José de Ribera
José de Ribera, né le à Xàtiva et mort le à Naples, dit lo Spagnoletto (« l'Espagnolet ») en raison de sa petite taille ou Jusepe Ribera en italien[N 1], est un peintre et graveur espagnol de l'ère baroque. Il est l'un des représentants du ténébrisme et de l'école napolitaine.
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Biographie
Né à Xàtiva et issu d'une famille modeste, il s'installe très jeune en Italie. Sa première œuvre daterait de 1611, Saint Martin partageant son manteau, aujourd'hui disparu[1]. Il peint à Rome une première série des Cinq Sens, dont ont été conservés quatre tableaux ainsi qu'une copie du cinquième[2]. Rien n'est connu de ses années de formation.
Arrivé à Naples, en 1616, à l'âge de 25 ans, il est le protégé du vice-roi espagnol, le duc d’Osuna, pour qui il peint plusieurs tableaux conservés à la Collégiale d’Osuna (près de Séville), dont Saint Sébastien et le Calvaire. Il y acquiert une brillante réputation et peut ainsi rencontrer de nombreux artistes de passage, notamment son compatriote Diego Vélasquez qui lui achète plusieurs toiles pour le roi Philippe IV d'Espagne en 1629, puis, à nouveau en 1649, pour le palais de l'Escurial.
Ribera épouse Catalina de Azzolino, fille d’un peintre, avec laquelle il a cinq enfants.
Œuvre
Époque ténébriste
- L'influence caravagesque
À l'aube du XVIIe siècle, le chiaroscuro du Caravage (1610) et l'apparente sobriété de moyens de ses œuvres séduisent de nombreux artistes, parmi lesquels José de Ribera. Ses débuts en peinture sont empreints de ténébrisme caravagesque, mais alors que Le Caravage donne beaucoup d’intensité au tableau à travers de forts contrastes de clair-obscur et le dynamisme des attitudes, chez l’Espagnol, le clair-obscur sert à donner un certain mystère à l’œuvre, sans diminuer la sérénité et l’équilibre de la scène.
De cette première époque, on relève ses quatre tableaux religieux d’interprétation prophétique et d’une extraordinaire magnificence : Saint Jérôme, Saint Sébastien soigné par les Saintes Femmes, les tableaux à thème mythologique sont également importants : Sileno borracho (Silène ivre). On remarque la vision ascétique de l’artiste dans les représentations des prophètes, apôtres, saints, etc. : Saint Paul Ermite, Saint Roch, Saint André, Saint Jacques le Majeur ainsi que son réalisme dans les descriptions des différents martyres.
- Saint Jean l'Evangéliste (vers 1607-1608), huile sur toile, 105 × 83 cm, Musée du Louvre, Paris ;
- Saint Jude Thaddée (vers 1609-1610), huile sur toile, 111,2 × 88,6 cm, Musée des beaux-arts, Rennes ;
- Allégories des cinq sens (entre 1611 et 1615) : quatre toiles autographes conservées dans diverses collections et une copie :
- Sens du goût (1616), huile sur toile, 113 × 87 cm, Wadsworth Atheneum, Hartford (Connecticut).
