Burie

Burie est une commune du Sud-Ouest de la France située dans le département de la Charente-Maritime (région Nouvelle-Aquitaine).

Burie

La place de l'hôtel de ville de Burie
avant sa rénovation.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente-Maritime
Arrondissement Saintes
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Saintes
Maire
Mandat
Gerard Perrin
2020-2026
Code postal 17770
Code commune 17072
Démographie
Gentilé Buriauds
Population
municipale
1 287 hab. (2018 )
Densité 140 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 46′ 24″ nord, 0° 25′ 16″ ouest
Altitude Min. 19 m
Max. 103 m
Superficie 9,19 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Cognac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chaniers
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Burie
Géolocalisation sur la carte : Charente-Maritime
Burie
Géolocalisation sur la carte : France
Burie
Géolocalisation sur la carte : France
Burie

    Ses habitants sont appelés les Buriauds et les Buriaudes[1].

    Géographie

    La commune de Burie se situe dans le centre-est du département de la Charente-Maritime, en région Nouvelle-Aquitaine, dans l'ancienne province de Saintonge. Appartenant au Midi de la France — on parle plus précisément de « Midi atlantique »[2], au cœur de l'arc atlantique, elle peut être rattachée à deux grands ensembles géographiques, le Grand Ouest français et le Grand Sud-Ouest français.

    Burie est située en Borderies, cru classé du vignoble d'appellation Cognac.

    Accès

    La commune est traversée par la D 731 qui relie Cognac à Saint-Jean-d'Angély. Burie se situe à 13 km de Cognac, 13 km de Saint-Hilaire-de-Villefranche et 24 de Saint-Jean-d'Angély. Et par la route qui passe par Saint-Bris-des-Bois, Burie est à 20 km de Saintes.

    Burie est une petite ville qui surplombe cet axe. Sa rue commerçante, l'avenue de la République débute à la D 731, passe devant la place de la Mairie et le Champ de Foire et commence sa montée vers sa partie la plus ancienne. Elle laisse le lavoir à sa gauche, accentue sa pente et arrive jusqu'à l'église. La rue du Château mène derrière l'église au château qui y est accolé.

    Lieux-dits et hameaux

    Chez Garnier, Coquillot, Montigny, Chez Bouyer

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    Le point culminant de Burie est de 103 mètres.

    Burie est située sur un plateau de calcaire fin qui date du Tithonien (anciennement nommé étage Portlandien). Elle est dans le bassin versant du fleuve Charente, sur une élévation importante de sa rive droite qui descend en pente douce vers l'est et la rivière l'Antenne affluent de la Charente.

    Elle possède de nombreuses sources mais n'est traversée par aucune rivière.

    Toponymie

    Pourrait venir soit de la villa gallo-romaine de Burrius soit de Burra ou bure, l'étoffe de laine.

    Histoire

    Sur sa hauteur, Burie existe depuis fort longtemps puisque son église actuelle est du XIIe siècle. Au XVIe siècle, nous avons des documents qui concernent Pierre de Coucy en 1418 puis son descendant Charles de Coucy, seigneur de Burie, qui fait ses premières armes en Italie et est capitaine-général des Bandes françaises en 1527 et capitaine d'une compagnie de gendarmes à partir de 1537. C'est lui qui reconstruit le château vers 1545. Il n'a pas d'enfant. Il meurt en 1565 et son épouse, Suzanne de Belleville, cinq ans plus tard.

    Puis Burie passe dans plusieurs familles et sera la dot de Gabrielle Thérèse de Chasteigner qui épouse Charles-Louis Chesnel d'Ecoyeux le 17 avril 1709. Dans un dénombrement il est déclaré chevalier, seigneur d'Ecoyeux, Montigny, Burie, Rochereau, Château Chesnel, Cherves, Ménac, Chazotte et autres lieux, capitaine des vaisseaux du Roi, chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis.

