George Armstrong Custer

George Armstrong Custer est un général de cavalerie américain ( New Rumley, Ohio - , Montana). Célèbre pour ses exploits durant la guerre de Sécession, il est en outre l'une des principales figures américaines des guerres indiennes du XIXe siècle. Il est tué lors de la bataille de Little Bighorn durant laquelle ses troupes du 7e régiment de cavalerie (1/3) sont défaites par une coalition de tribus indiennes.

Pour les articles homonymes, voir Armstrong, George Armstrong et Custer.

George Armstrong Custer

Naissance
New Rumley (Ohio)
Décès
Little Bighorn (Montana)
Mort au combat
Origine Américain
Allégeance États-Unis
Arme Cavalerie
Grade Breveté Major-général (troupes volontaires)
Lieutenant-colonel (US Army)
Années de service 18611876
Commandement Brigade du Michigan
3e division de cavalerie
7e régiment de cavalerie
Conflits Guerre de Sécession
Guerres indiennes
Faits d'armes Première bataille de Bull Run
Bataille de Gettysburg
Bataille de Waynesboro
Bataille de Yellow Tavern
Bataille de Cedar Creek
Bataille de Winchester
Bataille de Tom's Brook
Bataille de Namozine Church
Bataille de Sayler's Creek
Bataille de la Washita
Bataille de Little Bighorn

Biographie

Enfance et études

Custer, 17 ans, cadet à West Point.

George Custer est né en 1839, dans l'Ohio, aux États-Unis[1]. Il est le fils aîné d'Emanuel Henry Custer (1806–1892), forgeron devenu par la suite fermier, descendant d'immigrants allemands Paulus et Gertrude Küster (venue de Rhénanie en 1693), et de Marie Ward Kirkpatrick (1807–1882), d'origines irlandaises[2],[3]. Ses frères Thomas Custer et Boston Custer (en) sont tous les deux morts avec lui sur le champ de bataille de Little Bighorn[4]. Il a pour sœur cadette Margaret Emma Custer et plusieurs demi-frères et sœurs plus âgés que lui[5].

Après ses études secondaires, il entre à la McNeely Normal School de Hopedale, Ohio (en) pour devenir enseignant[6] ; après avoir obtenu son certificat, il enseigne à Cadiz dans l'Ohio[7]. Custer a d'autres ambitions que de rester instituteur, il commence à lorgner vers l'Académie militaire de West Point, bien qu'il n'ait pas les qualifications requises. Son ambition et son assurance sont telles qu'il envoie une lettre au représentant républicain de son État, John Bingham, pour le convaincre de lui faire intégrer en 1857, malgré son âge et son manque de formation, la prestigieuse Académie militaire de West Point[8],[9],[10]. Ambitieux mais insubordonné, et se désintéressant des études, il sort bon dernier de la promotion de 36 cadets de West Point en juin 1861[11],[7]. Durant ses études à West Point, il cumulera 726 avertissements, un record dans les annales de l'académie[12]. Son indiscipline le conduira par deux fois devant la cour martiale[13].

La guerre de Sécession

Sous-lieutenant, il est affecté à la compagnie G du second régiment de cavalerie de l'US Army, qui participera à la première bataille de Bull Run[12]. En 1862, il est affecté au 5e régiment de cavalerie, qui rejoint l'armée dite de la campagne de la Péninsule, placée sous le commandement du major général (général de division) George B. McClellan. Sa fougue et son courage, lors de la bataille de la Chickahominy, attirent l'attention du général George McClellan, qui en fait son aide de camp, comme capitaine[14],[15],[16].

Avec le grade de lieutenant, en 1862.

En 1863, alors qu'il est capitaine de l'armée régulière, il est promu par le général George G. Meade, sur recommandation du général Alfred Pleasonton, au grade de général de brigade des engagés volontaires du Michigan[12].

