Pesmes
Pesmes est une commune française située dans le département de la Haute-Saône, en région Bourgogne-Franche-Comté. Elle fait partie de la région culturelle et historique de Franche-Comté.
Pesmes | |||||
![]() Vue depuis la rivière l'Ognon. | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Bourgogne-Franche-Comté | ||||
Département | Haute-Saône | ||||
Arrondissement | Vesoul | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Val de Gray | ||||
Maire Mandat |
Frédérick Henning 2020-2026 |
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Code postal | 70140 | ||||
Code commune | 70408 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Pesmois | ||||
Population municipale |
1 077 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 29 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 16′ 50″ nord, 5° 33′ 56″ est | ||||
Altitude | Min. 188 m Max. 290 m |
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Superficie | 37,28 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Marnay | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
Géolocalisation sur la carte : Haute-Saône
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | pesmes.fr | ||||
La commune porte les labels Cité de Caractère de Bourgogne-Franche-Comté et les plus beaux villages de France[1].
Géographie
Situé à l'extrémité sud-ouest du département, le village s'est implanté sur la bordure d'un plateau calcaire qui domine la rivière l'Ognon, affluent de la Saône.

Communes limitrophes
![]() |
Broye-Aubigney-Montseugny | Sauvigney-lès-Pesmes, Chevigney | Valay, La Résie-Saint-Martin | ![]() |
N | Chaumercenne, Bard-lès-Pesmes | |||
O Pesmes E | ||||
S | ||||
Mutigney (Jura) | Dammartin-Marpain (Jura) | Malans |

Urbanisme
Typologie
Pesmes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4]. La commune est en outre hors attraction des villes[5],[6].
Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (69,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (45,5 %), forêts (27,2 %), prairies (18,1 %), zones urbanisées (5,8 %), zones agricoles hétérogènes (3,2 %)[7].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].
Histoire
Après avoir appartenu au Saint Empire Germanique, au duché de Bourgogne, aux Pays-Bas bourguignons, Pesmes devient Français, en 1678, sous Louis XIV, par le traité de Nimègue.
Seigneurie puis baronnie avant d'être érigée en marquisat en mai 1754, Pesmes doit son origine à son premier château érigé au Xe siècle par l'ancêtre de Guillaume Ier de Pesmes. Cette famille, dont l'origine est inconnue, va régner sur Pesmes jusqu'en 1327 avant d'être remplacée par celle des Grandson. Un peu plus d'un siècle plus tard le dernier de la maison de Grandson, Jean II, engageait ses terres de Pesmes auprès de Thiébaud VIII de Neuchâtel-Bourgogne permettant ainsi à ce dernier d'endosser le titre de seigneur de Pesmes. Son héritière, Bonne de Neuchâtel-Bourgogne, faisait entrer la seigneurie de Pesmes dans la famille de La Baume-Montrevel.
- Pesmes vers 1908.
Politique et administration

Rattachements administratifs et électoraux
La commune fait partie de l'arrondissement de Vesoul du département de la Haute-Saône, en région Bourgogne-Franche-Comté. Pour l'élection des députés, elle dépend de la première circonscription de la Haute-Saône.
Elle était depuis 1793 le chef-lieu du canton de Pesmes[9]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais rattachée au canton de Marnay.
Intercommunalité
La commune était le siège de la petite communauté de communes du val de Pesmes, créée par un arrêté préfectoral du , et qui prenait la suite du Syndicat intercommunal de développement et d’aménagement du canton de Pesmes[10].
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants (et 5 000 habitants en zone de montagnes), le préfet de la Haute-Saône a présenté en un projet de révision du schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit notamment la scission de cette communauté de communes et le rattachement de certaines de ses communes à la communauté de communes du Val marnaysien et les autres communes à celle du Val de Gray[11],[12].
Malgré l'opposition du Val de Pesmes[13], le SDCI définitif, approuvé par le préfet le , a prévu l'extension :
- du Val Marnaysien aux communes de Bard-lès-Pesmes, Berthelange, Brésilley, Chancey, Chaumercenne, Courcelles-Ferrières, Corcondray, Etrabonne, Ferrières-les-Bois, Malans, Mercey-le-Grand, Montagney, Motey-Besuche, Villers-Buzon, portant le nouvel ensemble à 13 784 habitants, selon le recensement de 2013 ;
- Val de Gray aux communes d'Arsans, Broye-Aubigney-Montseugny, Chevigney, La Grande-Résie, La Résie-Saint-Martin, Lieucourt, Pesmes, Sauvigney-lès-Permes, Vadans, Valay et Venère, portant le nouvel ensemble à 20 807 habitants [14].
C'est ainsi que la commune est désormais membre depuis le de la Communauté de communes Val de Gray.
Liste des maires
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[20].
En 2018, la commune comptait 1 077 habitants[Note 2], en diminution de 2,45 % par rapport à 2013 (Haute-Saône : −1,23 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Culture locale et patrimoine
Édifices civils