- Saint Thomas (1612), Szépmüvészeti Múzeum, Budapest
- Jésus parmi les docteurs, (vers 1613), huile sur toile, 210 × 288 cm, Musée d'art et d'histoire de Langres (Haute-Marne) France ;
- Le Reniement de saint Pierre, (1615), 163 × 233 cm, Palais Corsini , Rome ;
- Suzanne et les vieillards, (vers 1617-1618), huile sur toile, collection privée ;
- Crucifixion (1620), 336 × 230 cm, Collégiale d'Osuna, Séville ;
- Saint Sébastien soigné par les saintes femmes (vers 1621), huile sur toile, 180 × 232 cm, Musée des beaux-arts de Bilbao[3] ;
- Ecce Homo (1620), 97 × 81 cm, Académie royale des beaux-arts de San Fernando
- Le Martyre de saint Laurent (1620-1624), huile sur toile, 206 × 154 cm, National Gallery of Victoria[4] ;
- Silène ivre (1626), huile sur toile, 185 × 229 cm, Musée Capodimonte de Naples Silène ivre, Capodimonte ;
- Saint Matthieu, collection particulière ;
- Saint Barthélemy près de souffrir le martyre (1626), huile sur toile, 115 × 180 cm, Musée de Grenoble, Isère ;
- Le Martyre de saint André (1628), musée des beaux-arts de Budapest ;
- Le Christ parmi les docteurs (1630), Musée d'histoire de l'art de Vienne-Le Kunsthistorisches Museum, Autriche ;
- Le Martyre de Saint-Barthélemy (vers 1630), huile sur toile, 145 × 216 cm, Galerie Palatine, Palais Pitti, Florence[5] ;
- Le Martyre de saint Barthélemy (vers 1630), 179 × 139 cm, Musée de la Collégiale, Osuna, Espagne ;
- Euclide (v.1630-1635), huile sur toile, 125,1 × 92,4 cm, musée Getty, Los Angeles[6] ;
- Archimède (1630), Musée du Prado, Madrid ;
- Démocrite (1630), Musée du Prado, Madrid
- Sainte Thérèse de Jésus (1630), huile sur toile, 131 × 106 cm, musée des beaux-arts de Séville[7]
- La Femme à barbe (1631), Casa de Medinaceli, musée de l'hôpital de Tavera, Tolède ;
- Saint André (v.1631), huile sur toile, 123 × 95 cm, Musée du Prado, Madrid[8] ;
- Saint Roch (1631), huile sur toile, 213 × 144 cm, Musée du Prado, Madrid[9] ;
- Ixion (1632), huile sur toile, 220 × 301 cm, Musée du Prado, Madrid ;
- Saint Joseph et l'Enfant Jésus (1632), 41 × 51 cm, Musée du Prado, Madrid ;
- Pietà, (1633), huile sur toile, 157 × 210 cm, musée Thyssen-Bornemisza , Madrid[10] ;
- Zacharie (1634), huile sur toile, 99 × 80 cm, Musée des beaux-arts, Rouen
- Dionysos (1634-36), huile sur toile, 55 × 46 cm, Musée du Prado, Madrid
- Le Repentir de saint Pierre, huile sur toile, 117 × 92 cm, Musée des Beaux-Arts de Lyon, Lyon
- Saint Pierre repentant, huile sur toile, Musée des Beaux-Arts d'Angers, Angers
- Sens du goût (1616), Wadsworth Atheneum
- Suzanne et les vieillards (1617-1618), collection privée
- Crucifixion (1620), collégiale d'Osuna (Séville)
Martyre de saint Laurent (1620-1624), National Gallery of Victoria - Le Martyre de saint André (1628), Budapest
- Ste Thérèse de Jésus (1630), Séville
- Saint André (1631), musée du Prado
- Saint Roch (1631), musée du Prado
- Dionysos (1634-36), musée du Prado
- Le Repentir de saint Pierre, Musée des Beaux-Arts de Lyon
- Saint Jérôme (vers 1645-50)
musée des Beaux-Arts de Castellon
Éclaircissement de la palette
En 1635, avec la maturité, il se libère peu à peu de son ténébrisme initial. En 1640 il peint plusieurs Ecce Homo, dont certains aujourd'hui disparus, en témoignage de sa profonde piété. Peu à peu sa palette s’éclaircit et devient plus lumineuse, ses tonalités sont plus harmonieuses : l’Immaculée Conception. C’est l’époque de sa grande production ; sa palette s'inspire de plus en plus de l’école vénitienne, comme le montrent Vénus et Adonis, Apollon et Marsyas et dans les tableaux destinés à la chartreuse de San Martino. Son inspiration reste classique et il fait figurer, dans plusieurs de ses œuvres, l'image connue de l'Apollon du Belvédère, comme dans son Martyre de Saint-Barthélemy (1626-29, Stockholm, Nationalmuseum) ou dans son Aveugle de Gombazzo (1632, Madrid, musée du Prado), en hommage aux Antiques, ou au contraire, comme témoin de la fin du paganisme[11]. Ribera s’éloigne des compositions compliquées, typiques du baroque italien, et préfère donner à ses personnages une intensité émotive. De l’année 1646, Le Miracle de Saint Janvier est l’un de ses plus importants retables.
