Monica Seles

Monica Seles, née le à Novi Sad, est une joueuse de tennis de l'ex-Yougoslavie, naturalisée américaine en 1994.

« Seles » redirige ici. Pour les autres significations, voir Celes ou Seles.

Monica Seles

Monica Seles en 1999
Carrière professionnelle
1988 – 2003[alpha 1]
Pays Yougoslavie socialiste
Yougoslavie fédérale
États-Unis
Naissance
Novi Sad
Taille 1,78 m (5 10)
Prise de raquette Gauchère, revers et coup droit à deux mains
Gains en tournois 14 891 762 $
Hall of Fame Membre depuis 2009
Palmarès
En simple
Titres 53
Finales perdues 32
Meilleur classement 1re (11-03-1991)
En double
Titres 6
Finales perdues 3
Meilleur classement 16e (22-04-1991)
Meilleurs résultats en Grand Chelem
Aust. R-G. Wim. US.
Simple V (4) V (3) F (1) V (2)
Double 1/2 1/8 1/4 1/4
Meilleurs résultats aux Masters
Simple V (3)
Médailles olympiques
Simple 1
Titres par équipe nationale
Fed Cup 3 (1996, 1999, 2000)
Hopman Cup 1 (1991)

Considérée comme la première cogneuse de l'histoire de son sport, elle gagne le tournoi de Roland-Garros en juin 1990, à 16 ans et demi : un exploit inégalé sur la terre battue parisienne. Le 11 mars 1991, elle devient la plus jeune numéro un mondiale au classement WTA et, pendant deux ans, interrompt le long règne de sa rivale Steffi Graf. Avant son vingtième anniversaire, elle décroche huit titres du Grand Chelem, remportant ainsi chacun des tournois qui le composent, sauf à Wimbledon.

Sa chasse aux records s'arrête net en avril 1993 quand, en plein match à Hambourg, un spectateur la poignarde dans le dos.

De retour à la compétition en 1995, Seles triomphe encore à l'Open d'Australie en janvier 1996, puis se maintient parmi l'élite. Elle ne retrouve toutefois jamais la plénitude de ses moyens, souvent blessée ou concurrencée par une nouvelle génération de joueuses plus athlétiques. En février 2008, après cinq saisons d'inactivité pour cause de pied abîmé, elle officialise sa retraite sportive à l'âge de 34 ans.

Professionnelle entre 1988 et 2003, elle totalise 53 tournois à son palmarès, une médaille de bronze aux Jeux olympiques, trois titres en Fed Cup et 178 semaines à la tête du classement WTA.

Monica Seles, qui jouait revers et coup droit à deux mains, est restée célèbre auprès du public pour les cris qu'elle poussait sur le court au moment de frapper la balle.

Elle est membre du International Tennis Hall of Fame depuis 2009.

Biographie

Enfance

Monica Seles[alpha 2] est la fille cadette d'une famille hongroise de Serbie vivant à Novi Sad, en Yougoslavie[alpha 3]. À l'âge de 5 ans[alpha 4], en vacances au bord de la mer Adriatique, elle s'initie au tennis en voulant imiter son frère aîné Zoltán, lui-même joueur junior émérite. Parce qu'elle trouve sa raquette trop lourde à porter, la jeune gauchère prend l'habitude de la tenir à deux mains, en revers comme en coup droit : cette technique rare[alpha 5], dont elle ne se départira plus, restera l'une des principales singularités de son jeu.

De retour à la maison, son père Károly, ancien athlète de triple saut[1], bricole un court de tennis devant l'immeuble familial et s'improvise son professeur. Pour aiguiser sa férocité, il griffonne de petits Tom et Jerry sur les balles et lui recommande de taper dedans aussi vite et aussi fort que possible, en visant les lignes[2],[3].

La fillette de 9 ans écume les compétitions locales sans savoir compter les points  « Je gagne ? » demande-t-elle pendant les matchs[4]. À 10 ans, elle devient championne d'Europe des moins de 12 ans[5], puis remporte l'Orange Bowl en 1985[6] en Floride. Repérée par l'entraîneur Nick Bollettieri[7], elle rejoint en 1986 l'académie de ce dernier à Bradenton et se livre là, pendant deux années, à un entraînement très intensif, croisant parfois le fer avec le Kid Andre Agassi[7].

1988-1990 : une ascension fulgurante

Monica Seles fait son galop d'essai sur le circuit WTA (Women's Tennis Association) à 14 ans, le 1988 à Boca Raton. Au premier tour, elle élimine Helen Kelesi (31e mondiale)[8] et stupéfait les esprits par la puissance de ses frappes et par les grunts rugissements ») dont elle les accompagne. Campée sur sa ligne de fond, ses accélérations des deux côtés, retours de service et passing-shots foudroyants font en particulier sensation[9].

1989 marque ses débuts à plein temps dans le grand bain des joueuses professionnelles. Le , elle gagne son premier titre à Houston face à la vétérane Chris Evert[10].

Le monde entier découvre l'adolescente un mois plus tard à Roland-Garros quand elle offre des fleurs au public en pénétrant sur le court central. Zina Garrison, au troisième tour, n'apprécie guère le geste, qu'elle juge antisportif[11]. En demi-finale, alors qu'elle n'est pas tête de série, elle accule l'invincible Steffi Graf dans un troisième set[12] qui scelle le préambule d'une des plus grandes rivalités de l'histoire du tennis féminin. À Wimbledon et à l'US Open, la championne est sèchement renvoyée à ses études, respectivement par Graf[13] et Evert[14]. Elle accède au top 10 du classement WTA le , à 15 ans et 9 mois[alpha 6].

Seles plaque l'académie Bollettieri en mars 1990, après que son père a reproché à l'entraîneur son supposé manque de dévouement[7]. Le printemps la voit rafler cinq tournois d'affilée[15],[16],[17],[18],[19]. Martina Navrátilová, expédiée en cinquante minutes en finale des Internationaux d'Italie, résume son effarement en conférence de presse[18] : « J'ai l'impression d'avoir été renversée par un camion. » À Berlin, Seles met fin, en deux sets, à une série de 66 victoires consécutives de Steffi Graf[19].

Le , la jeune Yougoslave triomphe à Roland-Garros contre la même Graf[20]. Elle a 16 ans et demi : un exploit à ce jour inégalé sur la terre battue parisienne[21].

Si les mois suivants sont plus inconstants  à Wimbledon[22] ou à l'US Open[23] , elle domine Gabriela Sabatini aux Masters de novembre, à l'occasion du premier match de l'ère Open jamais tenu par des femmes en cinq manches[24]. Numéro deux mondiale à l'issue de la saison, Seles est désignée « joueuse ayant le plus progressé » par les instances de la WTA[25].

1991-1992 : l'hégémonie

Monica Seles (San Antonio – 1991)

1991 est l'année de la consécration.

En janvier, à l'Open d'Australie, Monica Seles sauve une balle de match en demi-finale[26], puis s'adjuge l'épreuve en trois sets face à Jana Novotná[27]. Le , elle devient, à 17 ans et 99 jours[alpha 7], la plus jeune numéro un mondiale au classement WTA depuis Tracy Austin en 1980[25],[28].

Après avoir conservé son titre porte d'Auteuil contre Arantxa Sánchez Vicario en juin[29], elle déclare forfait à Wimbledon et « disparaît » sans donner d'explications. Son silence médiatique alimente des rumeurs extravagantes, notamment qu'elle serait enceinte[30], et lui coûte une amende de 6 000 dollars de la part de la WTA[31]. Elle reçoit, quelques semaines plus tard, une autre pénalité de 20 000 dollars pour avoir participé à une lucrative exhibition dans le New Jersey et porté préjudice à une compétition officielle se déroulant à proximité[32]. La Fédération internationale de tennis lui interdit de paraître aux Jeux olympiques de Barcelone qui se tiennent l'année suivante (voir ci-après), tandis que, deux fois en août, Graf lui subtilise sa place de numéro un[25],[33],[34].

Remise de ces mésaventures[35], Seles assoit son emprise à l'US Open, réalisant par la même occasion le Petit Chelem : en demi-finale, elle écarte de justesse la jeune prodige Jennifer Capriati à l'issue d'un match d'anthologie[36]. Puis elle dispose de Martina Navrátilová, de dix-sept ans son aînée[alpha 8],[37]. Aux Masters, elle bat à nouveau Navrátilová[38] et devient, fin 1991, la sportive la mieux payée de tous les temps[25].

En défendant avec succès ses trois titres du Grand Chelem, Monica Seles accomplit une saison 1992 en tout point comparable à la précédente.

Elle obtient d'abord une victoire facile à Melbourne[39]. Elle arrache ensuite son troisième French Open consécutif[alpha 9] au terme d'une finale de 2 h 43 contre Steffi Graf  10-8 dans le set décisif[40]. En juillet à Wimbledon, les plaintes de ses adversaires[alpha 10] et les moqueries des tabloïds anglais[alpha 11],[41] la contraignent à disputer sa finale sans émettre le moindre cri[42] Entre deux averses, Graf prend une cinglante revanche[43] et prive la Yougoslave de ses rêves de Grand Chelem. Seles, quoique pétrie de regrets[3],[44], se rattrape en septembre à Flushing Meadows, qu'elle empoche, malade, en égarant 27 jeux sur sa route[45]. En novembre, elle gagne ses troisièmes Masters[46] et est élue championne du monde par la FIT, joueuse de l'année par la WTA[25] et sportive de l'année par l'agence Associated Press.

À la ville, la « Madonna du tennis[47] » se plaît à entretenir l'image d'une fashion victim américanisée, désireuse de « faire du cinéma à 25 ans[47] » tout en revendiquant la parité salariale sur le circuit professionnel[48].

1993 : l'agression de Hambourg

1993 s'ouvre sur des bases similaires quand, avec un service perfectionné[49], Monica Seles s'empare de son troisième Open d'Australie de suite, une nouvelle fois de haute lutte face à Graf[50] : c'est son huitième trophée du Grand Chelem à 19 ans. Nulle autre adolescente ne s'est jamais constitué pareil palmarès aussi précocement[alpha 12]. Dans la foulée, elle gagne à Chicago[51] et atteint la finale au Zénith de Paris[52].

