Machemont

Machemont est une commune française située dans le département de l'Oise (région Hauts-de-France).

Machemont

Église Saint-Sulpice
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité Communauté de communes des Deux Vallées
Maire
Mandat
Dominique Pastot
2020-2026
Code postal 60150
Code commune 60373
Démographie
Gentilé Machemontois, Machemontoises
Population
municipale
749 hab. (2018 )
Densité 118 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 29′ 51″ nord, 2° 52′ 29″ est
Altitude Min. 36 m
Max. 173 m
Superficie 6,33 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Compiègne
(banlieue)
Aire d'attraction Compiègne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Thourotte
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Machemont
Géolocalisation sur la carte : Oise
Machemont
Géolocalisation sur la carte : France
Machemont
Géolocalisation sur la carte : France
Machemont

    Géographie

    Sur une colline à la limite du Bois de Thiescourt, exposées sud, les pentes de ce village étaient jadis plantées de vignes. Désormais, le territoire de la commune se partage entre bois et champs. La terre est riche et grasse. On y trouve très rapidement de la glaise, puis de la craie. D'ailleurs le vieux village en est construit à grosses pierres. Un ruisseau, le Matz, coule à son pied avant d'aller se jeter dans l'Oise.

    Le nom de Machemont serait-il la contraction de "Matz" et de "Mont" ?

    Communes limitrophes

    Machemont se trouve au nord-est du département de l'Oise (arrondissement de Compiègne) entre Noyon et Compiègne, dans le canton de Canton de Thourotte.

    La commune s'est associée avec celle de Chevincourt pour réaliser un regroupement scolaire avec transport en bus entre les deux villages (matin, midi et soir) et avec cantine à Chevincourt.

    La commune partage une station d'épuration avec Chevincourt et Mélicocq.

    En 1996, la commune a joint la communauté de communes des Deux Vallées (Oise et Matz).

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 728 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ribecourt », sur la commune de Ribécourt-Dreslincourt, mise en service en 1976[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de précipitations de 738,4 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, dans le département de l'Aisne, mise en service en 1933 et à 43 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,3 °C pour 1981-2010[12], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Machemont est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Compiègne, une agglomération intra-départementale regroupant 14 communes[17] et 70 699 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18],[19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20],[21].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (54,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (54,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (54,8 %), terres arables (22,1 %), zones urbanisées (12,6 %), prairies (10,5 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Histoire

    Situé dans la vallée de l'Oise au nord de son confluent avec l'Aisne, Machemont se trouvait dans l'aire culturelle de la Gaule belge. Le village s'est donc trouvé ensuite dans la province romaine de Gallia Belgica.

    Moyen Âge

    Saint Amand y vint en 626 prêcher le christianisme et fonda un monastère avec l'autorisation du roi Childéric.

    À l'époque carolingienne (752-987), le village de Machemont dépend du comté de Vermandois (découpage administratif confié par les empereurs francs à un comte chargé de l'administrer en leurs noms). Le Vermandois s'étend de Laon à Saint-Quentin et déborde sur le Noyonnais. Il tire son nom des Viromandui, tribu gauloise jadis très hostile à la conquête romaine.

    Au XIIe siècle, la paroisse de Machemont passe sous l'autorité religieuse et temporelle des seigneurs évêques de Noyon. Ils prennent leur indépendance politique à la faveur de la chute des Carolingiens dans une région convoitée par les premiers Capétiens au sud, les comtes de Champagne à l'est et les comtes de Flandres au nord.

    Dans ce contexte, en 1103, un prieuré bénédictin est fondé par l'abbaye Saint-Martin de Tournay dans un petit val appelé "Fond Dieu" où jaillit une source déjà dédiée à saint Amand. Il faut y voir là un ancien lieu de culte celte (un nemeton) recyclé par les religieux en lieu de dévotion chrétien. Le paganisme gallo-romain est encore très imprégné dans les campagnes franques à cette époque. Les moines et les prêtres chrétiens n'ont alors de cesse de transformer tous les lieux de cultes anciens pour en faire les vecteurs de la nouvelle foi. Saint Amand est d'ailleurs, dans l'hagiographie médiévale, celui qui christianisa la Gaule belgique.

    Ce prieuré a été détruit lors de la Révolution. Aujourd'hui, il reste quelques vestiges de l'enceinte (un bâtiment, une porte et une petite tour à deux niveaux avec escalier à vis accolée et meurtrières).