Il se distingue à la bataille de Gettysburg, où, sous les ordres du général David McMurtrie Gregg, il mène une charge de cavalerie pour contrer l'assaut de la cavalerie confédérée menée par le général J. E. B. Stuart[17],[18], et dans les opérations suivantes de la campagne de 1863. Lorsque, en 1864, la cavalerie de l'armée du Potomac est réorganisée, sous le commandement de Philip Sheridan, Custer prend part à de nombreuses manœuvres de cavalerie à la bataille de la Wilderness et dans l'armée de la Shenandoah. En , il attaque un camp de confédérés à la bataille de Rio Hill. Fin septembre, il est nommé au commandement de la 3e division de cavalerie[12]. Il mène, le , une attaque victorieuse à la bataille de Woodstock.

Toujours capitaine, il reçoit rapidement un brevet lui permettant d'agir en tant que major, lieutenant-colonel, colonel et même major-général des détachements de volontaires, pour ses services rendus à Gettysburg, à la bataille de Yellow Tavern, à la bataille de Winchester et surtout à la bataille de Cedar Creek. Custer est, à ce jour, le plus jeune officier faisant fonction de général de division de l'histoire de l'Armée des États-Unis, les journaux tressant des couronnes de gloire au « jeune général »[15]. Il sert avec le général Philip Sheridan lors du dernier grand raid de cavalerie, l'emporte à la bataille de Waynesboro, à la bataille de Dinwiddie et à la bataille de Five Forks, où son propre frère, Thomas Custer, obtient la plus haute distinction américaine, la médaille d'honneur (il l'obtiendra à nouveau lors de la bataille de Sayler's Creek, devenant ainsi le premier à recevoir par deux fois cette distinction[19],[20]).

Custer et sa femme Elizabeth, 1864.

Custer épouse Elizabeth Clift Bacon (en) le , le père de la mariée, le juge Daniel Bacon, ayant finalement approuvé le mariage lorsque Custer est nommé général de brigade[21].

À la fin de la guerre, nommé général de l'armée régulière, il est promu général de corps d'armée des troupes volontaires, puis est sollicité par les républicains mexicains, en lutte contre les impériaux soutenus par la France, pour prendre le commandement des forces armées de la République. Le gouvernement américain s'y oppose. Custer prétend devant Sheridan qu'avec dix mille cavaliers il aurait pris Mexico en moins de six mois[22].

Les guerres indiennes

À la fin de la guerre de Sécession, l'armée de 1,5 million d'hommes est réduite à 30 000 soldats et Custer reprend son grade ordinaire de capitaine[23]. Le , il est fait lieutenant-colonel du 7e régiment de cavalerie[24], et prend part sous les ordres du général Winfield Scott Hancock à l'expédition contre les Cheyennes[25]. Mais cette campagne de Hancock le frustre car il ne peut montrer son courage dans la guérilla insaisissable où les Amérindiens connaissent parfaitement le terrain[26].

En 1867, il passe en cour martiale pour abandon de poste (il a voyagé avec escorte pour chercher des fournitures et pour voir sa femme) et parce que des déserteurs armés ont été abattus par ses troupes[27]. Il est suspendu pour une année. En proie à des difficultés financières, il gagne un peu d'argent en écrivant pour des magazines de chasse et de nature. Avant la fin de sa suspension, il est rappelé par le général Phillip Sheridan qui a besoin d'officiers valeureux pour lutter contre les Amérindiens[28].

Le , en violation du traité de Medicine Lodge, il participe à la campagne d'hiver contre les Cheyennes retranchés dans leurs camps, notamment à la bataille de la Washita. Custer affirme avoir tué 103 guerriers mais il s'agit surtout de vieillards, de femmes et d'enfants[29]. Selon les Cheyennes, 11 chefs de guerre ont été tués[30]. Les troupes américaines font prisonniers 53 femmes et enfants. Cet engagement est considéré comme un des premiers succès significatifs de l'armée américaine contre les Indiens des Plaines du Sud. Puis il est chargé de 1871 à 1873 de traquer les carpetbaggers et le Ku Klux Klan dans les terres hostiles du Kentucky[31]. Parallèlement, il essaie, sans succès, d'investir en bourse (parts dans des mines d'argent non rentables, actions à risque)[32].

