Brancourt-le-Grand
Brancourt-le-Grand est une commune française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France.
Pour les articles homonymes, voir Brancourt (homonymie).
Brancourt-le-Grand | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Aisne | ||||
Arrondissement | Saint-Quentin | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays du Vermandois | ||||
Maire Mandat |
Bertrand Callay 2020-2026 |
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Code postal | 02110 | ||||
Code commune | 02112 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Brancourtois(es) | ||||
Population municipale |
558 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 42 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 58′ 37″ nord, 3° 22′ 56″ est | ||||
Altitude | 126 m Min. 120 m Max. 159 m |
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Superficie | 13,14 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Saint-Quentin (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Bohain-en-Vermandois | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Géolocalisation sur la carte : Aisne
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Géographie
Localisation
Brancourt-le-Grand est un village picard rural du Vermandois, situé à 16 km au nord-est de Saint-Quentin, 28 km au sud-ouest de Cambrai et 48 km à l'ouest d'Hirson.
Il est desservi la route départemantale RD8 qui relie Saint-Quentin au Cateau-Cambrésis.
La gare la plus proche est celle de Bohain, desservie par des trains TER Hauts-de-France qui effectuent des missions entre les gares : de Saint-Quentin, et de Maubeuge ou de Douai.
Communes limitrophes
Hydrographie
Brancourt-le-Grand se trouve sur le tracé du canal des Torents, rigole creusée au XVIIIe siècle pour drainer les eaux excédentaires et les amener à l'emplacement de la source du fleuve l'Escaut[1].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Epehy_sapc », sur la commune d'Épehy, mise en service en 1988[8] et qui se trouve à 18 km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de précipitations de 764,6 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, mise en service en 1933 et à 22 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,3 °C pour 1981-2010[13], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Brancourt-le-Grand est une commune rurale[Note 5],[15]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[16],[17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Quentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 120 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (91,6 %), zones urbanisées (4,2 %), zones agricoles hétérogènes (2,3 %), prairies (1,9 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].
Toponymie
Le village apparaît pour la première fois en 1127 sous le nom de In ville que Berincurtis dicitur.
Le nom changera de nombreuses fois en fonction des transcripteurs: Brancort, Berancourt, Berencurt, In parroochia vel potestate de Briencort, Berincourt, Braincourt, Brancourt-la-Ville en titre de l'Abbaye du Mont-Saint-Martin qui avait acquis la seigneurie. Au XVIIIe siècle, le village s'appellera Brancourt auquel s'adjoindra ensuite "le-Grand" pour le différencier de Brancourt-en-Laonnois[22].
Histoire
- Carte de Cassini
Sur la Carte de Cassini ci-contre, datant du XVIIIe siècle, Brancourt est une paroisse qui possède un prieuré de femmes.
Quatre fermes isolées appartiennent à la paroisse: à l'est, Frécourt, Jonnecourt et Brancocourt (qui s'est appelée Brancourt-le-Court) ; ces trois fermes existent encore aujourd'hui. Par contre, la ferme de Gilcourt au nord en direction de Prémont, a été détruite en 1834.
Un moulin à vent en bois était situé au sud-ouest.
Le Canal des Torrents, qui était important à cette époque, était franchi grâce à un pont par le chemin menant à Bohain.
Le chemin empierré appelé Chemin de Saint-Quentin n'existe plus aujourd'hui au sur de Brancourt.
Après la bataille des Frontières du 7 au , devant les pertes subies, l'état-major français décide de battre en retraite depuis la Belgique. Dès le 28 août, les Allemands s'emparent du village et poursuivent leur route vers l'ouest[23]. Dès lors commença l'occupation allemande qui dure jusqu'en octobre 1918. Pendant toute cette période, Brancourt reste loin des combats, le front se situant à une quarantaine de kilomètres à l'ouest vers Péronne, puis, le long de la ligne Hindenburg à partir de mars 1917. Le village sert de base arrière pour l'armée allemande.