- Château des Forges (XVIIIe siècle), inscrit MH depuis 1993[22].
- Château Rouillaud (XVe siècle), inscrit MH depuis 1977[23].
- Enceinte médiévale de Pesmes (XIIIe siècle), partiellement inscrite MH depuis 1993[24].
- Fortifications (XVIe siècle), partiellement inscrites MH depuis 1993[25].
- Château (XVe siècle), inscrit MH depuis 1989[26].
- Maison royale (XVe siècle), inscrite MH depuis 1991[27].
- Château (XVe siècle)[28].
- Château-fort (Xe siècle (détruit), XVe siècle)[29].
- Fontaines (XIXe siècle)[30],[31].
- Forges de Pesmes (XVIIe siècle)[32].
- Mairie (XVIIIe siècle)[33].
- Maisons et fermes (du XVIe au XIXe siècle)[34].
- Moulins (XVIIIe siècle)[35],[36].
- Pont (XVIIIe siècle)[37].
- Tuilerie (XIXe siècle)[38].
- Fontaine de Coulances.
Édifices religieux

- Église Saint-Hilaire (XIIe siècle), classée MH depuis 1903[39].
- Église Saint-Paul (XVe siècle)[40].
- Croix Saint-Roch (XIVe siècle), classée MH depuis 1977[41].
- Croix de cimetière de Pesmes (XVIe et XVIIe siècles), classée MH depuis 1903[42],[43].
- Prieuré de Pesmes (XVIe siècle), inscrit MH depuis 1985[44]
- Chapelle Saint-Roch (antérieure au XVIIIe siècle)[45].
- Chapelle Saint-Roch, dite nouvelle chapelle (XVIIIe siècle)[46].
- Couvent des capucins (XVIIe siècle)[47].
- Croix de chemin XIXe siècle)[48].
- Croix monumentale (XIXe siècle)[49].
- Oratoire (XIXe siècle)[50].
- Prieuré de Saint-Hilaire, devenu Saint-Léger, puis Notre-Dame (XVIe siècle)[51].
Personnalités liées à la commune
- Jean d'Andelot (mort en 1556), premier écuyer de Charles Quint, blessé par un coup d'épée à la joue, lors d'un corps à corps avec François Ier, à la bataille de Pavie. Repose dans la chapelle Andelot de l'église de Pesmes
- Louis Gollut (1535-1595), avocat au parlement de Dole, et chroniqueur, né à Pesmes.
- Pierre Matthieu (1563-1621), écrivain, poète, dramaturge et historiographe, né à Pesmes.
- Christophe de Raincourt (1601-1638) Gouverneur de Pesmes pendant la guerre de Dix ans
- André Poncet (1755-1838), général de division et maire de Pesmes, né à Pesmes.
- Xavier Guichard (1870 - 1947), commissaire de police, chef de la Sûreté, directeur de la Police Judiciaire, archéologue, vice-président de la Société préhistorique française et écrivain, né à Pesmes.
- Famille Quirot (anciennement de Corbeton). Élisabeth épouse de Roger Girardot (1908-1985), docteur en médecine, Compagnon de la Libération, Chevalier de la Légion d'Honneur, et Jean Quirot, son frère, médecin également ; résidants à Pesmes.
- Salima Machamba (1874–1964), dernière reine de Mohéli, morte et enterrée à Pesmes. Elle abandonne son royaume à la France, en 1902, pour vivre son amour avec un Camille Paule, gendarme bourguignon, rencontré sur l'île de La Réunion[52].
- Alfred Beyl (1886-1977), double champion de France de cyclisme, né à Pesmes.
- Antoine-Charles-Thérèse Borel, peintre miniaturiste né à Pesmes.
- Henri-Paul Rey, sculpteur né à Pesmes.
- Bernard Joly, chirurgien-dentiste, sénateur de Haute-Saône (1995-2004), conseiller général du canton de Pesmes (1976-2001), maire de Pesmes (1977-1995). Président fondateur de l'association des « Petites cités comtoises de caractère ».
- Pierre Mercier (1975-), quadruple champion du monde de nunchaku, réside à Pesmes.
- Alain Menegon, lithographe et aquarelliste, réside à Pesmes.
- Denis Pérez, sculpteur, réside à Pesmes.
- Jacques Prévost (XVIe siècle), auteur du triptyque (1561) de l'église Saint-Hilaire, né à Pesmes.
- Sires de Pesmes.
Voir aussi
Articles connexes
- Liste des communes de la Haute-Saône
- Liste des anciennes communes de la Haute-Saône
- Église Saint-Hilaire de Pesmes
- Église Saint-Paul de Pesmes
- Forges de Pesmes
- Bien dégagé derrière les oreilles (film tourné à Pesmes)
- Cités de Caractère de Bourgogne-Franche-Comté
- Station verte
- Tourisme dans la Haute-Saône
Bibliographie
- Gaston de Beausejour, Charles Godart, Pesmes et ses seigneurs du XIIe au XVIIIe siècle. 1re Partie, imprimerie Suchaux, Vesoul, 1895.
- Gaston de Beausejour, Charles Godart, Pesmes et ses seigneurs du XIIe au XVIIIe siècle. 2e Partie, imprimerie Bon, Vesoul, 1909.
- Jean-Baptiste Guillaume, Histoire généalogique des sires de Salins au comté de Bourgogne, Besançon, Jean-Antoine Vieille, (lire en ligne), p. 42 à 46 et 338 à 348
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- Pesmes sur le site de l'association Les plus beaux villages de France « Copie archivée » (version du 15 mars 2009 sur l'Internet Archive).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « C.C.V.P., E.P.C.I. et autres sigles », Vie communautaire, sur http://www.ccvaldepesmes.fr (consulté le ).