Sa suprématie s'interrompt le lors du tournoi de Hambourg, épreuve où Seles s'est inscrite à la hâte après deux mois de grippe et de repos forcé[53]. À un changement de côté, tandis qu'elle mène son quart de finale contre Magdalena Maleeva sur le court central, un spectateur (Günter Parche) franchit les barrières de sécurité et lui plante un couteau dans le dos[54]. Sitôt hospitalisée, elle reçoit deux jours plus tard la visite de Steffi Graf, qui reste à son chevet « quelques minutes » sans parvenir à la consoler[55].

L'Allemande, en l'absence de Seles[56], s'impose le à Roland-Garros[57]. Le surlendemain, au bénéfice de cette victoire, elle lui ravit son fauteuil de numéro un mondiale[58] pour ne quasiment plus le quitter jusqu'en .

Soignée dans une clinique du Colorado[59], Seles déclare forfait à Wimbledon[60] et recourt aux conseils de Bob Kersee (entraîneur d'athlétisme) pour hâter sa convalescence[61]. Mais si la cicatrice est superficielle[62], le traumatisme psychologique se révèle plus profond[63]. Elle est en outre désabusée par le refus de ses pairs, hormis Gabriela Sabatini[64], de voter le maintien de son classement[65], puis par la condamnation trop clémente, à ses yeux, de Parche par la justice allemande[66]. Ses commanditaires rompent enfin un à un leurs engagements[67] ; son père et mentor est opéré d'un cancer à l'estomac en [68].

En proie à la dépression et à des troubles alimentaires compulsifs[69], elle vit retranchée dans sa résidence floridienne de Sarasota et laisse planer le mystère quant à la date de son retour[70]. Son poids culmine jusqu'à 80 kilos[69].

Seles acquiert la citoyenneté américaine le à Miami[71].

1995-2003 : retour et désillusions

Tenue et raquette de Seles à son retour (US Open – 1995)

Alors que la presse déplore le cavalier seul de Steffi Graf[72], Monica Seles effectue son retour sur les courts le 1995. À Atlantic City, elle dispute une exhibition très médiatisée contre Navrátilová[73]. En marge de cet événement, après des réticences[74], la WTA lui octroie exceptionnellement la place de « co-numéro un mondiale »[alpha 13],[75]. Elle honore cette faveur en gagnant d'entrée l'Open de Toronto, sans perdre un set[76]. Puis, sous le feu des projecteurs[77], elle échoue en finale de l'US Open, dans un match à suspense contre sa rivale Steffi Graf[78].

Elle reçoit de la WTA, fin 1995, le titre honorifique de « comeback de l'année »[25].

En janvier 1996, elle remporte le tournoi de Sydney[79] avant de décrocher les Internationaux d'Australie aux dépens d'Anke Huber[80], son ultime sacre dans un des quatre Majeurs. Elle publie la même année une autobiographie : From Fear to Victory  littéralement : « de la peur à la victoire ».

Redevenue l'une des toutes meilleures, Seles gagne en sympathie auprès du public[81], mais échoue par la suite à reconquérir son autorité[82]. Victime de blessures à répétition et sujette à l'embonpoint[69], ses progrès au service et à la volée ne lui évitent pas des contre-performances[83]. Graf la surclasse régulièrement, par exemple à l'US Open 1996[84]. En de maintes occasions, la talentueuse Martina Hingis lui barre la route[alpha 14],[85], lui infligeant même un double 6-0 en mars 2000 à Miami[86]. Les sœurs Venus[alpha 15],[87],[88] et Serena Williams[89],[90], Lindsay Davenport[alpha 16], voire Mary Pierce[91],[92], plus athlétiques, la dominent aussi en puissance.

Seles moissonne six de ses dix derniers titres dans des tournois mineurs, de catégories tier III ou tier IV.

Elle signe son dernier coup d'éclat en juin 1998, trois semaines après la mort de son père[93], en se hissant en finale à Roland-Garros. De noir vêtue et sans préparation, elle étrille la favorite Hingis en demi[94], mais rend les armes contre Arantxa Sánchez à la conclusion[95].

En dix-sept tentatives supplémentaires, Monica Seles atteint à trois reprises les demi-finales en Grand Chelem, à Roland-Garros (1999[96]) et à l'Open d'Australie (1999[97], 2002[98]). Dix autres fois, elle tombe au stade des quarts de finale, dont quatre à l'US Open.

Le 2003, handicapée au pied gauche par une fracture de stress[99], elle est sortie sans ménagement au premier tour des Internationaux de France par Nadia Petrova[100]. Cette élimination prématurée[alpha 17] demeure sa dernière prestation officielle en compétition.

2004-2008 : une retraite sportive longtemps différée

Seles interviewée (US Open – 2005)

De 2004 à 2007, Monica Seles s'illustre dans une série de matchs de gala[alpha 18] et, plusieurs fois, envisage un retour sur le circuit WTA[101] ou en Fed Cup[102].

Toujours en délicatesse avec son pied, elle ne concrétise toutefois pas ses projets et, dans un communiqué de presse du , finit par confirmer sa retraite sportive définitive[103]. Elle précise quelques années plus tard avoir essayé de revenir « pendant longtemps », mais dû capituler parce qu'elle avait « payé le prix d'avoir joué sept ou huit heures par jour au tennis depuis l'âge de 7 ans »[104]. Elle confie également à Marion Bartoli qu'elle était « revenue trop tôt, avec un peu de surpoids » en 1995, et qu'elle en avait fait les frais « avec pas mal de petites blessures »[105].

L'après-tennis

Monica Seles lors d'une exhibition (La Nouvelle-Orléans – 2007)

En , Monica Seles acquiert « secrètement » la nationalité hongroise[106]  pour « faire plaisir à sa mère »[107].

En , elle participe à Dancing with the Stars, un jeu de téléréalité diffusé sur la chaîne américaine ABC. Le couple de danse qu'elle forme avec Jonathan Roberts est le premier écarté par le jury et par les téléspectateurs[108].

Dans Getting a Grip Se ressaisir »), sa seconde autobiographie parue en , elle témoigne de son combat contre dix années de dépression et de suralimentation[69]. De passage à Roland-Garros en juin 2012 pour remettre la Coupe Suzanne-Lenglen[109], elle confie avoir « repris le contrôle » de sa vie grâce à l'écriture[110].

En , elle signe avec l'éditeur britannique Bloomsbury pour publier The Academy, une série de romans jeunesse[111]. Relatant les péripéties sportives et sentimentales d'un groupe d'apprentis champions[112], le premier tome, Game On, est livré en juin 2013 ; le deuxième et dernier, Love Match, en février 2014.

En , le New York Daily News révèle ses fiançailles avec le milliardaire Tom Golisano[113], de trente-deux ans son aîné, avec qui elle a une relation depuis 2009[114].

En , elle devient la porte-parole rémunérée de l'entreprise pharmaceutique Shire, qui lance un médicament controversé contre l'hyperphagie boulimique[115].

Monica Seles possède un patrimoine évalué à plusieurs dizaines de millions de dollars[116], dont l'essentiel amassé en contrats publicitaires avec Fila[67], Nike[117] ou Yonex[118]. Aujourd'hui âgée de 47 ans, elle se consacre à la promotion du tennis[119], à des matchs amicaux[120] ou à des œuvres caritatives[121].

Style de jeu et legs sportif

Seles au service (Toronto – 2001)

En dépit d'un palmarès rendu incomplet par son agression[122], Monica Seles a édicté les modalités du boxing tennis, basé sur la puissance et la recherche du KO[123],[124].

Seles jouait à deux mains, côté revers, geste popularisé dans les années 1970 par Chris Evert, et côté coup droit. Cette technique atypique[alpha 5], restée sa marque de fabrique, lui permettait d'expédier la balle depuis les quatre coins du court, à toute allure et dans des angles improbables[125].

La première, cette attaquante de fond de court s'est attachée à s'installer le plus souvent possible à l'intérieur du terrain, dès le retour de service[126], pour prendre le contrôle des échanges, s'ouvrir le court et déborder son adversaire en cadence[124]. Sans attendre le sommet du rebond de la balle ni temporiser, elle alternait avec précision les tirs « long de ligne » ou croisés et les offensives dans le contre-pied en guise de coups gagnants. Sa rivale, constamment pilonnée, était ainsi contrainte à commettre la faute ou à lui procurer une balle courte, immédiatement sanctionnée par une accélération imparable  gifle de revers ou demi-volée haute liftée. Une stratégie redoutable sur toutes les surfaces sauf sur herbe, dans une moindre mesure, où volleyeuses, contreuses et expertes du slice pouvaient plus commodément la neutraliser[127].

Rare au filet, sinon pour terminer un point presque acquis, son excellent jeu de jambes et son sens de l'anticipation lui permettaient de faire preuve, dans ses jeunes années, d'une défense pugnace : pendant les rallyes, elle n'hésitait pas à distribuer épisodiquement des moonballs[14] avant de mieux réitérer ses assauts. Sur le tard, moins véloce, elle usera volontiers, en bout de course, d'un coup droit à une main destiné à compenser le manque d'allonge induit par sa prise de raquette à deux mains[128].

De ses cris stridents lâchés à chaque frappe[alpha 19], Monica Seles dira qu'ils lui sortent de la bouche depuis ses 12 ans (face à Carrie Cunningham)[129], mais qu'elle n'en retirait pas un surcroît d'efficacité. Une étude scientifique démontrerait, à l'inverse, que de tels cris altèrent les performances de l'adversaire[130]. Si d'aucuns les jugeront exaspérants[41],[131], d'autres y percevront la marque d'une rage de vaincre inébranlable[132]. Dotée de beaucoup de sang-froid dans les moments-clés[133], elle a su renverser nombre de parties très mal engagées[26],[79],[134].

Avec un investissement physique accru, les joueuses de la génération suivante, telles les sœurs Williams ou Maria Sharapova, adopteront ce style de jeu coercitif[124],[135] parfois décrié pour son caractère machinal et stéréotypé[136]. La Française Marion Bartoli, gagnante à Wimbledon en 2013, poussera le mimétisme jusqu'à reproduire son coup droit à deux mains[137].