    Le 7 mars 1787, les représentants de Burie à l'assemblée préliminaire des États généraux qui se tient à la salle capitulaire des Récollets de Cognac sont P. Foucaud, F. Gabeloteau, Corbineau, notaires, J. Garnier et Élie Borde[3]. En effet, jusqu'en 1789, Burie appartient à la province de l'Angoumois.

    La commune de Burie a été créée dans le département de la Charente-Inférieure qui a pris le nom de Charente-Maritime en 1941. Burie a fait partie en 1793 du district de Saintes puis à partir de 1801 de l'arrondissement de Saintes, du canton d'Écoyeux en 1793 pour devenir chef-lieu de canton en 1801.

    Administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    2001 En cours Christian Fougerat DVD  

    Région

    À la suite de la réforme administrative de 2014 ramenant le nombre de régions de France métropolitaine de 22 à 13, la commune appartient depuis le à la région Nouvelle-Aquitaine, dont la capitale est Bordeaux. De 1972 au , elle a appartenu à la région Poitou-Charentes, dont le chef-lieu était Poitiers.

    Canton

    La commune de Burie a été choisie lors du Consulat imposé par Napoléon Ier pour être le chef-lieu d'un canton complètement remodelé à la suite de la réforme de la carte administrative en 1800. Ainsi dès l'an 1801, Burie est chef-lieu de canton de 10 communes, l'un des plus petits cantons - autant par sa population que par sa superficie - de l'arrondissement de Saintes auquel il appartient. En 2015, la réforme de la carte cantonale supprime le canton de Burie au profit du canton de Chaniers, dont Burie devient un des pôles d'équilibre.

    Intercommunalité

    Jusqu'à la fin de l'année 2012, la commune de Burie faisait partie de la communauté de communes Vignobles et Vals boisés du Pays Buriaud qui comprenait dix communes ; cette dernière a fusionné avec la communauté d'agglomération de Saintes le 1er janvier 2013[4].

    Depuis janvier 2013, Burie fait donc partie de la communauté d'agglomération de Saintes dont le siège administratif est situé à Saintes.

    Fiscalité

    La fiscalité est d'un taux de 9,48 % pour la taxe d'habitation, 19,32 % sur le foncier bâti, 45,99 % sur le non bâti et 14,97 % de taxe professionnelle, et comme la communauté de communes prélève sur l'ensemble des quatre taxes, respectivement 1,67 %, 3,25 %, 8,06 % et 3,07 % cela donne au total et avant que s'y ajoutent le département et la région, 11,15 % pour la taxe d'habitation, 22,57 % sur le foncier bâti, 54,05 % sur le non bâti et 18,04 % de taxe professionnelle(chiffres 2007).

    Urbanisme

    Typologie

    Burie est une commune rurale[Note 1],[5]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[6],[7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cognac, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[8],[9].

    Les 532 logements de la commune sont 512 logements individuels et seulement 20 logements collectifs. Ce sont des résidences principales pour 485 et il y a seulement 16 résidences secondaires et 31 logements vacants d'après le recensement de 1999. Les résidences principales ont été construites en majorité (296) avant 1949. Entre 1949 et 1974 il n'a été construit que 53 logements mais 136 entre 1975 et 1999[10].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (74,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (56,8 %), zones agricoles hétérogènes (19,7 %), forêts (13,3 %), zones urbanisées (10,2 %)[11].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[12]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[13].

