Bard-lès-Pesmes

Bard-lès-Pesmes est une commune française, située dans le département de la Haute-Saône en région Bourgogne-Franche-Comté.

Pour les articles homonymes, voir Bard.

Bard-lès-Pesmes

Le lavoir
Administration
Pays France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Haute-Saône
Arrondissement Vesoul
Intercommunalité Communauté de communes du val marnaysien
Maire
Mandat
Christophe Henriet
2020-2026
Code postal 70140
Code commune 70048
Démographie
Population
municipale
142 hab. (2018 )
Densité 27 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 16′ 25″ nord, 5° 38′ 00″ est
Altitude Min. 198 m
Max. 291 m
Superficie 5,21 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Besançon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Marnay
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
Bard-lès-Pesmes
Géolocalisation sur la carte : Haute-Saône
Bard-lès-Pesmes
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Bard-lès-Pesmes
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Bard-lès-Pesmes

    Géographie

    Communes limitrophes

    Pesmes Chaumercenne
    Malans N Montagney
    O    Bard-lès-Pesmes    E
    S
    Bresilley

    Urbanisme

    Typologie

    Bard-lès-Pesmes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Besançon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 312 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[4],[5].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (79,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (50,5 %), prairies (29,3 %), forêts (15,3 %), zones urbanisées (4,9 %)[6].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[7].

    Histoire

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    Bard-lès-Pesmes, dont le nom signifierait hauteur près de Pesmes, est aujourd’hui une commune paisible, peuplée d'une centaine d'âmes.

    Le village existait déjà au XIIe siècle. À cette époque y était implantée une seigneurie qui était aux mains de la famille De Bard. Après l’extinction de cette dernière, celle-ci fut transmise à d’autres familles et finit par échoir, à l’aube de la Révolution, aux Choiseul-Stainville, seigneurs de Pesmes.

    Une maison forte entourée de douves existait au XIIe siècle. Elle a été transformée en ferme au XIXe siècle et témoigne aujourd’hui du passé seigneurial du village.

    Il y a fort longtemps que le culte est célébré à Bard. Une confrérie de la Sainte-Vierge y existe depuis des siècles. L’église paroissiale qui tombait en ruines fut démolie puis entièrement reconstruite en 1753[8].

    En 1776 et en 1784, les habitants et leur curé construisirent les deux chapelles de ce bâtiment servant au culte[8]. Menacée de disparition à l’époque révolutionnaire, la paroisse subsista malgré tout et prit de l’importance au fil des ans. En 1880, deux cloches furent bénites[9] et en 1933, l'abbé Signe fit ériger une statue de la Vierge sur les hauteurs du village ce qui, depuis ce temps, donne lieu à une procession chaque 15 août. La paroisse a été confiée au curé de Chaumercenne en 1944.

    Le village, autrefois essentiellement composé de vignerons, connut des heures de gloire sous le Second Empire mais à la fin du XIXe siècle, dès 1888[10],[11], le phylloxera s’attaqua aux vignobles et fit la ruine des malheureux qui les entretenaient ; beaucoup de gens quittèrent la commune. Ceux qui restèrent se reconvertirent en agriculteurs.

    Outre les nombreuses caves et une maison vigneronne très typée qui rappellent le passé viticole de la commune, on pourra remarquer à Bard des fermes fort anciennes, deux fontaines-lavoir, un joli pigeonnier du XIXe siècle, de vieux calvaires de pierre ainsi qu’une belle maison bourgeoise de la seconde moitié du XIXe siècle, autrefois propriété du sénateur Gras[12].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune fait partie de l'arrondissement de Vesoul du département de la Haute-Saône, en région Bourgogne-Franche-Comté. Pour l'élection des députés, elle dépend de la première circonscription de la Haute-Saône.

    Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Pesmes[13]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais rattachée au canton de Marnay.

    Intercommunalité

    La commune faisait partie de la petite communauté de communes du val de Pesmes, créée par un arrêté préfectoral du , et qui prenait la suite du Syndicat intercommunal de développement et d’aménagement du canton de Pesmes[14].

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants (et 5 000 habitants en zone de montagnes), le préfet de la Haute-Saône a présenté en octobre 2015 un projet de révision du schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit notamment la scission de cette communauté de communes et le rattachement de certaines de ses communes à la communauté de communes du val marnaysien et les autres communes à celle du Val de Gray[15],[16].