La rivalité Graf-Seles

Steffi Graf (Wimbledon – 2009)

Monica Seles et Steffi Graf ont été numéros un mondiales sur le circuit WTA. Elles se sont affrontées en quinze occasions entre 1989 et 1999, la première[12] et la dernière fois[96] à Roland-Garros.

Réputées l'une et l'autre pour leur force de frappe et leurs nerfs d'acier[133], Graf et Seles avaient des styles de jeu très différents. La première était pourvue d'un coup droit explosif, d'un revers coupé, d'un jeu de jambes sans faille et d'un service tranchant qui lui valurent une domination sans partage de 1987 à 1989. La seconde, gauchère au tempérament teigneux, innova par sa façon de « cogner » la balle, en revers comme en coup droit, dès le retour de service[124] : en 1991-1992 et jusqu'à son agression à Hambourg en avril 1993[54], elle parvient à suspendre le long règne de l'Allemande.

Graf s'est imposée à dix reprises contre Seles. Les deux joueuses sont à égalité lors de leurs finales disputées en Grand Chelem, avec trois succès chacune. Leurs duels sont pareillement équilibrés sur terre battue (3-3), tandis que Graf domine sur dur (3-2), moquette (2-0) et gazon (2-0)[138].

Jusqu'en 1993, Graf compte six victoires pour quatre défaites face à Seles. Elle est alors la seule joueuse en activité à présenter un bilan favorable contre la Yougoslave. Entre 1995 et 1999, elle l'emporte quatre fois sur cinq[78],[84],[139],[96], y compris aux Masters en 1998[139]. Seles enregistre son unique succès sur cette période en quart de finale des Internationaux d'Australie 1999[140].

Certains observateurs, plus tard, compareront cette rivalité sportive et stylistique, bien qu'écourtée, avec celle que se livreront Roger Federer et Rafael Nadal à partir du milieu des années 2000[141].

Palmarès

Monica Seles a remporté 53 titres en simple au cours de sa carrière, y compris neuf Grands Chelems et trois Masters d'affilée. 1991 et 1992 demeurent ses meilleurs crus, avec dix succès chaque année. De novembre 1990 à février 1993, elle triomphe dans 24 des 35 finales qu'elle atteint ; seule Jennifer Capriati réussit, sur cette période, à la priver de finale[145].

Médaillée de bronze aux Jeux olympiques de Sydney, Seles a aussi contribué aux victoires des États-Unis en Fed Cup lors des finales de 1996, 1999 et 2000.

En double dames où elle s'est peu impliquée, Seles a décroché six succès mineurs.

En simple dames

Seles a gagné 53 titres WTA en simple, sur toutes les surfaces, dont 32 avant son agression en 1993 ; 29 de ces succès ont été acquis contre cinq joueuses en finale  Martina Navrátilová (9), Arantxa Sánchez (8), Mary Joe Fernández (5), Steffi Graf (4) et Gabriela Sabatini (3). Elle cumule quatre victoires à l'Open d'Australie (1991-1993, 1996)[146] et à l'Open du Canada (1995-1998) ; trois à Roland-Garros (1990-1992) et aux Masters (1990-1992).

Elle a perdu 32 finales WTA, dont 19 après son retour en 1995 ; 24 de ces défaites ont été concédées contre cinq joueuses  Martina Hingis (7), Steffi Graf (6), Martina Navrátilová (5), Lindsay Davenport (3) et Venus Williams (3).

En double dames

Monica Seles s'est peu mobilisée dans les épreuves de double dames. Elle compte six titres à son palmarès dans cette spécialité, dont trois de rang aux Internationaux d'Italie (1990-1992).

Parcours dans les grandes compétitions

En Grand Chelem

Avec neuf trophées en Grand Chelem  sauf à Wimbledon[196] , Monica Seles se classe sixième meilleure joueuse de l'ère Open dans cette catégorie de tournois[25]. Elle est distancée par Margaret Court (11 victoires à partir de 1968), Chris Evert et Martina Navrátilová (18 chacune), Steffi Graf (22) et Serena Williams (23).

Seles a gagné huit de ces neuf titres alors qu'elle entamait sa 19e année[alpha 12]. À son vingtième anniversaire, Graf en avait décroché six, contre cinq pour Hingis (qui en restera là) ; deux pour Evert ; et un seul pour Serena Williams. Navrátilová allait quant à elle sur ses 22 ans lorsqu'elle remporta son premier Majeur à Wimbledon.

Homme et femmes confondus, elle est la seule lauréate qui a remporté ses six premières finales en Grand Chelem au cours de l'ère Open, et huit de ses neuf premières.

Comme Margaret Court (après 1968), Steffi Graf et Evonne Goolagong, Seles compte quatre titres à l'Open d'Australie  Serena Williams, sept.

Aux Masters

De 1990 à 1992[24],[38],[46], Monica Seles s'est adjugée trois fois consécutivement les Masters de fin de saison en simple dames[alpha 20].

Elle a atteint une quatrième finale, en 2000, qu'elle perd contre Martina Hingis[190].

Aux Jeux olympiques

Critiquée pour ne pas avoir représenté la Yougoslavie lors de la Coupe de la Fédération 1991[200], Monica Seles se voit refuser le droit de concourir aux Jeux olympiques de Barcelone en 1992[201] où, numéro un mondiale, elle faisait figure de favorite. Elle ne se présente aux JO qu'en 1996 et en 2000, sous le drapeau des États-Unis, après sa naturalisation américaine[71].

En 1996 à Atlanta, Seles trébuche en quarts de finale contre la Tchèque Jana Novotná[202].

Quatre ans plus tard à Sydney, défaite en demi par la future gagnante, sa compatriote Venus Williams[87], elle décroche la médaille de bronze en battant l'Australienne Jelena Dokić lors de la finale de consolation[203].

En Fed Cup

Monica Seles a joué onze manches de Fed Cup entre 1996 et 2002 au sein de l'équipe des États-Unis. Soit deux quarts de finale, quatre demi-finales et trois finales  gagnées en 1996[204] et 2000[205] face à l'Espagne d'Arantxa Sánchez et de Conchita Martínez ; en 1999[alpha 21],[206] face à la Russie.

Son bilan personnel s'établit à 17 victoires (15 en simple, 2 en double dames) contre 2 défaites (en simple).

En Hopman Cup

Monica Seles a participé trois fois à la Hopman Cup, épreuve de double mixte organisée par la Fédération internationale de tennis.

Aux côtés de Goran Prpić pour le compte de la Yougoslavie, elle remporte l'édition 1991 face au duo américain Garrison-Wheaton en finale[215]. Elle gagne ses huit matchs au cours de la compétition  quatre en simple, quatre avec Prpić.

En 2001 et 2002, pour les États-Unis, son association avec Jan-Michael Gambill se solde par deux échecs en finale, respectivement contre la Suisse (Hingis-Federer)[216] et l'Espagne (Sánchez-Robredo)[217].

Classements WTA

Monica Seles accède au top 10 du classement WTA le 1989, à 15 ans et 9 mois[alpha 6].

Le 1991, elle devient, à 17 ans et 99 jours[alpha 7], la plus jeune numéro un mondiale au classement WTA depuis Tracy Austin en 1980[25],[28]. Elle est restée au sommet de la hiérarchie pendant 178 semaines (6e plus long règne depuis l'instauration du classement informatique en 1975)[135], dont 91 consécutives entre 1991 et 1993 (6e meilleure performance)[25]. Elle a aussi occupé cette place 65 semaines durant, d'août 1995 à novembre 1996, conjointement avec Steffi Graf en tant que « co-numéro un »[alpha 13],[75].

En double dames, 1991 reste sa meilleure saison, qu'elle termine au 22e rang mondial  16e, le . Elle obtient à sept reprises (en 1990, 1991 et de 1997 à 2001) un classement de fin saison dans cette spécialité, en seize ans de carrière.

Victoires et défaites en carrière

Monica Seles a remporté 595 de ses 717 matchs en simple[alpha 22], soit un taux de réussite de 83 %  derrière Chris Evert (90 %), Steffi Graf (88,7 %), Martina Navrátilová (86,8 %) et Serena Williams (84,9 %[alpha 23]) ; devant Kim Clijsters, Justine Henin et Martina Hingis, toutes au-dessus de 80 %[alpha 24].

Lors de sa « première carrière » de 1988 à 1993, Seles compte 253 victoires pour 30 défaites[218], portant ce taux à 89,4 % sur cette période, et même à 92,9 % en 1991-1992 (144 succès, 11 échecs). De 1995 à 2003, après son comeback, son ratio s'établit à seulement 78,8 % (342-92)[82].

En double dames, Seles a gagné 89 fois en 134 matchs (66,4 %)[alpha 22].

Récompenses et distinctions

Voici une liste des principaux prix dont Monica Seles a été récipiendaire :

Le 2009 à Newport, Monica Seles a également intégré le International Tennis Hall of Fame[221].

