Le Quesnel-Aubry

Le Quesnel-Aubry est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Le Quesnel-Aubry

Vue du Quesnel-Aubry.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité CC de l'Oise Picarde
Maire
Mandat
Émilie Dubourget
2020-2026
Code postal 60480
Code commune 60520
Démographie
Population
municipale
219 hab. (2018 )
Densité 46 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 30′ 34″ nord, 2° 18′ 37″ est
Altitude Min. 89 m
Max. 164 m
Superficie 4,75 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Beauvais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Just-en-Chaussée
Législatives 1re circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Le Quesnel-Aubry
Géolocalisation sur la carte : Oise
Le Quesnel-Aubry
Géolocalisation sur la carte : France
Le Quesnel-Aubry
Géolocalisation sur la carte : France
Le Quesnel-Aubry

    Géographie

    Localisation

    Communes limitrophes de la commune du Quesnel-Aubry.

    Le Quesney-Aubry est une commune située à 72 km au nord de Paris, 18 km à l'est de Beauvais, 39 km à l'ouest de Compiègne et à 43 km au sud d'Amiens[1].

    Communes limitrophes

    Topographie et géologie

    La commune du Quesnel-Aubry a été établie sur le plateau picard, au sommet d'un coteau dominant la haute vallée de la Brêche. Le territoire culminant à 164 mètres d'altitude au calvaire du Sion, au nord, est orienté en pente douce vers le sud. Il est délimité par deux vallées sèches : la vallée de Bucamps au nord et les vallées de Wavignies, Saurette et Marguerite au sud. Dans cette dernière se trouve le point le plus bas, à 91 mètres. L'église du village se situe à 150 mètres au-dessus du niveau de la mer[2]. Le Quesnel-Aubry se trouve en zone de sismicité 1, c'est-à-dire très faiblement exposée aux risques de tremblement de terre[3].

    Hydrographie et eau potable

    La commune n'est traversée par aucun cours d'eau de surface, mais fait partie du bassin versant de la Brêche, rivière située à un kilomètre en aval. Les talwegs ou vallées sèches conduisant les eaux de ruissellement vers ce cours d'eau. Deux mares ont été creusées dans le village, l'une dans la Grande Rue, la seconde à l'angle de la rue des Jardins-et-des-Poissonniers[2]. Les zones les plus basses du territoire dans le fond des vallons sont situées au-dessus de nappes phréatiques sous-affleurantes[4].

    Voies de communications et transports

    La commune est traversée d'ouest en est la route départementale 61, reliant Essuiles à Hardivillers. Elle constitue la rue principale du village, dite Grande Rue. Plusieurs routes communales se dirigent vers les communes voisines de Montreuil-sur-Brêche, Bucamps et du Plessier-sur-Bulles[2].

    La gare SNCF la plus proche est située à Saint-Just-en-Chaussée à km à l'est, sur la ligne de Paris-Nord à Lille[1].

    La commune est desservie par le réseau ATRIOM du Beauvaisis du conseil général de l'Oise par la ligne de transports interurbains 30RENF2 de Breteuil à Beauvais, 31 reliant Ansauvillers à Beauvais ainsi que par une lignes de transports scolaires vers le collège de Froissy[5]. Une navette de regroupement pédagogique intercommunal relie le village aux communes voisines de Montreuil-sur-Brêche et de Bucamps[6].

    L'aéroport de Beauvais-Tillé se trouve à 15 km à l'ouest[1] et l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle se situe à 58 km au sud-est[1]. Il n'existe pas de liaisons par transports en commun entre la commune et ces aéroports.

    Le sentier de grande randonnée GR 124, balisé de Cires-lès-Mello dans l'Oise à Rebreuviette dans le Pas-de-Calais traverse une partie de la commune par l'ouest par la vallée de Bucamps.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[8].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[9]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[7]

    • Moyenne annuelle de température : 10,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 696 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[11] complétée par des études régionales[12] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Airion », sur la commune d'Airion, mise en service en 1989[13] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[14],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 663,5 mm pour la période 1981-2010[15]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 15 km[16], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[17] à 10,6 °C pour 1981-2010[18], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[19].

