Essuiles

Essuiles, appelé également Essuiles-Saint-Rimault, est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Essuiles

L'église Saint-Martin.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité Communauté de communes du Plateau Picard
Maire
Mandat
Régis Vandewalle
2020-2026
Code postal 60510
Code commune 60222
Démographie
Population
municipale
558 hab. (2018 )
Densité 41 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 28′ 46″ nord, 2° 17′ 40″ est
Altitude Min. 80 m
Max. 146 m
Superficie 13,54 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Beauvais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Just-en-Chaussée
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Essuiles
Géolocalisation sur la carte : Oise
Essuiles
Géolocalisation sur la carte : France
Essuiles
Géolocalisation sur la carte : France
Essuiles
Liens
Site web http://www.saint-rimault.fr

    Géographie

    Localisation

    Communes limitrophes de la commune d'Essuiles.

    Essuiles est une commune située à 69 km au nord de Paris, 16 km à l'est de Beauvais, 39 km à l'ouest de Compiègne et à 46 km au sud d'Amiens[1].

    Topographie et géologie

    La commune d'Essuiles a été établie dans la haute vallée de la Brêche sur le plateau picard, dont le point culminant se situe à 146 mètres au-dessus du niveau de la mer au niveau du tripoint Essuiles-Montreuil-sur-Brêche-Haudivillers. La vallée de la Brêche, orientée vers le sud, fait converger de nombreuses vallées sèches : la vallée de la Belle Crête, la Grande Vallée ou vallée de Guerlanquant prolongée par la vallée d'Essuiles au centre et la vallée Talma au nord sur la rive gauche, la vallée Marguerite sur la rive droite. Entre elles communiquent plusieurs interfluves appelés « montagnes », tel avec la Montagne de Bourgogne (146 mètres d'altitude) dominant la Brêche d'environ 50 mètres au nord de la commune. L'église d'Essuiles se situe à 55 mètres, le hameau de Saint-Rimault et la ferme de la Tour à 125 mètres, le pont d'Hatton à 82 mètres, la ferme d'Essuilet à 83 mètres, le moulin de Becquerel à 84 mètres et le pont de Coiseaux à 87 mètres au-dessus du niveau de la mer[2]. Essuiles se trouve en zone de sismicité 1, c'est-à-dire très faiblement exposée aux risques de tremblement de terre[3].

    Hydrographie et eau potable

    La commune d'Essuiles est traversée par la Brêche, cours d'eau prenant sa source à Reuil-sur-Brêche et se jetant l'Oise à Nogent-sur-Oise. Les vallées attenantes ne sont pas alimentées par des cours d'eau permanents, mais par les ruissellements. Depuis l'amont, elle traverse le hameau de Coiseaux puis le moulin de Becquerel avant de rejoindre le hameau d'Hatton et de quitter la commune vers Bulles. Un château d'eau a été bâti au hameau de Saint-Rimault et une station de pompage se situe près du village[2]. Les zones les plus basses du territoire au sud sont situées au-dessus de nappes phréatiques sous-affleurantes[4].

    Voies de communications et transports

    La commune est traversée par cinq routes départementales : par ordre d'importance la D 938, la D 9, la D 9E, la D 151 et la D 61. La route départementale 938, ancienne route nationale reliant Beauvais à La Fère dans l'Aisne traverse la commune d'ouest en est en reprenant le tracé de l'ancienne chaussée Brunehaut en passant par la ferme de la Tour et les hameaux de Saint-Rimault (kilomètre 15) et d'Hatton. La route départementale 9, d'Auchy-la-Montagne à La Rue-Saint-Pierre entre furtivement sur le territoire en croisant la D 938 au niveau de la ferme de la Tour. Une annexe s'en détache, la D 9E, permettant un accès plus direct à Saint-Rimault depuis Rémérangles. La route départementale 151, d'Agnetz à Grandvilliers longe la rive droite de la Brêche par les hameaux d'Hatton et de Coiseaux. La route départementale 61 se détache de la D 151 à Coiseaux pour se diriger vers Le Quesnel-Aubry jusqu'à Hardivillers. Les différents hameaux et lieux-dits sont reliés entre eux ainsi qu'aux communes voisines par un réseau de plusieurs routes communales[2].

    La gare SNCF la plus proche est située à Saint-Just-en-Chaussée à 11 km à l'est, sur la ligne de Paris-Nord à Lille[1].

