Ansauvillers

Ansauvillers est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Ansauvillersois et les Ansauvillersoises.

Ne doit pas être confondu avec Ansauville.

Ansauvillers

Le monument aux morts, l'église Saint-Léger et la mairie.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité Communauté de communes de l'Oise Picarde
Maire
Mandat
Dominique Dufresnes
2020-2026
Code postal 60120
Code commune 60017
Démographie
Gentilé Ansauvillois et Ansauvilloises ou Ansauvillersois et Ansauvillersoises
Population
municipale
1 191 hab. (2018 )
Densité 171 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 33′ 55″ nord, 2° 23′ 21″ est
Altitude Min. 121 m
Max. 151 m
Superficie 6,95 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Saint-Just-en-Chaussée
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Ansauvillers
Géolocalisation sur la carte : Oise
Ansauvillers
Géolocalisation sur la carte : France
Ansauvillers
Géolocalisation sur la carte : France
Ansauvillers
Liens
Site web www.ansauvillers.fr

    Géographie

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 696 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rouvroy-les-Merles », sur la commune de Rouvroy-les-Merles, mise en service en 1989[7] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de précipitations de 656,1 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 23 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,6 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Ansauvillers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (85,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (84,9 %), zones urbanisées (12,4 %), zones agricoles hétérogènes (2,6 %), forêts (0,1 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    L'origine du nom de ce village peut avoir deux origines :

    • Provenir du terme latin Anser (l'oie) et Villare (village/domaine agricole) et pourrait vouloir dire "village aux oies".
    • Avoir pour origine l'association entre le prénom germanique Ansoald et le terme latin Villare pour donner "le Domaine d'Ansoald".

    Le prénom Ansoald viendrait du terme gothe Ansis(dieux germains apparentés aux Ases nordiques) et Wald (puissant) voulant dire "puissant comme les Asis".

    La seconde hypothèse est privilégiée par les historiens[réf. nécessaire].

    Histoire

    Cité à partir du VIIIe siècle dans un acte testamentaire pour diverses donations faites à l'abbaye de Saint-Denis par Adhalard, le 25 novembre 766, et souscrit à Ansoaldo-Villare. La commune est établie sur une ancienne voie romaine, dite chaussée Brunehaut, reliant Amiens à Senlis.

    Les agriculteurs d’Ansauvillers retrouvent régulièrement, dans leurs champs, des silex polis datant de la fin du néolithique (-3300 av. J.-C.), preuve que le secteur était déjà habité à cette époque. Une hypothèse archéologique explique la présence de ces « polisseurs » de pierres par la richesse du territoire en blocs de grès très durs, permettant le travail du silex, pour la réalisation d’outils en pierre polie.

    Jusqu’au milieu du XVIIIe siècle, les habitants étaient en majorité cultivateurs ou manœuvriers. Mais l’économie d’Ansauvillers semble s’être développé autour de deux activités principales :

    • L’industrie du chanvre textile au travers de sa culture et de la filature (travaux d’hiver) : draperie, fil, toiles… (à signaler la présence d’un grand marché de la draperie dans le secteur d’Ansauvillers). L’activité déclina avec l’arrivée de la mécanisation et la population locale diminua de ce fait. Il reste aujourd’hui quelques vestiges de cette activité dans le nom des lieux-dits ainsi qu’au travers des mares de rouissage du chanvre.
    • L’exploitation des carrières de grès (présentes encore dans les bois du territoire) pour la fabrication des pavés, marches, bornes…

    En 1842, opposition des agriculteurs d'Ansauvillers (et de Breteuil) au passage de la ligne de Paris-Nord à Lille qui sera détournée sur Gannes (chantier de 1842 à 1846).

    En 1936-1940, création du château d'eau alimentant Gannes et Ansauvillers.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1802 du canton de Breteuil[21]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune rejoint le canton de Saint-Just-en-Chaussée.

