Boz

Boz (prononcé /boz/) est une commune française, située dans le département de l'Ain en région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle fait partie de l'aire urbaine de Mâcon.

Pour les articles homonymes, voir Boz.

Boz

Mairie.

Logo
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Ain
Arrondissement Bourg-en-Bresse
Intercommunalité Communauté de communes Bresse et Saône
Maire
Mandat
Alain Giraud
2020-2026
Code postal 01190
Code commune 01057
Démographie
Gentilé Burhins
Population
municipale
523 hab. (2018 )
Densité 72 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 24′ 28″ nord, 4° 54′ 37″ est
Altitude Min. 168 m
Max. 206 m
Superficie 7,31 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Mâcon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Replonges
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Boz
Géolocalisation sur la carte : Ain
Boz
Géolocalisation sur la carte : France
Boz
Géolocalisation sur la carte : France
Boz
Liens
Site web communeboz.fr

    Ses habitants s'appellent les Burhins et les Burhines[1].

    Géographie

    Territoire communal.

    Localisation

    Boz dans le département de l'Ain.

    Boz fait partie de la Bresse, plus particulièrement la Bresse savoyarde, et fait aussi partie du Val de Saône. Commune française du département de l'Ain, à 39 km au nord-ouest de Bourg-en-Bresse à 17 km au nord-nord-est de Mâcon, elle s'étend sur 761 hectares, appartient à l'arrondissement de Bourg-en-Bresse et au canton de Replonges.

    Le village est entouré de boisements (chênes, acacias), de cultures essentiellement maraîchères et d'une lande tourbeuse (la tourbière), celle des Oignons.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Boz
    Saint-Albain (Saône-et-Loire) Reyssouze Gorrevod
    La Salle (Saône-et-Loire)
    Senozan (Saône-et-Loire) Asnières-sur-Saône, Ozan Chevroux

    Hydrographie

    La Saône vue depuis le lieu-dit Port Celet.

    La commune est traversée à l'ouest par la Saône. Rivière se jetant dans le Rhône à Lyon, ce cours d'eau vient du nord par la commune voisine de Reyssouze et celle de Saint-Albain, cette dernière étant séparée par Boz par le cours d'eau. La Saône sépare aussi la commune de celles de La Salle et Senozan, autres communes du département de Saône-et-Loire. Les effets de ses crues peuvent se faire ressentir puisqu'environ une tiers de la superficie est situé en zone inondable[2]. Mis à part une mineure part des logements, les habitations sont épargnées par ces risques étant donné qu'elles ont été construites en dehors des zones dont l'aléa est fort ou modéré.

    Un affluent de la rivière précédemment citée, le bief de la Jutane est un cours d'eau d'une longueur de 8,5 km qui prend sa source à Chevroux[3]. Pénétrant le territoire communal par le sud-est, la Jutane reste à la frontière que Boz partage avec Ozan qui celle qu'elle partage avec Asnières-sur-Saône. Le confluent du cours d'eau et de la Saône se trouve au Port Celet. Ce dernier possède lui aussi un affluent se nommant le bief de Nieuse dont la source se trouve à Reyssouze[4]. Traversant la plaine inondable de la Saône du nord au sud, il se jette dans la Jutane près du Pré de la Cure.

    Enfin, il existe près l'Étang des Frettes des deux confluents précédemment cités. Cette retenue d’eau sur la Jutane servait autrefois au rouissage du chanvre. Le rouissage consistait à faire macérer le chanvre dans l’eau pendant plusieurs jours pour faciliter la séparation de l'écorce filamenteuse d'avec la tige, qui servait à fabriquer de la corde.

    Climatologie

    Le climat est tempéré à légère tendance continentale. Les données climatologiques sont celles de Mâcon qui est la station de référence pour toutes les données. Les valeurs climatiques de 1981 à 2010 sont les suivantes.

