Menucourt

Menucourt est une commune française située dans le département du Val-d'Oise et la région Île-de-France, à environ 40 km au nord-ouest de Paris. Elle appartient à la communauté d'agglomération de Cergy-Pontoise.

Cet article possède des paronymes, voir Amenucourt et Menoncourt.

Menucourt

La mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Val-d'Oise
Arrondissement Pontoise
Intercommunalité CA de Cergy-Pontoise
Maire
Mandat
Éric Proffit-Brulfert
2020-2026
Code postal 95180
Code commune 95388
Démographie
Gentilé Menucourtois, Menucourtoises
Population
municipale
5 753 hab. (2018 )
Densité 1 563 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 01′ 00″ nord, 1° 59′ 00″ est
Altitude 160 m
Min. 85 m
Max. 188 m
Superficie 3,68 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Menucourt
(ville isolée)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Vauréal
Législatives [10e circonscription du Val-d'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Menucourt
Géolocalisation sur la carte : Val-d'Oise
Menucourt
Géolocalisation sur la carte : France
Menucourt
Géolocalisation sur la carte : France
Menucourt
Liens
Site web http://www.menucourt.fr

    Ses habitants sont appelés les Menucourtois(es).

    Géographie

    Description

    La commune est limitrophe de : Courdimanche, Boisemont, Condécourt et Sagy dans le département du Val-d'Oise ainsi que Vaux-sur-Seine et Évecquemont dans le département voisin des Yvelines.

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Menucourt est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5]. Elle appartient à l'unité urbaine de Menucourt, une unité urbaine monocommunale[6] de 5 771 habitants en 2017, constituant une ville isolée[7],[8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[9],[10].

    Toponymie

    Le nom de la commune est issu de Minuti curtis, le domaine de Minutus[réf. souhaitée].

    Histoire

    Le nom de Menucourt apparait pour la première fois en 1201, lorsque Gautier de Coutances, archevêque de Rouen, confirme le don fait à l'abbaye de Ressons par Guillaume de Meulan, chanoine de Beauvais, et Pierre de Meulan, son frère, seigneurs de Boisemont, de la chapelle de Sainte Madeleine de Boisemont avec toutes ses dépendances et biens dont elle avait été dotée par Dreu de Meulan leur père, de Ade leur mère et de Richard leur autre frère[11]. Ce même prélat confirme également les diverses aumônes faites à la même église par différents seigneurs, de biens et revenus situés à Meulan et des villages alentour comme Boisemont, Evecquemont, Seraincourt, Vaux, Triel, Menucourt etc. du consentement d'Emeline de Brueil, d'Amauri son frère et de Royer sénéchal de Meulan. Ce document, écrit en latin, indique :

    « Hugo etiam de Bruelio (Hugues de Brueil) confirme à l'église tant de fois nommée treize setiers de méteil à prendre annuellement dans son champart de Menucorte (Menucourt) du consentement.... ».

    Toujours au XIIIe siècle, un document d'Hugues de Brueil, fils d'Evrard et petit-fils de Hugues vicomte de Meulan et de Basilie fille de Gauthier II dit Haï vicomte de Meulan, donne l'église de Saint Nicaise de Meulan une redevance à prendre à Menucourt et en confirme une de son aïeul :

    « Que tous présents et à venir sachent que moi Hugo de Bruel (Hugues de Brueil) je concède et je confirme par l'autorité de mon sceau à Dieu et à sancto Nigasio de Mellento (Saint Nicaise de Meulan) et aux moines du couvent de ce lieu, cinq sous de rente sur Menoecurt (Menucourt) pour le repos de l'âme d'Evrardi (Evrard) mon père. Je confirme aussi la donation de vingt sous que Ugo (Hugues) mon aïeul a faite à Saint Nicaise pour le repos de son âme et celle de Basilive (Basilie), son épouse, mon aïeule, payables à la Saint Remi.... ».

    On trouve dans un inventaire[12] de l'abbaye du Bec Hellouin en date du une charte et confirmation de Hugonis de Bruel (Hugues de Brueil) de 5 sols à Meneucourt (Menucourt) pour l'âme d'Evardi (Evrard) son père et 20 sols pour l'âme d'Hugonis (Hugues) versé à la Saint-Remi.