    La commune est desservie par le réseau ATRIOM du Beauvaisis du conseil général de l'Oise par la ligne de transports interurbains 32 reliant Beauvais à Saint-Just-en-Chaussée ainsi que par une ligne de transports scolaire vers le collège de Bresles[5]. La commune fait partie du réseau TADAM, service de transport collectif à la demande, mis en place à titre expérimental par la communauté de communes du Plateau Picard. Elle est reliée à l'un des 8 points de destination situés à Saint-Just-en-Chaussée, Maignelay-Montigny, La Neuville-Roy et Tricot au départ des 98 points d'origine du territoire[6]. Une navette de regroupement pédagogique intercommunal mise en place avec les écoles du Fay-Saint-Quentin et Rémérangles s'arrête dans les différents hameaux de la commune[7].

    L'aéroport de Beauvais-Tillé se trouve à 13 km à l'ouest[1] et l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle se situe à 55 km au sud-est[1]. Il n'existe pas de liaisons par transports en commun entre la commune et ces aéroports.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[9].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[10]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[8]

    • Moyenne annuelle de température : 10,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 665 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Airion », sur la commune d'Airion, mise en service en 1989[14] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[15],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 663,5 mm pour la période 1981-2010[16]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 13 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[18] à 10,6 °C pour 1981-2010[19], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[20].

    Milieux naturels

    Hormis les espaces bâtis couvrant 50 hectares pour 4 % de la surface communale, le territoire comprend plus de 78 % d'espaces cultivés sur 1 066 hectares ainsi que 24 hectares de vergers et de prairies. Il subsiste de nombreux bois n'ayant pas été défrichés, le bois sur les Vignes, le bois de Vieuville, le bois des Brochettes au nord ainsi que le bois Choquereau et le bois des Bâtis au sud. Le fond de la vallée de la Brêche est complètement boisé, comme les coteaux de la vallée sèche d'Essuiles et du larris du cul de Lampe. Cet ensemble boisé de 220 hectares couvre 16 % du terroir[21],[2].

    Le coteau boisé dit Larris du Cul de Lampe, près de la commune du Plessier-sur-Bulles, constitue une zone Natura 2000 inscrite dans l'ensemble du réseau de coteaux crayeux du Beauvaisis[22] ainsi qu'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique de type 1 [23]. Les rives de la Brêche sont également inscrits en zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique de type 1 (Réseau de cours d'eau Salmonicoles du Plateau Picard)[24]. La vallée de la Brêche constitue un corridor écologique potentiel[25].

    Urbanisme

    Typologie

    Essuiles est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[26],[27],[28].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[29],[30].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (86,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (80,7 %), forêts (12,1 %), zones agricoles hétérogènes (5 %), zones urbanisées (2,2 %)[31].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[32].

    Hameaux et lieux-dits

    La commune possède trois hameaux et trois lieux-dits[2]:

    • Saint-Rimault au centre, où se trouve la mairie et la place principale, possède sa propre église. Il s'étend jusqu'à la D 938.
    • Coiseaux au nord, au bord de la Brêche sur la D 151 et la D 61.
    • Hatton à l'est, établi à l'emplacement d'un moulin à eau sur la Brêche au croisement des D 938 et D 151.
      • La ferme de La Tour à l'ouest, à l'intersection des D 938 et D 9
      • La ferme d'Essuilet au sud dans la vallée de la Brêche
      • Le moulin de Becquerel entre Coiseaux et Hatton

    Morphologie urbaine

    L'essentiel de l'espace bâti ne se concentre pas au chef-lieu d'origine mais à Saint-Rimault. L'ensemble des hameaux prennent la forme de villages groupés[2].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 2008 Régis Flamand DVD[33]  
    mars 2008 En cours
    (au 30 août 2014)
    Régis Vandewalle   Agriculteur
    Réélu pour le mandat 2014-2020[34]

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[36].

