Latour-de-France

Latour-de-France est une commune française située dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie.

Latour-de-France
La Tor de França

L'exposition nord-ouest.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Pyrénées-Orientales
Arrondissement Prades[1]
Intercommunalité Communauté de communes Agly Fenouillèdes
Maire
Mandat
Marc Carles
2020-2026
Code postal 66720
Code commune 66096
Démographie
Gentilé Tourils[2]
Population
municipale
1 033 hab. (2018 )
Densité 74 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 46′ 10″ nord, 2° 39′ 14″ est
Altitude Min. 77 m
Max. 422 m
Superficie 13,94 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Perpignan
(commune de la couronne)
Élections
Départementales La Vallée de l'Agly
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales
Latour-de-France
La Tor de França
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales
Latour-de-France
La Tor de França
Géolocalisation sur la carte : France
Latour-de-France
La Tor de França
Géolocalisation sur la carte : France
Latour-de-France
La Tor de França

    Ses habitants sont appelés les Tourils.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Latour-de-France se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[3].

    Elle se situe à 21 km à vol d'oiseau de Perpignan[4], préfecture du département, à 25 km de Prades[5], sous-préfecture, et à 18 km de Rivesaltes[6], bureau centralisateur du canton de la Vallée de l'Agly dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[3]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Perpignan[3].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[7] : Planèzes (2,8 km), Montner (3,0 km), Rasiguères (3,6 km), Estagel (3,8 km), Cassagnes (4,6 km), Maury (6,8 km), Bélesta (6,8 km), Lansac (7,5 km).

    Sur le plan historique et culturel, Latour-de-France fait partie du Fenouillèdes, une dépression allongée entre les Corbières et les massifs pyrénéens recouvrant la presque totalité du bassin de l'Agly. Ce territoire est culturellement une zone de langue occitane[8].

    Communes limitrophes de Latour-de-France[9]
    Rasiguères
    (par un quadripoint)
    Maury
    Planèzes Estagel
    Cassagnes Montner
    Situation de La commune.

    Géologie et relief

    La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[10].

    Hydrographie

    le pont sur l'Agly depuis la rue de l'hôpital

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 14,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 0,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 10,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 580 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 6,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 2,9 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[11]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[12].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[13]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[11].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[14] complétée par des études régionales[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Thuir », sur la commune de Thuir, mise en service en 1993[16]et qui se trouve à 17 km à vol d'oiseau[17],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 15 °C et la hauteur de précipitations de 576,3 mm pour la période 1981-2010[18]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Perpignan », sur la commune de Perpignan, mise en service en 1924 et à 21 km[19], la température moyenne annuelle évolue de 15,4 °C pour la période 1971-2000[20], à 15,7 °C pour 1981-2010[21], puis à 16,1 °C pour 1991-2020[22].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux : 0[24], d'une superficie de 29 495 ha, sont un site important pour pour la conservation des rapaces : l'Aigle de Bonelli, l’'Aigle royal, le 'Grand-duc d’Europe, le 'Circaète Jean-le-Blanc, le 'Faucon pèlerin, le 'Busard cendré, l’'Aigle botté[25].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[26] : le « massif de la Tourèze » (1 718 ha), couvrant 6 communes du département[27] et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[26] : le « massif du Fenouillèdes » (34 157 ha), couvrant 40 communes dont une dans l'Aude et 39 dans les Pyrénées-Orientales[28].

    Urbanisme

    Typologie

    Latour-de-France est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[29],[30],[31].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[32],[33].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (48,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (49 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (45 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (44,7 %), zones agricoles hétérogènes (3,6 %), forêts (3,4 %), zones urbanisées (3,3 %)[34].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Voies de communication et transports

    La ligne 505 du réseau régional liO relie la commune à la gare de Perpignan depuis Lansac.

    Toponymie

    En catalan comme en occitan, le nom de la commune est La Tor de França, ce qui a la même signification que le français « La Tour de France » qui a été orthographié Latour-de-France par l'administration. Les premières mentions du village apparaissent sous des formes latines de La Tour de Triniac, Triniac étant un lieu-dit situé sur la commune[35].

