Massat

Massat (occitan : Maçat) est une commune française, située dans le département de l'Ariège en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Massat (homonymie).

Massat

Chapelle de l'Ave Maria de Massat

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Ariège
Arrondissement Saint-Girons
Intercommunalité Communauté de communes Couserans-Pyrénées
Maire
Mandat
Michel Loubet dit Gajol
2020-2026
Code postal 09320
Code commune 09182
Démographie
Gentilé Massatois
Population
municipale
685 hab. (2018 )
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 53′ 23″ nord, 1° 20′ 55″ est
Altitude 651 m
Min. 598 m
Max. 1 941 m
Superficie 44,71 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Couserans Est
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Massat
Géolocalisation sur la carte : Ariège
Massat
Géolocalisation sur la carte : France
Massat
Géolocalisation sur la carte : France
Massat

    Ses habitants sont appelés les Massatois.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Massat se trouve dans le département de l'Ariège, en région Occitanie[1].

    Elle se situe à 23 km à vol d'oiseau de Foix[2], préfecture du département, à 20 km de Saint-Girons[3], sous-préfecture, et à 15 km de La Bastide-de-Sérou[4], bureau centralisateur du canton du Couserans Est dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Girons[1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[5] : Boussenac (2,4 km), Biert (2,9 km), Le Port (3,0 km), Ercé (6,5 km), Aleu (6,7 km), Soulan (9,7 km), Sentenac-de-Sérou (9,8 km), Esplas-de-Sérou (9,8 km).

    Sur le plan historique et culturel, Massat fait partie du Couserans, pays aux racines gasconnes structuré par le cours du Salat (affluent de la Garonne), que rien ne prédisposait à rejoindre les anciennes dépendances du comté de Foix[6].

    Massat est limitrophe de six autres communes[7].

    Carte de la commune de Massat et de ses proches communes.

    Commune de la communauté de communes Couserans - Pyrénées et du parc naturel régional des Pyrénées ariégeoises située dans les Pyrénées en Couserans près du Col de Port.

    Hydrographie

    La commune est arrosée par l'Arac, un affluent du Salat.

    Géologie

    La superficie de la commune est de 4 471 hectares ; son altitude varie de 598 à 1 941 mètres[9].

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 10,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 6,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 934 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,5 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat semi-continental », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[11]. À l'ouest du département, le climat océanique, avec ses entrées d’air atlantique, apporte des perturbations qui arrosent les reliefs[12].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[13]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[10].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[14] complétée par des études régionales[15],[16] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Soulan », sur la commune de Soulan, mise en service en 1975[17]et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[18],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de précipitations de 1 218,5 mm pour la période 1981-2010[19]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Girons », sur la commune de Lorp-Sentaraille, mise en service en 1949 et à 23 km[20], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[21], à 12,3 °C pour 1981-2010[22], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[23].

    Urbanisme

    Typologie

    Massat est une commune rurale[Note 4],[24]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[25],[26]. La commune est en outre hors attraction des villes[27],[28].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (83,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (85,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (65,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (18,3 %), zones agricoles hétérogènes (15,4 %), zones urbanisées (0,6 %), prairies (0,6 %)[29].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Voies de communication et transports

    Accès avec les routes départementales D 18, D 318 et D 618 (ex route nationale 618). Plusieurs cols routiers permettent d'atteindre différentes localités hors de la vallée de l'Arac : Le col de Caougnous (Foix, Saurat, Tarascon-sur-Ariège, Rimont...), le port de Lers (Auzat, Val-de-Sos, Tarascon-sur-Ariège, Ax-les-Thermes...) ou encore le col de Saraillé (Oust, Ercé, Aulus-les-Bains).

    Histoire

    Parcourues à l'époque paléolithique par des tribus rupestres qui laissèrent quelques traces dans les grottes ornées du Ker, les vallées de Massat, sauvages et isolées, n'ont été peuplées qu'à partir du XIe siècle.[réf. nécessaire]

    Il s'agit d'une "colonisation", encouragée par les seigneurs de Lomagne pour mettre en valeur ce territoire et résoudre dans leurs domaines un grave problème de surpopulation.

    À partir de 1146, plusieurs chartes de franchises précisent les droits réciproques des habitants et des seigneurs.

    La vallée s'oriente vers une activité industrielle durant presque sept siècles : fabrication de charbon de bois et fonte du minerais de fer dans cinq forges à la catalane. À partir de 1850, avec la découverte du moyen de fondre le fer avec le charbon de houille, la prospérité industrielle de la vallée disparaît.

    Ici se situe l'épisode le plus fameux de "la Guerre des Demoiselles", dernière grande jacquerie de l'histoire de France conséquence de la promulgation du Code forestier en 1828.

