Chevrières (Oise)

Chevrières est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Chevrières.

Chevrières

La mairie.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité CC de la Plaine d'Estrées
Maire
Mandat
Donatien Pinon
2020-2026
Code postal 60710
Code commune 60149
Démographie
Population
municipale
2 022 hab. (2018 )
Densité 163 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 20′ 44″ nord, 2° 41′ 00″ est
Altitude Min. 29 m
Max. 82 m
Superficie 12,4 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Estrées-Saint-Denis
Législatives 5e circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Chevrières
Géolocalisation sur la carte : Oise
Chevrières
Géolocalisation sur la carte : France
Chevrières
Géolocalisation sur la carte : France
Chevrières
Liens
Site web http://www.mairie-chevrieres.fr/

    Géographie

    La commune est située dans le département de l'Oise, près de la rive droite de l'Oise, entre Creil et Compiègne, sur l'itinéraire de l'autoroute A1 et de la LGV Nord. Chevrières est une commune résidentielle à caractère rural, en dehors de toute agglomération[1]. La distance orthodromique avec la capitale, au sud-ouest, est de 59 km[2]. Le chef-lieu d'arrondissement de Compiègne est éloigné de 13 km[3], et le chef-lieu de département Beauvais de 45 km[4]. L'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle est situé à 41 km au sud[5].

    Communes limitrophes de Chevrières (Oise)[6]
    Grandfresnoy Le Fayel
    Houdancourt Longueil-Sainte-Marie

    Le noyau ancien du village laisse paraître le type de village-rue le long de la RD 13, route secondaire de Saint-Martin-Longueau (près de Pont-Sainte-Maxence) à Compiègne. Cette route traverse la commune d'est en ouest, coupant le territoire communal en son milieu. Alors que le village est bâti à une altitude variant peu autour de 35 m au-dessus du niveau de la mer, le terrain augmente vers le nord et gagne une vingtaine de mètres ; le point culminant à 82 m au-dessus du niveau de la mer correspondant à une petite butte. Cette moitié nord du territoire communal est presque exclusivement occupée par des surfaces agricoles, les parcelles boisées se faisant très rares. À cheval sur les communes de Chevrières et Grandfresnoy, la sucrerie de Grandfresnoy, toujours active (2019), se situe en majeure partie sur le territoire de Chevrières. - Vers le nord-est, le territoire communal est délimité par la LGV Nord sur une certaine distance. Le village s'est étendu vers le sud, avec une ou deux rues parallèles à la RD 13, et un long alignement de maisons le long de la RD 115 qui mène à la gare. Le secteur sud du territoire communal est marécageux à de nombreux endroits et majoritairement boisé, avec présence de nombreux étangs de pêche. À l'extrémité sud-ouest, se trouve le petit hameau du Quesnoy. La limite sud de la commune s'approche de l'Oise de moins de 500 m sans l'atteindre, du fait que les territoires des communes limitrophes est et ouest se rejoignent au sud de Chevrières.

    Sur le plan des voies de communication, Chevrières ne tire aucun bénéfice de la LGV Nord non interconnectée avec la ligne de Creil à Jeumont sur laquelle est située sa gare. C'est un point d'arrêt sans présence commerciale desservi par les trains omnibus TER Picardie de la relation n° 12 Compiègne - Paris. Du lundi au vendredi, s'y arrêtent huit trains pour Paris et neuf pour Compiègne, la fréquence étant moindre le week-end. Le temps de parcours est de 50 min pour Paris et d'un quart d'heure pour Compiègne[8]. Un échangeur de l'A1 se situe immédiatement au sud de Chevrières, sur la commune de Longueil-Sainte-Marie. Pour atteindre l'échangeur, il faut toutefois passer par la voie rapide de la RD 200 Creil - Compiègne, autre route d'importance majeure pour Chevrières (qui ne traverse pas le territoire communal). Les autres routes constituent des axes secondaires : la RD 13 déjà mentionnée, ainsi que la RD 155 en tant que liaison nord-sud. Elle relie la RN 31 Rouen - Reims au nord à la RD 200 au sud, en passant par le centre-ville. Une déviation par l'est existe maintenant pour Grandfresnoy, qui commence à un rond-point à mi-chemin entre Chevrières et la sucrerie.

    Concernant les transports en commun, Chevrières est desservie par deux lignes d'autocars du réseau du conseil général de l'Oise : la ligne 8B Sacy-le-Petit - Pont-Sainte-Maxence et la ligne 33B Clermont - Compiègne, toutes les deux à vocation essentiellement scolaire. La ligne 33B propose toutefois deux aller-retours pour Compiègne en transport sur réservation pendant les vacances scolaires, du lundi au samedi[9].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[11].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[12]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[10]

    • Moyenne annuelle de température : 10,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 672 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[14] complétée par des études régionales[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Margny-les-Compiègne », sur la commune de Margny-lès-Compiègne, mise en service en 1994[16] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[17],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,1 °C et la hauteur de précipitations de 662,2 mm pour la période 1981-2010[18]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 43 km[19], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[20] à 10,6 °C pour 1981-2010[21], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[22].

