Patrick Andrivet

Patrice Jean Andrivet, dit Patrick Andrivet, né à Antony dans les Hauts-de-Seine le et décédé le à Valleraugue dans le Gard, est un auteur et un universitaire français[1]. Il fut professeur de littérature française à l'université Paris-VI (campus de Jussieu), actuellement université Pierre-et-Marie-Curie et « dix-huitiémiste » (spécialiste du XVIIIe siècle, notamment de sa littérature). Son père Jean Andrivet était l'un des pionniers du judo français, sa mère Madeleine Mouchet[2], institutrice puis employée de banque. Il est le dernier d’une fratrie de quatre enfants dont Jacques Daniel (1923-1989), Monique Janine (1925-2018) et Gilberte Michèle (née en 1929).

Patrick Andrivet
Patrick Andrivet à Paris en 2015
Naissance
Antony (France)
Décès
Valleraugue (France)
Nationalité française
Domaines Education, pédagogie
Institutions Université Paris-VI (faculté de Jussieu)
Diplôme Thèse de doctorat d'État : Représentations politiques de l'ancienne Rome en France, des débuts de l'âge classique à la Révolution
Directeur de thèse Jean Ehrard
Renommé pour Correspondance générale de La Beaumelle, Laurent Angliviel de La Beaumelle (1726-1773), tomes I à X, ouvrage collectif, Édition Oxford (2005-2016)
Distinctions Prix de la Fondation Édouard Bonnefous de l'Institut de France (2013)

Biographie

Jusqu'à l'âge de six ans, c'est sa mère qui se charge de son éducation. Il entre l'année suivante à l'école communale Payret-Dortail de Suresnes (département des Hauts-de-Seine). En septembre 1939 lors de la déclaration de guerre, ses parents décident d'aller s'installer avec ses deux sœurs (Monique et Michèle), dans un petit village du département de la Sarthe, à Verneil-le-Chétif. De à janvier 1940, la famille, exceptés son père et son frère aîné Jacques, qui restent à Paris, s'installe chez son grand-père Gaston Mouchet à Saint-Palais-sur-Mer (Charentes-Maritimes) puis à Royan jusqu'à la défaite de l'armée française en . À partir de l'occupation par les autorités allemandes, il est décidé de revenir s'installer dans la résidence principale de la famille à Suresnes (département des Hauts-de-Seine) où Patrick Andrivet rentre en classe de CM2, à l'issue de laquelle il obtient son certificat d'études.

Vers cette époque, il participe à un concours de chant pour enfants radiodiffusé sur Radio-Paris.

En octobre 1941, il entre en classe de sixième à l'annexe du lycée Hoche de Versailles, située à Saint-Cloud (Hauts-de-Seine). Accusé d'avoir rédigé un petit journal favorable à la résistance, il est renvoyé du lycée. Il est admis l'année suivante en classe de cinquième au « petit Condorcet », rue d'Amsterdam, à Paris, jusqu'en classe de troisième.

À l'été 1943, il adhère aux auberges de la jeunesse. Il devient « ajiste » et fait la connaissance de Marc Sangnier avec qui, un peu plus tard, il se liera d'amitié.

En , faisant suite à l'arrestation des membres au siège de la Ligue des auberges de la jeunesse, boulevard Raspail, il est chargé d'aller prévenir, mais trop tard, Paul Joanny, le trésorier de la Ligue, qui, malade ou empêché, était resté chez lui à la cité-jardin de Suresnes. Celui-ci ne revint jamais des camps de concentration.

Atteint par la scarlatine, il est admis en juillet 1944 à l'hôpital Claude-Bernard à Paris, où il demeure quarante jours. Il ne peut, pour cette raison, assister à la Libération de Paris. À la fin de cette même année, sa famille s'installe à Asnières dans les Hauts-de-Seine.