    Il ne reste, au XIXe siècle, qu'une activité agricole, essentiellement pastorale, pour une importante production de beurre. Avec un très fort exode rural, amplifié par la guerre de 1914-1918, la vallée se dépeuple vite : 17 000 habitants en 1800 et 1 700 aujourd'hui.

    La commune de Massat est emblématique d'une forte tradition républicaine : le , après l'anéantissement du maquis d'Ezes par l'armée allemande, un détachement de la milice s'empara dans la mairie de l'effigie maçonnique de Marianne qui fut symboliquement fusillée.

    [réf. nécessaire]

    À partir des années 1970, l'arrivée de néo-ruraux renverse lentement cette tendance. La seule commune de Massat a vu sa population croître de 16,4 % en quatre ans et l'âge moyen s'abaisser de huit ans. Cette situation induit parfois quelques problèmes de cohabitation entre les nouveaux arrivants et la population traditionnelle[30].

    Les statistiques de la Gendarmerie nationale rangent la vallée parmi les plus paisibles du territoire, bien loin derrière les moyennes nationales en matière de crimes et délits.

    L'école de Massat accueille aujourd'hui autant d'enfants qu'en 1956, mais seuls 9 % d'entre eux sont issus de familles authentiquement massatoises.

    [réf. nécessaire]

    Le , France inter diffuse un numéro de l'émission Il existe un endroit consacré à ce village : « Cela se passe en France, au beau milieu des Pyrénées, dans un département méconnu voire oublié, où sont tentés des modèles de vie bien singuliers : l'Ariège. Impossibles à mécaniser, les montagnes ariégeoises, après avoir été désertées par les paysans dans les années 60, ont laissé la place à de nombreux migrants en quête d'une autre manière de vivre, loin du consumérisme et du matérialisme, depuis les hippies des années 70 jusqu'aux néo-ruraux d'aujourd'hui. On croise dans ces montagnes qui semblent parfois coupées du monde moderne, des milliers de familles qui inventent des modes de vie surprenants : habitations-cabane, vie en autoproduction, enfants qui font l'école à la maison. Les habitants n'ont pas toujours internet, et vivent parfois à plusieurs heures de marche dans la montagne. C'est aussi au Maxil que nous nous installerons, le bar-restaurant devenu le QG de la vallée de Massat, pour les croiser, et pour découvrir avec eux, leur pays si fascinant et si méconnu »[31].

    Héraldique

    Blasonnement :
    Coupé : au 1er parti au I d'argent à deux loups d'azur armés et langués de gueules l'un au-dessus l'autre, au II d'or à trois pals alésés combinés en pointe avec une fasce aussi alésée, le tout de gueules; au 2e d'azur à six losanges de gueules, trois mal ordonnés à dextre et trois mal ordonnés à senestre et au chef denché et cousu de gueules ; sur le tout, de gueules à l'ours debout de sable langué et armé d'argent[32].

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 500 et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de quinze[33],[34].

    Rattachements administratifs et électoraux

    Commune faisant partie de l'arrondissement de Saint-Girons de la communauté de communes Couserans - Pyrénées et du canton du Couserans Est (avant le redécoupage départemental de 2014, Massat était le chef lieu de l'ex-Canton de Massat) et avant le elle faisait partie de la communauté de communes du canton de Massat. Elle fait aussi partie du syndicat des montagnes Le Port-Massat et du Pays de l'ours Adet.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 En cours Michel Loubet Dit Gajol DVG Artisan retraité
    mars 2001 mai 2020 Léon Pierre Galy-Gasparrou GAUCHE RADICALE LFI Universitaire
    1996 mars 2001 Jean Lapène PS Fonctionnaire
    juin 1995 1996 Jacques Galy-Fajou PS Enseignant
    juin 1995 Alain Massé PS Préparateur en Pharmacie
    1923 Georges Galy-Gasparrou Radical socialiste Magistrat, Conseiller Général, Député, Ancien Ministre
    1921 1923 Jean-Marie Servat SE Pharmacien, Maire par délégation.Doyen du Conseil Municipal au décès du Maire en 1921 est nommé Maire par délégation par le préfet puisque l'élu du Conseil, au terme de trois scrutins successifs, n'avait pas les Vingt cinq ans révolus imposés alors par la loi pour exercer ce mandat.
    1876 1921 Léon Galy-Gasparrou Radical socialiste Notaire, Conseiller Général, Député.
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[36].