    Urbanisme

    Typologie

    Chevrières est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[23],[24],[25].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire regroupe 1 929 communes[26],[27].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (59,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (49,6 %), forêts (17,6 %), eaux continentales[Note 7] (11,6 %), zones urbanisées (8,4 %), mines, décharges et chantiers (7,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,2 %), zones agricoles hétérogènes (2,6 %)[28].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[29].

    Histoire

    Dans la nuit du 22 au , durant la Première Guerre mondiale, lors d'un raid de bombardement aérien contre Paris, un Gotha G allemand abattu par la DCA et s'écrase près de la ferme Lormont située sur la commune[30].

    En avril 2014, des vestiges d'habitation du IXe au XIIe siècle ont été trouvés par l'Inrap (Institut national de recherches archéologiques préventives). Un squelette de cheval complet, un ancien jeton de jeu de tables et d'autres objets ont été trouvés sur les lieux. Les archéologues pensent que, sous le sol d'une habitation, se trouve un château. Les vestiges étaient visitables les 7 et 8 juin 2014.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
     ?  ? Antoine Bullot    
    1935 1945 Edmond Souplet    
    ca. 1950  ? René Langlois-Meurinne Rad. puis
    UNR puis UDR
    Agriculteur
    Conseiller général d'Estrées-Saint-Denis (1951 → 1970)
    Maire en 1983  ? Roger Rigaut    
    mars 2001 mars 2014[31] Marcel Fouet DVD puis UMP Cadre à La Poste
    Conseiller général d'Estrées-Saint-Denis (2001 → 2008)
    Président de la CC de la Plaine d’Estrées (2001 → 2014)
    mars 2014 mai 2020[32] Hervé Cosme SE Ancien directeur de l'école Denis-Bertin
    Vice-président de la CC de la Plaine d’Estrées (2014 → 2020)
    mai 2020[33],[34] En cours
    (au 27 mai 2020)
    Donatien Pinon LR[35] Retraité
    7e vice-président de la CC de la Plaine d’Estrées[36] (2020 → )

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[38].

    En 2018, la commune comptait 2 022 habitants[Note 8], en augmentation de 7,15 % par rapport à 2013 (Oise : +1,44 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    644609726730853845823830898
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    871885876839895867840815844
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    8518789108799741 0991 1151 0121 210
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    1 2221 2641 5351 6051 5751 6321 7101 7191 728
    2013 2018 - - - - - - -
    1 8872 022-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (20,9 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) tout en étant toutefois inférieur au taux départemental (17,5 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (50,3 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 49,7 % d’hommes (0 à 14 ans = 20,7 %, 15 à 29 ans = 15,4 %, 30 à 44 ans = 21,6 %, 45 à 59 ans = 22 %, plus de 60 ans = 20,3 %) ;
    • 50,3 % de femmes (0 à 14 ans = 19,8 %, 15 à 29 ans = 15,9 %, 30 à 44 ans = 21,9 %, 45 à 59 ans = 20,8 %, plus de 60 ans = 21,6 %).
    Pyramide des âges à Chevrières en 2007 en pourcentage[41]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90  ans ou +
    0,7 
    6,2 
    75 à 89 ans
    7,2 
    13,9 
    60 à 74 ans
    13,7 
    22,0 
    45 à 59 ans
    20,8 
    21,6 
    30 à 44 ans
    21,9 
    15,4 
    15 à 29 ans
    15,9 
    20,7 
    0 à 14 ans
    19,8 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2007 en pourcentage[42]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90  ans ou +
    0,8 
    4,5 
    75 à 89 ans
    7,1 
    11,0 
    60 à 74 ans
    11,5 
    21,1 
    45 à 59 ans
    20,7 
    22,0 
    30 à 44 ans
    21,6 
    20,0 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    19,9 

    Héraldique

    Les armes de Chevrières se blasonnent ainsi : d'azur à la croix cousue de gueules cantonnée en chef de deux fleurs de lis d'or, à l'écusson d'argent chargé d'un lion de sinople armé de gueules.

    * Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives.

    Lieux et monuments

    Monument historique

    Chevrières ne compte qu'un seul monument historique sur son territoire.

    • Église Saint-Georges (classée monument historique par arrêté du 30 juin 1920[43]), place René-Langlois-Meurinne / place Saint-Georges : elle a été édifiée entre 1530 et 1545 dans le style gothique flamboyant, sous l'impulsion du nouveau seigneur local, Robert de Broully. Son gisant est conservé dans l'église. De splendides vitraux ont été offerts par le chapitre de Beauvais, le procureur du seigneur et son épouse, ainsi que par le chanoine Nicolas Bottée. Quatre de ces vitraux attribués à l'atelier beauvaisien de Nicolas Leprince subsistent, mais ont été fortement restaurés en 1860. La nef et ses collatéraux ont dû être financés par les paroissiens, et ils restent inachevés jusqu'en 1868. L'homogénéité de l'architecture ne permet pas de soupçonner que l'église est en fait issue de plusieurs campagnes de construction, sauf pour la façade, qui comporte un portail de 1672. Dans son ensemble, l'église Saint-Georges est assez représentative des reconstructions flamboyantes de la seconde moitié du XVIe siècle dans la région, et sans particulièrement se démarquer, elle peut être considérée comme une réalisation de qualité. Elle a été largement remeublé au XIXe siècle[44]. L'église Saint-Georges est aujourd'hui affiliée à la paroisse Saint-Joseph de la plaine d'Estrées, et accueille des célébrations eucharistiques la plupart des dimanches matins, ainsi que plusieurs fois en semaine[45].