    1914-1918

    La Première Guerre mondiale est un mauvais souvenir dans la commune. La région a été traversée à plusieurs reprises par les armées et la ligne de front restera durablement à proximité de la commune durant toute la guerre. Aussi, les carrières de craie du massif de Thiescourt seront souvent utilisées pour cantonner les hommes de troupe[24]. D'ailleurs, le village et le hameau de Montigny (au nord-ouest - dont il ne reste aujourd'hui qu'un corps de ferme et quelques maisons en partie ruinées) furent le secteur de cantonnement du 86e régiment d'infanterie, avec ravitaillement par une voie ferrée de 0,60 m pour Decauville.

    La commune a été décorée de la Croix de guerre.

    Les évènements principaux qui ont marqué la commune sont les suivants :

    •  : Machemont est occupée une première fois lors de l'offensive allemande par l'aile droite allemande (1re armée von Kluck),
    •  : Après la bataille de la Marne, la commune est libérée le 17 lors de la course à la mer par le 38è RI de la 2è armée (Castelnau). Le front se fixe au nord de Ribécourt.
    •  : l'armée allemande réduit son front entre Arras et Soissons et évacue Noyon pour se retirer sur la Ligne Hindenburg.
    •  : lors de la dernière des offensives Ludendorff du printemps 1918, défendu par la 72e division d'infanterie, le village sera occupé et détruit pendant la bataille du Matz.
    •  : après les contre-offensives française qui concluent en juillet la seconde bataille de la Marne, l'initiative est passé dans le camp allié. Le déclenchement le d'une offensive à Amiens visant à récupérer le terrain perdu au printemps impacte la situation sur le Matz. En effet, le succès de l'attaque initiale franco-anglaise, invite l'armée française à élargir chaque jour son effort par bond successif vers le sud en faisant glisser ses moyens d'artilleries le long du front. Conjointement à cette dynamique, le Matz est franchie dès le et Machemont est définitivement libérée.

    1939-1945

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1981   André Waroquier    
    Les données manquantes sont à compléter.
      1995 René Guéry    
    1995 2008 André Faure    
    2008 En cours
    (au 20 septembre 2020[25])
    Dominique Pastot   Retraité
    Vice-président de la CC des Deux Vallées (2014 → )
    Réélu pour le mandat 2020-2026[26]

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[28].

    En 2018, la commune comptait 749 habitants[Note 7], en augmentation de 7,46 % par rapport à 2013 (Oise : +1,44 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    474524567650602596614634657
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    577567619563548502510472476
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    413430378304409469472437468
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    630719665592687748753728690
    2018 - - - - - - - -
    749--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (22,3 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,5 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (52,4 % contre 48,4 % au niveau national et 49,3 % au niveau départemental).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 52,4 % d’hommes (0 à 14 ans = 20,9 %, 15 à 29 ans = 17,3 %, 30 à 44 ans = 19,2 %, 45 à 59 ans = 23,1 %, plus de 60 ans = 19,4 %) ;
    • 47,6 % de femmes (0 à 14 ans = 16,8 %, 15 à 29 ans = 12,7 %, 30 à 44 ans = 20,8 %, 45 à 59 ans = 24,3 %, plus de 60 ans = 25,5 %).
    Pyramide des âges à Machemont en 2007 en pourcentage[31]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90  ans ou +
    0,9 
    5,0 
    75 à 89 ans
    6,4 
    13,9 
    60 à 74 ans
    18,2 
    23,1 
    45 à 59 ans
    24,3 
    19,2 
    30 à 44 ans
    20,8 
    17,3 
    15 à 29 ans
    12,7 
    20,9 
    0 à 14 ans
    16,8 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2007 en pourcentage[32]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90  ans ou +
    0,8 
    4,5 
    75 à 89 ans
    7,1 
    11,0 
    60 à 74 ans
    11,5 
    21,1 
    45 à 59 ans
    20,7 
    22,0 
    30 à 44 ans
    21,6 
    20,0 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    19,9 

    Lieux et monuments

    • Les ruines de l'abbaye avec le château de Saint-Amand,
    • le château de Roberville,
    • le moulin sur le Matz,
    • les carrières de craie. Elles servirent de cantonnement pendant la Première Guerre mondiale (nombreuses sculptures de soldats sur les murs) - (voir chapitre des associations).
    • L'église Saint-Sulpice de Machemont est récente (1930), elle remplace celle détruite en 1918.
    • Face à la mairie et devant l'église du village, s'élèvent le monument aux morts communal et un monument dédié aux 86è RI, le 38è RI, 53è RA. et le 4è Génie. Il y est inscrit "À la mémoire des braves tombés au champ d'honneur autour de Machemont, Attichy, La Carmoy et Les Ecouvillon".
    • Au hameau de Montigny, un monument y fut élevé par le 86è RI, le 38è RI, le 53è RA. et le 4è Génie "A la mémoire des braves tombés au champ d'honneur autour de la Carmoy". Ce monument porte l'inscription "Ils sont tombés là, fauchés par la mort au cours d'une ardente défense. O passants, enviez leur sort : ils ont régénéré la France".
    • Au lieu-dit du Pont du Matz, une borne commémorative coiffée d'un casque Adrian indique la limite extrême de l'avance des armées allemandes en 1918.