L'expédition le long de la rivière Yellowstone

En 1873, il est envoyé dans le territoire du Dakota pour protéger une ligne de chemins de fer contre les Sioux, la future Northern Pacific Railroad qui reliera le lac Supérieur à l'océan Pacifique. Le , le chemin de fer atteint la petite ville nouvelle de Bismarck, encore en projet et à peine habitée. George A. Custer y est accueilli par son ami Clement A. Lounsberry, un colonel de l'armée américaine pendant la guerre de Sécession[33] devenu journaliste, qui fait paraître, pour la première fois, le le Bismarck Tribune. Custer lance alors à l'été 1873 l'expédition de la rivière Yellowstone, le long d'un autre affluent du Missouri, dans le Montana. Il s'agit d'étudier la faisabilité d'un futur parcours ferroviaire, sur 500 miles, le long de la rivière. Les ingénieurs chargés d'étudier le tracé sont protégés par 1 500 soldats, qui se heurtent aux Sioux. Custer est accompagné du général Tom Lafayette Rosser, son ex-camarade de chambrée à West Point, tandis que le chef de l'expédition est le général David Sloane Stanley, un alcoolique qui déteste Custer[34]. Sans scrupule, Custer et sa troupe n'hésitent pas à profaner un cimetière amérindien[35].

Le , Custer et le 7e de cavalerie rencontrent les Sioux pour la première fois. Deux assauts amérindiens sont brisés[36]. Mais de nouveaux affrontements ont lieu les et . Ces escarmouches réduisent la confiance de Wall Street dans la compagnie des chemins de fer Northern Pacific Railway, qui rate dès septembre le placement d'une émission obligataire, provoquant la quasi-faillite, le , de son principal actionnaire et créancier, Jay Cooke. C'est la Panique du 18 septembre 1873, obligeant Wall Street à fermer ses portes pendant dix jours. En , Custer et son régiment établissent leurs quartiers dans le Fort Abraham Lincoln[37].

L'expédition dans les Black Hills

Chasse au grizzly avec son ami et éclaireur indien Bloody Knife, 1874.

En 1874, Custer est à la tête des 1 200 soldats participant à l'expédition des Black Hills, alors territoire indien, afin d'étudier la possibilité d'installer un fort derrière les collines. De l'or est trouvé, conformément aux rumeurs qui attestaient de la présence du métal jaune depuis des années, ce qui provoque la ruée vers l'or dans les Black Hills. Des prospecteurs s'y installent au mépris du traité de Fort Laramie (1868). Le , Custer, que les Indiens avaient surnommé « Pahuska » (Cheveux longs), s'enfonça profondément dans les Black Hills à la tête du 7e régiment de cavalerie, atteignant la région de Paha Sapa, lieu sacré jamais foulé par l'Homme blanc. Il trace ainsi une route sur le passage de ses troupes, que les Amérindiens surnommeront « La piste des voleurs », car elle sera par la suite empruntée par tous les colons et chercheurs d'or qui traverseront par la suite les Black Hills. Il a emmené avec lui une dizaine de journalistes. Le premier journal à sortir le scoop de la découverte de l'or est celui de son ami, le Bismarck Tribune. Custer écrivit dans le même temps, sous le pseudonyme de Nomad, des articles dans les journaux, qui sont réunis dans un livre, Ma vie dans les Plaines qui devint un best-seller[38].

Pique-nique avec des officiers du 7e de cavalerie, 1876.

Au printemps 1876, il risque d'être radié de l'armée pour avoir critiqué devant une Commission officielle la politique des réserves indiennes du gouvernement des États-Unis[15].

En 1876, on lui confie une autre mission qui conduit le à la bataille de Little Bighorn où il meurt au combat.

La bataille de Little Bighorn

Champ de bataille de Little Bighorn : la stèle marquée de noir indique où est tombé Custer.

