L'Albenc

L'Albenc est une commune française située dans le département de l'Isère, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

L'Albenc

L'église de L'Albenc.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Isère
Arrondissement Grenoble
Intercommunalité Saint-Marcellin Vercors Isère Communauté
Maire
Mandat
Albert Buisson
2020-2026
Code postal 38470
Code commune 38004
Démographie
Gentilé Albinois(es)
Population
municipale
1 279 hab. (2018 )
Densité 130 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 13′ 33″ nord, 5° 26′ 28″ est
Altitude Min. 170 m
Max. 437 m
Superficie 9,86 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Saint-Marcellin
(banlieue)
Aire d'attraction Grenoble
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Sud Grésivaudan
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
L'Albenc
Géolocalisation sur la carte : Isère
L'Albenc
Géolocalisation sur la carte : France
L'Albenc
Géolocalisation sur la carte : France
L'Albenc
Liens
Site web albenc.sud-gresivaudan.org

    Rattachée autrefois à la province royale du Dauphiné, la commune est adhérente à la communauté de communes de Saint-Marcellin Vercors Isère Communauté depuis la création de cette dernière, le .

    Relevant du patrimoine de la commune, le château de l'Albe est un monument répertorié à l'inventaire des monuments historiques de France[1].Ses habitants sont appelés les Albinois(es).

    Géographie

    Localisation

    La commune se situe à vol d'oiseau à 25 kilomètres à l'ouest de Grenoble, à 20 kilomètres au sud-ouest de Voiron et à 35 kilomètres au nord-est de Romans-sur-Isère dans la basse vallée du Grésivaudan.

    Communes limitrophes

    Relief et géologie

    D'un point de vue altimétrique le village possède une amplitude de 267 mètres, le point le plus haut sur la commune se situe à 437 mètres dominant les hameaux de Chapuisière et de la Pierre Brune. Le point le plus bas se situe sur les berges de l'Isère à 170 mètres d'altitude. Les principaux reliefs de ce village sont le Malan (373 mètres) juste au sud du Bourg, le mont Larron (384 mètres) et la Côte Belle culminant à 437 mètres[2].

    Hydrographie

    L'Isère traverse et coupe le village en deux parties (la plus grande partie dont le bourg et les principaux hameaux sont situés sur la rive droite). Plusieurs ruisseaux se jettent dans la rivière, sur sa rive droite s'écoulent, la Lèze et le fossé des Mortes, sur sa rive gauche, le Versoud.

    Climat

    Pour un article plus général, voir Climat de l'Isère.

    La partie occidentale du territoire de l'Isère où se situe la ville de Poliénas est formée d'une grande plaine (la vallée de l'Isère) à l'ambiance tempérée, de bas plateaux et de collines assez peu élevées au climat un peu plus rude. Du fait du relief peu accentué, les masses d'air venues du nord et du sud circulent assez aisément.

    Voies routières

    Entrée de l'aire de repos de l'Albenc sur l'A49

    La route départementale 1092 (RD1092), qui relie Romans-sur-Isère et Voiron se dénommait avant son déclassement route nationale 92. Cette voie traverse le bourg et le territoire communal selon un axe nord-est - sud-ouest.

    L'autoroute A49 qui traverse la commune possède une sortie toute proche à Vinay et héberge une aire repos située sur le territoire communale, portant le nom de la commune de l'Albenc.

    Transports routiers

    Le transport interurbain est assuré via le réseau Transisère, dépendant du département de l'Isère et rassemblant tous les transporteurs. Le territoire de L'Albenc est ainsi desservie par les lignes :

    Transports ferroviaires

    L'ancienne gare SNCF de l'Albenc ayant été fermée [Quand ?], les habitants souhaitant rejoindre le réseau ferré des transports express régionaux peuvent se rendre aux gares suivantes via la ligne no 61 des TER Rhône-Alpes : (Grenoble - Valence) :

    Urbanisme

    Typologie

    L'Albenc est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Marcellin, une agglomération intra-départementale regroupant 8 communes[6] et 20 941 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[7],[8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Grenoble dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 204 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[9],[10].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (81,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (48 %), zones agricoles hétérogènes (20,7 %), forêts (14,7 %), terres arables (7,9 %), zones urbanisées (5,6 %), eaux continentales[Note 3] (3,2 %)[11].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].