Notes et références

Notes

  1.  : 1er match officiel.  : Seles devient professionnelle.  : dernier match officiel.  : retraite définitive.
  2. Моника Селеш ou Monika Seleš en serbe ; Szeles Mónika en hongrois.
  3. Seles est née en République fédérative socialiste de Yougoslavie, devenue République fédérale de Yougoslavie le . Voir : Guerres de Yougoslavie.
  4. Les informations de cette partie, sinon référence complémentaire, sont issues de : Getting a Grip, chap. ii  Girls don't play tennis »).
  5. Mise en œuvre notamment par les Français Marion Bartoli et Fabrice Santoro, ou la Taïwanaise Hsieh Su-wei.
  6. Jennifer Capriati détient le record de précocité en la matière, à 14 ans et 7 mois (le ), devant Andrea Jaeger, Tracy Austin, Gabriela Sabatini  ces trois dernières à moins de 15 ans et demi  et… Monica Seles. Voir : 2021 WTA Media Guide.
  7. Martina Hingis améliorera le record en mars 1997, à 16 ans et 182 jours.
  8. Cette finale est la seule à ce jour en Grand Chelem qui a opposé deux gauchères, mais aussi deux protagonistes avec un tel écart d'âge  17 ans pour Seles, le double pour Navrátilová.
  9. Outre Seles (1990-1992), triplé réussi par Helen Wills (1928-1930), Hilde Sperling (1935-1937) et Justine Henin (2005-2007).
  10. Tauziat (en quart) et Navrátilová (en demi) estimaient ne pas entendre l'impact de la balle dans le cordage de la raquette de Seles.
  11. Un « gruntomètre », posé au bord du court par un journaliste, aurait mesuré ses cris à 93 décibels, « autant qu'un train à moteur diesel ».
  12. Maureen Connolly, dans les années 1950, comptait 7 tournois du Grand Chelem au même âge en simple dames, un de moins que Monica Seles.
  13. Seles, co-numéro un mondiale avec Graf : la WTA a garanti un classement « protégé » à Seles pour ses 6 premiers tournois. Des dispositions transitoires favorables lui ont ensuite été consenties pour 14 épreuves supplémentaires, pendant 18 mois maximum à compter de la date de son retour. Voir : 2021 WTA Media Guide.
  14. Seles a notamment perdu 7 finales WTA face à Hingis entre 1996 et 2002. Voir : Finales perdues.
  15. Seles a notamment perdu 3 finales WTA face à Venus Williams en 2000 et 2001. Voir : Finales perdues.
  16. Seles a notamment perdu 3 finales WTA face à Davenport entre 1999 et 2003. Voir : Finales perdues.
  17. Sa seule défaite au 1er tour d'un Grand Chelem en simple dames.
  18. En , membre de l'équipe des Sportimes de New York, elle perd ses 9 matchs (simple, double dames et mixte) sur la ligue WTT. Deux exhibitions se sont aussi tenues les 1er et en Nouvelle-Zélande, à Auckland et Christchurch, contre la doyenne Navrátilová (2 défaites). En 2007, à nouveau contre Navrátilová : le à Houston, le à La Nouvelle-Orléans, le à Bucarest (3 succès de Seles). Le à Los Angeles, elle apparaît dans quelques mini-matchs aux côtés de vedettes du tennis et de l'industrie du spectacle (Jennifer Capriati, Jeff Tarango, David Duchovny ou Gavin Rossdale).
  19. Avec autodérision, Seles tourne à ce sujet une publicité en 2002. [vidéo]
  20. Triplé réitéré par Serena Williams (2012-2014). Seule Martina Navrátilová a fait mieux, avec 5 titres glanés de 1983 à 1986.
  21. En 1999, Seles est sélectionnée en finale contre l'équipe de Russie, sans prendre part à aucun match (décisif ou non).
  22. Sur le circuit WTA et en Fed Cup.
  23. Au .
  24. Margaret Smith Court, qui a joué avant et après les débuts de l'ère Open en 1968, a gagné 91,4 % de ses matchs en simple ; de même, Billie Jean King et Evonne Goolagong ont remporté plus de 81 % des leurs. Voir : 2021 WTA Media Guide.
  25. Défaite de Seles concédée sur abandon.