Ribera aimait aussi les aspects anecdotiques et populaires : ainsi, dans la série des Philosophes, on remarque des représentations de mendiants ou de types populaires : La Jeune Fille au Tambourin, le Joyeux Buveur, le Buveur de Muscat, ou de personnages extravagants La Femme à Barbe. Les dernières œuvres du peintre mettent en évidence une grande richesse dans le domaine de la composition et de la couleur : Adoration des Bergers, Saint Jérôme Pénitent.
- Saint Joseph (1635), 71,8 × 61,9 cm, musée des beaux-arts de Montréal ;
- Ésope (vers 1635), huile sur toile, 118 × 94 cm, Musée du Prado, Madrid ;
- La Sainte Trinité (1635-36), Musée du Prado, Madrid ;
- Madeleine pénitente (1635-1640), huile sur toile, 97 × 66 cm, Musée du Prado, Madrid[12]
- Anaxagore (1636), collection particulière
- Assomption de Marie Madeleine (1636), huile sur toile, 231 × 173 cm, Académie royale des beaux-arts de San Fernando[13]
- Isaac et Jacob (1637), huile sur toile, 110 × 291,5 cm, Musée du Prado, Madrid ;
- Aristote (1637), musée d'art d'Indianapolis ;
- Saint Christophe (1637), Musée du Prado, Madrid ;
- Saint Onufri (1637), Musée du Prado, Madrid ;
- Saint Onuphre (1637), huile sur toile, 130 × 104 cm, Musée de l'Ermitage, Saint-Petersbourg[14]
- Apollon écorchant Marsyas (1637), huile sur toile, 202 × 255 cm, Musées royaux des beaux-arts, Bruxelles[15]
- Vénus découvrant Adonis mort (1637), Galerie nationale d'art ancien (Rome), Palais Corsini[16]
- Jeune Gitane (1637), huile sur toile, 59 × 54,5 cm, National Gallery, Londres ;
- Vierge de pitié (1637), huile sur toile, 264 × 170 cm, Certosa di San Martino, Naples ;
- Moïse (1638), 168 × 97 cm, huile sur toile, Musée San Martino, Naples
- Saint Jérôme (v.1638-1640), huile sur toile, 129 × 100,3 cm, musée d'art de Cleveland[17] ;
- Le Martyre de saint Philippe (1639), huile sur toile, 234 × 234 cm, Musée du Prado, Madrid[18]
- Le Songe de Jacob (1639), huile sur toile, 179 × 233 cm, Musée du Prado, Madrid[19]
- Ecce Homo (1640), huile sur toile, 66 par 58 cm, collection particulière
- Sainte Marie l'Égyptienne (1641), huile sur toile, 132 × 108 cm, Musée Fabre, Montpellier[20]
- Le Pied-bot (1642), huile sur toile, 164 × 94 cm, Musée du Louvre, Paris[21]
- Le Baptême du Christ (1643), huile sur toile, 235 × 160 cm, Musée des beaux-arts de Nancy[22]
- Saint Jérôme, huile sur toile (1643), Palais des beaux-arts de Lille ;
- Saint François en méditation (1643), huile sur toile, 103 × 77 cm, Galerie Palatine, Palais Pitti, Florence[23]
- Le Martyre de saint Barthélemy (1644), musée national d'art de Catalogne, Barcelone ;
- La tête de Saint Jean-Baptiste (1644), huile sur toile, 60 × 73 cm, Académie royale des beaux-arts de San Fernando
- Portrait équestre de Juan José d'Autriche (1648), huile sur toile, Palais royal de Madrid, Espagne ;
- Sainte Famille avec Sainte Anne et Sainte Catherine d'Alexandrie (1648), huile sur toile, 209,6 × 154,3 cm, The Metropolitan Museum of Art, New York[24]
- L'Adoration des bergers (1650), huile sur toile, 239 × 181 cm, Musée du Louvre, Paris ;
- Le Miracle de saint Donat (1652), Musée de Picardie, Amiens.