    À partir du XVe siècle, les actes, registres chartes conventions et pièces de procédures sont plus nombreuses et permettent de constituer une histoire du village.

    En raison du développement de la ville nouvelle de Cergy-Pontoise à proximité immédiate, le petit village du Vexin a connu un considérable essor démographique entre 1968 et 1975 avec la construction de nombreux nouveaux logements, essentiellement des pavillons, pour atteindre aujourd'hui plus de 5 000 habitants.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Rattachements administratifs

    Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[13], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d'Oise et à son arrondissement de Pontoise après un transfert administratif effectif au .

    Elle faisait partie de 1793 à 1976 du canton de Pontoise de Seine-et-Oise puis du Val-d'Oise, année où elle est rattachée au canton de Cergy. En 1985 un nouveau découpage intervient et la commune intègre le canton de l'Hautil[14]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    La commune fait partie de la juridiction d’instance, de grande instance ainsi que de commerce de Pontoise[15],[16].

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Vauréal.

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la dixième circonscription du Val-d'Oise.

    Intercommunalité

    La commune se trouve dans la ville nouvelle de Cergy-Pontoise, aménagée à partir de 1970 par un syndicat communautaire d'aménagement (SCA), puis, en 1984, par un syndicat d'agglomération nouvelle (SAN) créé en 1984.

    L'aménagement de la ville nouvelle étant achevée, celui-ci se transforme en 2004 en communauté d'agglomération, qui a pris la dénomination de communauté d'agglomération de Cergy-Pontoise et dont Menucourt est désormais membre.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1977 mars 1989 Daniel Audiffren PS  
    mars 1989 juin 1995 Gérard Smilevitch PS  
    juin 1995[17] mars 2001[18] Georges Hardelin RPR Vice-président du SAN de Cergy-Pontoise (1997 → 2001)
    mars 2001 En cours
    (au 10 juillet 2020)
    Éric Proffit-Brulfert PS puis EELV[19]
    puis DVG
    Fonctionnaire
    Vice-président de la CA de Cergy-Pontoise (2020 → )
    Réélu pour le mandat 2020-2026[20],[21],[22]

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[24].

    En 2018, la commune comptait 5 753 habitants[Note 3], en augmentation de 7,75 % par rapport à 2013 (Val-d'Oise : +3,67 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    320312323310362393414389364
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    384378398405408437414435448
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    404384381404394451419376437
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    6977264 0824 6664 5925 0845 1825 3635 607
    2018 - - - - - - - -
    5 753--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[14] puis Insee à partir de 2006[25].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Santé

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    La Châtaigneraie, centre de rééducation de Menucourt est un établissement privé non lucratif PSPH (participant au service public hospitalier). Il accueille cent patients en hospitalisation complète et quinze en hospitalisation de jour. Son personnel médical est composé de sept médecins dont cinq MPR, dix-neuf masseur-kinésithérapeutes, six ergothérapeutes, deux orthophonistes, un podologue, un psychologue, une neuropsychologue, une diététicienne, et une assistante sociale. Le centre est équipée d'une piscine médicalisée et d'un appareil d'isocinétique. Son directeur est Renaud Coupry, son médecin chef est le Dr Charles Fattal[26]. Il est situé rue Bernard Astruc. Le centre a déjà accueilli Jacques Chirac, Alain Delon, Luis Fernandez[27] et bien d'autres personnalités ou sportifs de haut niveau.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église Saint-Léger.

    Menucourt ne compte aucun monument historique inscrit ou classé sur son territoire. On peut néanmoins signaler :