La bataille de Little Bighorn (surnommée en anglais « Custer's Last Stand » : « l'ultime résistance de Custer ») s'est déroulée le à proximité de la rivière Little Bighorn (affluent du Bighorn, un affluent de la Yellowstone), dans le Montana. À la tête des 647 hommes du 7e régiment de cavalerie, Custer décide d'attaquer un vaste campement amérindien dans lequel s'étaient rassemblés plusieurs milliers de Cheyennes et Sioux à l'appel de Sitting Bull. D'abord surpris, les Amérindiens repoussent la première attaque menée par les 3 compagnies du major Reno. Menés par les chefs sioux Crazy Horse et Gall et le chef cheyenne Lame White Man, ils se portent à la rencontre des cinq compagnies de Custer. Custer et 215 hommes sont tués. Mort aux côtés de Custer, Mark Kellogg est le premier reporter de l'histoire de l'Associated Press à mourir sur un champ de bataille. Parmi les hommes qui portent son cercueil, on retrouve le général Joseph B. Kiddoo[39].

Dans la culture populaire

Mythes et erreurs sur le général Custer

Statue équestre de Custer à Monroe (Michigan).
Custer vers 1870.

Dès la mort de Custer, son épouse, souhaitant entretenir le mythe de héros du général, fait lire à cet effet certaines lettres personnelles de son mari à l'auteur de romans de gare Frederick Whittaker. Ce dernier rassemble des anecdotes fameuses et flatteuses sur le général à partir de journaux et magazines pour écrire la première biographie de Custer en 1876, Complete Life of George Armstrong Custer, ouvrage à l'origine de la légende de Custer reprise dans les trois biographies écrites par Elizabeth Bacon Custer[40].

Quelques semaines après la bataille de Little Bighorn, l'éclaireur et artiste Bill Cody se produit dans une pièce à New York, First Scalp for Custer qui mythifie cette bataille et fait de Custer un martyr de la cause du progrès américain[41].

Custer n'a jamais été surnommé de son vivant « Tueur de squaws », « Cheveux jaunes » ou « Tête jaune » par quiconque[42].

Films

Séries télévisées

  • Nord et Sud (série télévisée). Il apparaît lors de la reddition du général Robert Lee à Appomattox.
  • Docteur Quinn, femme médecin (série télévisée, 1993-1998). Il apparaît notamment dans les saisons 1 à 3 de la série ; le général se heurte à l’hostilité de la communauté pour sa haine des Indiens.

Dessins animés

  • Dans la série Les Nouvelles Aventures de Lucky Luke où il apparaît comme un homme de petite taille, très souvent en colère, qui déteste les Indiens et veut les expédier en Inde, estimant par cuistrerie que c'est leur pays d'origine.

Romans

  • (en) Robert Conroy, 1882 : Custer in Chains, Baen, , 400 p. (ISBN 978-1-4767-8051-1). George Armstrong Custer survit à la bataille de Little Bighorn. Il est élu président des États-Unis et provoque une guerre hispano-américaine.
  • L'auteur américain Dan Simmons commence son roman Collines noires (Black Hills) paru en 2010 par la bataille de Little Bighorn et la mort de George Armstrong Custer. Paha Sapa, un Indien lakota âgé de dix ans, touche le corps de lieutenant-colonel au moment de sa mort et l'âme de ce dernier s'infiltre alors dans son corps.

