont, intercommunalité créée en 2003[31], et qui se trouve dans le pays des Vosges Saônoises[32].

    Politique environnementale

    La communauté de communes Rahin et Chérimont, à laquelle appartient Plancher-Bas, est membre du Syndicat intercommunal de collecte et de traitement des ordures ménagères (SICTOM) de la zone sous-vosgienne, basé à Étueffont. La communauté de communes Rahin et Chérimont assure la gestion de la politique environnementale de Ronchamp, dont entre autres la mise en place et le suivi d’un service public d’assainissement non collectif[31].

    Population et société

    Démographie

    En 2018, la commune de Plancher-Bas comptait 1 934 habitants. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans. Les autres « recensements » sont des estimations. La commune dépasse la barre des 2 000 habitants en 2015[33].

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 5131 5051 6351 8982 0282 1242 1312 1142 102
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 0172 1492 2062 2162 3232 3482 3652 2962 245
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 1742 2272 0071 7331 6881 5831 4931 2201 321
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    1 3411 2931 4021 5381 6441 6371 8041 9231 963
    2018 - - - - - - - -
    1 934--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    L'école.

    La commune dépend de l'académie de Besançon[36].

    Plancher-Bas possède une école maternelle et primaire publique. Pour la scolarisation des lycéens, le lycée Georges-Colomb de Lure est l'établissement privilégié.

    En ce qui concerne les études supérieures, les établissements les plus proches sont situés dans l'aire urbaine de Belfort-Montbéliard et à Vesoul.

    Santé

    Concernant les services hospitaliers, l'hôpital le plus proche de Plancher-Bas est celui de Lure, mais il est de plus en plus désinvesti par les services publics au profit de celui de Vesoul, principal site du C.H.I. de Haute-Saône[37]. Par ailleurs, les hôpitaux de Belfort et Montbéliard, facilement accessibles de Ronchamp, fusionnent en 2017 au profit de la nouvelle infrastructure commune du centre hospitalier de Belfort-Montbéliard, située à mi-chemin entre les deux villes, à Trévenans[38].

    Services et équipements publics

    Les services publics comprennent la salle polyvalente Georges-Brassens, un bureau de poste et une caserne de pompiers couplée aux ateliers municipaux. Une brigade territoriale de gendarmerie est implantée dans la commune voisine de Champagney.

    Les autres services publics sont disponibles à Lure, où l'on trouve notamment la sous-préfecture, les services sociaux locaux du Conseil départemental et une de ses antennes techniques routières, Pôle emploi, EDF, les services fiscaux et cadastraux et un tribunal d'instance.

    Instances administratives et judiciaires

    La commune de Plancher-Bas dépend du tribunal de grande instance de Vesoul, du tribunal d'instance de Lure, du tribunal de commerce de Vesoul, du tribunal paritaire des baux ruraux de Lure, du tribunal des affaires de Sécurité sociale du Territoire de Belfort, du conseil de prud'hommes de Lure et de la cour d'assises de Vesoul. De plus, la ville est dépendante du tribunal administratif et de la cour d'appel de Besançon ainsi que de la cour administrative d'appel de Nancy[39],[40].

    Médias

    La presse écrite est représentée par le quotidien régional L'Est républicain[41] ainsi que par le journal hebdomadaire Les Affiches de la Haute-Saône.

    Le village est couverte par les programmes de France 3 Franche-Comté[42].

    Cultes

    Plancher-Bas est rattachée à l'unité pastorale de Champagney[43], faisant partie du doyenné de Lure, qui dépend de l'archidiocèse de Besançon[44]. Un lieu de culte catholique est implanté dans la commune : l'église Saint-Pancrace[43].

    Concernant d'autres religions, les lieux de cultes les plus proches sont les temples de Magny-Danigon et Clairegoutte pour les protestants, la synagogue de Belfort pour les juifs et la mosquée de Lure pour les musulmans[45].

    Économie

    Plancher-Bas possède, sur son territoire, des entreprises artisanal, agricole et industriel. Celles-ci sont essentiellement implantées sur la ZA des Prés Lajus. Les entreprises industriels sont Sperian Protection, Serero-fonderie, Kibros, Chapuis, Cotta et Obrecht[46]. La plupart des activités industriels du village existent depuis le XXe siècle[18]. L'INSEE rattache le village au bassin de vie de Champagney - Ronchamp[47].

    Lieux et monuments

    Patrimoine naturel[48] :

    Patrimoine architectural[48] :

    • l'église, construite entre 1170 et 1200 et reconstruite en 1772 à la suite d'un incendie. La cloche date de 1864[49] ;
    • d'anciens bâtiments industriels et maisons de maîtres ;
    • le monument aux morts[50] ;
    • le château Schaeffer et la maison Château aux Granges-Godey ;
    • le barrage sur le Rahin et la rigole d'alimentation du bassin de Champagney ;
    • le col de la Chevestraye (611 m) en limite de la commune, enjeu d'une importante bataille fin septembre et début octobre 1944. Il est emprunté lors de la 20e étape du Tour de France 2020 ;
    • l'ancienne gare du Tacot ;
    • la scierie haut-fer du Fahys ;
    • les vestiges d'une ancienne tour de guet en avant-poste du château de Passavant.

    Patrimoine industriel

    • Usine de quincaillerie Chapuis, actuellement usine de pièces détachées en matière plastique G-Tech[51].
    • Usine de bonneterie et de confection Ballay, actuellement logements et immeuble de bureaux[52].
    • Tissage de soie Blaise, puis tissage de coton Lebrun, actuellement garage de réparation automobile[53].
    • Usine de quincaillerie Spindler, actuellement Bacou-Dalloz[54].
    • Tissage Lebrun, actuellement logement[55].
    • Moulin à papier Desloye, puis Terré[56].