Références

  1. Y. Motte dit Fallize, « La jeunesse et le bruit », Le Soir, , p. 16 (lire en ligne).
  2. (de) U. Prieser, « Tennis mit Tom und Jerry », Die Zeit, (lire en ligne).
  3. (en) « Seles Reflects on Her HOF Career », Sports Illustrated, (lire en ligne).
  4. (en) S. Boxer, « Determined, but in No Great Hurry », Sports Illustrated, (lire en ligne).
  5. Blue et Naden, p. 21.
  6. (en) T. Bonk, « Yugoslav Monica Seles, 15, Enjoying Life in the Pink », Los Angeles Times (LA Times), (lire en ligne).
  7. (en) « From Fear to Victory by Monica Seles VS My Aces, My Faults by Nick Bollettieri », sur tennis.quickfound.net,
    (en) R. Finn, « Seles Improves Ranking Much to Her Surprise », New York Times (NYT), (lire en ligne).
  8. (en) AP, « Results Plus », NYT, (lire en ligne).
  9. (en) J. Sarni, « Tennis New Kid Is 14 and Rising », Sun-Sentinel, (lire en ligne).
  10. (en) UPI, « Teenager Upsets Evert in Final », Ellensburg Daily Record, (lire en ligne),
    « Monica Seles gagne à Houston », Journal de Genève, , p. 25 (lire en ligne).
  11. (en) J. Sarni, « Flowers and Seles Spoil Garrison's Day », Sun-Sentinel, (lire en ligne),
    « Visionner » [vidéo], sur ina.fr (3 min 35 s).
  12. P. d'Espine, « Graf a tremblé jusqu'au bout », J. de Genève, , p. 29 (lire en ligne),
    (en) N. Stout, « Graf and Sanchez Advance to Paris Final », NYT, (lire en ligne).
  13. Reuters, « Seles remise à sa place », J. de Genève, , p. 25 (lire en ligne),
    (en) R. Finn, « Sanchez to Face Graf in Wimbledon Rematch », NYT, (lire en ligne).
  14. « Chris Evert sans pitié », L'Express de Neuchâtel, , p. 25 (lire en ligne),
    (en) T. Bonk, « Evert Keeps New Age on Hold With Sweep », LA Times, (lire en ligne),
    (en) J. Sarni, « Goodbye Girl ? », Sun-Sentinel, (lire en ligne).
  15. (en) R. Finn, « Seles Wins Lipton With Ease », NYT, (lire en ligne).
  16. (en) AP, « Results Plus », NYT, (lire en ligne).
  17. (en) N. Gay, « Seles Stuffs Maleeva for Eckerd Title », Orlando Sentinel, (lire en ligne).
  18. (it) R. Cacioppo, « Roma scopre una nuova stella… », La Stampa, , p. 38 (lire en ligne),
    (en) K. Shulman, « Navratilova Upset in a 50-Minute Final », NYT, (lire en ligne),
    (it) « Il ciclone Seles spazza via la leggenda Navratilova », sur internazionalibnlditalia.com, .
  19. « À Berlin, Monica Seles domine Steffi Graf… », Le Soir, , p. 26 (lire en ligne),
    (en) AP, « Going Up, Seles Takes Down Graf », LA Times, (lire en ligne).
  20. « Visionner » [vidéo], sur ina.fr (5 min 1 s).
  21. (en) R. Finn, « Seles Stuns Graf to Capture French Open Title », NYT, (lire en ligne),
    (en) T. Bonk, « At 16, Seles Favoring French Roll », LA Times, (lire en ligne),
    (es) M. Serras, « Seles, la reina más joven », Mundo Deportivo, , p. 40-41 (lire en ligne [PDF]),
    Y. Motte dit Fallize, « Monica Seles, le dernier cri de Paris », Le Soir, , p. 29 (lire en ligne),
    G. Chérel, « Monica dernier cri », L'Humanité, (lire en ligne),
    P. d'Espine, « Seles nouvelle reine de Paris », J. de Genève, , p. 11 (lire en ligne),
    (en) A. Wolff, « Grunt, Squeak, Victory ! », Sports Illustrated, (lire en ligne).
  22. (en) R. Finn, « At Wimbledon, Garrison Ends Seles's Streak », NYT, (lire en ligne),
    G. Homsi, « Seles sortie par Garrison », J. de Genève, , p. 14 (lire en ligne).
  23. (en) M. Janofsky, « Seles Upset on Center Court… », NYT, (lire en ligne).
  24. (en) R. Finn, « Seles Outlasts Sabatini », NYT, (lire en ligne),
    G. Homsi, « L'ère Monica Seles », J. de Genève, , p. 25 (lire en ligne),
    (en) S. Jenkins, « True Grit… », Sports Illustrated, (lire en ligne).
  25. 2021 WTA Media Guide.
  26. (en) S. Harwitt, « Novotna and Seles Gain Australian Open Final », NYT, (lire en ligne),
    G. Homsi, « Une finale Seles-Novotna », J. de Genève, , p. 27 (lire en ligne),
    (en) AP, « Seles Saves Win Over Fernandez », LA Times, (lire en ligne).
  27. P. Leonardi, « La passe de deux pour Seles », Le Soir, , p. 26 (lire en ligne),
    (en) S. Harwitt, « Seles Rallies Past Novotna to Win Australian Open », NYT, (lire en ligne),
    (en) R. Finn, « Seles Makes History as Australian Champ », Chicago Tribune, (lire en ligne).
  28. G. Homsi, « Monica Seles triomphe enfin de l'ordinateur… », J. de Genève, , p. 25 (lire en ligne),
    P. Leonardi, « Monica Seles, la joueuse du dernier cri », Le Soir, , p. 31 (lire en ligne).
  29. (en) R. Finn, « Seles Wins Again in Paris », NYT, (lire en ligne),
    (es) M. Serras, « Arantxa, se queda sin premio », Mundo Deportivo, , p. 49-52 (lire en ligne [PDF]),
    J.-F. Fournier, « Concours de “bûcheronnes” », J. de Genève, , p. 19 (lire en ligne),
    C. Bouvar, « Monica extra », L'Humanité, (lire en ligne),
    L. Gerber, « Il y a 30 ans, la révolution Monica Seles… », sur francetvinfo.fr, .
  30. (en) R. Finn, « Seles Stays Silent on Her Withdrawal From Wimbledon », NYT, (lire en ligne),
    G. Homsi, « De la pluie et des rumeurs », J. de Genève, , p. 33 (lire en ligne),
    P. Leonardi, « … Quand Monica Seles défie Sherlock Holmes », Le Soir, , p. 21 (lire en ligne),
    (en) M. Isaacson, « Where Is Monica Seles ? The Saga Continues… », Chicago Tribune, (lire en ligne),
    (en) I. Berkow, « The Return of Seles, and Dog », NYT, (lire en ligne).
  31. (en) R. Finn, « Seles Fined $6,000 for Pulling Out of Wimbledon », NYT, (lire en ligne),
    (en) J. Sarni, « Missing Monica Mystery May Be Solved at Mahwah », Sun-Sentinel, (lire en ligne).
  32. (en) F. Bondy, « Seles Loses to Capriati and Is Fined », NYT, (lire en ligne),
    (en) « Capriati Adds to Seles' Problems », Chicago Tribune, (lire en ligne),
    « Lourde amende pour Monica Seles », Le Soir, , p. 23 (lire en ligne).
  33. (en) UPI, « Capriati Wins Mazda, Drops Seles No. 2 », sur upi.com, .
  34. (en) « Seles Wins Title, Loses No. 1 Spot », Washington Post, (lire en ligne).
  35. (en) S. Jenkins, « Truth or Where… », Sports Illustrated, (lire en ligne).
  36. (en) R. Finn, « … Seles Outslugs Capriati », NYT, (lire en ligne),
    (en) R. Finn, « Seles-Capriati, Next Great Rivalry in Pro Tennis ? », Chicago Tribune, (lire en ligne),
    (en) G. Vecsey, « Monica Seles Still Loves the Game », NYT, (lire en ligne).
  37. (en) H. Araton, « Seles Bolts Past Navratilova to Win US Open », NYT, (lire en ligne),
    G. Homsi, « Le Petit Chelem 1991 pour un cyclone… », J. de Genève, , p. 12 (lire en ligne).
  38. (en) R. Finn, « Fittingly, Seles Has Final Say in 1991 », NYT, (lire en ligne),
    G. Homsi, « Monica Seles ou le règne de l'ogresse », J. de Genève, , p. 17 (lire en ligne),
    P. Pachod, « “Navratilova n'a pas si mal joué pour son âge !” », Le Nouveau Quotidien, , p. 26 (lire en ligne).
  39. AFP, « Monica Seles fait le vide autour d'elle », Le Nouveau Quotidien, , p. 29 (lire en ligne),
    (en) S. Harwitt, « Seles Pounds Fernandez in Final », NYT, (lire en ligne).
  40. (en) R. Finn, « Graf Is Game, but Seles Is Set and Match at the French », NYT, (lire en ligne),
    (es) A. Rigueira, « Seles, campeona y reina », Mundo Deportivo, , p. 37-38 (lire en ligne [PDF]),
    J. Moran, « Monica triple sa mise », L'Humanité, (lire en ligne),
    J.-F. Fournier, « Monica céleste ! », J. de Genève, , p. 13 (lire en ligne),
    (en) S. Tignor, « French Open Memories #1 : Monica Seles D. Steffi Graf, 1992 », sur tennis.com, .
  41. M. Brot, « Les cris de Seles à la une des tabloïds », J. de Genève, , p. 17 (lire en ligne),
    (en) J. Roberts, « Grunt and Graf in Way of Seles Dream », The Independent, (lire en ligne),
    (en) « Stop That Grunt ! », Time, (lire en ligne),
    (en) R. Finn, « Seles Reflects on Critical Shots », NYT, (lire en ligne),
    (en) J. Murray, « Making Her Go Quietly », LA Times, (lire en ligne).
  42. (en) B. Lincicome, « Grunt ? Seles Had Reason to Groan », Chicago Tribune, (lire en ligne).
  43. (en) R. Finn, « Seles Bows Out Quietly as Graf Retains Title », NYT, (lire en ligne),
    « Pas de Grand Chelem pour Monica », L'Humanité, (lire en ligne),
    M. Brot, « La reine blanche », J. de Genève, , p. 13 (lire en ligne).
  44. (en) « Seles Is Back in the Limelight », Irish Times, (lire en ligne),
    Interview, The Observer.
  45. (en) H. Araton, « Seles Is Too Much, Too Late for Sanchez Vicario », NYT, (lire en ligne).
  46. « Monica Seles gagne son troisième Masters consécutif », J. de Genève, , p. 13 (lire en ligne),
    « Monica Seles termine l'année comme elle l'a commencée », Le Soir, , p. 34 (lire en ligne),
    (en) S. Jenkins, « A Tale of Two Women… », Sports Illustrated, (lire en ligne),
    (en) A. Sokolowski, « Seles Takes Down Navratilova », sur tennismajors.com, .
  47. (en) S. Reed et C. Nolan, « Yiii ! Can This Be the Same Monica Seles… », People, vol. 33, no 26, (lire en ligne),
    (en) J. Sarni, « No. 1 Creates Tennis Rock Star… », Sun-Sentinel, (lire en ligne),
    (en) C. Kirkpatrick, « 17-Year-Old Monica Seles Has Fashioned Herself… », Sports Illustrated, (lire en ligne),
    (en) R. Finn, « Who's That Girl ? Seles's New Look », NYT, (lire en ligne),
    (en) P. Bodo, « Monica : Mystery Woman or Material Girl ? », Tennis, vol. 27, no 7, , p. 30-34,
    (it) R. Lombardi, « Monica è sempre primadonna », La Stampa, , p. 31 (lire en ligne),
    C. Desjardins, « “L'Américaine” Monica Seles ne se sent pas concernée », Le Nouveau Quotidien, , p. 25 (lire en ligne),
    P. Leonardi, « Wimbledon sous le charme de Monica Seles », Le Soir, , p. 26 (lire en ligne),
    (en) « Tennis Menace, 18 », People, vol. 38, no 17, (lire en ligne).
  48. (en) V. Valian, Why So Slow ? The Advancement of Women, Cambridge, MIT Press, , 406 p. (ISBN 9780262720311, lire en ligne), chap. viii (« Effects on the Self »), p. 161,
    (en) M. Samuels, Run Like a Girl…, Berkeley, Seal Press, , 288 p. (ISBN 9781580053457, lire en ligne), chap. i (« Do You Run Like a Girl ? »), p. 22.
  49. « Le service, nouvelle arme de Monica Seles », J. de Genève, , p. 14 (lire en ligne).
  50. (en) C. Clarey, « Another Australian Open, Another Seles Title », NYT, (lire en ligne),
    (en) AP, « Seles, Using 7 Aces, Stops Graf in 3 Sets », LA Times, (lire en ligne),
    (en) R. Evans, « Graf Finds Seles's Best Is Too Good », The Independent, (lire en ligne).
  51. (en) AP, « Seles Again Shows Navratilova the New Order », LA Times, (lire en ligne).
  52. J.-E. Ducoin, « Navratilova gagne au Zénith », L'Humanité, (lire en ligne),
    « Navratilova bat Seles ! », J. de Genève, , p. 9 (lire en ligne),
    (en) I. Thomsen, « For Navratilova, a Victory Over Seles for the Ages », NYT, (lire en ligne).
  53. (en) C. Bricker, « Seles Pulls Out of Lipton », Sun-Sentinel, (lire en ligne),
    (en) R. Finn, « Finally, Seles Feels Fit Again », NYT, (lire en ligne).
  54. (de) A. Schuller, « Monica Seles' Ersthelfer spricht zum ersten Mal », Hamburger Abendblatt, (lire en ligne),
    (es) « Apuñalan a Seles », Mundo Deportivo, , p. 1-4 (lire en ligne [PDF]),
    P. Leonardi, « L'agression de Monica Seles (à Hambourg) suscite bien des interrogations », Le Soir, , p. 25 (lire en ligne),
    (de) « Attentat : Schock auf dem Center Court », Focus, no 18, (lire en ligne),
    (en) S. Jenkins, « Savage Assault… », Sports Illustrated, (lire en ligne).
  55. (en) I. Thomsen, « Graf Visits Depressed Seles… », Sun-Sentinel, (lire en ligne),
    Getting a Grip, chap. xiv  Derailed »),
    (en) M. Isaacson, « Why Reminisce ? For Steffi, These Are the Glory Days », sur espn.com, .
  56. O. Breisacher, « L'ombre de Monica Seles plane », J. de Genève, , p. 17 (lire en ligne).
  57. (en) R. Finn, « Graf Battles Back to Win French Final », NYT, (lire en ligne).
  58. « L'agresseur de Monica Seles a gagné », Le Nouveau Quotidien, , p. 26 (lire en ligne).
  59. (en) AP, « Seles Ready to Discuss Her Treatment », NYT, (lire en ligne),
    (en) T. Bonk, « Bogus Seles Sightings : Despite Rumors, Injury Keeps Her Holed Up in Colorado », LA Times, (lire en ligne),
    (en) « Slow Recovery Stalls Seles », Chicago Tribune, (lire en ligne).
  60. (en) J. Roberts, « Seles Withdraws From Wimbledon », The Independent, (lire en ligne).
  61. Blue et Naden, p. 63.
  62. (en) T. Jones, « Spectator Stabs Tennis Star Seles During Match », LA Times, (lire en ligne).
  63. (en) R. Finn, « Two Years and Waiting for a Sign », NYT, (lire en ligne),
    J.-E. Ducoin, « Seles, ces longs mois où elle ne pouvait “pas dormir la nuit” », L'Humanité, (lire en ligne),
    From Fear to Victory, p. 27,
    Getting a Grip, chap. xxxii  Injustice Served »).
