Hermé

Hermé est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Pour l’article homonyme, voir Pierre Hermé.

Hermé

La mairie, le jour de la fête du village.

Blason
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
(Melun)
Arrondissement Provins
Intercommunalité Communauté de communes de la Bassée - Montois
Maire
Mandat
Jean-Pierre Bourlet
2020-2026
Code postal 77114
Code commune 77227
Démographie
Gentilé Hermillons
Population
municipale
633 hab. (2018 )
Densité 40 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 28′ 58″ nord, 3° 20′ 48″ est
Altitude Min. 56 m
Max. 160 m
Superficie 15,90 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Provins
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Hermé
Géolocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
Hermé
Géolocalisation sur la carte : France
Hermé
Géolocalisation sur la carte : France
Hermé

    Géographie

    Localisation

    La commune est située à environ 11,2 kilomètres au sud de Provins [Carte 1].

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[1]. L'altitude varie de 56 mètres à 160 mètres pour le point le plus haut , le centre du bourg se situant à environ 59 mètres d'altitude (mairie)[2].

    Réseau hydrographique

    Carte des réseaux hydrographique et routier d'Hermé.

    Le réseau hydrographique de la commune se compose de sept cours d'eau référencés :

    • le Resson, long de 23,71 km[3], affluent de la Seine ;
    • un bras de la Grande Noue d'Hermé, 0,95 km[4], qui conflue avec la Seine ;
      • un bras de 1,73 km[5], qui conflue avec un bras de la Grande Noue d'Hermé ;
        • le cours d'eau 01 de la Motte Bonnot, 1,23 km[6], qui conflue avec un bras de la Grande Noue d'Hermé ;
    • la Grande Noue d’Hermé, longue de 21,61 km[7], affluent de Vidée du Paradis ;
      • le cours d'eau 01 de la Motte Givaux, 2,18 km[8], affluent de la Grande Noue d'Hermé ;
    • le fossé 01 du Parc, canal de 1,75 km[9].

    La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 10,77 km[10].

    Gestion des cours d'eau

    Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[11].

    La commune fait partie du SAGE « Bassée Voulzie », en cours d'élaboration en décembre 2020. Le territoire de ce SAGE concerne 144 communes dont 73 en Seine-et-Marne, 50 dans l'Aube, 15 dans la Marne et 6 dans l'Yonne, pour une superficie de 1 710 km2[12],. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par Syndicat Mixte Ouvert de l’eau potable, de l’assainissement collectif, de l’assainissement non collectif, des milieux aquatiques et de la démoustication (SDDEA), qualifié de « structure porteuse »[13].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 10,9 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 3,9 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 4,9 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,3 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 690 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : 1,8 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : 0,8 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[14].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[15]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[14]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[16]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 51 km à vol d'oiseau[17], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour 1981-2010[18] à 11,6 °C pour 1991-2020[19].

    Réseau Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[20].

    Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats »[21],[Carte 2] :

    • la « Bassée », d'une superficie de 1 403 ha, une vaste plaine alluviale de la Seine. Elle abrite la plus grande et l’une des dernières forêts alluviales du Bassin parisien ainsi qu’un ensemble relictuel de prairies humides[22],[23] ;

    et un au titre de la « directive Oiseaux »[21] :

    • la « Bassée et plaines adjacentes », d'une superficie de 27 643 ha, une vaste plaine alluviale de la Seine bordée par un coteau marqué au nord et par un plateau agricole au sud. Elle abrite une importante diversité de milieux qui conditionnent la présence d’une avifaune très riche[24],[25].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal d'Hermé comprend trois ZNIEFF de type 1[Note 2],[26],[Carte 3] :

    • les « boisements alluviaux entre Herme et Melz-sur-Seine » (939,4 ha), couvrant 4 communes du département[27] ;
    • les « Pelouses et boisements calcicoles la Queue Guérin » (14,46 ha)[28] ;
    • la « Reserve de la Bassée et Abords » (1 062,13 ha), couvrant 8 communes du département[29] ;

    et deux ZNIEFF de type 2[Note 3],[26] :

    • la « Forêt de Sourdun » (1 744 ha), couvrant 7 communes du département[30] ;
    • la « vallée de la Seine entre Montereau et Melz-sur-Seine (Bassee) » (14 216,75 ha), couvrant 26 communes du département[31].