Dans son livre Orages d'acier, l'écrivain allemand Ernst Jünger raconte ses jours de repos passés dans le village : « On nous débarqua à Bohain et nous prîmes nos cantonnements à Brancourt. Cette région, que nous touchâmes souvent encore par la suite, a une population agricole, mais un métier est dressé dans presque chaque maison. J'avais mon logement chez un couple qui possédait une fort jolie fille. Nous nous partagions les deux pièces que comprenait la maisonnette, et le soir, je devais traverser la chambre de la famille... »
Des arrêtés de la Kommandantur obligeaient, à date fixe, sous la responsabilité du maire et du conseil municipal, sous peine de sanctions, la population à fournir blé, œufs, lait, viande, légumes, destinés à nourrir les soldats du front. Toutes les personnes valides devaient effectuer des travaux agricoles ou d'entretien.
En septembre 1918, l'offensive des Alliés sur la ligne Hindenburg porte ses fruits, les Allemands cèdent du terrain peu à peu. Après la sanglante bataille de Montbrehain remportée par l'armée australienne, ce sont les Britanniques et les Américains qui continuent la lutte contre les Allemands.
Brancourt est libérée par la 30e division américaine le après de durs combats. Les soldats alliés tombés lors de ces affrontements reposent au cimetière militaire britannique et au cimetière militaire américain à Bony. L'église, la mairie et quelques habitations ont subi quelques dégâts.
Peu à peu, les habitants évacués reviennent, mais la population de 1 040 en 1911 n'est plus que de 819 en 1921.
Vu les souffrances endurées par la population pendant les quatre années d'occupation et les dégâts aux constructions[24],la commune s'est vu décerner la Croix de guerre 1914-1918 le [25].
Sur le monument aux morts sont inscrits les noms des 39 Brancourtois morts pour la France au cours de cette guerre[26].
La Grand-rue en 1921.(carte postale). Dessin de propagande allemand sur un mur de la rue de Prémont ; (photo prise le 9 novembre 1918) Soldats britanniques et des civils à Brancourt.(Photo prise le 9 novembre 1918). Soldats britanniques à Brancourt transportant un canon de 18 pouces. Soldats britanniques et des civils à Brancourt.(on reconnaît l'église en arrière plan). - Soldats du 118e Infanterie (30e Division Americain) devant l'Eglise Saint Remi le 11 Octobre 1918.
L'église en reconstruction
(carte postale).L'église en reconstruction (carte postale). Carte du front le 8 octobre 1918 sur laquelle figure Brancourt. Carte montrant les destructions subies par Brancourt lors des combats de 1918.
- L’ancienne voie ferrée
De 1900 à 1951, Brancourt-le-Grand a possédé une gare située un peu à l'écart du village, route de Fresnoy-le-Grand[Note 7]). Elle faisait de la ligne de chemin de fer de Guise au Catelet, ligne à voie métrique réalisée sous le régime des « voies ferrées d'intérêt local » reliant Le Catelet-Gouy à Bohain puis Guise et servait pour le transport du courrier, des marchandises, des betteraves et surtout des habitants et des ouvriers qui se rendaient soit à Bohain , pour travailler dans les usines textiles. A Bohain, les voyageurs pouvaient utiliser la ligne à grande vitesse Paris Erquelinnes. Elle se trouve à environ 4 km de Bohain.
Après 1945, le trafic décline, du fait de l’essor du transport des marchandises par camion et des voyageurs par autobus. Le département de l’Aisne, propriétaire de la ligne, décide de son déclassement le .
La gare vers 1910
(carte postale).La gare vers 1910
(carte postale).La gare actuelle, devenue habitation. Horaire des trains
en 1946.Carte de la ligne
Le Catelet - Bohain (les gares sont en rouge).