    Triniacum était le nom d'un domaine gallo-romain, formé à partir du nom du propriétaire Trinius et du suffixe -acum. Il a pris la forme Triniac et d'autres semblables à l'époque romane, la Turris de Triniago étant mentionnée dès le XIe siècle, du nom de la tour fortifiée qui se trouvait dans ce village. Un nouveau village s'est développé sur les bords de l'Agly autour d'une nouvelle forteresse, qui était appelé simplement La Tor ou La Tor de Fenolledès (des Fenouillèdes). Le traité de Corbeil (1258) fixe la frontière du royaume de France et de celui d'Aragon à proximité du village. À partir de ce moment, les Catalans commencent à appeler ce village La Tor de França, nom qui est passé en français et qui a été conservé, même après le traité des Pyrénées rattachant le Roussillon à la France[35].

    Histoire

    L'église Sainte-Eulalie de Trignac est citée en 999. Elle devient un prieuré de l'abbaye de Saint-Pons de Thomières avant 1023. Elle possède la chapelle de Notre-Dame de la Tour, citée en 1056. Sainte-Eulalie est dotée de droits et de terres par les vicomtes de Fenouillet et leurs suzerains les comtes de Besalu. Un fils cadet du vicomte de Fenouillet Udalguier II, nommé Gilbert et encore enfant, y devient moine en 1144 en apportant aux possessions de Sainte-Eulalie une ferme située à Peyrelade (aujourd'hui à Saint-Paul-de-Fenouillet). En 1180 son prieur est Pierre de la Tour. L'église est attribuée en 1271 à l'archevêque de Narbonne, il n'y a certainement plus de moines ni de prieurs à Sainte-Eulalie après cette date.

    Le chevalier Ermengaud de la Tour est cité en 1049 et ses descendants possèdent la seigneurie au treizième siècle. En 1315, Guilhem du Vivier en est le seigneur, il possède aussi Le Vivier et Montfort-sur-Boulzane.

    Latour-de-France, le grau de Maury, le château de Quéribus

    Politique et administration

    Administration municipale

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[36]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1790 1791 Jean-Pierre Guizard    
    1791 1796 Paul Tisseyre    
    1796 1797 Louis Coronnat    
    1797 1799 Charles Chaubet    
    1799 1815 Pierre Castelneau    
    1815 1816 Pierre Gironne    
    1816 1818 Cahrles Daniel    
    1818 1819 Bernard Chaubet    
    1819 1830 Joseph Moulenat    
    1830 1834 Théodore Rousaud    
    1834 1836 Jean-Romain Devy    
    1836 1837 Marcelin Trilha    
    1837 1843 Urbain Tiffou    
    1843 1843 Charles Coronnat    
    1843 1848 Jean-Romain Devy    
    1848 1848 Louis Moulenat    
    1848 1851 Auguste Trilha    
    1851 1854 Jean-Joseph Devy    
    1854 1865 Charles Coronnat   Tonnelier[37]
    1865 1870 Pierre Simon Barthe    
    1870 1871 François Alazet    
    1871 1878 Eugène de Boixo    
    1878 1879 François Pech    
    1879 1881 Paul Dales    
    1881 1882 Antoine Gironne    
    1882 1882 Augustin Alazet    
    1882 1890 Paul Dales    
    1890 1908 Irénée Alazet    
    1908 1919 Émile Pagnon    
    1919 1924 Gisbert Bocabarteille    
    1924 1945 Hippolyte Marty    
    1945 1947 Louis Pla    
    1947 1959 Raoul Cazenove    
    1959 1971 Henri Conte SFIO Viticulteur, inspecteur de la Caisse nationale du crédit agricole (1956-1957)
    attaché permanent au groupement interprofessionnel des VDN (1957-1971)
    gérant de la SCA de vinification du roc de l’Abeille
    gérant de carrières à Espira-de-l'Agly et Latour-de-Carol
    Conseiller général du Canton de Vinça (1958-1964)
    1971 1989 Honoré Carles    
    1989 1995 Joseph Ferrer    
    1995 2001 Gilbert Pélissier    
    mars 2001 2008 Michel Sol    
    mars 2008 mars 2014 Jean-José Colomes[38]    
    mars 2014 2020 Michel Pigeon[39] SE Retraité
    mai 2020 En cours Marc Carles   Policier retraité

    Canton

    La commune est le chef-lieu du canton éponyme, qui dépend de la deuxième circonscription des Pyrénées-Orientales dont le député est Fernand Siré (UMP, maire de Saint-Laurent-de-la-Salanque).