  64. (en) F. Bondy, « Hall of Famer Gabriela Sabatini Motivated for Upcoming Garden Showdown… », New York Daily News, (lire en ligne),
    (es) « El inolvidable gesto que Gabriela Sabatini tuvo con Monica Seles… », sur lanacion.com.ar, .
  65. (en) R. Finn, « Seles Struggles With Injury and WTA Decision », NYT, (lire en ligne),
    (en) D. Markus, « Off Court, Seles' Game Still Strong Shots at WTA… », Baltimore Sun, (lire en ligne),
    Shmerler 1994.
  66. « Deux ans de prison avec sursis pour l'agresseur de Seles », L'Humanité, (lire en ligne),
    (en) « Seles's Attacker Gets Suspended Two-Year Sentence », NYT, (lire en ligne),
    (en) J. Howard, « For Monica Seles, It Is Injustice as Usual », LA Times, (lire en ligne),
    (de) G. Friedrichsen, « Prozesse : Fast wie der liebe Gott », Der Spiegel, no 42, , p. 230-236 (lire en ligne [PDF]),
    Shmerler 1994,
    (de) G. Friedrichsen, « Prozesse : Hätten Sie gern eine Frau ? », Der Spiegel, no 13, , p. 259-260 (lire en ligne [PDF]),
    « L'agresseur de Seles voit sa peine avec sursis confirmée », L'Humanité, (lire en ligne),
    (en) S. Kinzer, « Seles's Assailant Gets Suspended Sentence », NYT, (lire en ligne),
    (en) J. Howard, « Home Alone Her Attacker Walks Free… », Sports Illustrated, (lire en ligne).
  67. (en) « Seles Sued Over Clothing Deal », Chicago Tribune, (lire en ligne),
    « Seles poursuivie en justice », L'Humanité, (lire en ligne),
    (en) T. J. Mullaney, « Collapsed Endorsement Deal Pits Fila… », Baltimore Sun, (lire en ligne),
    Getting a Grip, chap. xxxii  Injustice Served »).
  68. From Fear to Victory, p. 128.
  69. (en) R. Finn, « Seles Out of Crucible and Onto the Court », NYT, (lire en ligne),
    (en) M. Seles, « “I ballooned from size 8 to 18 after I was stabbed by a fan” Says Tennis Ace Monica Seles », sur dailymail.co.uk, ,
    (en) K. Bohdanowicz, « Monica Seles : “My Toughest Opponent Was Always My Weight” », Daily Express, (lire en ligne),
    Interview, The Observer,
    From Fear to Victory,
    Getting a Grip.
  70. (en) J. Howard, « Seles Private, Questions Go Public », Washington Post, (lire en ligne),
    (en) B. Dwyre, « Seles Sure of Return by the Australian Open », LA Times, (lire en ligne),
    (en) « Monica Seles Invited to Play This Month », Chicago Tribune, (lire en ligne),
    Reuters, « Monica Seles absente aux Internationaux d'Australie », J. de Genève, , p. 15 (lire en ligne),
    (en) R. Finn, « Seles Won't Say When but She Will Say Why », NYT, (lire en ligne),
    (en) « Seles Not Close to Coming Back », Chicago Tribune, (lire en ligne),
    (en) H. Araton, « The Mystery Surrounding Monica Seles », NYT, (lire en ligne),
    « Seles en mai ? », Le Soir, , p. 27 (lire en ligne).
  71. « Seles Américaine », Le Soir, , p. 21 (lire en ligne).
  72. « Monica Seles absente, la suprématie de Steffi Graf devient insolente », J. de Genève, , p. 13 (lire en ligne),
    (en) D. Higdon, « Women's Tennis Misses Seles as Graf Wins Again », Sun-Sentinel, (lire en ligne),
    (en) M. Downey, « No Seles, Too Much Graf Robbing Women's Tennis », LA Times, (lire en ligne),
    (en) S. Jenkins, « Do Not Disturb… », Sports Illustrated, (lire en ligne),
    (en) J. Roberts, « Seles' Comeback Crucial to Women's Game », The Independent, (lire en ligne).
  73. (en) R. Finn, « Seles Conquers a Pair of Foes », NYT, (lire en ligne),
    « Retour gagnant pour Monica Seles », J. de Genève, , p. 8 (lire en ligne).
  74. (en) AP, « Martina Navratilova, Stung by the Rejection of Her Prop », sur apnews.com, ,
    (en) J. Dioso, « Back Stabbers », New York Magazine, vol. 28, no 30, , p. 78 (lire en ligne).
  75. (en) AP, « Seles to Share No. 1 Ranking With Graf… », LA Times, (lire en ligne).
  76. AFP, « Seles : premier tournoi, première victoire », Le Soir, , p. 26 (lire en ligne),
    (en) R. Finn, « No Contest : Seles Roars Down Comeback Trail », NYT, (lire en ligne).
  77. « Monica Seles comme Jordan et Tyson », J. de Genève, , p. 9 (lire en ligne),
    (en) R. Finn, « Seles Comes Back in Open in Glory », NYT, (lire en ligne).
  78. (en) R. Finn, « Graf Shakes Seles Awake From a Glorious Dream », NYT, (lire en ligne),
    « Monica Seles n'empêche pas Steffi Graf de vaincre à New York », J. de Genève, , p. 12 (lire en ligne),
    (en) A. Dorfman et S. Wulf, « A Very Happy Return », Time, (lire en ligne).
  79. R. Charbaux, « Seles, retour théâtral en terre australe », Libération, (lire en ligne),
    (en) C. Clarey, « Seles Puts Her Mind to It and Keeps Perfect Mark », NYT, (lire en ligne).
  80. (en) C. Clarey, « Return Complete, Seles Takes Title », NYT, (lire en ligne),
    (es) « Ahí está », Mundo Deportivo, , p. 47-48 (lire en ligne [PDF]),
    J. Hereng, « Le bonheur était dans le Park… », Le Soir, , p. 21 (lire en ligne),
    « Becker et Seles, le retour », L'Humanité, (lire en ligne).
  81. (en) S. Worrall, « Daughter Courage », The Independent, (lire en ligne),
    (en) S. L. Price, « There's Something About Monica », Sports Illustrated, (lire en ligne).
  82. (en) R. Finn, « A Pessimistic Seles Calls '96 Season Dismal », NYT, (lire en ligne),
    G. Homsi, « Monica Seles n'a plus le mordant… », J. de Genève, , p. 17 (lire en ligne).
  83. (en) J. Cart, « Now There's More of Monica to Love… », LA Times, (lire en ligne),
    (en) J. Cart, « Novotna Succeeds at Seles' Expense », LA Times, (lire en ligne),
    « À Wimbledon, Monica Seles craque à nouveau nerveusement », J. de Genève, , p. 17 (lire en ligne),
    (en) J. Cart, « Struggles Continue for Seles », LA Times, (lire en ligne),
    (en) P. Iacobelli, « Likhovtseva's Surprise for Seles », The Independent, (lire en ligne),
    AFP, « Hingis OK, Seles KO », sur lalibre.be, ,
    (en) « Seles Crashes Out to Qualifier », sur bbc.com, .
  84. C. Losson, « Les éclairs de Steffi Graf foudroient Monica Seles », Libération, (lire en ligne),
    (en) H. Araton, « Graf Is Leaving No Doubt About Just Who Is No. 1 », NYT, (lire en ligne).
  85. J.-E. Ducoin, « Monica Seles dominée par plus jeune qu'elle… », L'Humanité, (lire en ligne).
  86. (en) C. Nobles, « Seles Shoots Blanks in Loss to Hingis », NYT, (lire en ligne),
    (en) « Hingis Destroys Seles… », LA Times, (lire en ligne).
  87. (en) L. Dillman, « Williams Keeps It Interesting… », LA Times, (lire en ligne).
  88. (en) L. Dillman, « Venus Turns Back Seles », LA Times, (lire en ligne).
  89. (en) R. Finn, « Serena Williams Sizes Up Seles, and Wins », NYT, (lire en ligne),
  90. (en) D. Rossingh, « The Day Monica Seles Realized Serena Williams… », sur forbes.com, .
  91. « Pierce finit fort », Le Télégramme, (lire en ligne).
  92. G. Dhers, « Pierce celeste perce Seles », Libération, (lire en ligne).
  93. (en) R. Finn, « Karolj Seles, 64, Tennis Coach Who Led Daughter to No. 1 », NYT, (lire en ligne),
    (en) L. Dillman, « Paris Is Seles' Getaway Trip », LA Times, (lire en ligne).
  94. M. Lindon, « Seles renvoie Hingis à ses études », Libération, (lire en ligne),
    L. Chasteaux, « Monica Seles, la dame en noir est en finale », L'Humanité, (lire en ligne),
    (en) R. Finn, « Displaying Her Past Form, Seles Has a Surprise for Hingis », NYT, (lire en ligne).
  95. (en) R. Finn, « Seles Wins Sanchez Vicario's Sympathy, but Not the Title », NYT, (lire en ligne),
    (es) « Arantxa conquistó París por tercera vez », Mundo Deportivo, , p. 1-5 (lire en ligne [PDF]),
    D. Lesur, « Sanchez sort de terre », Libération, (lire en ligne).
  96. D. Lesur, « Graf agrafe Seles », L'Humanité, (lire en ligne),
    (en) R. Alex, « Graf Set for Final in French », Washington Post, (lire en ligne).
  97. (en) C. Clarey, « Hingis Favored for 3rd Straight Title », NYT, (lire en ligne).
  98. (en) C. Clarey, « Hingis and Capriati Ready for Rematch in Australia », NYT, (lire en ligne).
  99. (en) « Seles Quits Match With Foot Injury », NYT, (lire en ligne).
  100. (en) « Seles Suffers Shock Defeat », sur bbc.com, ,
    (en) « Former Champ Seles Exits French Open », sur abc.net.au, .
  101. (en) M. Murphy, AP, « Seles Aims for Comeback in 2006… », USA Today, (lire en ligne),
    « Seles aussi ? », L'Impartial, , p. 19 (lire en ligne),
    (en) B. Dwyre, « At 34, Seles Aims for a Tennis Comeback », LA Times, (lire en ligne).
  102. (en) C. Banks, « Seles Doesn't Rule Out Return to Fed Cup Play », sur billiejeankingcup.com, .
  103. A. Capron, « Seles, point final… », JDD, (lire en ligne),
    « Seles se résout à la retraite », sur lefigaro.fr, ,
    « Seles annonce officiellement sa retraite », sur radio-canada.ca, ,
    (en) AP, « Monica Seles Officially Retires From Tennis… », USA Today, (lire en ligne).
  104. « Monica Seles : “Bartoli est une sacrée battante” », sur lefigaro.fr, ,
    Getting a Grip, chap. i  Blasting Through the Comfort Zone »).
  105. S. Dorgan, « Marion Bartoli : “Je me suis laissé détruire” », L'Équipe, (lire en ligne).
  106. (hu) « Szeles Mónika magyar állampolgár lett » Monica Seles est devenue citoyenne hongroise »], sur index.hu, ,
    (hu) MTI, « Titokban lett magyar állampolgár Szeles Mónika » Monica Seles est devenue citoyenne hongroise en secret »], HVG, (lire en ligne),
    (en) T. Székely, « Hungarian roots : Monica Seles (Mónika Szeles), Former World-Class Tennis Player », sur hungarytoday.hu, .
  107. (hu) K. Krisztián, « Szeles Mónika magyar ! » Monica Seles Hongroise ! »], Blikk, (lire en ligne).
  108. (en) K. Webley, « Top Ten Terrible Dancing with the Stars Contestants » [vidéo], sur time.com, (1 min 48 s).
  109. AFP, « Roland-Garros : Seles et Wilander à l'honneur », sur lefigaro.fr, .
  110. « Seles : “J'ai repris le contrôle” », sur lequipe.fr, ,
    (en) P. Edwards, « “Joy of Writing” Helps Monica Seles… », sur edition.cnn.com, .
  111. (en) R. Deahl, « Bloomsbury Nabs YA Series by Monica Seles », sur publishersweekly.com, .
  112. (en) « Novelist Monica », sur pagesix.com, .
  113. (en) G. Blain, « Tennis Ace Monica Seles Engaged… », New York Daily News, (lire en ligne),
    (de) « Monica Seles heiratet 72 Jahre alten Milliardär », sur rp-online.de, ,
    C. Carlesimo, « Monica Seles a 46 ans : qui est son mari… », sur gala.fr, .
  114. (en) G. Wilson, « Monica Seles Courting Billionaire, 67 », sur nbcnewyork.com, .
  115. (en) J. Newsham, « Shire Signs Seles… », Boston Globe, (lire en ligne),
    (en) K. Thomas, « Shire, Maker of Binge-Eating Drug Vyvanse… », NYT, (lire en ligne),
    É. Favereau, « Le binge eating disorder et la gloutonnerie d'un labo », Libération, (lire en ligne),
    (en) T. Casey, « Monica Seles Sheds Light on Binge Eating Disorder », USA Today, (lire en ligne).
  116. (en) B. Horovitz, « Athletic Firms Going to the Net… », LA Times, (lire en ligne),
    (en) G. Fabrikant, « Talking Money With Monica Seles », NYT, (lire en ligne).
  117. « Seles Challenged in a Court of a Different Kind », sur sbj.com, .
  118. « Ces grandes tenniswomen qui ont marqué l'histoire ! », sur yonex.fr, .
  119. (en) « Monica Seles », sur laureus.com,
    (en) C. Strauss, « Jim Courier and Monica Seles Played Tennis… », USA Today, (lire en ligne),
    (en) WTA Tour, « Monica Seles Is Special Guest at Children's Day in Budapest », sur wtatennis.com, .
  120. (en) « Conférence de presse de Navratilova, Seles, Williams et Wozniak », sur asapsports.com, ,
    J. Giovanella, « Quatre drôles de dames », sur lequipe.fr, ,
    (en) Bahamas Open, « Tennis Legends to Make History », sur thebahamasweekly.com, ,
    M. Marois, « Eugenie Bouchard joue déjà avec les légendes », sur lapresse.ca, ,
    (es) « Sabatini venció a Seles en el Madison Square Garden », sur elpatagonico.com, .
  121. (en) « Steve-O And Monica Seles Stand Up for Chimps », sur looktothestars.org, ,
    (en) R. Pennigton, « Tennis Legend Monica Seles in Face-Off With Abu Dhabi Pupils », sur thenational.ae, ,
    (en) WTA Tour, « Monica Seles Is Special Guest at Children's Day in Budapest… », sur wtatennis.com, .
  122. (en) Anders, « Monica Seles : Appreciating What Could Have Been », sur bleacherreport.com, ,
    (en) S. Flink, « The Top 10 Women Tennis Players of All Time », sur worldtennismagazine.com, ,
    (en) M. Isaacson, « Stabbing Stole Monica Seles' Career », sur espn.go.com, ,
    (en) M. Monaghan, « Turning Tragedy Into Triumph », sur sport360.com, ,
    (en) P. Sauer, « Throwback Thursday : Monica Seles Takes the Throne », sur vice.com, ,
    (en) O. Dickson Jefford, « Chris Evert Says Monica Seles Would Have Won More Slams… », sur vavel.com, ,
    (en) S. Ingle, « Warrior Queen Whose Reign Was Shattered », sur theguardian.com, .