    Urbanisme

    Typologie

    Hermé est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[32],[33],[34].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire regroupe 1 929 communes[35],[36].

    Lieux-dits, écarts et quartiers

    La commune compte 98 lieux-dits administratifs[Note 6] répertoriés[37].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (54 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (55,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (52,9% ), forêts (35,7% ), zones urbanisées (4,8% ), eaux continentales[Note 7] (3,5% ), mines, décharges et chantiers (1,9% ), zones agricoles hétérogènes (1,1 %)[38].

    Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[39],[40],[Carte 4]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 5].

    Planification

    La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Grand Provinois, dont le projet a été arrêté le , porté par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) du Grand Provinois, qui regroupe les Communautés de Communes du Provinois et de Bassée-Montois, soit 82 communes[41].

    La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en révision[42]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 6].

    Logement

    En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 591 dont 53,3 % de maisons et 0,3 % d’appartements.

    Parmi ces logements, 42,8 % étaient des résidences principales, 52,7 % des résidences secondaires et 4,5 % des logements vacants.

    La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 87,6 % contre 8,8 % de locataires et 3,6 % logés gratuitement[43].

    Transports

    La commune est desservie par les lignes régulières d'autocars :

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous les formes Hermez en 1166[46] ; Ermez en 1224[47] ; Domus de Ermeto en 1250[48] ; Hermers en Esmers en 1275[49] ; Ermiers en 1276[50] ; Ermer au XVe siècle[51] ; Armez en 1509[52] ; Hermer en 1521[53].

    En dialecte champenois : Hermé, terrain dont la couche arable a été emportée par l'eau des collines (de Provins)[54][réf. non conforme], probablement de l'oïl erme « terre inculte »[55][réf. non conforme]. « À Sourdun, l'érosion a emporté la terre des sommets dont le Seron, a traversé le "désert d'Hermé" et l'a stabilisé près de Gouaix en une couche stable, fertile appelée : latten »[56].

    Histoire

    Grâce au portail Archinoë des archives départementales, on peut lire la monographie sur la commune d'Hermé écrite par l'instituteur Pichoret en date du  :

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1981  ? Joseph Jourdain    
    mars 2008 En cours Jean-Pierre Bourlet[57]    

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [58],[59].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la commune d'Hermé ne dispose pas d'assainissement collectif[60],[61].

    L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[62]. La communauté de communes de la Bassée - Montois (CCBM) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[60],[63].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la commune qui en a délégué la gestion à l'entreprise Suez, dont le contrat expire le [60],[64],[65].

    Les nappes de Beauce et du Champigny sont classées en zone de répartition des eaux (ZRE), signifiant un déséquilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible d’aggraver ce déséquilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualité en permanence sur le territoire du département, le troisième Plan départemental de l’eau signé, le , contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sécurisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. A cette fin a été préparé et publié en décembre 2020 un schéma départemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont définis. La commune fait partie du secteur Bassée Montois[66].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[67]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[68].

    En 2018, la commune comptait 633 habitants[Note 8], en diminution de 2,01 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +3,47 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    453512565572608618624658718
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    753773765673712694665630545
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    573495505483472477425397386
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    392373358430450525564569643
    2017 2018 - - - - - - -
    642633-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[69] puis Insee à partir de 2006[70].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Hermé dispose d’une école élémentaire, située place de la Mairie. Cet établissement public, inscrit sous le code UAI (Unité administrative immatriculée) : 0770070H, comprend 82 élèves (chiffre du Ministère de l'Éducation nationale)[71].