Bandes dessinées

Dans les jeux vidéo

Notes et références

  1. (en) « George Armstrong Custer », sur Encyclopædia Britannica (consulté le ).
  2. (en) Jeffry D. Wert, Custer, Simon and Schuster, , p. 15.
  3. (en) « George Armstrong Custer », sur American Battlefield Trust, (consulté le ).
  4. Charles B. Wallace, Ohio d'enfance de Custer : un bref compte rendu de la vie de Major-général George Armstrong Custer, Freeport Press, , p. 6.
  5. (en) Edward L. Daily, The Legacy of Custer's 7th U.S. Cavalry in Korea, Turner Publishing Company, , p. 12.
  6. (en-US) « Our History », sur www.hopedaleohio.com (consulté le ).
  7. (en-US) « The Boy General: George Armstrong Custer », sur ohiomemory.ohiohistory.org (consulté le ).
  8. (en) Earle Rice Jr., The Brothers Custer : Galloping to Glory, Mitchell Lane Publishers, , p. 10.
  9. (en-US) « George Armstrong Custer | Encyclopedia.com », sur www.encyclopedia.com (consulté le ).
  10. (en-US) « George Custer », sur Biography (consulté le ).
  11. (en) Tom Carhart, Sacred Ties : From West Point Brothers to Battlefield Rivals: A True Story of the Civil War, Penguin, , p. 57.
  12. (en-US) « George Custer », sur HistoryNet (consulté le ).
  13. (en-US) Christopher Klein, « 10 Surprising Facts About General Custer », sur History, (consulté le ).
  14. (en-GB) « A Review Of George Armstrong Custer History Essay », sur UKEssays.com (consulté le ).
  15. Cornut, Little Big Horn, autopsie d'une bataille légendaire, Anovi, 2006.
  16. (en-US) Ed Pearce, « Encyclopedia of Trivia: George Armstrong Custer », sur Encyclopedia of Trivia, (consulté le ).
  17. (en-US) Robert J. McNamara, « What Happened During the Cavalry Fight at the Battle of Gettysburg », sur ThoughtCo (consulté le ).
  18. (en-US) Greg Jackson, « Custer vs J.E.B. Stuart - The Day Two Cavalry Legends Faced Off at Gettysburg », sur War history online, (consulté le ).
  19. (en-US) « Medal of Honor: Captain Thomas W. Custer, First Double Recipient », sur département des Anciens combattants des États-Unis.
  20. (en-US) « CMOHS.org - Second Lieutenant Custer, Thomas W., U.S. Army », sur www.cmohs.org (consulté le ).
  21. (en) Kevin M. Sullivan, Custer's Road to Disaster : The Path to Little Bighorn, Globe Pequot, , p. 34.
  22. Alain Gouttman, La Guerre du Mexique (1862-1867) : le mirage américain de Napoléon III, Perrin, 2008.
  23. (en) George R. Lee, U.S. History, Grades 6 - 8. People and Events : 1865 : Present, Carson-Dellosa Publishing, , p. 18
  24. (en-US) « Encyclopedia of the Great Plains | CUSTER, GEORGE ARMSTRONG (1839-1876) », sur plainshumanities.unl.edu (consulté le )
  25. Appelée le plus souvent « campagne de 1867 ». Voir Utley, Custer, Cavalier in buckskin, University of Oklahoma Press, rééd. 2001.
  26. (en) Richard G. Hardorff, Washita Memories, University of Oklahoma Press, , p. 58.
  27. (en) Brice C. Custer, The Sacrificial Lion, George Armstrong Custer, Upton & Sons, , p. 118.
  28. Monaghan, Custer: The life of General George A. Custer, University of Nebraska Press, 1971.
  29. (en) James Donovan, A Terrible Glory, Little, Brown and Company, , p. 62-63.
  30. Liste des chefs de guerre tués, donnée à l'interprète Richard Curtis : Buffalo Tongue ; Tall White Man ; Tall Owl ; Poor Black Elk ; Big Horse ; White Beaver ; Bear Tail ; Running Water ; Wolf Ear ; The Man That Hears the Wolf ; Medicine Walker ; Black Kettle ; Little Rock. (en) Stan Hoig, The Battle of the Washita, University of Oklahoma Press, p. 200-201.
  31. (en) Thom Hatch, Custer and the Battle of the Little Bighorn, McFarland & Company, , p. 53.
  32. (en) Thom Hatch, The Last Days of George Armstrong Custer, St. Martin's Press, , p. 71.
  33. Biographie et éclairages sur le colonel Lounsberry
  34. (en) David Hardin, After the war : the lives and images of major Civil War figures after the shooting stopped (lire en ligne), p. 263.
  35. (en) Richard G. Hardorff, Indian Views of the Custer Fight, University of Oklahoma Press, , p. 193.
  36. Éric Joly, Custer : la vérité sur les guerres indiennes des grandes plaines d’Amérique du Nord, France-Empire, .
  37. (en) Jeffry D. Wert, Custer. The Controversial Life of George Armstrong Custer, Simon & Schuster, , p. 192.
  38. My Life on the Plains, général Custer
  39. (en) Christopher B. Bean, Too great a burden to bear : the struggle and failure of the Freedmen's Bureau in Texas, New York, Fordham University Press, , 309 p. (ISBN 978-0-8232-6875-7, OCLC 938856414, lire en ligne), p. 48
  40. (en) Tom Quirk et Gary Scharnhorst, American history through literature, 1870-1920, Charles Scribner's Sons/Thomsom Gale, , p. 227.
  41. (en) Charles E. Rankin, Legacy : new perspectives on the Battle of the Little Bighorn, Montana Historical Society Press, , p. 233
  42. Complete Life of George Armstrong Custer de Frederick Whittaker

