Montreuil-sur-Brêche

Montreuil-sur-Brêche est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Montreuil et Brèche.

Montreuil-sur-Brêche

La ferme fortifiée de Ponceaux.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité Communauté de communes de l'Oise Picarde
Maire
Mandat
Patrick Guibon
2020-2026
Code postal 60480
Code commune 60425
Démographie
Gentilé Montreuillois, Montreuilloises
Population
municipale
483 hab. (2018 )
Densité 46 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 30′ 31″ nord, 2° 16′ 33″ est
Altitude Min. 90 m
Max. 164 m
Superficie 10,53 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Beauvais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Just-en-Chaussée
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Montreuil-sur-Brêche
Géolocalisation sur la carte : Oise
Montreuil-sur-Brêche
Géolocalisation sur la carte : France
Montreuil-sur-Brêche
Géolocalisation sur la carte : France
Montreuil-sur-Brêche

    Ses habitants sont appelés les Montreuillois et les Montreuilloises.

    Géographie

    Localisation

    Communes limitrophes de la commune de Montreuil-sur-Brêche.

    Montreuil-sur-Brêche est une commune située à 72 km au nord de Paris, 16 km à l'est de Beauvais, 41 km à l'ouest de Compiègne et à 43 km au sud d'Amiens[1].

    Communes limitrophes de Montreuil-sur-Brêche
    Noyers-Saint-Martin Bucamps
    Reuil-sur-Brêche Le Quesnel-Aubry
    Haudivillers Essuiles

    Topographie et géologie

    La commune se situe dans la vallée de la Brêche, qui entaille le plateau picard d'ouest en est. Le territoire culmine à 164 mètres d'altitude à proximité du calvaire du Sion établi sur la commune limitrophe du Quesnel-Aubry, sur le versant nord plus élevé que le versant méridional. Le point le plus bas, à 91 mètres se trouve au lieu où la Brêche entre sur la commune d'Essuiles. Le relief communal est marqué par la présence de vallées sèches de part et d'autre de ce cours d'eau, surtout sur le versant nord de la vallée : vallées Guillot et fond de l'Argilière à l'ouest; vallées de Crème, de Noirtreux et du Champ des Pierres au nord, vallées Chopinette, de Bucamps et de Ponceau à l'est. Enfin, l'étude altitudinale des principaux lieux nous permet de situer le village entre 95 et 110 mètres, le hameau de Couvrement autour de 100 mètres au-dessus du niveau de la mer[2].

    Montreuil-sur-Brêche se trouve en zone de sismicité 1, c'est-à-dire très faiblement exposée aux risques de tremblement de terre[3].

    Hydrographie et eau potable

    La commune est traversée la Brêche, sous-affluent de la Seine prenant sa source à Reuil-sur-Brêche et confluant dans l'Oise à Creil.

    L'ensemble des talwegs conduisent les eaux de ruissellement vers ce cours d'eau. Un étang a été creusé au sud du chef-lieu dans le fond de la vallée. La présence d'une activité agricole est à l'origine de plusieurs réservoirs et mares sur le territoire, notamment dans le village et à Couvremont. Une station d'épuration a été établie près du stade[2]. Les zones les plus basses du territoire dans le fond des vallons sont situées au-dessus de nappes phréatiques sous-affleurantes[4].

    Voies de communications et transports

    La commune forme le point de rencontre entre quatre routes départementales : la RD 125, la RD 151, la RD 539 et la RD 596.

    La route départementale 151, reliant Clermont à Grandvilliers en constitue la rue principale (rues de Clermont et de Grandvilliers). La route départementale 125 débute au nord sur la D 151 pour rejoindre Bresles puis Ponchon via les rues de la Maladrerie et du Pont Maréchal. La route départementale 539 se détache de la D151 pour bifurquer vers Fresnaux et Thieux. Enfin, la route départementale 596 se détache de la D 151 au sud-est de l'agglomération par les rues de Cayen, de l'église, de l'abreuvoir puis de Couvremont avant de prendre la direction de Reuil-sur-Brêche. De surcroît, une route communale se dirige vers le village voisin du Quesnel-Aubry[2].