    Autres éléments du patrimoine

    • Le monument aux morts, dans le jardin de la mairie, près du chevet de l'église

    Personnalités liées à la commune

    Culture et loisirs

    Il existe à Chevrières une librairie, Graines de Mots, l’une des six librairies indépendantes du département et la seule de la région à être associative[46].

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Chanoine Émile Epiphanius Morel et François Callais (dir.), Histoire de Chevrières, Compiègne, Société historique de Compiègne, , 155 p., p. 72-88

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[13].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Région Picardie - Liste des agglomérations de la région Picardie (liste déroulante) », sur Insee (consulté le ).
    2. « Orthodromie entre Chevrières et Paris », sur Localisation Interactive, Orthodromie et Navigation (lion1906) (consulté le ).
    3. « Orthodromie entre Chevrières et Compiègne », sur Localisation Interactive, Orthodromie et Navigation (lion1906) (consulté le ).
    4. « Orthodromie entre Chevrières et Beauvais », sur Localisation Interactive, Orthodromie et Navigation (lion1906) (consulté le ).
    5. « Orthodromie entre Chevrières et Tremblay-en-France », sur Interactive, Orthodromie et Navigation (lion1906) (consulté le ).
    6. « Communes limitrophes de Chevrières (Oise) » sur Géoportail..
    7. « Communes limitrophes de Chevrières (Oise) » sur Géoportail..
    8. [PDF] « Horaire de la relation n° 12 Busigny - Saint-Quentin - Compiègne - Paris », sur TER Picardie (consulté le ).
    9. [PDF] « Horaire de la ligne 8C Sacy-le-Petit - Pont-Sainte-Maxence » et « Horaire de la ligne 33B Clermont - Compiègne » sur le site « Fiches horaires », sur Oise Mobilité (consulté le ).
    10. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    11. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    12. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    13. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    14. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    15. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    16. « Station Météo-France Margny-les-Compiègne - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    17. « Orthodromie entre Chevrières et Margny-lès-Compiègne », sur fr.distance.to (consulté le ).
    18. « Station Météo-France Margny-les-Compiègne - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    19. « Orthodromie entre Chevrières et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    20. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    21. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    22. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    23. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    25. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    26. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    27. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    28. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    29. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    30. Maurice Théry : Paris bombardé par zeppelins, gothas et berthas page 214
    31. « Marcel Fouet (UMP) ne repart pas à Chevrières », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    32. « Hervé Cosme, maire de Chevrières, ne se représentera pas en 2020 », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Hervé Cosme, 68 ans, maire de Chevrières, ne se représentera pas en 2020 après plus de 30 ans d'investissement au profit de sa commune comme conseiller (de 1989 à 1995) puis adjoint (de 1995 à 2014) et enfin maire (depuis 2014) ».
    33. « Chevrières. Donatien Pinon élu maire au premier tour », Oise Hebdo, (lire en ligne, consulté le ) « Donatien Pinon, conseiller sortant a été élu dès le premier tour. Face à lui, l’adjoint sortant Philip Michel a réuni 42,29 % des voix ».
    34. A.C., « Elu maire, Donatien Pinon succède à Hervé Cosme », Oise Hebdo, no 1369, , p. 17 (ISSN 1774-6418).
    35. A. C., « Candidat à Chevrières, Donatien Pinon a réuni 9 conseillers ou adjoints sortants », Oise Hebdo, (lire en ligne, consulté le ) « S’il ne cache pas avoir sa carte au parti Les Républicains, Donatien Pinon mènera sa liste sans étiquette ».
    36. https://www.ccplaine-estrees.com/la-ccpe/les-elus/
    37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    39. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    41. « Évolution et structure de la population à Chevrières en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    42. « Résultats du recensement de la population de l'Oise en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    43. « Église Saint-Georges », notice no PA00114589, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    44. Chanoine Émile Epiphanius Morel et François Callais (dir.), Histoire de Chevrières, Compiègne, Société historique de Compiègne, , 155 p., p. 72-88.
    45. « Horaire des messes », sur Paroisse Saint-Joseph (consulté le ).
    46. Par Stéphanie ForestierLe 27 avril 2019 à 15h55, « Chevrières : Graines de Mots, une librairie unique et active en plein village », sur leparisien.fr, (consulté le ).
    • Portail de l’Oise
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.