    Activités et manifestations

    • Le feu de la Saint Jean,
    • La Choule,
    • La fête communale le dernier week-end d'août,
    • Le rallye touristique de l'association La Puce Savante,
    • Site naturel de pêche (parcours le long du Matz, du ru de Saint-Amand et dans l'étang communal).
    • Chemins de randonnée (boucles de 11, 13 et 25 km).

    Machemont entre l'Univers et la Puce

    Initié en 1983 par Mme Rina Singer (déjà connue des plus jeunes du village par ses conférences sur l'astronomie à l'école[33]) et par l'association Passerelle 2000[33], Machemont a fait l'objet d'un événement culturel pilote axé sur la confrontation de sa population (rurale) avec "L'ordinateur"[33] (généralité représentant le monde informatique). Cet événement a été structuré par :

    L'initiative s'est conclue après une année et demi, par "Le Procès de L'ordinateur"[33]. Sous un chapiteau dressé dans la cour de l'école, ce procès a été instruit par des habitants volontaires (accusation et défense préparées en deux équipes différentes) devant la population et la presse. À l'issue des témoignages et débats, les habitants se sont prononcés par vote sur la culpabilité de l'ordinateur (oui ou non) puis sur sa peine (acquittement, mise sous contrôle démocratique, destruction). Finalement, l'ordinateur a été jugé non coupable mais placé sous contrôle démocratique[33].

    Le logo de Machemont

    En 1996, la mairie propose aux habitants de participer à un concours dont l'objet est de dessiner le logo du village. Le lauréat (Wilfrid Bouré[34]) a été dévoilé le lors des vœux du maire[35]. Son logo représente le clocher de l'église en lignes stylisées et ombrées noires. Ce clocher est encadré en haut d'un trait courbe vert, représentant la colline du village couverte de forêt, et en bas d'un trait bleu rectiligne représentant le Matz.[35]

    Pour la petite histoire : l'église de Machemont a été reconstruite après la Première Guerre mondiale. Or depuis son clocher présente une silhouette curieuse s'apparentant à celle d'une tête humaine coiffée d'un chapeau conique. Cet effet (paréidolie), connu des habitants, n'apparaît pas lorsqu'on se promène dans les rues proches de l'église. Il est conseillé de se rendre sur la route de Chevincourt pour le remarquer, ou d'attendre des journées brumeuses. Il est donc impossible de fixer ce mirage par photographie. Lors de ses études, l'auteur a cherché à restituer cet effet afin que les habitants s'approprient le futur logo. Après bien des essais, c'est finalement l'emploi d'une photocopieuse, réglée pour contraster très fortement des photos du clocher, qui a permis de révéler l'illusion d'optique.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Ribecourt - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Machemont et Ribécourt-Dreslincourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Ribecourt - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Machemont et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 de Compiègne », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Compiègne », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. Courrier picard, 22 janvier 2017, édition Somme, p. 18 et 19.
    25. « La rue de l’Eglise sécurisée à Machemont », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Nous avons voulu donner un accès aux personnes à mobilité réduite, explique le maire, Dominique Pastot ».
    26. « Commune de Machemont », Les communes adhérentes, sur https://www.deuxvallees.fr, (consulté le ).
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    31. « Évolution et structure de la population à Machemont en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    32. « Résultats du recensement de la population de l'Oise en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    33. Jean Chaguiboff, Sophie Tievant, Jeanine Chauvin, Les Ordinateurs de Machemont, Direction de l'Architecture et du Patrimoine, (lire en ligne), p. 24, 82, 117, 126, 129, 133, 135, 143, 158.
    34. « Machemont a son logo », Le_Courrier_picard, , p. 16 (lire en ligne)
    35. S.A., « Machemont, cérémonie des vœux communaux », Oise_Hebdo, , p. 33, numéro 151 (lire en ligne)
    • Portail de l’Oise
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.