    La gare ferroviaire la plus proche est celle de Saint-Just-en-Chaussée à 11 km à l'est, sur la ligne de Paris-Nord à Lille. Depuis la gare de Beauvais, à 16 km on peut accéder à la Paris-Le Tréport[1]

    En 2018, la commune est desservie par le réseau ATRIOM du Beauvaisis du conseil départemental de l'Oise par la ligne de transports interurbains 31 reliant Ansauvillers à Beauvais ainsi que par plusieurs lignes de transports scolaires vers les collèges de Crèvecœur-le-Grand, Froissy et Grandvilliers[5]. Une navette de regroupement pédagogique intercommunal relie le village aux communes voisines du Quesnel-Aubry et de Bucamps[6].

    L'aéroport de Beauvais-Tillé se trouve à 13 km à l'ouest[1] et l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle se situe à 59 km au sud-est[1]. Il n'existe pas de liaisons par transports en commun entre la commune et ces aéroports.

    Le sentier de grande randonnée GR 124, balisé de Cires-lès-Mello dans l'Oise à Rebreuviette dans le Pas-de-Calais traverse la commune d'est en ouest depuis la vallée de Bucamps, par la ferme de Poneaux dans le village jusqu'au fond de l'Argilière.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[8].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[9]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[7]

    • Moyenne annuelle de température : 10,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 682 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[11] complétée par des études régionales[12] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944[13] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[14],[Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[15] à 10,6 °C pour 1981-2010[16], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[17].

    Milieux naturels

    Hormis les espaces bâtis couvrant 40 hectares pour 3,7 % de la surface communale, la surface territoriale est très majoritairement consacré à l'activité agricole (80 % d'espaces cultivés sur 391 hectares) auquel on peut ajouter 20 hectares de vergers et de prairies ainsi que 8 hectares de pelouses sur sol calcaire. Les espaces boisés s'étendent sur 143 hectares pour plus de 13 % de la surface communale. Ils sont représentés par les bois de l'Abbaye et Lebaut au nord, du Parc et de Jardinet au sud ainsi que par quelques espaces marécageux dans la vallée de la Brêche[18],[2].

    La vallée de la Brêche constitue une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique de type 1 inscrite dans l'ensemble du réseau de cours d'eau salmonicoles du plateau picard entre Beauvais et Compiègne[19].

    Urbanisme

    Typologie

    Montreuil-sur-Brêche est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[20],[21],[22].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[23],[24].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (83,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (76,6 %), forêts (10,6 %), zones agricoles hétérogènes (6,8 %), zones urbanisées (6 %)[25].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[26].

    Hameaux et lieux-dits

    L'espace bâti se concentre principalement au chef-lieu. La commune ne compte qu'un seul hameau, Couvremont à l'ouest[2].

    Morphologie urbaine

    Le village se classe est un villages-rues, habituel dans la région. Sa formation résulte de la réunion du pôle ancien (prieuré, ferme de Poneaux) et du secteur de l'église qui ne font aujourd'hui plus qu'un. Le hameau de Couvremont, construit dans le prolongement de la rue de l'église ne forme plus qu'une seule agglomération avec le village[2].

    Toponymie

    La commune a pour étymologie « Monasteriolum » en 1040[27].

    Histoire

    La seigneurie de Montreuil a appartenu aux Paris, seigneurs de La Brosse.

    Lors de la guerre de Cent Ans, le village est mis à sac en 1472[28].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Froissy[29]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Saint-Just-en-Chaussée.

