Courniou
Courniou [kuʁ.ɲu] (en occitan Cornhon [kur.'ɲu]) est une commune française située dans le département de l'Hérault, en région Occitanie.
Courniou | |||||
![]() Vue générale. | |||||
![]() Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Occitanie | ||||
Département | Hérault | ||||
Arrondissement | Béziers | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Minervois au Caroux | ||||
Maire Mandat |
Catherine Sonzogni 2020-2026 |
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Code postal | 34220 | ||||
Code commune | 34086 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Courniounais | ||||
Population municipale |
612 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 20 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 28′ 28″ nord, 2° 42′ 45″ est | ||||
Altitude | 362 m Min. 329 m Max. 951 m |
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Superficie | 30,06 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Pons-de-Thomières | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Hérault
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Géographie
Localisation
La commune est limitrophe du département du Tarn.
Communes limitrophes

Géologie et relief
Le pays est montagneux. Le village est situé à 362 m d'altitude; le point le plus haut est le Sud (951 m).
Hydrographie
Le col de la Fenille (459 m), situé sur la D.612 à l'ouest de la commune avant la limite départementale avec le Tarn, est sur la ligne de partage des eaux entre la mer Méditerranée et l'océan Atlantique.
Il figure parmi les points du versant atlantique les plus proches de la Méditerranée en France[Carte 1]. La commune est sur les deux versants, ainsi donc que le département de l'Hérault.

Climat
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Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[2].
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1971 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 1,7 | 1,8 | 3,7 | 5,6 | 8,9 | 12,1 | 14,5 | 14,4 | 11,5 | 9,1 | 4,9 | 2,3 | 7,6 |
Température moyenne (°C) | 4,8 | 5,3 | 7,8 | 9,9 | 13,7 | 17,4 | 20,2 | 20 | 16,6 | 12,9 | 8,1 | 5,5 | 11,9 |
Température maximale moyenne (°C) | 8 | 8,8 | 11,9 | 14,3 | 18,5 | 22,6 | 25,8 | 25,6 | 21,7 | 16,8 | 11,4 | 8,6 | 16,2 |
Record de froid (°C) date du record |
−15,5 16.01.1985 |
−11,7 08.02.12 |
−12,5 07.03.1971 |
−2,5 21.04.1997 |
−1,2 08.05.1974 |
3,5 06.06.1989 |
5,5 01.07.1972 |
5 28.08.1974 |
−0,3 19.09.1977 |
−2 23.10.1991 |
−8,2 28.11.1977 |
−10,5 03.12.1973 |
−15,5 1985 |
Record de chaleur (°C) date du record |
19,9 13.01.07 |
23 15.02.1998 |
26,5 11.03.1981 |
28,2 09.04.11 |
31,8 30.05.01 |
36 21.06.03 |
35,9 06.07.1982 |
39,3 12.08.03 |
33 18.09.1987 |
29,1 02.10.11 |
24,5 23.11.1992 |
22 18.12.1987 |
39,3 2003 |
Ensoleillement (h) | 96,6 | 118,6 | 177 | 183,6 | 219,3 | 244,9 | 270,6 | 255,7 | 213,5 | 154,1 | 92,7 | 86,8 | 2 113,2 |
Précipitations (mm) | 161 | 148,5 | 117,9 | 151,6 | 102,6 | 58 | 35,4 | 60,5 | 92,6 | 162,8 | 174,5 | 179,3 | 1 444,7 |
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[7],[8].
Un espace protégé est présent sur la commune : le parc naturel régional du Haut-Languedoc, créé en 1973 et d'une superficie de 307 184 ha, qui s'étend sur 118 communes et deux départements[9]. Implanté de part et d’autre de la ligne de partage des eaux entre Océan Atlantique et mer Méditerranée, ce territoire est un véritable balcon dominant les plaines viticoles du Languedoc et les étendues céréalières du Lauragais[10],[11].
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 2]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : , un site d'hivernage majeur pour l'une des espèces de Chauve-souris d'intérêt communautaire, le Grand Murin[13], d'une superficie de 89,5 ha, un site d'hivernage majeur pour l'une des espèces de Chauve-souris d'intérêt communautaire, le Grand Murin[14].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 3] est recensée sur la commune[15] : la « grotte de la rivière Morte » (248 ha), couvrant 2 communes du département[16] et deux ZNIEFF de type 2[Note 4],[15] :
Urbanisme
Typologie
Courniou est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[19],[20],[21]. La commune est en outre hors attraction des villes[22],[23].
Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (84,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (82,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (84,3 %), zones agricoles hétérogènes (12,1 %), prairies (1,8 %), zones urbanisées (1,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,5 %)[24].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Toponymie
Le nom Courniou dérive de celui d'un domaine gallo-romain, gentilice latin Cornius augmenté du suffixe -onem[25].
Histoire
La première mention de Courniou figure dans la charte de création de l’abbaye de Saint-Pons par Raymond Pons, comte de Toulouse (Xe siècle). L'église de Notre-Dame de Courniou a été construite en 1692. Jusqu'en 1705, les habitants de Courniou dépendaient de la paroisse Saint-Fabien de Prouilhe. Les trois paroisses de Notre-Dame de Courniou, Saint-Fabien de Prouilhe et Saint-Mathias de Marthomis (ces deux dernières érigées en paroisse en 1844) étaient annexes de celle de Saint-Pons.
Le 18 février 1884, la commune de Courniou est créée, formée des hameaux de Courniou, Prouilhe et Marthomis, distraits de la commune de Saint-Pons-de-Thomières (B.L. 1884, XVIII-183)
Géologie
Les terrains composant la géologie de Courniou sont variés.
Au nord de la commune, on trouve des gneiss et granites caractéristiques de la zone axiale de la Montagne Noire. A l'ouest, du col de la Fenille jusqu'à l'entrée du village, affleurent des schistes ardoisiers probablement pré-cambriens à cambriens.
Le reste de la commune est formé d'une série géologique allant de l'Ordovicien au carbonifère, souvent appelée "unité du saintponais" :
L'Ordovicien apparaît au sud de la commune sous la forme de grès et pélites directement en contact avec une série dévonienne carbonatée. Le dévonien est fortement plissé et semble être le flanc inverse d'un antique pli couché. La position inversée de la série est confirmée par la présence de carbonifère (étage Viséen) dans le cœur d'une antiforme.
Extraction
L'ouverture de carrières dans les schistes a permis l'extraction d'ardoises tandis que les calcaires ont livré des moëllons et de la chaux.
Il est intéressant de noter que le sud de la commune renferme des gîtes métallifères[26] dans les calcaires, les dolomies et les grès. Aussi, du minerai de fer y a été extrait jusqu'au début du XXe siècle.
On trouve aussi un ancien site d'extraction de calcite, utilisée pour la réalisation de linteaux ou de pierres de parements.
Enfin, au XVIIIe siècle, les marbres eifféliens y ont été extraits pour leur qualité décorative.
L'industrie extractive a disparu sur la commune.
Le karst
La présence d'une bande carbonatée fortement fracturée entourée de terrains imperméables a permis une très forte karstification dont l'exemple le plus connu est la grotte de la Devèze.
Ce vaste karst qui s'étend des Verreries de Moussans jusqu'à Saint Pons de Thomières draine les eaux météoriques et les eaux du Thoré et de la Salesse perdues au contact des calcaires et résurgent aux sources du Jaur et de Ponderatz à Saint-Pons-de-Thomières.

Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1886. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[28].
En 2018, la commune comptait 612 habitants[Note 6], en augmentation de 0,99 % par rapport à 2013 (Hérault : +6,12 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

Économie
En 1884, le chemin de fer de Castres à Bédarieux a permis un essor économique. Les forêts ont favorisé l'industrie du bois (charpentes, douelles de barriques, cercles, tuteurs pour la vigne). Les tisserands étaient nombreux autrefois. Entre 1830 et 1960 a été exploitée une mine de fer dans la région des Usclats-Verreries.
Lieux-dits et écarts (masages)
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Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Grotte de la Devèze. Voir les salles
- Salle Casteret
- Salle des Bijoux
- Salle Armand
- Salle de Rouville
- Salle de L’abbé
- Salle Milhaud
- Musée français de la Spéléologie
Aire de jeux sous la cathédrale.
Personnalités liées à la commune
- Irénée Cros, martyr de la résistance en Ariège y est né le 15 décembre 1887.
- Jean-Pierre Moure, maire de Cournonsec et président de l'Agglomération de Montpellier, y est né.
Héraldique
![]() |
Les armes de Courniou se blasonnent ainsi : tranché au premier de gueules à la croix cléchée pommetée et vidée d'or; au deuxième d'or à trois châtaignes au naturel rangées en orle, une cotice d'argent brochant sur la partition, au chef de sable chargé d'une chauve-souris essorée d'argent[31] |
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Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[12].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- « Col de la Fenille » sur Géoportail..
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Carte IGN sous Géoportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
- « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « Le parc naturel régional du Haut-Languedoc en chiffres », sur https://www.parc-haut-languedoc.fr/ (consulté le )
- [PDF]« Le parc naturel régional du Haut-Languedoc – charte 2011-2023 », sur https://www.parc-haut-languedoc.fr/ (consulté le )
- « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Courniou », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9101428 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Courniou », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « grotte de la rivière Morte » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « massif du Somail » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « montagne noire centrale » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Frank R. Hamlin et abbé André Cabrol, Les noms de lieux du département de l'Hérault : Dictionnaire Topographique et Étymologique, , 415 p. (ISBN 2-904624-00-7, lire en ligne), p. 123
- 1993 - M. Demange, C. Alabouvette, notice de la carte géologique de Saint Pons.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Armorial des communes de l'Hérault, Didier Catarina, Jean-Paul Fernon, avec le concours de Jacky David, éd. Artistes en Languedoc, 2004, (ISSN 1264-5354), p. 40.
Voir aussi
Bibliographie
- « Armoiries [Les Verreries. Courniou. Saint-Pons. Riols. Saint-Étienne d'Albagnan. Saint-Vincent. Saint-Julien. Olargues. Mons. Colombières. Saint-Martin de l'Arçon] », Bulletin de la Société languedocienne de géographie, Montpellier, t. XXIII, (lire en ligne)
- Patrick Cabrol, Contribution à l'étude du concrétionnement carbonate des grottes du Sud de la France : morphologie, genèse, diagenèse, Montpellier, éd. Cerga, , 275 p.
- Jean-Pierre Ferrer, Précis chronologique d'histoire de Courniou dans l'Hérault : avec des éléments de géographie physique, économique, humaine et touristique, Minerve, J.-P. Ferrer, , 154 p.
- Georges Milhaud, « La Grotte de la Devèze », Cévenne & Méditerranée, no 2, , p. 71-80
Fonds d'archives
- Fonds : Archives communales de Courniou (1834-1835) [0,15 ml]. Cote : 86 EDT. Montpellier : Archives départementales de l'Hérault (présentation en ligne).
Articles connexes
Liens externes
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Courniou sur le site d'histoire locale du Saint-Ponais
- Courniou-les-Grottes
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