    Il ne dispose pas d’un restaurant scolaire.

    La commune dépend de l'Académie de Créteil ; pour le calendrier des vacances scolaires, Hermé est en zone C.

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2017, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 253, représentant 666 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 21 470 euros[72].

    Emploi

    En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 119, occupant 275 actifs résidants.

    Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 67,9 % contre un taux de chômage de 10 %.

    Les 22,1 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 9,8 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 6,3 % de retraités ou préretraités et 6 % pour les autres inactifs[73].

    Entreprises et commerces

    En 2015, le nombre d'établissements actifs était de 76 dont 8 dans l'agriculture-sylviculture-pêche, 6 dans l’industrie, 11 dans la construction, 47 dans le commerce-transports-services divers et 4 étaient relatifs au secteur administratif[74].

    Ces établissements ont pourvu 88 postes salariés.

    Agriculture

    Hermé est dans la petite région agricole dénommée la « Bassée » ou « Basse Seine », au sud-est du département[Carte 7]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 9] de l'agriculture sur la commune est diverses cultures (hors céréales et oléoprotéagineux, fleurs et fruits)[75].

    Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[76]. Cette tendance n'est pas confirmée au niveau de la commune qui voit le nombre d'exploitations rester constant entre 1988 et 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 70 ha en 1988 à 116 ha en 2010[75]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles d'Hermé, observées sur une période de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à Hermé entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension économique[75],[Note 10]
    Nombre d’exploitations (u) 6 6 6
    Travail (UTA) 6 6 10
    Surface agricole utilisée (ha) 418 444 696
    Cultures[77]
    Terres labourables (ha) 417 442 692
    Céréales (ha) 308 325 452
    dont blé tendre (ha) 162 198 s
    dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 70 s s
    Tournesol (ha) 47
    Colza et navette (ha) 21 56 114
    Élevage[75]
    Cheptel (UGBTA[Note 11]) 35 26 62

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Héraldique

    Blason
    De gueules à trois fasces vivrées d'argent, celles du chef et de la pointe chargées chacune d'une clé du champ posées en fasces et celle du milieu d'une épée couchée d'azur[78].
    Détails
    Armories composées par Jean-Claude Molinier, adoptées par la municipalité en .

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    9. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    10. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    11. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
    • Cartes
    1. « Localisation de Hermé » sur Géoportail (consulté le 4 juillet 2019)..
    2. « Sites Natura2000 d'Hermé » sur Géoportail (consulté le 14 janvier 2021)..
    3. « Zones ZNIEFF d'Hermé » sur Géoportail (consulté le 14 janvier 2021)..
    4. « Hermé - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    5. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    6. « Géoportail de l’urbanisme », sur https://www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Références

    1. « Plan séisme consulté le 2 novembre 2020 ».
    2. « Hermé » sur Géoportail. Carte IGN classique.
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Le Resson (F2150600) » (consulté le ).
    4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras de la Grande Noue d'Hermé (F22-0451) » (consulté le ).
    5. Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras de la Grande Noue d'Hermé (F2226001) » (consulté le ).
    6. Sandre, « Fiche cours d'eau - Cours d'eau 01 de la Motte Bonnot (F6623000) » (consulté le ).
    7. Sandre, « Fiche cours d'eau - La Grande Noue Hermé (F2228000) » (consulté le ).
    8. Sandre, « Fiche cours d'eau - Cours d'eau 01 de la Motte Giv (F2228400) » (consulté le ).
    9. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 du Parc (F2227002) » (consulté le ).
    10. Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 4 juillet 2019
    11. « SAGE dans le département de Seine-et-Marne », sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
    12. « SAGE Bassée Voulzie - Documents », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le ).
    13. « Ile SDDEA et sa régie », sur www.sddea.fr, (consulté le ).
    14. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    15. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le ).
    16. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    17. « Orthodromie entre Hermé et Melun-Villaroche », sur fr.distance.to (consulté le ).
    18. « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
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