    Personnalités liées à la commune

    • Louis-Emile Desloye (1836-1892), ancien député-maire et industriel (papetier) à Plancher-Bas.

    Héraldique

    Les armes de la commune se blasonnent ainsi :

    D’argent au chêne arraché au naturel. Un arbre identifié par le gland qui en tombe, et qui rappelle l'activité d'exploitation et négoce de l'écorce de chêne à destination des tanneries.

    Voir aussi

    Bibliographie

     : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.

    Références

    1. « Plancher-Bas autrefois ».
    2. « La dépression sous-vosgienne », sur http://www.caue-franche-comte.fr/.
    3. [PDF] « Carte du massif des Vosges », sur http://www.massif-des-vosges.com/.
    4. L. Suchaux, La Haute-Saône : dictionnaire historique, topographique et statistique des communes du département, (lire en ligne).
    5. Sabine Marbach et Cathy Guillot (bureau d'études techniques Ecoscop), « Plan de paysage de la communauté de communes de Rahin et Chérimont - diagnostic juin 2008 » [PDF], sur le site de l'office de tourisme de Ronchamp (consulté le ).
    6. « Luxeuil, Haute Saône(70), 271m - [1981-2010] », sur le site de Lameteo.org (consulté le ).
    7. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Unité urbaine 2020 de Plancher-les-Mines », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    11. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    12. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Belfort », sur insee.fr (consulté le ).
    14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    16. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    17. PNRBV, p. 3.
    18. « Histoire économique de Plancher-Bas ».
    19. « Moulin à papier Desloye », sur Inventaire du patrimoine en Bourgogne-Franche-Comté, .
    20. La 1ère D.F.L., épopée d'une reconquête, juin 1940-mai 1945, éd. Arts et métiers graphiques, Paris, 1946, p. 150-151.
    21. La 1ère D.F.L., les Français libres au combat, Général Yves Bras, Presses de la Cité, 1983.
    22. D'après Césaire Lamboley-Depoire, président Anciens combattants-UNC, dans son discours prononcé le 25.11.1984, à l'occasion du 40e anniversaire de la libération de Plancher-Bas : texte disponible à la mairie de la commune.
    23. « Liste des maires successifs », sur site de la commune.
    24. Dictionnaire des parlementaires français de 1789 à 1889 (Adolphe Robert et Gaston Cougny)
    25. Préfecture de Haute-Saône, Liste des communes de Haute-Saône, publiée le 23 janvier 2013, consultée le 18 juillet 2013
    26. « Résultats des élections municipales 2014: Plancher-Bas (70290 - Haute-Saône) », sur L'Express.
    27. « Luc Sengler élu maire pour un 2e mandat », sur L'Est républicain, (consulté le ).
    28. « Les comptes de la commune », sur alize2.finances.gouv.fr (consulté le ).
    29. [PDF] « Populations légales en vigueur à compter du 1er janvier 2013 (Arrondissements - cantons - communes) » (consulté le ).
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Ronchamp », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    31. « Communauté de communes Rahin et Chérimont », sur http://www.ccrc70.fr (consulté le ).
    32. « Présentation du pays des Vosges Saônoises », sur http://www.pays-vosges-saonoises.fr/ (consulté le ).
    33. « Plancher-Bas : La commune franchit le cap des 2 000 habitants », sur L'Est républicain, .
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    36. « Inspection académique de la Haute-Saône », sur le site de l'Académie de Besançon (consulté le ).
    37. « Le CHI de Haute-Saône », sur http://www.chi70.fr.
    38. « Trévenans : les urgences du nouvel hôpital sont ouvertes », sur L'Est républicain, (consulté le ).
    39. « Juridictions de Vesoul », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
    40. « Carte judiciaire » [PDF], sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
    41. « L'Est républicain », sur https://www.estrepublicain.fr/ (consulté le ).
    42. « France 3 Franche-Comté », sur https://france3-regions.francetvinfo.fr/ (consulté le ).
    43. « Unité pastorale de Champagney », sur le site du diocèse de Besançon (consulté le ).
    44. « Doyenné de Lure », sur le site du diocèse de Besançon (consulté le ).
    45. « Mosquée de Lure », sur http://www.guidemusulman.com/ (consulté le ).
    46. « Economie de Plancher-Bas ».
    47. « Bassin de vie 2012 de Champagney - Ronchamp (70120) », sur INSEE.
    48. « Patrimoine de Plancher-Bas ».
    49. « Cloche de l'église », notice no PM70001178, base Palissy, ministère français de la Culture.
    50. « Le monument aux morts », sur memorialgenweb.org.
    51. « usine de quincaillerie Chapuis, actuellement usine de pièces détachées en matière plastique G-Tech », notice no IA70000165, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    52. « usine de bonneterie et de confection Ballay, actuellement logements et immeuble de bureaux », notice no IA70000167, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    53. « tissage de soie Blaise, puis tissage de coton Lebrun, actuellement garage de réparation automobile », notice no IA70000168, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    54. « usine de quincaillerie Spindler, actuellement Bacou-Dalloz », notice no IA70000166, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    55. « tissage Lebrun, actuellement logement », notice no IA70000169, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    56. « moulin à papier Desloye, puis Terré », notice no IA70000170, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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