- Saint Jérôme (1652), 77,2 × 71,8 cm, Musée du Prado, Madrid[25];
- Le repentir de saint Pierre, Hôtel d'Agar, Cavaillon
- Galerie
Assomption de Marie-Madeleine (1636), San Fernando, Madrid. Vénus et Adonis (1637), Palais Corsini, Rome. Songe de Jacob (1639), Musée du Prado, Madrid. Saint Bruno, le Chartreux (1643), huile sur toile, 38 × 27 cm, Musée Capodimonte de Naples. - La Sainte Famille avec les saintes Anne et Catherine d'Alexandrie (1648), Metropolitan Museum of Art, New York.
Portrait équestre de Juan José d'Autriche (1648), Palais royal de Madrid. Saint Barthélemy (1651), 130 × 103 cm, Gemäldegalerie, Berlin. Communion des Apôtres (1651), huile sur toile, 400 × 400 cm, Musée San Martino, Naples. Saint Sébastien (1651), huile sur toile, Musée San Martino, Naples
Gravures de José de Ribera
L'œuvre graphique reste importante, tant en qualité qu'en quantité. Son premier dessin connu daterait de 1611, une Adoration des mages. Sa technique est variée, plume, sanguine, lavis... Il subsiste des témoignages de son art pictural étalés sur toute sa vie. Son œuvre gravée (principalement en eau-forte) est nettement plus délimitée dans le temps (entre 1616 et 1630). Ribera débute même, en 1622, un ouvrage d'enseignement comportant plusieurs planches d'exemples anatomiques (yeux, oreilles, bouches...), resté inachevé[26]. Entre 1630 et 1648, plus aucune gravure n'est produite et sa dernière œuvre date de cette année avec le Portrait équestre de don Juan José d'Autriche.
- Saint Jérôme, vers 1620, gravure sur papier vergé blanc cassé, Cooper–Hewitt, Smithsonian Design Museum, New York.
- La Vierge, Saint Jean-Baptiste et Marie-Madeleine pleurant le corps du Christ, 1624, gravure et pointe sèche (contre-épreuve), Metropolitan Museum of Art, New York .
- Le martyre de Saint-Barthélemy, 1624, gravure sur papier, Musée national de Varsovie, Pologne.
- Un philosophe, impatient, tenant un livre avec un chiffon, XVIIe siècle, Bernard Vaillant (créateur Ribera), Metropolitan Museum of Art, New York .
- Un putto ailé flagellant un satyre attaché à un arbre, vers 1625-1650, gravure, Metropolitan Museum of Art, New York .
- Joseph interprétant les rêves du majordome et du boulanger de Pharaon, 1766, Metropolitan Museum of Art, New York .
- La lamentation sur le Christ mort, XVIIe siècle, gravure et pointe sèche sur Chine collé, Metropolitan Museum of Art, New York .
- Un saint assis à une table avec sa main droite reposant sur un crâne, d'un portefeuille de reproductions de la galerie impériale de peintures à Vienne; plaque 33 de la série, feuille: 22 × 15,3 cm, Metropolitan Museum of Art, New York .
- Isaac bénissant Jacob, feuille: 31 × 35,8 cm, Metropolitan Museum of Art, New York .
Dessins
- Tête grotesque coiffée d'une marmite, sanguine et encre brune, H. 0,224 ; L. 0,192 m[27]. Paris, Beaux-Arts de Paris[28]. S'inscrivant dans la tradition des têtes caricaturées de Léonard de Vinci, ce dessin exécuté entièrement à la sanguine, représente une figure en buste coiffée d'une marmite en guise de chapeau. L'artiste cerne avec précision les détails du visage avant de recourir à l'estompe pour donner un côté vaporeux à l'ensemble.