- « Présentation du projet de SDCI révisé » [PDF], Intercommunalité, Préfecture de la Haute-Saône, (consulté le ).
- Guillaume Minaux, « Haute-Saône : le projet de redécoupage », L'Est républicain, (lire en ligne).
- Maxime Chevrier, « Fusion : les élus du Val de Pesmes sonnent la charge : Les élus de la Communauté de communes du Val de Pesmes avaient préparé leur affaire. Hier après-midi, ils ont débarqué devant la préfecture pour acter le refus de voir leurs intérêts bafoués, dans un principe d’éclatement de ce territoire », L'Est républicain, édition de Vesoul, (lire en ligne).
- « Arrêté préfectoral du 30 mars 2016 portant définition du schéma départemental de coopération intercommunale du département de la Haute-Saône » [PDF], Intercommunalité, Préfecture de la Haute-Saône (consulté le ), p. 3.
- « Les maires de Pesmes », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
- Préfecture de Haute-Saône, Liste des communes de Haute-Saône, publiée le 23 janvier 2013, consultée le 18 juillet 2013
- « Les élections en Haute-Saône », L'Est républicain, (lire en ligne).
- « Un second mandat de maire débute pour Frédérick Henning », L'Est républicain, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Château des Forges », notice no PA00125417, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Château Rouillaud », notice no PA00102245, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Enceinte », notice no PA00125416, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Fortifications (Portes) », notice no IA00016548, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Château 1 », notice no PA00102244, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Maison royale », notice no IA00016565, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Château 2 », notice no IA00016559, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Château-fort », notice no IA00016547, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Fontaine du Theuriot », notice no IA00016553, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Fontaine de Saint-Hilaire », notice no IA00016561, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Forges », notice no IA00016549, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Mairie », notice no IA00016562, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Base Mérimée
- « Moulin Grassot », notice no IA00016571, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Moulin du Pont », notice no IA00016572, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Pont sur l'Ognon », notice no IA00016556, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Tuilerie », notice no IA00016557, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Église Saint-Hilaire », notice no IA00016545, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Église de Tombe », notice no IA00016546, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Croix de chemin 2 », notice no PA00102247, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Croix de cimetière 1 », notice no PA00102246, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Croix de cimetière 2 », notice no IA00016560, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Prieuré 1 », notice no PA00102250, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Chapelle Saint-Roch », notice no IA00016552, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Chapelle Saint-Roch (nouvelle) », notice no IA00016551, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Couvent des capucins », notice no IA00016555, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Croix de chemin 1 », notice no IA00016573, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Croix monumentale », notice no IA00016544, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Oratoire », notice no IA00016550, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Prieuré 2 », notice no IA00016563, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Ursule Salima Machamba 1ère, Dernière reine de Mohéli et article du journal Le Bien Public du 10 août 1964 : S. M. Ursule Salima Machamba 1ère reine de Mohéli qui abandonna son royaume à la France pour l’amour d’un gendarme s’est éteinte à Pesmes (Hte-Saône) à l’âge de 90 ans,` » (consulté le ).
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