La troupe de théâtre des Mascarilles du lycée Condorcet à Paris dans Le chevalier de l'ardent pilon de Beaumont et Fletcher. Assis, au centre, Patrick Andrivet. Photo Kodak du 26 mai 1945

En , il rejoint la troupe de théâtre amateur du lycée Condorcet « Les Mascarilles[3] », dirigée par le professeur Jean Catel[4] (1891-1950), et ce, jusqu'en 1950, année de sa dissolution. Durant cette période, Jean Catel, appréciera son investissement ainsi que celui d’André Prest[5] (1925-1994). Sa première apparition en tant que comédien a lieu en décembre 1944 dans des scènes du Livre de Christophe Colomb de Paul Claudel, en présence de l'auteur. Sa dernière apparition a lieu à l'été 1949 pour une reprise de quelques scènes du même Livre de Christophe Colomb donnée à Saint-Michel-de-Cuxa, avec la participation de l'acteur André Var.

Il accède au « Grand Condorcet », rue du Havre, à la rentrée scolaire 1945.

En 1946, il fait la connaissance de Rachel (née en 1932), la sœur de son camarade de classe de seconde puis de première, Gabriel Rosselin (né en 1929), lui-même violoniste dans l'orchestre des « Mascarilles » et qui sera plus tard directeur d'unité de recherche à l'INSERM. À l'invitation de la mère de ceux-ci, Jeanne Rosselin, Patrick Andrivet s'installera à la fin de l'été 1947 chez sa future belle-famille pour pouvoir poursuivre ses études.

L'un de ses camarades de classe de terminale est le futur écrivain Jacques Réda. Patrick Andrivet bénéficie, cette année-là, d'une bourse de demi-pension. Puis après avoir obtenu son baccalauréat, il est admis en classe de Lettres supérieures (hypokhâgne) dans ce même lycée Condorcet. La même année, il se lie d'amitié avec Béatrice Lebovici, professeure agrégée et sœur de Serge Lebovici. L'année suivante, lors de son admission en khâgne, au lycée Louis-le-Grand, il bénéficie d'une bourse d'internat complet. Dans cet établissement, il a notamment pour professeur de philosophie Étienne Borne et pour condisciple Michel Serres. Puis, faisant suite à son admissibilité à l'École normale supérieure (rue d'Ulm), il bénéficie d'une bourse de licence pendant trois ans et entreprend ensuite de suivre des études supérieures de lettres. Il passera avec succès le concours d'agrégation de lettres en 1955.

Patrick Andrivet dans les années 1970

Le , il épouse à Paris, Rachel Szwarc, fille de Jeanne Rosselin[6] et de Herc Szwarc[7] (1897-1944) qui fut, avant guerre, le premier avocat[8] d'Herschel Grynszpan. De cette union naîtront trois enfants : Laurence, Dominique et Silvia.

Il réside ensuite à Conflans-Sainte-Honorine jusqu'à son divorce.

Le professeur

Il obtient son premier poste de professeur au Lycée de Nevers dans la Nièvre. Plus tard, il sera nommé successivement au lycée militaire d'Autun (Saône-et-Loire), au lycée de Fontainebleau (Seine-et-Marne) puis au lycée Honoré-de-Balzac à Paris.

Au cours des années 1960, il adhère au PSU (Parti socialiste unifié). Dans les années 1970, il est candidat dans sa ville de résidence contre Michel Rocard qui a alors rejoint le Parti socialiste.

L'universitaire

En 1968, il est nommé chargé de cours à Censier (université Paris III).

Il est nommé professeur de littérature française à l'université Paris-VI (faculté de Jussieu) jusqu'en 1995, année où il prend sa retraite.

L'auteur

À partir des années 1990, il rédige différents ouvrages historiques spécialisés ayant trait au siècle des lumières.

En 1993 à l'Université de Clermont-Ferrand II, il soutient avec succès sa thèse[9] de doctorat sous la direction de Jean Ehrard : Représentations politiques de l'ancienne Rome en France des débuts de l'âge classique à la Révolution.