    Hameaux, leux-dits et écarts

    Hameaux de Chapuisière et de la Pierre Brune.

    Sur la rive gauche de l'Isère :

    • Les Verts et l'Île Frappat sont les deux lieux-dits de ce côté de la rivière. C'est sur cette zone que passe le Versoud avant de se jeter dans l'Isère. Ces deux lieux ne sont pas habités.

    Sur la rive droite :

    • Cette rive abrite toutes les zones d'habitations du village, elles sont réparties sur plusieurs hameaux dont le centre du village le long de la RD 1092. Parmi les autres hameaux se trouvent l'Etournel, la Croix Rouge, la Bouchetière (dont la majeure partie se trouve dans la commune de Vinay), la Caminière, la Riquetière

    Risques sismiques

    L'ensemble du territoire de la commune de L'Albenc est situé en zone de sismicité no 4 (sur une échelle de 1 à 5), en limite de la zone no 3 qui se situe vers l'ouest et le nord-ouest du département de l'Isère[13].

    Terminologie des zones sismiques[14]
    Type de zoneNiveauDéfinitions (bâtiment à risque normal)
    Zone 4Sismicité moyenneaccélération = 1,6 m/s2

    Toponymie

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    Plusieurs hypothèses essaient d'expliquer l'origine du nom de cette commune.[évasif] Albenc pourrait être une altération du mot alpenc, on retrouve dans ce dernier les Alpes dont le nom est apparu dès le Ier siècle av. J.-C. et qui est issu d'une racine celtique ou pré-celtique alp désignant une hauteur, une montagne. L'alternance entre le B et le P étant assez courante, l' Alpenc serait alors devenue l' Albenc. La terminaison du nom en -enc est d'origine ligure et désignerait la proximité ou l'appartenance. Ainsi l' Alb-enc voudrait littéralement dire à proximité de la montagne[réf. nécessaire].

    Une seconde hypothèse se réfère à l'occitan albenc, éclatant de blancheur, du latin albus, blanc. Couleur de la neige qui pouvait à l'époque recouvrir les sommets environnants ou du sable qui constitue le sous-sol du village[15],[16] ? Plus vraisemblablement la teinte des peupliers blancs (alba en occitan) du bord de l'Isère.

    Histoire

    Pour un article plus général, voir Histoire de l'Isère.

    Moyen-Âge

    Aux alentours de l’an 1070, le seigneur Jocelyn II revient de la Motte aux Bois. Après avoir traversé le hameau de l'Alben, il suit le chemin le long des marais de Cras en direction de Castro Novo, situé sur les terres de Poliénas.

    Jocelyn fait bâtir à la Motte-aux-Bois une chapelle pour y déposer les reliques de saint Antoine l'Égyptien. Il a honoré le vœu prononcé par son défunt père, Guillaume le Cornu.

    Quelques années plus tard, s'élève à cet endroit une forteresse en pierres, construite et agrandie par les barons de Châteauneuf qui succédèrent à Jocelyn jusqu'au XVIe siècle. Bâti au sommet de la colline, protégé par deux enceintes, le château ne fut pris pour la première fois qu'au cours des guerres de religion.

    Au début du XIIe siècle, un hameau important prospère au lieu-dit de Meyrins, en direction de Chapuisière. Là se trouve l'église paroissiale Saint-Eusèbe. Il ne reste aucune trace du bâtiment qui figure dans le pouillé de 1497.

    À la fin du XIVe siècle, l'église Sainte-Marie-de-l'Albenc dirigée par le curé Cappellanus est mentionnée pour la première fois. Elle comporte neuf chapelles. Au XVe siècle, Meyrins est rattaché à l'Albenc. Les deux églises ne forment plus qu'une seule paroisse, dépendante de l'évêché de Grenoble. Ses revenus s'élèvent à cent florins.

    Le château de Peccatière a dû être édifié à partir de la fin du XVe siècle. Il porte le nom de ses premiers propriétaires, une riche famille apparue dans la région en 1490 : les Peccat.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    2001 2014 Albert Buisson    
    2014 2020 Ghislaine Zamora UDI Salariée du secteur médical[17]
    2020 En cours Albert Buisson    

    Jumelages

    En 2015, la commune n'est jumelée avec aucune autre commune.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[19].