Politique et administration
Découpage territorial
La commune de Brancourt-le-Grand est membre de la communauté de communes du Pays du Vermandois, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Bellicourt. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[27].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Saint-Quentin, au département de l'Aisne et à la région Hauts-de-France[28]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Bohain-en-Vermandois pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[28], et de la troisième circonscription de l'Aisne pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[29].
Administration municipale
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[35].
En 2018, la commune comptait 558 habitants[Note 8], en diminution de 8,37 % par rapport à 2013 (Aisne : −1,25 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Rémi.
- Monument aux morts.
- Monument de la libération 1918.
- Brancourt-le-Grand Military Cemetery, cimetière de la Commonwealth War Graves Commission.
- Église Saint-Rémi.
- Monument aux morts et vue du château d'eau.
- Monument de la libération 1918.
- Brancourt-le-Grand Military Cemetery.
- Calvaire.
Vue générale.
Personnalités liées à la commune
- Charles-François Bonneville, né le à Brancourt-le-Grand, négociant, émigre sur l'île de Marie-Galante en 1832. Il y devient un notable : maire de Grand Bourg, conseiller général, président de la Chambre d'agriculture. Il est l'artisan du renouveau de la culture du coton longue soie sur l'île[38].
- Eudoxe Irénée Mignot, né dans la commune en 1842, archevêque d'Albi de 1899 à 1918.
Héraldique
Blason | D'azur à deux crosses d'abbé d'or passées en sautoir, accompagnées en flancs et en pointe de trois épis de blé du même en pal, et en chef d'une colombe d'argent en vol[39].
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Détails | Création de Jean-François Binon adoptée par la municipalité. |
Voir aussi
Articles liés
Liens externes
- Brancourt-le-Grand sur le site de l'Institut géographique national
- « Dossier complet : Commune de Brancourt-le-Grand (02112) », Recensement général de la population de 2016, INSEE, (consulté le ).
- « Brancourt-le-Grand », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
- Carte spéciale des régions dévastées : 13 SE, Cambrai [Sud-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.
Notes et références
Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- De nos jours, la gare de Brancourt est devenue une habitation au milieu de la verdure
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- « Le Canal des Torrents », Patrimoine, Mairie de Gouy (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Epehy_sapc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Brancourt-le-Grand et Épehy », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Epehy_sapc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Brancourt-le-Grand et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le )
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le )
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Auguste Matton, Dictionnaire topographique du département de l'Aisne : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Imprimerie nationale, coll. « Dictionnaire topographique de la France », , 364 p. (lire en ligne), p. 38.
- « 28 août 1914 : Combat de Signy-l'Abbaye / Les Allemands atteignent la Somme », Cartographie 1914-1918 (consulté le ).
- Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
- http://memorialdormans.free.fr/CommunesCroixDeGuerre14-18.pdf
- « Rechercher dans le fonds iconographique - Geneanet », sur geneanet.org (consulté le ).
- « communauté de communes du Pays du Vermandois - fiche descriptive au 1er avril 2020 », sur https://www.banatic.interieur.gouv.fr/ (consulté le )
- « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Brancourt-le-Grand », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Découpage électoral de l'Aisne (avant et après la réforme de 2010) », sur http://www.politiquemania.com/ (consulté le ).
- Almanach...Matot-Braine, Reims, 1879, p270.
- Préfecture de l'Aisne consulté le 7 juillet 2008
- « Liste des maires de l'Aisne » [xls], Préfecture de l'Aisne, (consulté le )
- « Une toute nouvelle équipe menée par Bertrand Callay à la mairie de Brancourt-le-Grand », L'Aisne nouvelle, (lire en ligne, consulté le ) « L'ère Fabrice Herbin est terminée. Betrand Callay s'impose avec ses quatre adjoints à la tête de Brancourt-le-Grand ».
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Philippe et Jacqueline Nucho-Troplent, Vie quotidienne à Marie Galante, Éditions L'Harmattan
- « 02112 Brancourt-le-Grand (Aisne) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
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