    Malgré l'opposition du Val de Pesmes[17], le SDCI définitif, approuvé par le préfet le 30 mars 2016, a prévu l'extension :

    • du Val Marnaysien aux communes de Bard-lès-Pesmes, Berthelange, Brésilley, Chancey, Chaumercenne, Courcelles-Ferrières, Corcondray, Etrabonne, Ferrières-les-Bois, Malans, Mercey-le-Grand, Montagney, Motey-Besuche, Villers-Buzon, portant le nouvel ensemble à 13 784 habitants, selon le recensement de 2013 ;
    • Val de Gray aux communes d'Arsans, Broye-Aubigney-Montseugny, Chevigney, La Grande-Résie, La Résie-Saint-Martin, Lieucourt, Pesmes, Sauvigney-lès-Permes, Vadans, Valay et Venère, portant le nouvel ensemble à 20 807 habitants [18].

    C'est ainsi que la commune est désormais membre depuis le de la communauté de communes du val marnaysien.

    Politique locale

    Le 1er avril 2016, le quotidien l'Est Républicain annonce que les communes de Bresilley et Bard-lès-Pesmes envisagent de fusionner le pour former une commune nouvelle[19]. Bien que le sujet soit crédible, il y a tout lieu de penser à une plaisanterie, au traditionnel poisson d'avril dans la presse.

    En 1808, un projet sérieux de fusion avec le village voisin de Malans avait été envisagé par l'administration mais s'était heurté au vif refus des populations des deux communes[8].

    Liste des maires

    Liste des maires depuis la Libération[20]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1944 1945 Louis-François Guillemot    
    mai 1945 mars 1965 Jean-Baptiste Ruffy    
    mars 1965 mars 1971 Gaston Maillot    
    mars 1971 mars 1983 Jean Maillot    
    mars 1983 juin 1995 Jean Tissot    
    juin 1995 mars 2008 Claude Rebeyre    
    mars 2008[21] mai 2020 Christophe Henriet    
    mai 2020 juillet 2020 Pascal Joannes   Démissionnaire
    juillet 2020 En cours Christophe Henriet    

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[23].

    En 2018, la commune comptait 142 habitants[Note 3], en augmentation de 7,58 % par rapport à 2013 (Haute-Saône : −1,23 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    317300388377382383373386382
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    395388411381388320311269246
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    233222220177151145158124128
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    1129786868894119128144
    2018 - - - - - - - -
    142--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[13] puis Insee à partir de 2006[24].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église :
    L’église de Bard-lès-Pesmes a été construite en 1753 à l’emplacement d’un édifice plus ancien qui menaçait ruines depuis une dizaine d’années.
    Dès janvier 1746, la communauté vendit 29 arpents et 14 perches de bois provenant de ses bois pour financer une reconstruction. Mais un premier projet, présenté par le sieur Piraux, fut refusé au motif que d’après les gens de Bard, celui-ci « n’étant que peu expert dans cette profession, la nouvelle église érigée selon ses plans s’écroulerait bien vite ».
    Le projet fut ajourné et ce n’est qu’en avril 1753 qu’on songea de nouveau à construire une nouvelle église. Le 19, sept représentants de Bard retinrent à Gray la candidature de l’architecte Jean-Baptiste Dupoirier.
    Dans la foulée, Claude Jambar, entrepreneur à Pin l’Emagny, vint au village pour démolir l’édifice vétuste. « L’église de ce dit lieu de Bard étant entièrement ruineuse, on la démolit actuellement pour la rebâtir tout à neuf » écrit l’abbé Pierre Garnier à l’archevêque de Besançon.
    Fin juillet, il ne restait plus rien, comme l’atteste un nouveau courrier du prêtre : « L’église dudit Bard étant entière démolie, il est expédiant de bénir la première pierre de la nouvelle que l’on doit bâtir ».
    Le 1er août 1753, Pierre Garnier procédait à la bénédiction et le jeune Antoine Régnier donnait le premier coup de marteau.
    Un an plus tard, l’église était achevée. Elle fut utilisée pour la première fois et bénie le 3 août 1754 par l’abbé Garnier, après une visite, quelques jours plus tôt, du curé Vienet de Pesmes.
    Les successeurs de Pierre Garnier se chargèrent de l’enrichir en mobilier. Un reliquaire contient depuis la fin du Second Empire des ossements attribués à saint Ferréol et saint Ferjeux, les patrons de la paroisse.
    À l’initiative des abbés Guy et Francis Schlienger, l’intérieur de l’édifice fut entièrement rénové en 1962. La toiture du clocher fut remplacée en août 1989, et bénie par les mêmes prêtres[réf. nécessaire].
    • Chapelle de l’Immaculée-Conception :
    Au fond à droite, la première des deux chapelles de l’église de Bard fut érigée fin 1776 sous l’impulsion de l’abbé Paul François Cornu, « bâtie à l’amiable par les habitants qui ont tiré les pierres des carrières, fait les voitures et qui ont payé les maçons ».
    Dédiée à l’Immaculée-Conception, mais plus communément appelée "Chapelle de la Sainte-Vierge", elle fut ouverte au culte le 26 décembre 1776 et décorée avec l’argent de la confrérie de la Vierge, fondée au village au XVIIe siècle.
    Elle abrita quelques années la pierre tombale de Jean d’Arguel que les habitants relevèrent du vieux cimetière, « par respect pour la mémoire des anciens seigneurs de cette paroisse ». Elle se trouve aujourd’hui sous le clocher, à l’entrée de l’église.
    • Chapelle Saint-Joseph :
    Fin 1783, l’abbé Cornu poursuivit son œuvre de bâtisseur en faisant ériger la chapelle Saint-Joseph. Cette construction fut rendue possible par le testament d’une propriétaire aisée, Cécile Chissey, morte en février 1784 et qui laissa 200 livres à l’église, « outre le bien qu’elle a fait pendant sa vie ».
    La chapelle Saint-Joseph fut bénie le 16 juillet 1784[25].