Hommages
- Son nom a été donné à une rue du 16e arrondissement de Paris.
- Le musée Fabre de Montpellier a présenté L’Âge d’or de la Peinture à Naples "de Ribera à Giordano" du au . Cette exposition proposa un vaste panorama sur l’un des plus brillants moments de l’art italien, quand, au XVIIe siècle, la peinture napolitaine prenait une place majeure en Europe. Le public a pu admirer 84 œuvres maîtresses échelonnées sur tout le siècle et provenant de nombreux musées français et étrangers, avec une contribution exceptionnelle des musées de Naples permettant notamment de mettre en valeur l’un des plus grands génies de tout le siècle, Jusepe de Ribera.
Notes et références
Notes
- Par ailleurs, Théophile Gautier l’appelle « Ribeira » dans son poème commençant par : « Il est des cœurs épris du triste amour du laid… » (cité entre autres par Robert Sabatier dans son Histoire de la poésie française - Poésie du XIXe siècle, Volume 2, Albin Michel, 1977, p. 261.
Références
- Augé JL, Ribera ou l'essence du réel, Dossier de l'art no 159, p. 2-20
- Sánchez et Spinosa, p. 60.
- (es) « St Sébastien soigné », sur Musée de Bilbao
- (en) « Martyre de St Laurent », sur Musée de Victoria
- (it) « Inventario Palatina », sur Polo museale Fiorentino.
-
- (en) « Euclid », sur musée Getty.
- (es) « Ste Thérèse », sur base ceres
- (es) « San Andrés », sur base ceres.
- (es) « San Roque », sur musée du Prado.
- (en) « The Pietà », sur Museo Nacional Thyssen-Bornemisza (consulté le )
- Augé JL, Ribera et l'antique, une nouvelle lecture, Dossier de l'art no 159, p. 34-43
- Madeleine, Prado
- (es) « Assomption de M. Madeleine », sur Base ceres
- St Onuphre, Ermitage
- Apollon et Marsyas, Bruxelles
- (it) « Vénus découvrant Adonis », sur Galerie Borghèse
- (en) « Saint Jerome, c. 1638-1640 », sur The Cleveland Museum of Art.
- (es) « Martyre de St Philippe », sur Musée du Prado
- (es) « Songe de Jacob », sur Musée du Prado
- Ste Marie l'Egyptienne, Montpellier (image)
- Pied-bot, Louvre
- « Baptême du Christ », sur Musée de Nancy
- St François, Palais Pitti (restauration)
- (en) « Sainte Famille », sur Metropolitan Museum
- « The penitent Saint Jerome - The Collection - Museo Nacional del Prado », sur www.museodelprado.es (consulté le )
- Augé JL, Ribera, les effets maîtrisés de la gravure, Dossier de l'art no 159, p. 60-63
- « Tête grotesque coiffée d'une marmite, José de Ribera, sur Cat'zArts »
- Sous la direction d’Emmanuelle Brugerolles, Portraits dans les collections de l’École des Beaux-Arts, Carnets d’études 36, Beaux-Arts de Paris les éditions, 2016, p 36-38, Cat. 9
Voir aussi
Bibliographie
- (nl) Cornelis de Bie, Het Gulden Cabinet, 1662, p. 145
- (it) Achille della Ragione, Il secolo d'oro della pittura napoletana, tome 10, Naples (1997 - 2001)
- Étienne Huard, Vie complète des peintres espagnols, et histoire de la peinture espagnole, Au Bureau du Journal de Artistes, , 272 p. (lire en ligne), p. 5 à 11
- (en) Alfonso E. Pérez Sánchez (dir.) et Nicola Spinosa (dir.), Jusepe de Ribera, 1591–1652, Metropolitan Museum, New York, , 290 p. (ISBN 0870996479, lire en ligne).
Article connexe
- Bernardo De Dominici cite José de Ribera et décrit sa biographie dans Vite dei Pittori, Scultori, ed Architetti Napolitani (3 volumes), Stamperia del Ricciardi, (1742) Naples
Liens externes
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