    En 2018, la commune comptait 1 287 habitants[Note 3], en augmentation de 1,66 % par rapport à 2013 (Charente-Maritime : +2,13 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 2991 2911 1911 3981 5411 5311 5601 5221 597
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 6691 7871 8021 6341 6161 5301 5871 5991 600
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 6231 5501 4071 2621 2011 2301 1781 1521 206
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    1 1881 2631 1651 1111 2091 2611 2601 2591 259
    2013 2018 - - - - - - -
    1 2661 287-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[14] puis Insee à partir de 2006[15].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (28,3 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (28,1 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (50,5 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 49,5 % d'hommes (0 à 14 ans = 18,9 %, 15 à 29 ans = 12,8 %, 30 à 44 ans = 18,9 %, 45 à 59 ans = 24,7 %, plus de 60 ans = 24,5 %) ;
    • 50,5 % de femmes (0 à 14 ans = 15 %, 15 à 29 ans = 12,6 %, 30 à 44 ans = 17,6 %, 45 à 59 ans = 22,8 %, plus de 60 ans = 31,9 %).
    Pyramide des âges à Burie en 2007 en pourcentage[16]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3 
    90  ans ou +
    2,3 
    8,0 
    75 à 89 ans
    13,9 
    16,2 
    60 à 74 ans
    15,7 
    24,7 
    45 à 59 ans
    22,8 
    18,9 
    30 à 44 ans
    17,6 
    12,8 
    15 à 29 ans
    12,6 
    18,9 
    0 à 14 ans
    15,0 
    Pyramide des âges du département de la Charente-Maritime en 2007 en pourcentage[17]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90  ans ou +
    1,5 
    8,6 
    75 à 89 ans
    11,9 
    16,4 
    60 à 74 ans
    17,1 
    21,3 
    45 à 59 ans
    21,1 
    19,1 
    30 à 44 ans
    18,5 
    16,8 
    15 à 29 ans
    14,7 
    17,3 
    0 à 14 ans
    15,1 

    Économie

    Agriculture

    La viticulture est l'activité principale de Burie, qui est située au cœur des Borderies, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[18].

    Certains producteurs vendent cognac, pineau des Charentes et vin de pays à la propriété. Burie se proclame « capitale du pineau »[19].

    Industrie

    • Une laiterie est bâtie en 1910, puis une caséinerie dans les années 1930. Elle produisait du beurre, de la caséine et du lait en bouteilles, puis en sachets en plastique. Elle a cessé son activité en 1970[20].
    • Une fabrique de paniers de vendange, brouettes et manches d'outil en bois, créée en 1920, s'est reconvertie en 1958 dans la fabrication de chaises en bois de hêtre[21].

    Commerces

    Le bourg comporte de nombreux commerces tout au long de l'avenue de la République, et le marché se tient deux fois par semaine, sur la place de la Mairie.

    La commune comprend 471 actifs avec un taux de chômage de 12,9 %.

    Les 471 actifs ayant un emploi sont 271 hommes et 200 femmes dont 362 sont salariés et 109 non salariés. La proximité de la Charente explique que 167 travaillent dans un autre département[10].

    Le 28 septembre 2016, le commerce Carrefour Contact a ouvert, sur une surface entre 300 et 500 mètres carrés.

    Culture et patrimoine

    Culture

    Bibliothèque.

    Patrimoine religieux

    L'église romane de Saint-Léger PA00104637 possède une partie du XIIe siècle qui est inscrite au titre des monuments historiques depuis 1982. Ce sont le portail et l'abside qui datent du prieuré-cure construit par les bénédictins de l'abbaye de Cognac et qui a servi de chapelle au château.

    Patrimoine civil

    • Le château de Burie : il ne reste de l'ancien château de Charles de Coucis, qu'une partie de la construction du XVIe siècle, l'escalier Renaissance avec un contrefort surmonté d'une poivrière. L'élévation, le jardin et la porte cochère dont il reste une partie datent de 1546, 1548. La façade nord, la façade sud et la porte du jardin sont inscrits au titre des monuments historiques par arrêté du 23 février 1925  Inscrit MH (1925).
    • Le lavoir couvert et la fontaine de la fidélité qui porte ce nom à la suite d'une légende. Elle aurait jailli à la mort de deux amants, Hugues, page d'un seigneur de Burie et Odette d'Ébéon. Hugues lui avait juré fidélité avant de partir à la première croisade, quatre années passèrent puis la nouvelle de sa mort arriva à Odette qui en mourut sur le coup au milieu d'un bois de coudriers au moment où Hugues arrivait qui, en la voyant ainsi, s'est tué d'un coup d'épée. Leur corps aurait disparu et la source jailli.