  123. (en) B. Greene, « Hard-Hitting Monica Seles Storms to Tennis Stardom », Seattle Times, (lire en ligne).
  124. Clarey 2008.
  125. (en) W. Coffey, « Monica Seles, Who Won Her Last US Open 20 Years Ago… », New York Daily News, (lire en ligne).
  126. (en) V. Sias, « Roger Federer and Ten of Tennis' Most Lethal Returners of the Open Era », sur bleacherreport.com, .
  127. (en) R. Finn, « Slicing Slovak Shocks Seles », Orlando Sentinel, (lire en ligne),
    (en) « Troubled Seles Out of Sorts », The Independent, (lire en ligne),
    C. Losson, « Testud laisse Seles sur la fin », Libération, (lire en ligne),
    (en) R. Finn, « Nothing Goes Right for Seles in Losing Wimbledon Dream », NYT, (lire en ligne),
    (en) T. Adams, « Seles Shows Steel », sur theguardian.com, ,
    (en) D. Rossingh, « Happy Days for Seles at Wimbledon », sur wimbledon.com, .
  128. (en) « Seles Wins Title and Unveils a Shot », NYT, (lire en ligne).
  129. (en) « Conférence de presse de Monica Seles », sur asapsports.com, .
  130. (en) S. Sinnett et A. Kingstone, « (…) The Effect of Tennis Grunting… », PLOS One, W. H. Meck, université Duke, (DOI 10.1371/journal.pone.0013148),
    J. Christiaens, « Cri, set et match : ce que dit la science sur les grognements des joueurs de tennis », Paris Match Belgique, (lire en ligne).
  131. (en) J. White, « Ladies' Game May Damage Your Health », Daily Telegraph, (lire en ligne),
    (en) « Tennis World's Top 10 Grunters », Daily Telegraph, (lire en ligne),
    (en) T. Perrotta, « What to Do About Grunting in Tennis ? Maybe Nothing », Wall Street Journal, (lire en ligne).
  132. (en) W. Morris, « Wha-Unhhh ! A Defense of the Tennis Grunt », Boston Globe, (lire en ligne),
    J. Pichené (préf. P. Dominguez), Carnets de balles, Publibook, , 484 p. (ISBN 9782748353501, lire en ligne), p. 286,
    (en) E. C. Stevens, « The Vital Role of the Kiai, Grunt… », sur breakingmuscle.com, ,
    O. Villepreux, « Le nécessaire bruit du sport », sur blog.lemonde.fr, .
  133. « L'une couine, l'autre coince », Le Monde, (lire en ligne),
    (en) S. Flink, « Who Are the Most Mentally Tough Tennis Players of All Time », sur worldtennismagazine.com, .
  134. C. Bouvar, « Monica extra », L'Humanité, (lire en ligne),
    (en) E. Almond, « Seles, on Ropes, Escapes When Kijimuta Falters », LA Times, (lire en ligne),
    « La Monica se joue de Gabriela », L'Humanité, (lire en ligne),
    (en) C. Clarey, « Never Can Say “Goodbye”… Seles Rallies To Quell Upset », NYT, (lire en ligne),
    (en) B. Harris, « Seles Survives Extreme Heat… », sur apnews.com, ,
    (en) « Seles Survives to End Williams' Reign », Daily Telegraph, (lire en ligne),
    (en) S. L. Price, « Going, Going… The US Open May Soon Say Farewell », Sports Illustrated, (lire en ligne),
    (en) « Seles Saves Seven Match Points… », Dawn, (lire en ligne).
  135. (en) L. Gatto, « Serena Williams : “Growing Up I Wanted to Be Like Monica Seles” », sur tennisworldusa.org, .
  136. C. Despont, « Les défauts de la pugnacité féminine garantie d'usine », Le Temps, (lire en ligne),
    A. Ditchi, « Justine Henin, le retour », Libération, (lire en ligne),
    (en) M. Kimmelman, « How Power Has Transformed Women's Tennis », NYT, (lire en ligne),
    (en) V. Wade, « Today’s Women Tennis Stars Are Bland, Muscular, Grunting, Insular, Robots With No Personality », sur dailymail.co.uk, ,
    C. Tanvier, « Clonage consternant du tennis féminin », L'Humanité, (lire en ligne),
    S. Champenois, « Catherine Tanvier : “Le tennis féminin m’ennuie” », Libération, (lire en ligne).
  137. P. Grundmann, « Marion Bartoli, jeune fille au père », Libération, (lire en ligne),
    (en) C. Clarey, « Bartoli, Guided by Her Father… », NYT, (lire en ligne).
  138. (en) S. Tignor, « Seles Always Caused Problems for Graf, but… », sur tennis.com, .
  139. (en) R. Finn, « Three Sets and a Flashback : Graf Outlasts Seles », NYT, (lire en ligne).
  140. (en) Tribune News Services, « Seles Crushes Graf », Chicago Tribune, (lire en ligne),
    (en) « In Aussie, Seles Knocks Out Graf », Washington Post, (lire en ligne).
  141. (en) M. Casenti, « Comparing the Federer-Nadal and Seles-Graf Tennis Rivalries », sur bleacherreport.com, ,
    (en) « Monica Seles and Rafael Nadal : Similar Paths to the Top of Tennis », sur bleacherreport.com, ,
    (en) C. Lin, « Did Steffi Graf and Monica Seles Influence the Modern Men's Game ? », sur essentialtennis.com, .
  142. (en) AP, « Seles Makes It Difficult but Graf Is Too Strong », LA Times, (lire en ligne).
  143. (en) AP, « Graf Makes First Run at No. 1 Seles », LA Times, (lire en ligne).
  144. (en) « Graf Beats Seles for German Title », Chicago Tribune, (lire en ligne).
  145. (en) R. Finn, « Capriati Soundly Beats No. 1 Seles in Lipton », NYT, (lire en ligne),
    (en) J. Sarni, « Rested Capriati Swats Seles… », Sun-Sentinel, (lire en ligne).
  146. (en) « Great Champions : Monica Seles », sur ausopen.com.
  147. (en) « In a Fight to the Finish, Seles Outduels Navratilova », Washington Post, (lire en ligne).
  148. (en) UPI, « Seles Defeats Navratilova », sur upi.com, .
  149. (en) R. Finn, « Seles Defends Title With No. 1 Style… », NYT, (lire en ligne).
  150. (en) « Seles Turns Back Fernandez in Houston Final », Washington Post, (lire en ligne).
  151. (en) « Seles Routs Fernandez in Nichirei final », St. Petersburg Times, (lire en ligne).
  152. (en) « Seles Tops Navratilova, Wins Milan Title », Baltimore Sun, (lire en ligne).
  153. (en) B. Glauber, « Seles More Than a Material Girl Routs Capriati… », Baltimore Sun, (lire en ligne).
  154. (en) « Seles Beats Fernandez With Ease », Washington Post, (lire en ligne).
  155. (en) T. Bonk, « Seles Wins Again, but Who's Counting ? », LA Times, (lire en ligne).
  156. (en) UPI, « Seles Wins Virginia Slims of Houston », sur upi.com, .
  157. (en) AP, « Seles Sizzles as Sabatini Sinks », LA Times, (lire en ligne).
  158. (en) UPI, « Seles Beats Navratilova for Bank of the West Title », sur upi.com, .
  159. (en) « Seles Not Challenged in Eastbourne Final », Washington Post, (lire en ligne).
  160. (en) Reuters, « Canada: Monica Seles Wins du Maurier Open Tennis » [vidéo], sur reuters.screenocean.com, (durée : 2 min 6 s).
  161. (en) AP, « Seles Bounces Sanchez Vicario in Nichirei Ladies Final », sur apnews.com, .
  162. (en) AP, « Seles Wins Her First Title of 1997 », NYT, (lire en ligne).
  163. (en) AP, « Seles Beats Huber in Straight Sets… », The Spokesman-Review, (lire en ligne).
  164. (en) AP, « Seles Edges Sanchez Vicario », NYT, (lire en ligne).
  165. « Pourquoi pas l'Omnium Monica Seles ? », sur rds.ca, ,
    (en) AP, « Seles Wins Fourth du Maurier Title », sur apnews.com, .
  166. (es) EFE, « Seles vence por tercer año a Arantxa », El País, (lire en ligne).
  167. (en) M. Shapiro, « Seles Ends 7-Month Drought… », Chicago Tribune, (lire en ligne).
  168. (en) CBS/AP, « Seles Wins Comeback at IGA », sur cbsnews.com, .
  169. (en) « After Worst Loss, Seles Defends Title », NYT, (lire en ligne).
  170. (it) « Monica Seles torna a vincere a Roma », La Repubblica, (lire en ligne),
    AFP, « Seles bouscule Mauresmo », Le Parisien, (lire en ligne).
  171. (en) CB News, « Seles Tops Capriati in OK City », sur cbnews.com, .
  172. (pt) M. Ruschel, Poa Press, « Seles fica com o título », sur uol.com.br, .
  173. (en) « Seles Clinches Japan Open Title », Irish Times, (lire en ligne).
  174. (en) « Results Plus », NYT, (lire en ligne).
  175. (en) UPI, « Monica Seles wins in Qatar », sur upi.com, .
  176. (es) EFE, « Monica Seles gana el Abierto de España de tenis », El Mundo, (lire en ligne).
  177. (en) UPI, « Navratilova Wins Ninth Virginia Slims Dallas Tournament », sur upi.com, .
  178. (en) R. Finn, « Seles's Rise to No. 1 Is Delayed », NYT, (lire en ligne).
  179. (en) AP, « Navratilova Beats Seles in Three Sets… », LA Times, (lire en ligne)
  180. (en) T. Bonk, « Navratilova Opens Things Up… », LA Times, (lire en ligne).
  181. (en) AP, « It's Sanchez Vicario's Turn to Beat Seles », LA Times, (lire en ligne).
  182. « Même Monica Seles doit s'incliner devant Martina Hingis », J. de Genève, , p. 15 (lire en ligne).
  183. (en) Tribune News Services, « Hingis Dominates Seles in Very Brief Lipton Final », Chicago Tribune, (lire en ligne).
  184. (en) Wire Services, « Seles Pushes Hingis to Limit, but… », The Spokesman-Review, (lire en ligne).
  185. (en) « Seles No Match for Novotna in Madrid », Deseret News, (lire en ligne).
  186. (en) AP, « Hingis Is Bad News for Seles… », LA Times, (lire en ligne).
  187. (en) K. P. Hong, « Davenport Wins Toyota Princess Cup », sur apnews.com, .
  188. (en) AP, « Williams Still Rolling, Wins Acura Classic », Deseret News, (lire en ligne).
  189. (en) J. Cavanaugh, « Venus Williams Displays Power at Pilot Pen », NYT, (lire en ligne).
  190. (en) S. Nidetz, « Hingis Outlasts Seles in Finale », Chicago Tribune, (lire en ligne).
  191. (en) L. Dillman, « Williams Does Number on Rankings and Seles », LA Times, (lire en ligne).
  192. (en) M. Arkush, « Resurgent Seles Falters in Final With Davenport », NYT, (lire en ligne).
  193. SWI, « Hingis triomphe à Tokyo », sur swissinfo.ch, .
  194. (en) J. Noda, « Davenport Outlasts Seles », Japan Times, (lire en ligne).
  195. (en) J. Roberts, « Henin-Hardenne's Quick Thinking Edges Out Monica Seles », The Independent, (lire en ligne).
  196. (en) P. Newman, « Seles : the Greatest Woman Never to Win Wimbledon ? », sur wimbledon.com, .
  197. (en) R. Finn, « Navratilova Outlasts a Persistent Seles », NYT, (lire en ligne).
  198. (en) R. Finn, « Date Plays on While Seles Exits in Pain », NYT, (lire en ligne).
  199. (en) « Conférence de presse d'Arantxa Sanchez », sur asapsports.com, .
  200. (en) « More Criticism for Seles », NYT, (lire en ligne),
    (en) S. Miller, « Seles Unhappy That Graf Made Criticism Public », LA Times, (lire en ligne).
  201. (en) R. Finn, « Seles Out of Olympics After Excuse Is Denied », NYT, (lire en ligne),
    (en) T. Bonk, « Seles Is Barred From Olympics », LA Times, (lire en ligne).
  202. (en) T. Franklin, « Seles Upset, Not Mad… », Chicago Tribune, (lire en ligne),
    (en) B. Dwyre, « Seles' Body English Tells the Story », LA Times, (lire en ligne).
  203. (en) S. Roberts, « Venus Williams Streaking With Gold », NYT, (lire en ligne),
    (en) F. Kane, « Olympic Nostalgia : Tennis Player Monica Seles », sur vogue.com, .
  204. (en) R. Finn, « Seles Makes the Difference in Fed Cup », NYT, (lire en ligne),
    (en) M. Shapiro, « Seles Keys US Shutout in Fed Cup », Chicago Tribune, (lire en ligne),
    (es) « Concluye el reinado del equipo español », Mundo Deportivo, , p. 51 (lire en ligne [PDF]).
  205. (en) M. Arkush, « US Gets Revenge and Wins Fed Cup », NYT, (lire en ligne),
    (en) J. Thompson, « Davenport, Seles Keep Fed Cup », Chicago Tribune, (lire en ligne),
    (es) « EE. UU. barre a España (5-0) », Mundo Deportivo, , p. 55 (lire en ligne [PDF]).
  206. (en) R. Finn, « Inevitably, Davenport Powers US to the Fed Cup », NYT, (lire en ligne).
  207. (en) « Eyeing Atlanta, Seles Leads US in Fed Cup », Washington Post, (lire en ligne).
  208. (en) AP, « Davenport, Seles Win at Fed Cup », sur apnews.com, .
  209. (en) AP, « Spain Eliminates US », NYT, (lire en ligne).
  210. (en) R. Finn, « With Seles at Her Best, US Romps in Fed Cup », NYT, (lire en ligne).
  211. (en) AP, « Venus Williams Wins, Seles Is Upset », NYT, (lire en ligne).
  212. (en) L. Dillman, « US Overcomes Ailments, Belgium to Reach Finals », LA Times, (lire en ligne).
  213. (en) H. Araton, « A Matter of Respect for the Game », NYT, (lire en ligne).
  214. (en) D. Tucker, « US Beats Israel in Fed Cup Playoff », sur apnews.com, .
  215. (en) « US Team Blanked in Tennis Final », Chicago Tribune, (lire en ligne).
  216. « Les Suisses débutent bien l'année », L'Impartial, , p. 17 (lire en ligne),
    « Coupe Hopman : victoire de la Suisse, première pour Hingis », L'Orient-Le Jour, (lire en ligne).
  217. (es) « Copa para dos », Mundo Deportivo, , p. 38-39 (lire en ligne [PDF]).
  218. La WTA comptabilise une défaite pour l'abandon causé par l'agression de Hambourg.
  219. R. Lefebvre, « Seles : Nathalie Tauziat : “Je me disais, j'en ai marre…” », sur lequipe.fr, .
  220. (en) « All-Time ESPY Winners », sur espnpressroom.com, .
  221. AP, « Monica Seles entre au Temple », sur rds.ca, ,
    (en) B. Collins, « Seles at Head of Class », Boston Globe, (lire en ligne),
    (en) International Tennis Hall of Fame.