    En 2018, la commune comptait 1 279 habitants[Note 4], en augmentation de 15,23 % par rapport à 2013 (Isère : +2,28 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0611 0861 1121 1861 0941 3321 3231 3821 335
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2181 1561 1451 005929881903881901
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    851887836724833773740680707
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    6797056537518959911 0591 0691 078
    2013 2018 - - - - - - -
    1 1101 279-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune est rattachée à l'académie de Grenoble.

    Une école publique dispense l'enseignement primaire à l'Albenc. Lors de l'année scolaire 2009-2010, 148 élèves étaient scolarisés dont 52 en école maternelle et 96 en primaire. Les élèves étaient répartis en six classes. L'enseignement secondaire n'est pas assuré sur le territoire communal, le collège le plus proche est le collège Joseph-Chassigneux à Vinay.

    L'école de la ville est gérée par l’inspection générale de l'inspection départementale de l’Éducation nationale 1, rue Joseph-Chanrion à Grenoble[22].

    Manifestations culturelles et festivités

    • Festival de l'Avenir au Naturel (septembre)
    • Feux de la Saint-Jean (juin)

    Médias

    Historiquement, le quotidien à grand tirage Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition du Sud Grésivaudan, un ou plusieurs articles à l'actualité de la ville et de la communauté de communes, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.

    Cultes

    La communauté catholique et l'église de L'Albenc (propriété de la commune) sont rattachées à la paroisse Saint-Joseph-des-deux-rives, elle-même rattachée au diocèse de Grenoble-Vienne[23].

    Économie

    Champs de noyers à L'Albenc.

    La commune est une productrice de noix de l'aire de l’appellation protégée noix de Grenoble. Elle a été très touchée par la tempête des 7 et , qui a détruit plus de 11 000 noyers[24].

    Le commune fait partie de l'aire géographique de production et transformation du « Bois de Chartreuse », la première AOC de la filière Bois en France[25].

    La commune est active dans l'industrie des transports et du mobilier urbain[26].

    Culture locale et patrimoine

    Châteaux

    • Le château de l'Albe égalemeny dénommé château de l'Alba ou encore de Montravel fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques par arrêté du [27]. Construit sur un éperon rocheux et exposé sur le versant sud, cette bâtisse du XVe siècle, rénovée et reconstruite au XVIIIe siècle a été inscrite au titre des monuments historiques notamment grâce à ses façades et ses toitures, ses terrasses avec leurs murs de soutènement, sa salle à manger avec sa fontaine et sa cuisine en rez-de-cave ainsi que son grand salon au rez-de-chaussée et la chambre nord-ouest. Elle témoigne de l'architecture utilisée pour la construction de ces nobles demeures flanquées de tours d'angle, comme il en existe beaucoup en Isère. Le château de Montravel a été construit par la famille du Châtelet en 1578, propriétaire du château fort de Poliénas, grâce aux 60 000 florins d'or que celle-ci reçut en dédommagement du démantèlement dudit château ordonné par de Gordes, présentant une menace pour la région car susceptible d'être pris par les protestants. Montravel appartient aujourd'hui encore aux descendants de cette famille, la famille d'Annoux.
    • Le château de Châteauneuf de l'Albenc : rasé en 1578 par les catholiques lors de la guerre de religion[Laquelle ?] afin de soumettre cette région en majorité protestante, il n'en reste de nos jours plus que quelques traces observables.
    • Le château de Peccatière, détruit dans les années 1970.

    Le monument aux morts de l'Albenc

    Situé près de l'église paroissiale entre deux parkings, le monument aux morts communal est un simple pilier commémoratif se présentant sous la forme d'un obélisque sur socle avec palmes. Il honore la mémoire des morts de la Première Guerre mondiale (1914-1918), de la Seconde Guerre mondiale (1939-1945) et de la guerre d'Algérie (1954-1962)[28].

    Autres monuments

    • L'ancien tribunal.
    • Des maisons médiévales telles que la maison Barral-Barillon et la maison Sorrel-Barbier.
    • L'église Sainte-Marie de 1848, avec sa cloche du XVIe siècle.

    Patrimoine naturel

    La commune de l'Albenc a une partie de son territoire classé et protégé au titre des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) :

    Pelouse sèche et rochers de Verdun

    Cette znieff de type 1 s'étend sur la commune de l'Albenc et de Poliénas. Cet espace est remarquable notamment par la présence de nombreuses espèces d'orchidées protégées et menacées. Celles-ci ont pu se développer sur un sol recouvert d'une pelouse sèche, issue d'une exploitation des sols traditionnelle par fauche unique annuelle ou par pâturage extensif[29].