    Intercommunalité

    La commune faisait partie de la communauté de communes des Vallées de la Brèche et de la Noye créée fin 1992.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[30], le préfet de l'Oise a publié en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités[31], et notamment celle de Crèvecœur-le-Grand (CCC) et celle des Vallées de la Brèche et de la Noye (CCVBN), soit une intercommunalité de 61 communes pour une population totale de 27 196 habitants[32].

    Après avis favorable de la majorité des conseils communautaires et municipaux concernés[33], cette intercommunalité dénommée communauté de communes de l'Oise picarde et dont la commune est désormais membre, est créée au [34].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
      juin 1995 M. Parmentier[35]    
    juin 1995[35] 2011[36] Robert Cadas   Décédé en fonction
    24 février 2012[37] En cours
    (au 29 janvier 2020)
    Patrick Guibon   Réélu pour le mandat 2014-2020[38]

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[40].

    En 2018, la commune comptait 483 habitants[Note 6], en diminution de 10,22 % par rapport à 2013 (Oise : +1,44 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    781752860840820821813779787
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    772707693684621599613586585
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    550508486448437415414431468
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    398418444408380440521531494
    2018 - - - - - - - -
    483--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[41].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Pyramide des âges en 2007

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (18,2 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) tout en étant toutefois inférieur au taux départemental (17,5 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (51,2 % contre 48,4 % au niveau national et 49,3 % au niveau départemental).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 51,2 % d’hommes (0 à 14 ans = 27 %, 15 à 29 ans = 15 %, 30 à 44 ans = 25,1 %, 45 à 59 ans = 16,1 %, plus de 60 ans = 16,9 %) ;
    • 48,8 % de femmes (0 à 14 ans = 21,3 %, 15 à 29 ans = 15,4 %, 30 à 44 ans = 27,2 %, 45 à 59 ans = 16,5 %, plus de 60 ans = 19,7 %).
    Pyramide des âges à Montreuil-sur-Brêche en 2007 en pourcentage[42]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90  ans ou +
    1,2 
    4,9 
    75 à 89 ans
    7,5 
    11,6 
    60 à 74 ans
    11,0 
    16,1 
    45 à 59 ans
    16,5 
    25,1 
    30 à 44 ans
    27,2 
    15,0 
    15 à 29 ans
    15,4 
    27,0 
    0 à 14 ans
    21,3 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2007 en pourcentage[43]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90  ans ou +
    0,8 
    4,5 
    75 à 89 ans
    7,1 
    11,0 
    60 à 74 ans
    11,5 
    21,1 
    45 à 59 ans
    20,7 
    22,0 
    30 à 44 ans
    21,6 
    20,0 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    19,9 

    Équipements

    Le village a décidé en 2018 de se doter d'une nouvelle salle des fêtes, dont la mise en srvice est escomptée en 2020/2021[44].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    La ferme de Ponceaux.
    • La ferme de Ponceaux (XVIIe siècle) : ferme ayant appartenu aux moines d'une abbaye, elle présente deux tourelles d'entrée, reste de l'ancien château fortifié de Montreuil. La Brêche alimenta pendant plusieurs siècles les douves du château fort[45]. La conciergerie, la grange, l'édifice agricole et les deux tours font l'objet d'une inscription aux titre des monuments historiques depuis le 1969[46].
    • L'église Saint-Pierre, datant de 1477, avec voûtes et clocher en bois[47]. Une peinture sur bois de l'édifice y est classée monument historique[48].
    • Chapelle Saint-Jean de Couvremont
    • Chapelle Saint-Prix, rue de Grandvilliers
    • Chapelle Jésus-Maria, rue de l'Abreuvoir
    • La Grange, lieu d'exposition consacré à la photographie géré par l'association Diaphane[49].