    En 2018, la commune comptait 558 habitants[Note 7], en diminution de 0,71 % par rapport à 2013 (Oise : +1,44 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    790544606574613587577555554
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    519510475442437444438396398
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    365383373309326278283304323
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    321279251313391452521533555
    2017 2018 - - - - - - -
    560558-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (14,6 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,5 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (50,3 % contre 48,4 % au niveau national et 49,3 % au niveau départemental).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 50,3 % d’hommes (0 à 14 ans = 19,8 %, 15 à 29 ans = 20,5 %, 30 à 44 ans = 24,6 %, 45 à 59 ans = 21,6 %, plus de 60 ans = 13,4 %) ;
    • 49,7 % de femmes (0 à 14 ans = 24,9 %, 15 à 29 ans = 13,6 %, 30 à 44 ans = 23,4 %, 45 à 59 ans = 22,3 %, plus de 60 ans = 15,9 %).
    Pyramide des âges à Essuiles en 2007 en pourcentage[39]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90  ans ou +
    0,4 
    4,1 
    75 à 89 ans
    4,9 
    9,3 
    60 à 74 ans
    10,6 
    21,6 
    45 à 59 ans
    22,3 
    24,6 
    30 à 44 ans
    23,4 
    20,5 
    15 à 29 ans
    13,6 
    19,8 
    0 à 14 ans
    24,9 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2007 en pourcentage[40]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90  ans ou +
    0,8 
    4,5 
    75 à 89 ans
    7,1 
    11,0 
    60 à 74 ans
    11,5 
    21,1 
    45 à 59 ans
    20,7 
    22,0 
    30 à 44 ans
    21,6 
    20,0 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    19,9 

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Martin : édifice des XIIe et XVe. À l'intérieur se trouve une statue équestre de saint Martin, un tableau « Songes de saint Martin » et un retable en bois doré de la Vierge du XVe siècle[41].
    • Église Saint-Rimault du XVIe siècle à Saint-Rimault.
    • Château : composé de restes d'un ancien édifice du XVe siècle et d'un manoir moderne. Dans le parc du château se trouve l'ancienne chapelle Saint-Jacques.
    • Monument aux morts
    • Moulins à eau :
      • Moulin de Coiseaux : Il appartenait à Félix-Olivier Bachimont et servait à la fabrication de l'huile. Acheté en 1884 par un boulanger qui fabriquait farine et pain, il a été transformé en ferme en 1904. En 1914, il est acheté par Thibault Diémold et en 1920 par monsieur Jean Buron, cultivateur.
      • Moulin Becquerel ou Becqueret : à un seul tournant, moulin à blé, il fut construit en 1794. De 1886 à 1901, il eut une double utilisation, la nuit il servait au meunier et le jour à actionner la roue d'une scierie d'os pour le compte d'un fabricant de brosses du Fay-Saint-Quentin. En 1938, on y fabriquait encore des aliments pour bétail.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[11].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « orthodromie : distance à vol d'oiseau », sur le site lion1906.com, site personnel de Lionel Delvarre (consulté le ).
    2. « Carte au 1/15000e » sur Géoportail (consulté le 3 février 2017)..
    3. « Géorisques : Mieux connâitre les risques sur le territoire - Essuiles », sur www.georisques.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Carte de remontée des nappes », sur www.innondationsnappes.fr (consulté le ).
    5. « Transports en commun à Essuiles (carte, lignes et arrêts) », sur Oise mobilité (consulté le ).
    6. « TADAM, le service de transport collectif à a demande du plateau Picard », sur Oise Mobilité (consulté le ).
    7. « Regroupement pédagogique intercommunal Essuiles - Le Faÿ-Saint-Quentin - Rémérangles », sur Oise mobilité (consulté le ).
    8. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    9. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    10. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    11. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    12. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    13. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    14. « Station Météo-France Airion - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    15. « Orthodromie entre Essuiles et Airion », sur fr.distance.to (consulté le ).
    16. « Station Météo-France Airion - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    17. « Orthodromie entre Essuiles et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    18. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    20. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    21. « Synthèse des zonages du patrimoine naturel et paysager, de la faune, de la flore et des habitats naturels », sur www.donnees.picardie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Réseau de coteaux crayeux du bassin de l'Oise aval (Beauvaisis) », sur natura2000-picardie.fr (consulté le ).
    23. « Larris du Cul de Lampe, fiche znieff détaillée », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
    24. « Réseau de cours d'eau salmonicoles du plateau picard entre Beauvais et Compiègne : Laversines, Aronde et B^reche, fiche znieff détaillée », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
    25. « Carte des corridors écologiques potentiels à Essuiles », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
    26. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    27. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    28. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    29. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Beauvais », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    30. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    31. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    32. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    33. Annuaire des Mairies de l'Oise (60), EIP (ISBN 978-2-35258-160-4, lire en ligne).
    34. « Essuiles », Cartes de France (consulté le ).
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    39. « Évolution et structure de la population à Essuiles en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    40. « Résultats du recensement de la population de l'Oise en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    41. Les objets classés de l'église Saint-Martin sur la base Palissy
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