En 2004, il co-préface le livre écrit par sa cousine Suzanne Maudet, Neuf filles jeunes qui ne voulaient pas mourir, dans lequel celle-ci relate l'histoire de son évasion, en , avec huit autres jeunes déportées des camps de concentration.

Il s'éteint le en son domicile du Mas de Launes à Valleraugue (Gard), son village de résidence principale, entouré de sa compagne Katharin Coit.

Liens de parentés

Il était l'arrière-petit-fils du pédagogue Jean-François Nicot, le petit-fils du pédagogue Gaston Mouchet, le fils du judoka Jean Andrivet, le neveu du linguiste ethnologue Jean Mouchet, le petit-neveu de l'auteur et pédagogue Pierre Estienne et l'oncle du journaliste et ingénieur médias Jacques Rosselin.

Publications

Il est l'auteur notamment d'ouvrages historiques et critiques d'auteurs du siècle des lumières.

Ouvrages

  • Patrick Andrivet, Saint-Evremond et l'histoire romaine, Orléans, Paradigme, coll. « Modernités », , 346 p. (ISBN 9782868781840) / (EAN 9782868781840)
  • Patrick Andrivet, Représentations politiques de l'ancienne Rome en France des débuts de l'âge classique à la Révolution : thèse de doctorat littérature française Université de Clermont-Ferrand II 1994, soutenue en 1993[10], Jean Ehrard directeur de thèse, ill. : 30 cm + 1 dossier[11], , 6 vol. 1500 p.[présentation en ligne]
  • Patrick Andrivet, Françoise Weil, Cecil P. Courtney et Catherine Volpilhac-Auger, Œuvres complètes de Montesquieu : Considérations sur les causes de la grandeur des Romains et de leur décadence, vol. 2, Oxford, The Voltaire Foundation, , 382 p. (ISBN 0-7294-0634-2)
  • Patrick Andrivet, La liberté coupable ou les anciens Romains selon Bossuet, Orléans, Paradigme, coll. « Modernités », , 238 p. (ISBN 2-86878-246-9) / (EAN 9782868782465)
  • Patrick Andrivet, « Rome enfin que je hais… »? : Étude sur les différentes vues de Montesquieu concernant les anciens Romains[12], Orléans, Paradigme, coll. « Modernités », , 295 p. (ISBN 978-2-86878-293-9) / (EAN 9782868782939)

Articles, préface

Page de couverture de la monographie de Patrick Andrivet
  • Montesquieu et la démographie romaine (1992) (in Actes du Huitième congrès international des Lumières), Oxford, Voltaire Foundation, 1992, vol. 3, p. 1689-1692[12].
  • Montesquieu et Cicéron, de l’enthousiasme à la sagesse (1992) Jean-Louis Jam (dir.), in Éclectisme et cohérences des Lumières. Mélanges offerts à Jean Ehrard, Paris, Nizet, 1992, p. 25-34[12].
  • Vanessa de Sénarclens, Montesquieu historien de Rome, in Revue Montesquieu no 7 (2004)[12]
  • Auguste, in Dictionnaire Montesquieu, sous la direction de Catherine Volpilhac-Auger, ENS de Lyon, [13].
  • Neuf filles jeunes qui ne voulaient pas mourir, de Suzanne Maudet, préface de Patrick Andrivet et Pierre Sauvanet, édition Arléa, collection : Littérature française, , 140 pages, dimensions : 12,5 × 20,5 cm, (ISBN 9782869596566)

Autobiographie

  • Mémoires d'un petit français sous l'occupation, monographie personnelle, , 71 pages, collection privée
  • Le Temps des Mascarilles, monographie personnelle, février-, 96 pages, collection privée