    Population et société

    Démographie ancienne

    La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).

    Évolution de la population
    1693 1709 1720 1744 1774 1788 1789 1790
    228 f200 f200 f856 H200 f707 H173 f771 H
    (Sources : Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9))

    Démographie contemporaine

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[41].

    En 2018, la commune comptait 1 033 habitants[Note 9], en diminution de 2,46 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Orientales : +2,95 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    6977458891 1251 2171 2271 2591 2811 214
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2411 2511 3261 3641 5101 5191 3531 3751 351
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 3181 2851 2371 3571 1101 0661 0631 0071 038
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    1 0021 0471 0191 0788338851 0461 0651 037
    2018 - - - - - - - -
    1 033--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[42] puis Insee à partir de 2006[43].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[44] 1975[44] 1982[44] 1990[44] 1999[44] 2006[45] 2009[46] 2013[47]
    Rang de la commune dans le département 54 60 68 77 78 78 80 84
    Nombre de communes du département 232 217 220 225 226 226 226 226

    Manifestations culturelles et festivités

    • Fête patronale et communale : 15 et [48] ;
    • Foire : [48].

    Sports

    • École Catalane de Combat Médiéval[49].

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 21 790 [50].

    Entreprises et commerces

    Spécialisé dans la viticulture (cf. le film Wine Calling).

    Viticulture

    La commune est située dans l'aire d'appellation de l'IGP « Côtes-catalanes ».

    Culture locale et patrimoine

    Monuments et lieux touristiques

    Personnalités liées à la commune

    • Gabriel Deville (1751-1796) : évêque constitutionnel du diocèse de Perpignan, né et mort à Latour-de-France ;
    • Pierre-Guillaume-Paul Coronnat (1845-1909) : général français né à Latour-de-France dont le père, Charles, est maire de la commune de 1854 à 1867 ;
    • Guy Malé (1930-1987) : homme politique ayant passé son enfance à Latour-de-France.
    • Claude Colomer ( 1934- 2012): Enseignant chercheur et bienfaiteur du village

    Héraldique

    Blason
    D'azur à la tour d'argent, ouverte et ajourée de sable ; au chef cousu de gueules chargé de trois besants d'or[52].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Aubin Coumes, Cela se passait autrefois, Nîmes, Les presses du castellum, , 224 p. (autobiographie d'un ancien habitant de Latour-de-France).

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[23].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Modification des limites territoriales des arrondissements », Préfet des Pyrénées-Orientales.
    2. Latour-de-France sur le site officiel de la commune.
    3. « Métadonnées de la commune de Latour-de-France », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Latour-de-France et Perpignan », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. Stephan Georg, « Distance entre Latour-de-France et Prades », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    6. Stephan Georg, « Distance entre Latour-de-France et Rivesaltes », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    7. « Communes les plus proches de Latour-de-France », sur www.villorama.com (consulté le ).
    8. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 203-204.
    9. « Plan séisme » (consulté le ).
    10. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    11. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    12. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    13. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    14. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    15. « Station Météo-France Thuir - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    16. « Orthodromie entre Latour-de-France et Thuir », sur fr.distance.to (consulté le ).
    17. « Station Météo-France Thuir - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    18. « Orthodromie entre Latour-de-France et Perpignan », sur fr.distance.to (consulté le ).
    19. « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    20. « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    21. « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    22. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    23. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Latour-de-France », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    25. « Liste des ZNIEFF de la commune de Latour-de-France », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    27. « ZNIEFF le « massif du Fenouillèdes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    28. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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    30. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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    32. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    33. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
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