    Milieux naturels

    Hormis les espaces bâtis couvrant 17 hectares pour 3,6 % de la surface communale, le territoire comprend plus de 81 % d'espaces cultivés sur 391 hectares et 9 hectares de vergers et de prairies, auquel on peut ajouter 5 hectares de pelouses sur sol calcaire. Les espaces boisés situés sur les coteaux s'étendent sur 58 hectares pour 12 % de la surface communale. Ils sont représentés par les bois de la Muraille, des Marnes et du Larris du Cul de Lampe au sud, au nord par le bois des Longs-Boyaux[20],[2].

    Le coteau boisé dit Larris du Cul de Lampe au nord de la commune constitue une zone Natura 2000 inscrite dans l'ensemble du réseau de coteaux crayeux du Beauvaisis[21] ainsi qu'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique de type 1 [22]. Le fond de la vallée Marguerite constitue un corridor écologique potentiel[23].

    Urbanisme

    Typologie

    Le Quesnel-Aubry est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[24],[25],[26].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[27],[28].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (85,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (84,8 %), forêts (9,2 %), zones urbanisées (6 %)[29].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[30].

    Hameaux et lieux-dits

    L'espace bâti se concentre uniquement au chef-lieu. La commune ne possède ni hameaux ni écarts habités[2].

    Morphologie urbaine

    Le village est organisé en « village-tas » convergeant vers le centre ancien. Ce secteur constitué de corps de fermes et maisons anciennes se situe au sud du chef-lieu actuel et s'est prolongé au nord par un habitat plus étalé mêlant pavillons et habitations plus anciennes[2].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Froissy[31]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Saint-Just-en-Chaussée.

    Intercommunalité

    La commune faisait partie de la communauté de communes des Vallées de la Brèche et de la Noye créée fin 1992.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[32], le préfet de l'Oise a publié en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités[33], et notamment celle de Crèvecœur-le-Grand (CCC) et celle des Vallées de la Brèche et de la Noye (CCVBN), soit une intercommunalité de 61 communes pour une population totale de 27 196 habitants[34].

    Après avis favorable de la majorité des conseils communautaires et municipaux concernés[35], cette intercommunalité dénommée communauté de communes de l'Oise picarde et dont la commune est désormais membre, est créée au [36].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
      1989[37] René Moittié   Maçon
    mars 1995 2008 Gérard Ghesquiere    
    mars 2008[38] mai 2020[39] Jean Louis Castier   Agriculteur retraité
    mai 2020[40] En cours
    (au 22 juillet 2020)
    Émilie Dubourget   Collaboratrice du groupe LR-divers droite au conseil départemental de l'Oise
    Vice-présidente de la CC de l'Oise Picarde (2020 → )

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[42].

    En 2018, la commune comptait 219 habitants[Note 7], en augmentation de 6,83 % par rapport à 2013 (Oise : +1,44 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    415518450464448430416382346
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    326274248207214204190172171
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    15113714810511395116121115
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    134118120130122127155159200
    2017 2018 - - - - - - -
    213219-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[43].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Pyramide des âges en 2007

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (19,5 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) tout en étant toutefois inférieur au taux départemental (17,5 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (52,2 % contre 48,4 % au niveau national et 49,3 % au niveau départemental).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 52,2 % d’hommes (0 à 14 ans = 22,9 %, 15 à 29 ans = 13,3 %, 30 à 44 ans = 30,1 %, 45 à 59 ans = 14,5 %, plus de 60 ans = 19,3 %) ;
    • 47,8 % de femmes (0 à 14 ans = 17,1 %, 15 à 29 ans = 14,5 %, 30 à 44 ans = 26,3 %, 45 à 59 ans = 22,4 %, plus de 60 ans = 19,7 %).
    Pyramide des âges à Le Quesnel-Aubry en 2007 en pourcentage[44]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90  ans ou +
    0,0 
    1,2 
    75 à 89 ans
    10,5 
    18,1 
    60 à 74 ans
    9,2 
    14,5 
    45 à 59 ans
    22,4 
    30,1 
    30 à 44 ans
    26,3 
    13,3 
    15 à 29 ans
    14,5 
    22,9 
    0 à 14 ans
    17,1 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2007 en pourcentage[45]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90  ans ou +
    0,8 
    4,5 
    75 à 89 ans
    7,1 
    11,0 
    60 à 74 ans
    11,5 
    21,1 
    45 à 59 ans
    20,7 
    22,0 
    30 à 44 ans
    21,6 
    20,0 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    19,9 