Liens externes

Notes et références

  1. Cette biographie s'appuie largement sur les ouvrages « Mémoires d'un petit français sous l'occupation », monographie personnelle, rédigée en octobre 1996 par Patrick Andrivet, 71 pages, collection privée et de « Le Temps des Mascarilles », monographie personnelle, rédigée en février-mars 1997 par Patrick Andrivet, 96 pages, collection privée. Les informations biographiques à propos de P. Andrivet provenant pour une large part de ces deux ouvrages, les sauts de notes ne sont là que pour apporter certaines précisions.
  2. A noter que Patrick Andrivet est, par sa mère Madeleine Mouchet, un descendant direct (11ème génération) de Jeanne De Razout (environ 1630-1683), fille illégitime de Charles De Bourbon Busset (1590-1632), lui-même descendant direct de Louis IX et d'Hugues Capet https://www.capedia.fr.
  3. Le répertoire de cette troupe créée au début des années 1940 et qui comptait principalement des élèves et des anciens élèves du lycée Condorcet, comportait notamment Le livre de Christophe Colomb de Paul Claudel, Le Chevalier du pilon ardent de Francis Beaumont et John Fletcher, Everyman (répertoire élisabéthain), L'Amour médecin, La jalousie du barbouillé, Le Médecin volant de Molière, Amal et la lettre du Roi de Rabindranath Tagore (trad. André Gide), Cyprien ou l'amour à dix-huit ans de Georges Pillement, Les Sept contre Thèbes d'Eschyle, Le Brouillard d'Eugène O'Neill, Le retour de l'enfant prodigue d'André Gide et des chansons mimées allant du Moyen Âge au XXe siècle (notamment Le fiacre de Léon Xanrof).
  4. Jean Catel, né à Collioure en Pyrénées-Orientales en 1891, décédé à Llo en Pyrénées-Orientales le 15/10/1950, docteur es-Lettres (Paris, 1930), professeur d'anglais au lycée de Montpellier puis au lycée Condorcet à Paris, spécialiste de Walt Whitman (1819-1892), site BnF https://data.bnf.fr/10817411/jean_catel/
  5. André Prest, né à Paris 14e le 22/01/1925, décédé à Argenteuil (Val-d'Oise) le 22/04/1994, sculpteur, potier et céramiste, décorateur et organisateur d'évènement artistiques. Ses cendres ont été dispersées à Banyuls-sur-Mer (Pyrénées-Orientales) dans la crique du Troc
  6. Un jour [vers 1942] où la grand-mère [de Rachel], qui vivait rue Dulong [à Paris] avec sa fille [Jeanne] et ses petits-enfants, avait eu à se rendre à la poste pour en retirer un colis, elle s'était munie du livret de famille de Jeanne Rosselin, et, tout en faisant la queue, feuilletait le livret, sur une page duquel figuraient le nom de Szwarc et le prénom de Rachel, et, sur une autre, l'adresse de la famille. Elle eut brusquement la sensation que quelqu'un derrière elle, par-dessus son épaule, avait lu ces pages et, de retour à la maison, dit son inquiétude à sa fille. Le soir même, à l'heure du dîner, deux hommes vinrent frapper à la porte, qui ne s'étaient pas annoncés. Jeanne fit promptement descendre ses deux enfants par l'escalier de service, qu'on pouvait emprunter à partir de la cuisine, en leur disant d'aller se réfugier chez la concierge. Puis elle ouvrit. L'un des deux hommes lui déclara en substance : « nous croyons savoir que vit ici une certaine Rachel Szwarc, qui fait du marché noir : est-elle là ? » (Rachel n'avait alors guère plus de dix ans). – « Il y a erreur, répondit madame Rosselin. Personne de ce nom n'habite ici. » Croyant sans doute avoir été mal renseignés, ils n'insistèrent pas. On sut après qu'ils avaient préalablement interrogé la concierge, mais qu'elle avait assuré qu'aucune personne du nom de Szwarc n'habitait l'immeuble (in Le Temps des Mascarilles de Patrick Andrivet, page 82).