    Personnalités liées à la commune

    C’est à Bard que naquit en 1846 le R.P. Célestin Ramot, religieux qui tint un rôle très important dans l’histoire des missionnaires du Sacré-Cœur d’Issoudun. C’est là également que vint prendre épouse (Jeanne Fouiller), en 1808, le capitaine d’Empire Anne Emmanuel Blanc, fils du député Jean Denis Ferréol Blanc, avocat au parlement de Besançon qui se fit connaître en publiant des pamphlets contre Mirabeau[25] (mort le ).

    Héraldique

    Blason
    Coupé émanché de deux pièces : au 1er d'argent à la tête de loup arrachée de sable et lampassée de gueules, accostée de deux croisettes recroisetées au pied fiché de sable, au 2nd de gueules plain.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Besançon », sur insee.fr (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    7. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    8. AD70
    9. Registres paroissiaux, documents contractuels passés avec la fonderie Farnel, conservés aux AD70
    10. Chapuis, Robert, (1933- ... ; professeur de géographie),, Vignobles du Doubs et de Haute-Saône : de la naissance à la renaissance, Pontarlier, Editions du Belvédère, impr. 2013, cop. 2013, 251 p. (ISBN 978-2-88419-276-7 et 2-88419-276-X, OCLC 875678913, lire en ligne).
    11. Haute-Saône Conseil général Auteur du texte, « Rapports et délibérations / Conseil général de la Haute-Saône », sur Gallica, (consulté le ).
    12. Sources : Benoît Caurette
    13. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    14. « C.C.V.P., E.P.C.I. et autres sigles », Vie communautaire, sur http://www.ccvaldepesmes.fr (consulté le ).
    15. « Présentation du projet de SDCI révisé » [PDF], Intercommunalité, Préfecture de la Haute-Saône, (consulté le ).
    16. Guillaume Minaux, « Haute-Saône : le projet de redécoupage », L'Est républicain, (lire en ligne).
    17. Maxime Chevrier, « Fusion : les élus du Val de Pesmes sonnent la charge : Les élus de la Communauté de communes du Val de Pesmes avaient préparé leur affaire. Hier après-midi, ils ont débarqué devant la préfecture pour acter le refus de voir leurs intérêts bafoués, dans un principe d’éclatement de ce territoire », L'Est républicain, édition de Vesoul, (lire en ligne).
    18. « Arrêté préfectoral du 30 mars 2016 portant définition du schéma départemental de coopération intercommunale du département de la Haute-Saône » [PDF], Intercommunalité, Préfecture de la Haute-Saône (consulté le ), p. 3.
    19. Maxime Chevrier, « Bresilley et Bard-lès-Pesmes, mariés avant la fin de l’année ! : La mutualisation du personnel communal avait déjà montré la voie : Bresilley et Bard-lès-Pesmes formeront, au 1er janvier 2017, une « commune nouvelle ». Les deux maires lancent un concours pour trouver un nom », L'Est républicain, édition de Vesoul - Haute-Saône, (lire en ligne) « Même si l’affrontement de quelques écueils est à prévoir, avec de vieilles querelles de clocher, les deux villages distants de 2,5 km ne feront plus qu’un d’ici peu. L’instauration de ces « communes nouvelles », qui ont donné naissance à « La Romaine » en Haute-Saône ou « Les Auxons » dans le Doubs, trouveront à nouveau un de ces exemples appelés à se multiplier. « Car les dotations de l’État, en baisse comme chacun sait, sont maintenues par le biais de cette création » explique-t-on, du côté de la Préfecture ».
    20. « Les maires de Bard-lès-Pesmes », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    21. Préfecture de Haute-Saône, Liste des communes de Haute-Saône, consultée le 18 juillet 2013
    22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    25. D’après "L’ombre du Clocher", tome 1 : "Le chemin des Miséreux". Benoît Caurette, "La mémoire du vieux Bard", janvier 2003
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