    Patrimoine environnemental

    Le circuit des lavoirs qui fait une boucle depuis la fontaine de la fidélité, le puits lavoir des Fontenelles, le puits lavoir du Chaton, le puits à toit de pierre en ogive de chez Challot, le lavoir de la Font-Sabot, lavoirs privés de Montigny et le long de la route vers Malbéteau, la cascade et le lavoir des Sept-Fonts, le lavoir de chez Garnier et par le château et l'église retour à la fontaine de la fidélité

    Équipements ou Services

    Enseignement

    Burie a une école maternelle, une école primaire et un collège, les trois établissements sont boulevard des Écoliers.

    Sports

    Tennis, circuits de randonnées et un club de tennis de table sont présents à Burie.

    Santé

    Burie possède cabinet médical, infirmières, pharmacie.

    Les médecins spécialistes, les hôpitaux et les cliniques sont à Saintes et à Cognac.

    Vie locale

    La bibliothèque médiathèque intercommunale est à Burie, place de la Mairie.

    Culte catholique à l'église.

    Environnement

    Un travail de sauvegarde des fontaines et des lavoirs a permis la création de trois chemins de randonnée sur la communauté de commune dont celui qui part de Burie. Il permet de découvrir en plus des puits, fontaines et lavoirs, les chemins et les bois. Car ce plateau calcaire est le domaine des vignes et des bois.

    Personnalités liées à la commune

    • Charles de Coucis, seigneur de Burie (1491-1565), lieutenant général de Guyenne après ses campagnes d'Italie, chevalier de l'ordre de Saint-Michel, était un proche de François Ier, son suzerain, et de sa sœur Marguerite d'Angoulême devenue reine de Navarre.
      En 1558, il participe à une des vaines tentatives d'Antoine de Bourbon, pour reconquérir la Navarre espagnole. Une pluie diluvienne et des crues conduisent à l'échec de cette expédition appelée la guerre mouillée.
      En 1562 Il participe avec Monluc à la première guerre de religion jusqu'à la victoire de Vergt en octobre qui y met fin en Guyenne.
      Tolérant vis-à-vis des huguenots jusqu'à être soupçonné par certains d'être l'un des leurs, il essaya, avec d'autres, de mener en Guyenne, une politique de compromis et de dialogue.
    • Emmanuel Hédon (1863-1933), médecin et professeur de physiologie à la faculté de médecine de Montpellier, resté célèbre pour ses travaux sur la fonction endocrine du pancréas, première étape de la découverte de l'insuline.
    • Évariste Poitevin dit Goulebenéze (1877-1952), célèbre chansonnier patoisant charentais, qui compose ses chansons sur des airs à la mode comme Vinbian sur l'air de Froufrou (1901) et des monologues comme Le Retardataire (1937). Pour ses spectacles, mal rétribués, il parcourt le Poitou et les Charentes en chemin de fer. Il meurt à Saintes dans la misère.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Lien externe

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Les gentilés de Charente-Maritime
    2. Louis Papy, Le Midi atlantique, atlas et géographie de la France moderne, Flammarion, Paris, 1984
    3. Histoire de Cognac, abbé Cousin, 1882, réédition 2007, (ISBN 2846184968)
    4. La carte intercommunale de la Charente-Maritime en 2013
    5. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    7. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. site insee
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    12. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    13. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    14. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    15. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    16. « Évolution et structure de la population à Burie en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    17. « Résultats du recensement de la population de la Charente-Maritime en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    18. [PDF] Union générale des viticulteurs pour l'AOC Cognac, « Liste des communes par circonscriptions », (consulté le )
    19. Philippe Ménard, « Fest'o Pineau veut passer un cap », Sud Ouest, (lire en ligne, consulté le )
    20. « Laiterie industrielle et caséinerie de Burie », notice no IA17000377, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    21. « Usine liée au travail du bois, puis usine de meubles Chapron (usine de chaises) », notice no IA17000374, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    22. « Distillerie d'eaux-de-vie de Cognac Tapon, puis SICA Goulebenèze », notice no IA17000375, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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