    • Le château de Menucourt - Privé
    • L'église Saint-Léger : Elle fut construite en 1899 en remplacement de l'église romane primitive, devenue trop délabrée pour être réparée une nouvelle fois. La nouvelle église, dont les frais de constructions atteignirent le double des 50 000 francs initialement prévus, possède des façades de style néo byzantin très élaborés. Elles sont exécutées essentiellement en pierre de taille, mais agrémentées de bandeaux en brique rouge au niveau des trumeaux, sur les faces du clocher et sur toute la façade occidentale. En haut des fenêtres, les murs sont en outre ornés de mosaïques. L'édifice se compose d'une nef à collatéraux de cinq travées, dont la première et la cinquième sont plus étroites ; d'un chœur carré nettement plus bas que la nef ; et d'une abside en cul-de-four. L'étroit clocher s'élève au-dessus de la première travée de la nef et s'intègre dans la façade occidentale. Son unique étage est percé sur chaque face d'une haute baie abat-son terminée par un cadran d'horloge et surmontée d'un gable garni de mosaïques. La flèche couvert d'ardoise se termine par un clocheton. Les baies sont des étroites lancettes simples plein cintre. Au-dessus du portail et sur la seconde à quatrième travée des bas-côtés, elles sont disposées en triplet, la baie centrale dépassant en hauteur ses deux baies adjacentes. En provenance de l'ancienne église, le monument funéraire aux armes de la famille Chassepot de Beaumont[28].
    • La fontaine publique, rue Georges-Clemenceau / rue Jean-Jaurès : Elle se compose d'un pilier en pierre de taille et d'une pompe en fonte du début du XXe siècle. Deux fontaines similaires existaient à Menucourt. Elles sont placées sur des puits alimentés par des sources, provenant des hauteurs du massif de l'Hautil[28].

    Personnalités liées à la commune

    • Georgette Anys (1909-1993), actrice, a vécu pendant les dernières années de sa vie dans sa maison de Menucourt.
    • André Bouchet (1967-), acteur et animateur de télévision, connu pour son rôle de Passe-Partout dans l'émission Fort Boyard, habite[Quand ?] Menucourt[réf. nécessaire].

    Seigneurs de Menucourt et châtelains

    • 1482 : Henri Jubert ; il vivait en 1445.
    • Après 1446 : Guillaume Jubert, seigneur de Menucourt, mort en 1514.
    • 1514 : Jeanne de Boucaumont, sa veuve.
    • 1534 : Jean et Louis Les Jubertz. Jean vivait en 1565.
    • Après 1566 : Louis Jubert, fils de Louis Jubert.
    • 1584 : Pierre Le Maistre.
    • 1594 : Guillaume Le Prestre, meurt en 1619.
    • 1619 : Anthoinette Le Clerc de Lesseville, sa veuve.
    • 1639 : Nicolas Le Prestre, fils de Guillaume Le Prestre et Anthoinette Le Clerc de Lesseville, mort en 1653.
    • 1653 : Nicolas Le Prestre, fils du précédent.
    • 1656 : François Chassepot de Beaumont, décédé en 1666.
    • 1666 : Charlotte de Langrac, sa veuve.
    • 1675 : Jean-François Chassepot de Beaumont, il est encore seigneur de Menucourt en 1707 et 1721.
    • 1722 : Pierre Chassepot de Beaumont, fils du précédent. Il est marié par contrat le à Jeanne Benigne de la Michaudière il meurt en 1751.
    • 1751 : Jean-Pierre Chassepot de Beaumont, fils du précédent. Il est marié à Marie-Thérèse Bricault de la Chesnaye. Il rend hommage au roi le et était encore seigneur en 1793. Il acquiert un grand nombre de biens nationaux et meurt à Saint-Germain-en-Laye le 4 pluviôse an XI ().
    • 1801 : Abraham Louis Chassepot de Beaumont, fils du précédent, qui meurt à Menucourt le .
    • 1838 : Adélaïde Louis Delorme, cousine germaine du précédent, veuve de Ange François Charles de Bernard.
    • 1843 : Le château est vendu à Jean-Marie Augustin du Bois de Bellejame et Edmond Arsène du Bois de Bellejame.
    • 1844 : Le domaine est vendu à François Gaillard.
    • 1869 : Paul Gaillard, fils du précédent en hérite.
    • 1890 : ? Archdeacon, en hérite.
    • ? : Sébastien Archdeacon, en hérite.