Voir aussi

Ouvrages de Monica Seles

  • (en) Monica Seles et Nancy Ann Richardson, From Fear to Victory, New York, HarperCollins, , 256 p. (ISBN 9780060186456)
    Ouvrage autobiographique
  • (en) Monica Seles, Getting a Grip : On My Body, My Mind, My Self, New York, Avery Publishing, , 304 p. (ISBN 9781583333303, lire en ligne)
    Ouvrage autobiographique
  • (en) Monica Seles et James LaRosa, Game On, New York, Bloomsbury Publishing, coll. « The Academy » (no 1), , 256 p. (ISBN 9781408841600, lire en ligne [PDF])
    Roman jeunesse
  • (en) Monica Seles et Paul Ruditis, Love Match, New York, Bloomsbury Publishing, coll. « The Academy » (no 2), , 224 p. (ISBN 9781599909028, lire en ligne [PDF])
    Roman jeunesse

Ouvrages et articles consacrés à Monica Seles

Ouvrage de référence

Archives audiovisuelles

Articles connexes

Liens externes

  • Portail du tennis
  • Portail de la Yougoslavie
  • Portail des États-Unis
La version du 29 juin 2015 de cet article a été reconnue comme « article de qualité », c'est-à-dire qu'elle répond à des critères de qualité concernant le style, la clarté, la pertinence, la citation des sources et l'illustration.
Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.