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Notre-Dame-de-la-Nativité : l'édifice est assez remanié, cependant les murs du chœur sont très anciens.
    • Stèle en hommage aux aviateurs du

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[10].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « orthodromie : distance à vol d'oiseau », sur le site lion1906.com, site personnel de Lionel Delvarre (consulté le ).
    2. « Carte au 1/15000e » sur Géoportail (consulté le 29 mai 2018)..
    3. « Géorisques : Mieux connâitre les risques sur le territoire - Le Quesnel-Aubry », sur www.georisques.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Carte de remontée des nappes », sur www.innondationsnappes.fr (consulté le ).
    5. « Transports en commun au Quesnel-Aubry (carte, lignes et arrêts) », sur Oise mobilité (consulté le ).
    6. « Navette de Regroupement Pédagogique Intercommunal », sur Oise Mobilité (consulté le ).
    7. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    8. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    9. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    10. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    11. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    12. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    13. « Station Météo-France Airion - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    14. « Orthodromie entre Le Quesnel-Aubry et Airion », sur fr.distance.to (consulté le ).
    15. « Station Météo-France Airion - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    16. « Orthodromie entre Le Quesnel-Aubry et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    17. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    20. « Synthèse des zonages du patrimoine naturel et paysager, de la faune, de la flore et des habitats naturels », sur www.donnees.picardie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
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    22. « Larris du Cul de Lampe, fiche znieff détaillée », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
    23. « Carte des corridors écologiques potentiels au Quesnel-Aubry », sur www.donnees.picardie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
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    25. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    26. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    27. « Liste des communes composant l'aire d'attraction duBeauvais », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    28. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    29. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    30. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    32. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
    33. « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
    34. « La nouvelle carte intercommunale de l'oise : intercommunalité à fiscalité propre au  », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, , p. 15.
    35. R. Th., « La fusion des communautés de communes est définitive », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3417, , p. 6 « Les 6 projets de fusion de communautés de communes ou d’agglomération ont tous recueilli une majorité favorable ; ils pourront ainsi tous être conduits à leur terme ».
    36. Sylvie Godin, « Naissance de l'Oise picarde : Jacques Cotel dirige un territoire de 26 500 habitants », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3430, , p. 17.
    37. « René Moittié ne peut s’empêcher de s’interroger sur la rénovation de l’église, à mesure qu’il constate la dégradation des joints du bâtiment. Il évoque même une affaire de gros sous. », Le Courrier picard, (lire en ligne) « René Moittié, ancien conseiller municipal et ancien maire du village, a décidé de remettre sur le tapis une affaire... vieille de 20 ans. « L’église avait de l’éclat après sa rénovation, au début des années 2000. ».
    38. Le bonhomme picard du 26 mars 2008
    39. Sylvie Godin, « Émilie Dubourget veut succéder à Jean-Louis Castier », Le Bonhomme picard, édition Breteuil Crèvecœur, no 3589, , p. 9 « Jean-Louis Castier ayant fait savoir qu'il ne se représentait pas, Émilie Dubourget a choisi de briguer la mairie du Quesnel-Aubry, 230 habitants ».
    40. « Le Quesnel-Aubry 60480 », Résultats aux municipales 2020, sur https://www.lemonde.fr (consulté le ).
    41. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    42. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    43. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    44. « Évolution et structure de la population à Le Quesnel-Aubry en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    45. « Résultats du recensement de la population de l'Oise en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
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