    Personnalités liées à la commune

    • Philippe Honoré dit Honoré (1941-2015), dessinateur humoristique et politique assassiné dans les locaux de Charlie Hebdo avait une résidence à Montreuil-sur-Brêche. L'école municipale porte désormais son nom[50].
    • Nolan Roux, footballeur français professionnel, a grandi à Montreuil-sur-Brêche

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[10].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « orthodromie : distance à vol d'oiseau », sur le site lion1906.com, site personnel de Lionel Delvarre (consulté le ).
    2. « Carte au 1/15000e » sur Géoportail (consulté le 26 juin 2018)..
    3. « Géorisques : Mieux connaître les risques sur le territoire - Montreuil-sur-Brêche », sur www.georisques.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Carte de remontée des nappes », sur www.innondationsnappes.fr (consulté le ).
    5. « Transports en commun au Quesnel-Aubry (carte, lignes et arrêts) », sur Oise mobilité (consulté le ).
    6. « Navette de Regroupement Pédagogique Intercommunal », sur Oise Mobilité (consulté le ).
    7. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    8. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    9. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    10. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    11. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    12. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    13. « Station météofrance Beauvais-Tillé - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    14. « Orthodromie entre Montreuil-sur-Brêche et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    15. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Synthèse des zonages du patrimoine naturel et paysager, de la faune, de la flore et des habitats naturels », sur www.donnees.picardie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Réseau de cours d'eau salmonicoles du plateau picard entre Beauvais et Compiègne : Laversines, Aronde et Brêche, fiche znieff détaillée », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
    20. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    22. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    23. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Beauvais », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    26. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    27. Charles Rostaing, Albert Dauzat, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, , 1 vol. (XII-738-XXIII p.) p., p. 448.
    28. « Le siège de Beauvais (1472) », sur Gallica, (consulté le ).
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
    31. « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
    32. « La nouvelle carte intercommunale de l'oise : intercommunalité à fiscalité propre au  », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, , p. 15.
    33. R. Th., « La fusion des communautés de communes est définitive », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3417, , p. 6 « Les 6 projets de fusion de communautés de communes ou d’agglomération ont tous recueilli une majorité favorable ; ils pourront ainsi tous être conduits à leur terme ».
    34. Sylvie Godin, « Naissance de l'Oise picarde : Jacques Cotel dirige un territoire de 26 500 habitants », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3430, , p. 17.
    35. « La secrétaire aura travaillé avec trois maires », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3587, , p. 20.
    36. Le maire sortant a été réélu au terme des élections municipales de 2008. Source : Hebdomadaire Le Bonhomme picard du 26 mars 2008
    37. « Patrick Guibon élu maire de la commune », Le Bonhomme Picard, édition de Grandvilliers, , p. 16.
    38. « Patrick Guibon reconduit à la tête de la mairie », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3283, , p. 24.
    39. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    40. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    42. « Évolution et structure de la population à Montreuil-sur-Brêche en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    43. « Résultats du recensement de la population de l'Oise en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    44. « Il y aura une nouvelle salle des fêtes à Montreuil-sur-Brêche », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    45. Cahiers de l'Ecomusée, numéro spécial (1987) : la Brêche et ses moulins par la vallée dorée, page 6-7
    46. « Ferme de Ponceaux ou Poneaux », notice no PA00114759, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    47. Dominique Vermand, « Montreuil-sur-Brêche, église Saint-Pierre », Diocèse : Beauvais, Églises de l'Oise - Art roman et gothique (consulté le ).
    48. « Peinture sur bois », notice no PM60003474, base Palissy, ministère français de la Culture.
    49. Voir http://fr.actuphoto.com/p/la-grange.
    50. Gontran Giraudeau, « Montreuil-sur-Brêche (60) : un hommage à Honoré prévu lundi : Les habitants de Montreuil-sur-Brêche (60) rendront hommage lundi à Philippe Honoré, victime de l'attaque meurtrière à Charlie Hebdo le 7 janvier 2015, devant l'école qui porte désormais son nom. Le dessinateur avait une résidence secondaire dans la commune. », France 3 Hauts-de-France, (lire en ligne).
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