    En 2018, la commune comptait 685 habitants[Note 5], en diminution de 0,29 % par rapport à 2013 (Ariège : +0,25 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7 0737 0737 6388 4749 3227 1809 0018 8633 922
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    3 8624 0314 1404 1574 0844 0883 9123 7043 540
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    3 0143 2673 0582 5372 5442 0051 7501 4141 057
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    849746711598624589685693675
    2018 - - - - - - - -
    685--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    La chute de la population en 1851 s'explique notamment par la création des communes de Biert et du Port[37].

    Économie

    Petit bourg assez éloigné des villes ariégeoises, Massat compte les principaux commerces indispensables. La vallée de l'Arac ne disposait plus de pompes à carburant depuis 2003, il aura fallu attendre 8 ans et l'appui des collectivités territoriales pour qu'une station automatisée[39] soit mise en service le .

    Le principal employeur de la commune et de la vallée de l'Arac est sans contestation la maison de retraite Servat (EHPAD)[40]. Sa capacité d’accueil est de 50 résidents seuls ou en couples, âgés de plus de 60 ans, personnes valides ou dépendantes.

    Vie locale

    Enfant massatois (XIXe siècle)

    Enseignement

    Massat compte une école primaire publique ainsi qu'une crèche collective multi-accueil.

    Santé

    Outre l'EHPAD - résidence Servat, la commune est dotée d'une maison de santé pluridisciplinaire, d'une pharmacie, d'un prestataire ambulancier.

    Culture

    Chaque année depuis 1981, l'association Massat Musique Montagne[41] organise fin juillet un stage de chant choral en alternance avec des randonnées en montagne. Concerts publics en clôture.

    Le bourg est doté depuis 2015 d'une salle polyvalente.

    L'Azinat de Massat : voir Cuisine ariégeoise

    L'occitan parlé à Massat, le "massatois", est un dialecte gascon très influencé par le languedocien[42].

    Sports

    Lieu de passage de la 15e étape du Tour de France 2007, 12e étape du Tour de France 2015, 13e étape du Tour de France 2017 ainsi que de la Route du Sud.

    Culture locale et patrimoine

    L'église de la Nativité-de-la-Vierge en septembre 2013.
    La place de l'Église en été
    • Église de la Nativité-de-la-Vierge, achevée en 1725, inscrite à l'inventaire des monuments historiques en 1985 avec son clocher octogonal du XVe siècle.
    • Chapelle de l'Ave-Maria dite chapelle de l'Aisle de Massat.
    • Chapelle Saint-Martin de Massat (chapelle désaffectée et privée). L'édifice est répertoriée dans la Base Mérimée[43],Reconstruite en 1917 en mémoire des victimes de la Grande Guerre.

    Dans les alentours :

    Personnalités liées à la commune

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Cartes

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de Massat », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Massat et Foix », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Massat et Saint-Girons », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Massat et La Bastide-de-Sérou », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. « Communes les plus proches de Massat », sur www.villorama.com (consulté le ).
    6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 300-301.
    7. « Massat, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques », « Limites administratives » et « Hydrographie » activées.
    8. Carte IGN sous Géoportail
    9. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    10. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    11. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    12. [PDF]« Plan Local d’Urbanisme d’Allières – Rapport de présentation », sur wxs-gpu.mongeoportail.ign.fr, (consulté le ), p. 125
    13. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    14. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    15. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    16. [PDF]« Le changement climatique dans les Pyrénées : impacts, vulnérabilités et adaptation. », sur opcc-ctp.org (consulté le ).
    17. « Station Météo-France Soulan - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    18. « Orthodromie entre Massat et Soulan », sur fr.distance.to (consulté le ).
    19. « Station Météo-France Soulan - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    20. « Orthodromie entre Massat et Lorp-Sentaraille », sur fr.distance.to (consulté le ).
    21. « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    22. « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    23. « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    24. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    25. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    26. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    27. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    28. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    29. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    30. « Gendarme ou baba poule? », Libération.fr, (lire en ligne, consulté le ).
    31. « Dans les 7 vallées de Massat et au Maxil, en Ariège », sur Franceinter.fr, (consulté le ).
    32. Armorial de France
    33. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    34. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur https://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Municipales/elecresult__MN2014 (consulté le ).
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    39. non signé, « La station-service automatisée a été inaugurée », La Dépêche du midi, (lire en ligne).
    40. « EHPAD - Résidence Servat », sur ehpad-massat-ariege.fr.
    41. « Massat Musique Montagne », sur massatmusiquemontagne.com.
    42. Jòrdi Deledar et Patrice Poujade, L'Occitan parlé en Ariège, Pamiers, Cercle Occitan Prospèr Estieu/IEO edicions, , 78 p. (ISBN 2-85910-302-3).
    43. « Chapelle Saint-Martin », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    44. « Grotte de la Campagnole, Ker De Massat — FR3800251 », Espace protégé, sur inpn.mnhn.fr, .
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