  7. Herc (Henri) Szwarc est né dans la partie russe de la Pologne dans les toutes dernières années du XIXe siècle [à Grabowiec - District de Krubiaszow - le 22 avril 1897]. Il avait eu de la sympathie pour la révolution bolchevik, mais, vers le milieu des années 1920, il se trouvait en France, étudiant à la fois le droit et les lettres ; il passa un doctorat d'université, à Dijon, et commença à exercer la profession d'avocat. C'est vers 1927-28 qu'il fit, dans une station alpine, la connaissance de Jeanne Rosselin. (...) Herc, plaidant pour des compatriotes réfugiés en France, mais démunis, ne gagnait pas beaucoup d'argent. Il avait de nombreux frères et sœurs demeurés en Pologne, mais l'antisémitisme qui y sévissait alors les poussait à émigrer ; certains venaient en France, passaient voir leur frère, et restaient quelques jours avant de poursuivre leur route, qui, souvent, les mena aux États-Unis. (...) En 1935, sans en avoir informer sa femme, il partit pour le Havre ; de là, montant à bord d'un bateau qui faisait une croisière, par la mer du Nord et la Baltique, il se rendit à Leningrad. Pendant trois mois il ne donna aucune nouvelle (...) De Leningrad il avait gagné Moscou. (...). Dans les années qui suivirent, Herc Szwarc vécut à Paris ; Cela dura jusqu'à la déclaration de guerre. (...) Celui-ci, se réfugia dans le département de l'Ariège, qui fit d'abord partie de la zone non-occupée. (...) Mais, au cours de l'été 1944, le village où il vivait abritant de nombreux résistants, les Allemands y montèrent un beau jour et tuèrent tous les habitants qu'ils rencontrèrent, dont Herc, tandis qu'il cherchait à fuir à travers champs (in Le Temps des Mascarilles de Patrick Andrivet, pages 79 à 81).
  8. in Je m'apelle Herschel Grynszpan de Morgan Poggioli, édition le murmure, page 49
  9. Source: site thèse.fr
  10. Contenu: Volume 1 : « Rome fut pendant cinq cents ans un miracle continuel... » : une étude sur l'idéalisation des anciens Romains dans les écrits politiques de Jean-Jacques Rousseau (1974) Volume 2 : Théâtre, politique et Antiquité romaine : une étude sur les pièces « romaines » de Pierre Corneille (1982) Volume 3 : Un écrivain « libertin » et l'histoire romaine : une étude des réflexions sur les divers génies du peuple romain dans les divers temps de la République et de quelques autres textes de Saint-Evremond (1985) Volume 4 : La liberté coupable : une étude des chapitres « romains » du « Discours sur l'histoire universelle » de Jacques-Bénigne Bossuet (1988) Volume 5 : « Rome enfin que je hais... » ? : une étude sur les différentes vues de Montesquieu concernant les anciens Romains (1991) Volume 6 : Représentations politiques de l'ancienne Rome en France des débuts de l'âge classique à la Révolution (essai de synthèse) (1993).
  11. Résumé : L'admiration traditionnelle en Occident depuis la Renaissance pour la Rome antique ne se vérifie pas en France, au XVIIe et au XVIIIe, chez de grands écrivains tels que Corneille, Bossuet, Montesquieu, Rousseau, de simples essayistes comme Saint-Évremond, des hommes de la révolution comme Jean-Paul Marat, Maximilien Robespierre. Son paradoxe est prouvé en étudiant les écrits sur Rome de ces auteurs, où sont dénoncés, malgré des préoccupations de style, son désir de domination universelle, ses institutions, la corruption qui la gagne après quelques siècles d'existence, le culte excessif dont elle est l'objet parmi les modernes. Ces études s'accompagnent d'analyse qui mettent en rapport les jugements critiques portés sur Rome et la « politique » implicite ou explicite dont l'œuvre de chacun est porteuse.
  12. [présentation en ligne]
  13. http://dictionnaire-montesquieu.ens-lyon.fr/fr/article/1367157734/fr/
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