    Intercommunalité

    La commune faisait partie de la communauté de communes des Vallées de la Brèche et de la Noye créée fin 1992.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[22], le préfet de l'Oise a publié en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités[23], et notamment celle de Crèvecœur-le-Grand (CCC) et celle des Vallées de la Brèche et de la Noye (CCVBN), soit une intercommunalité de 61 communes pour une population totale de 27 196 habitants[24].

    Après avis favorable de la majorité des conseils communautaires et municipaux concernés[25], cette intercommunalité, dénommée communauté de communes de l'Oise picarde et dont la commune est désormais membre, est créée au [26].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1893 25 juin 1894 Emmanuel Naquet   Démission
    1894 1933 Victor Delpierre[27] Gauche radicale
    puis Entente Démocratique
    Médecin
    Député de l'Oise (1906 → 1919)
    Sénateur de l'Oise (1920 → 1933)
    Conseiller général de Breteuil (1902 → 1933)
    1935 1937 Gaston Delaforges    
    1937 1944 Henri Naquet    
    1945 1947 Arnaud Humblot    
    1947 1968 Charles Testu    
    1968 1977 Jean-Louis Roux    
             
    1977 1995 Alfred Plessier    
    mars 1994 mars 2001 Geneviève Roux    
    mars 2001 mars 2008 Bernard Boulanger UMP  
    mars 2008 2020[28] Marie-Line Dufresnes[29] SE Sans profession
    2020 En cours Dominique Dufresnes    

    Population et société

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[31].

    En 2018, la commune comptait 1 191 habitants[Note 6], en diminution de 3,09 % par rapport à 2013 (Oise : +1,44 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8248138959391 1791 1721 1831 2001 200
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1701 1431 1501 0741 014943963902875
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    856805777723734703712686704
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    7186506916749271 0491 1901 2321 202
    2018 - - - - - - - -
    1 191--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Pyramide des âges en 2007

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (13,3 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,5 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (51,8 % contre 48,4 % au niveau national et 49,3 % au niveau départemental).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 51,8 % d’hommes (0 à 14 ans = 27,8 %, 15 à 29 ans = 15,9 %, 30 à 44 ans = 26,6 %, 45 à 59 ans = 18,7 %, plus de 60 ans = 11 %) ;
    • 48,2 % de femmes (0 à 14 ans = 25,6 %, 15 à 29 ans = 18,1 %, 30 à 44 ans = 23 %, 45 à 59 ans = 17,6 %, plus de 60 ans = 15,6 %).
    Pyramide des âges à Ansauvillers en 2007 en pourcentage[33]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6 
    90  ans ou +
    0,7 
    3,6 
    75 à 89 ans
    5,7 
    6,8 
    60 à 74 ans
    9,2 
    18,7 
    45 à 59 ans
    17,6 
    26,6 
    30 à 44 ans
    23,0 
    15,9 
    15 à 29 ans
    18,1 
    27,8 
    0 à 14 ans
    25,6 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2007 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90  ans ou +
    0,8 
    4,5 
    75 à 89 ans
    7,1 
    11,0 
    60 à 74 ans
    11,5 
    21,1 
    45 à 59 ans
    20,7 
    22,0 
    30 à 44 ans
    21,6 
    20,0 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    19,9 

    Services publics

    En 2018, la commune dispose d'une agence postale communale[35].

    Manifestations culturelles et festivités

    Du au , Ansauvillers accueille l'exposition artistique Plasticité, sous-titrée Comment transformer un village en œuvre d'art, exposition menée par le centre culturel La Remise et le collectif Polymorf'[réf. nécessaire].

    La Fabrique du monde rural, créée en 2017 à l'initiative du Mouvement rural de jeunesse chrétienne (MRJC) en Picardie, qui a reçu le label « Fabrique d’initiatives citoyennes » (elles sont 49 en France), a pour vocation d’accueillir tout type de projet autour de la citoyenneté, d’informer et d’accompagner les projets collectifs des jeunes ou des habitants de la commune et de ses environs[36].