Annexes

Bibliographie

  • Eric Joly, Custer, la vérité sur les guerres indiennes des grandes plaines d'Amérique du Nord, France-Empire, 2005 (ISBN 2-7048-0991-7).
  • David Cornut, Little Big Horn, autopsie d'une bataille légendaire (édition augmentée), Editions Anovi, 2006/2008 (ISBN 2-914818-28-9).
  • Jean-Georges Aguer, Little Bighorn, Paris, Cherche Midi, , 324 p. (ISBN 978-2-7491-0847-6).
  • Farid Ameur, Sitting Bull : Héros de la résistance indienne, Paris, Larousse, , 256 p. (ISBN 978-2-03-585465-0).
  • Élise Marienstras, La Résistance indienne aux États-Unis : Du XVIe au XXIe siècle, Paris, Folio, , 352 p. (ISBN 978-2-07-045398-6).
  • (en) Frederick Samuel Dellenbaugh, George Armstrong Custer, Wentworth Press, 1917, rééd. 2019, 214 p. (ISBN 978-0-469-91874-0).
  • (en) Jay Monaghan, Custer : The Life of General George Armstrong Custer, University of Nebraska Press, 1959, rééd. 1 septembre 1971, 479 p. (ISBN 978-0-8032-5732-0, lire en ligne).
  • (en) Stephen E. Ambrose, Crazy Horse and Custer: The Parallel Lives of Two American Warriors, Pocket Books, 1975, rééd. 2 juin 2003, 560 p. (ISBN 978-0-7434-6864-0).
  • (en) Douglas C. Jones, The Court-Martial of George Armstrong Custer : A Novel, Ibooks, Inc, 1976, rééd. 2006, 291 p. (ISBN 978-1-59687-354-4).
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  • (en) Marguerite Merington, The Custer Story: The Life and Intimate Letters of General George A. Custer and His Wife Elizabeth, University of Nebraska Press, , 347 p. (ISBN 978-0-8032-8138-7, lire en ligne).
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  • (en) Lawrence A. Frost, The Custer Album: A Pictorial Biography of George Armstrong Custer, University of Oklahoma Press, , 192 p. (ISBN 978-0-8061-2282-3, lire en ligne).
  • (en) Louise Barnett, Touched by fire : the life, death, and mythic afterlife of George Armstrong Custer, Lincoln, University of Nebraska Press, 1996, rééd. 1 octobre 2006, 540 p. (ISBN 978-0-8032-6266-9, lire en ligne).
  • (en) Jeffry D. Wert, Custer: The Controversial Life of George Armstrong Custer, Simon & Schuster, 1996, rééd. 10 juin 1997, 464 p. (ISBN 978-0-684-83275-3, lire en ligne).
  • (en) Theodore Link, George Armstrong Custer, Rosen Publishing Group, (ISBN 978-0-8239-4110-0).
  • (en) Michael A. Elliott, Custerology : the enduring legacy of the Indian wars and George Armstrong Custer, Chicago (Ill.), University of Chicago Press, , 344 p. (ISBN 978-0-226-20146-7).
  • (en) Jerome A. Greene, Washita: The U.S. Army and the Southern Cheyennes, 1867-1869, University of Oklahoma Press, , 292 p. (ISBN 978-0-8061-3885-5, lire en ligne).
  • (en) Thom Hatch, Glorious War: The Civil War Adventures of George Armstrong Custer, St. Martin's Press, , 384 p. (ISBN 978-1-250-02850-1).
  • (en) collectif, George Armstrong Custer, Wentworth Press, , 212 p. (ISBN 978-1-01-023964-2).

Articles connexes

Liens externes

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