    Famille Jubert

    • Pierre Jubert :
    il vivait en 1290 et est cité dans un acte de 1369.
    • Guillaume Jubert :
    chevalier et seigneur de Villette, près Meulan ; était marié à Isabeau de Garancières[29]. Il servit dans les guerres du Poitou en 1354.
    • Philippe ou Guillaume Jubert :
    fils du précédent, il était écuyer en 1369, sommelier de Charles V, châtelain de Vernon ; il était marié à l'héritière de la maison du Til. Anobli en 1369, c'était l'un des écuyers de la compagnie de Bertrand Dugesclin et était vivant en 1420.
    • Guillaume Jubert :
    seigneur de Villette, près Meulan, de Menucourt, de Bizy, de Brécourt. Il épouse vers 1406 Catherine de Brument, dame de Bizy et de Brécourt, fille de Robert sire de Brument. Il servit à la bataille d'Azincourt en 1415. Il mourut en 1446 et sa femme le .
    • Henri Jubert :
    Il vivait en 1445 et est cité dans un acte de 1482.

    Héraldique

    Les armes de Menucourt se blasonnent ainsi : De gueules aux trois coquilles d'or, à la bordure cousue d'azur chargée de neuf besants aussi d'or et d'une plaine du même maçonnée de sable.

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Communes limitrophes de Menucourt » sur Géoportail..
    2. « Communes limitrophes de Menucourt » sur Géoportail..
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Unité urbaine 2020 de Menucourt », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    7. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    8. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. Comtes de Meulan seigneurs de Beaumont page 15
    12. UInventaire des AD de Seine Maritime page 145
    13. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
    14. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    15. Site du Conseil général - Administration du Val-d'Oise
    16. Ministère de la justice - Conseil Départemental de l'Accès au Droit du Val-d'Oise
    17. « Elections municipales : Val-d'Oise », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ) « la ville nouvelle de Cergy-Pontoise. Elle comprend actuellement cinq communes de gauche et six de droite, mais, par le jeu du nombre de ses délégués désignés au prorata de la population, c'est l'ancien député rocardien Alain Richard qui la dirige. Il suffit qu'une seule commune de gauche passe à droite, et c'est toute la ville nouvelle qui suit. Or la commune de Menucourt a élu dès le premier tour le candidat d'union de la droite, Georges Hardelin, au détriment du maire socialiste sortant, Gérard Smilevitch ».
    18. « La droite en difficulté à Menucourt », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Additionnées, les voix des deux listes de gauche dominaient dimanche soir celles des deux listes de droite : 1 144 contre 934. Avec 437 bulletins favorables, le maire sortant, Georges Hardelin (DVD), n'est arrivé qu'en troisième position, derrière Eric Proffit-Brulfert (DVG), en tête avec 42 % des voix, et Roland Cosseron (DVD), deuxième avec 496 voix ».
    19. « Le maire de Vauréal quitte le PS pour rejoindre les Verts : Après le ralliement du maire de Menucourt et celui de Didier Peyrat, conseiller municipal de Pontoise, les Verts enregistrent une nouvelle adhésion : celle du maire de Vauréal, Bernard Morin. Pour le vice-président de l’agglomération de Cergy-Pontoise chargé du développement durable, c’est l’aboutissement d’une réflexion « entamée il y a longtemps » mais qui a pris une nouvelle tournure après l’élection européenne de juin dernier », Vonews – Toute l’actualité du Val d’Oise, (lire en ligne).
    20. « Proffit-Brulfert brigue un 3e mandat à Menucourt », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne) « Eric Proffit-Brulfert, maire de Menucourt depuis 2001, sollicitera les électeurs en vue d'un troisième mandat en 2014. Elu à deux reprises sous la bannière du PS, l'élu de 46 ans se présentera cette fois sans étiquette. Eric Proffit-Brulfert a, depuis 2009, successivement quitté le PS et EELV ».
    21. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Les maires élus du 1er tour s'installent », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne).
    22. Jérôme Cavaretta, « Municipales 2020. Menucourt : Éric Proffit-Brulfert rempile ! : À Menucourt, Éric Proffit-Brulfert (dvg) l’emporte dès le premier tour. Il est aux commandes de la ville depuis 2001 », La Gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    26. Centre de rééducation de Menucourt.
    27. « Menucourt : la Châtaigneraie a 20 ans. », Le Petit Journal de Sagy, Mensuel 190, (lire en ligne).
    28. Véronique Daver et Hautem Bali, « Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Menucourt », Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol. I, , p. 368-369 (ISBN 2-84234-056-6).
    29. Famille de Garencières

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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