    Le premier l'Impossible Festival, où toutes les formes d'expressions artistiques avaient leur place, s'est tenu au stade d'Ansauvillers du 22 août au [37].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Léger : ancienne chapelle castrale, elle fut construite en briques sur soubassement de grès. Le chœur et le collatéral nord datent de 1668, et le clocher fut édifié en 1786 au-dessus du porche[38].
    • Chapelle du cimetière (XIIe-XIIIe siècle) avec, en son sein, un gisant de calcaire d'origine inconnue[39]..
    • Vestiges du mur d'enceinte du château.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Les armes de Ansauvillers se blasonnent ainsi :
    Parti : au premier de gueules, à la fasce d'or accompagnée de sept merlettes d'argent, quatre en chef rangées en face et trois en pointe bien ordonnées ; au second de gueules, à six anneaux posés 3, 2 et 1, le second de la première rangée chargé en cœur d'un besant du même[40].

    Le blason est visible dans l’église castrale et la mairie d’Ansauvillers.

    Il est la réunion de deux blasons :

    • En partie gauche : celui de la famille de L’Isle-Adam avec ses cinq merlettes
    • En partie droite un autre blason d’origine indéterminée : blason des Marivault (Marivault) ? Ressemble aussi aux armes de la famille de Prunelé (Prunelay) sans le besant mais pas de lien établi actuellement.

    Blason connu antérieurement : D'azur, à la baude fuselé d'argent, accompagnée en chef d'une étoile d'or, posée au flanc senestre de l'écu.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Rouvroy-les-Merles - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Ansauvillers et Rouvroy-les-Merles », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Rouvroy-les-Merles - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Ansauvillers et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    22. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
    23. « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
    24. « La nouvelle carte intercommunale de l'oise : intercommunalité à fiscalité propre au  », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, , p. 15.
    25. R. Th., « La fusion des communautés de communes est définitive », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3417, , p. 6 « Les 6 projets de fusion de communautés de communes ou d’agglomération ont tous recueilli une majorité favorable ; ils pourront ainsi tous être conduits à leur terme ».
    26. Sylvie Godin, « Naissance de l'Oise picarde : Jacques Cotel dirige un territoire de 26 500 habitants », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3430, , p. 17.
    27. « Victor Delpierre (1859-1933) », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
    28. « Elue maire en 2008, Marie-Line Dufresnes arrête », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3587, , p. 15.
    29. « Ansauvillers : William Mazzolini, tête de liste de l’opposition, démissionne : L’élection du maire, lors du conseil municipal s’est faite sans la tête de liste de l’opposition qui avait envoyé sa démission par courrier. », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    33. « Évolution et structure de la population à Ansauvillers en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    34. « Résultats du recensement de la population de l'Oise en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    35. « Ansauvillers : cambriolage à l’agence postale communale », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    36. « Ansauvillers : le ministre de la Ville inaugure la Fabrique du monde rural », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne).
    37. CV & CD, « L'impossible festival à Ansauvillers offre sa première édition entre lien social diversité culturelle : Des concerts, spectacles, ateliers, expos et bien d'autres choses encore... C'est que vous propose pendant 13 jours "L'impossible festival" dans les villages d'Ansauvillers et Catheux dans l'Oise. C'est sa toute première édition. Objectif : promouvoir la culture en milieu rural. », France 3 Hauts-de-France, (lire en ligne, consulté le ).
    38. Dominique Vermand, « Ansauvillers, église Saint-Léger », Diocèse : Beauvais, Eglises de l'Oise - Art roman et gothique (consulté le ).
    39. Dominique Vermand, « Ansauvillers, saint-Léger », Diocèse : Beauvais, Eglises de l'Oise - Art roman et gothique, (consulté le ).
    40. « La banque du blason2 - Tous vos sujets en décoration ! », sur La banque du blason2 (consulté le ).
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