    Zone fonctionnelle de la rivière Isère à l'aval de Meylan

    Cette znieff de type 2 comprend tous les territoires de l'Albenc qui borde l'Isère. Malgré une qualité des eaux mise à mal par diverses pollutions issues des industries situées le long du cours inférieur de l'Isère, cette zone possède toutefois une faune et une flore très riche. Cela est dû aux différents écosystèmes qui peuvent être trouvés le long de la rivière, tantôt constitués de zones humides puis de balmes sèches. Pour ce qui est de la faune, les principaux mammifères pouvant être observés sont les campagnols amphibies et les castors d'Europe. Au niveau de l'avifaune, la famille des ardéidés est bien représentée, beaucoup d'autres oiseaux vivent dans cette zone, comme le guêpier d'Europe, la rémiz penduline… De plus la classification de cette zone en ZNIEFF de type 2 permet de mieux préserver ce milieu et s'inscrit dans un plan plus large de la restauration de la qualité de l'eau menée par le schéma directeur d'aménagement et de gestion des eaux du bassin Rhône-Méditerranée-Corse[30].

    Personnalités liées à la commune

    • Jean Vinay (1907-1978), peintre
    • Jean Gabriel Marchand ( - ), général français des armées de la République et de l'Empire et pair de France
    • Nostradamus, médecin et astrologue

    Héraldique

    Les armes de L'Albenc se blasonnent ainsi : De sable sur fond de gueules, le tau au cœur, à trois châteaux donjonnés et crénelés[26].

    Les trois tours représentent probablement les trois châteaux ayant appartenu aux premiers seigneurs de l'Albenc : Châteauneuf, Saint Quentin et la Motte-Saint-Didier. C'est sur l'emplacement de cette motte castrale que fut édifiée l'abbaye de Saint-Antoine.

    Les trois châteaux pourraient aussi correspondre à ceux de Châteauneuf, de la Marcousse et de Baronnat. La Marcousse était la demeure des seigneurs de Poliénas, vassaux de Châteauneuf. Quant à la famille de Baronnat, elle s'installa à Poliénas au XVe siècle avant d'hériter du titre de baron de Châteauneuf. Il reste encore quelques ruines de ces deux maisons fortes sur la commune voisine.

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Liste des monuments historiques de la commune de L'Albenc », base Mérimée, ministère français de la Culture.
    2. Carte géographique : ’’Fonds IGN Scan 25 (C), échelle 1/25.000 ‘’
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Unité urbaine 2020 de Saint-Marcellin », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    7. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    8. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    12. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    13. Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité
    14. Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance
    15. PLANK André. L'origine du nom des communes du département de l'Isère. Bourg-d'Oisans : L'atelier, 2006. (ISBN 2-84424-043-7).
    16. Site officiel de la commune de l'Albenc
    17. « Résultats municipales 2020 à L'Albenc », sur lemonde.fr (consulté le ).
    18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    22. Inspection Académique de l'Isère
    23. Site diocese-grenoble-vienne.fr, page sur la paroisse Saint-Joseph-des-deux-rives, consulté le 4 juin 2020.
    24. F. Monteiller « La tempête des 7 et 8 novembre 1982 dans la Drôme et l'Isère », Études drômoises, (no)64, mars 1985, p. 40.
    25. Cahier des charges de l’appellation d’origine « Bois de Chartreuse », homologué par l’arrêté du 23 octobre 2018 publié au JORF du 31 octobre 2018, Bulletin officiel du Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, n° 2018-46 (.PDF).
    26. Daniel Delattre, L'Isère - les 533 communes. Grandvilliers : Éditions Delattre, 2008. (ISBN 2-915907-40-4).
    27. Notice no PA00117115, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    28. Site monumentsmorts.univ-lille.fr, Fiche sur L'Albenc, consulté le 16 janvier 2021
    29. DIREN Auvergne-Rhône-Alpes, Inventaire ZNIEFF rénové en Rhône-Alpes : Notice no 38160015
    30. DIREN Auvergne-Rhône-Alpes, Inventaire ZNIEFF rénové en Rhône-Alpes, Notice no 3816

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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