    Relevés Mâcon 1981-2010
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 0 1 3,5 6 10 13,5 15,5 15 11,5 8 3,5 1 7,5
    Température moyenne (°C) 2 4,5 8 11 15 19 21 20,5 17 12 7 3,5 12
    Température maximale moyenne (°C) 5,5 8 12 16 20 24 27 26 22 16,5 10 6 16
    Ensoleillement (h) 61,9 91,5 154,9 182 212,9 245,3 267,7 242,4 185,6 116,9 70,3 50,5 1 881,9
    Précipitations (mm) 59 53 49 75 88 75,5 71 72 79,5 85,5 84 70 861,5
    Source : Météo-France/Infoclimat : Mâcon (1981-2010)[5]

    Voies de communication et transports

    Axes de communication.

    Axes routiers

    La route départementale 933 est l'axe le plus important de Boz qui le traverse du sud au nord. En prenant cette voie par le nord, les automobilistes peuvent rejoindre Pont-de-Vaux tandis qu'en se dirigeant au sud, ils peuvent aller vers Ozan, Manziat, Feillens et Replonges. Au niveau départemental, cette route relie Sermoyer au nord à Massieux au sud. Avant 1972, cette voie faisait partie de la route nationale 433 qui reliait Saint-Germain-du-Plain à Lyon mais cette dernière a été déclassée en trois voies en fonction des trois départements qu'elle traversait.

    La seconde voie traversant le centre est la route départementale 1c qui l'artère principal du bourg du village. Faisant la liaison entre le route D 993 près du cimetière communal et la route D 933a près du canal de Pont-de-Vaux, la voie permet de traverser Boz ainsi que Reyssouze.

    Tout à l'est, à la limite avec Chevroux, le route départementale 58 est une voie reliant Pont-de-Vaux à Bâgé-le-Châtel.

    Aucune autoroute ne traverse Boz mais trois se trouvent à proximité. De l'autre côté de la Saône, l'autoroute A6 est un des axes routiers les plus importants de France étant donné qu'il relie Paris à Lyon, ville où la voie devient l'autoroute A7 jusqu'à Marseille. L'autoroute A40 (Mâcon - Genève), portion de la Route Centre-Europe Atlantique Bordeaux/Nantes - Annemasse, passe au sud de la commune à Feillens où se trouve une gare de péage pour rejoindre Mâcon gratuitement et Paris ainsi que Bourg-en-Bresse et Genève. Enfin, l'autoroute A406 relie les deux autoroutes précédemment citées et forme le contournement sud de Mâcon.

    Voies ferroviaires

    Ancienne gare du village.

    La ligne de Trévoux à Saint-Trivier-de-Courtes, gérée par la Compagnie des Tramways de l'Ain[6] empruntait l'actuelle D 933. La gare fut desservie de 1899 jusqu'en 1937, date à laquelle la ligne fut fermée. Plus aucune trace physique de ce moyen de transport ne subsiste sur le territoire, la gare étant détruite. La route entre l'église et le cimetière nommée route de la Gare reste le seul témoin de ce passé ferroviaire[7].

    Aujourd'hui, aucune voie ferrée ne traverse la commune mais quelques-unes sont situées à proximité mais la ligne traditionnelle Paris - Marseille via Dijon passe de l'autre côté de la Saône et notamment à Mâcon. La gare de Mâcon-Ville est desservie par des TER Dijon - Mâcon - Lyon et quelques TGV reliant le Nord-Est de la France à la Méditerranée.

    Transport fluvial

    La Saône est navigable à grand gabarit européen depuis Verdun-sur-le-Doubs jusqu'à Lyon. Elle constitue un axe de transport fluvial important entre l'Est et la Méditerranée et est appréciée pour le tourisme fluvial. Mâcon possède trois ports fluviaux : le port de plaisance, un autre près du quai des Marans et l'Aproport, l'un des ports fluviaux les plus importants de France.

    Transports en commun

    La commune est reliée au réseau départemental des bus car.ain.fr[8] par l'intermédiaire de la ligne 155. Les bus font des allers-retours entre Pont-de-Vaux et Mâcon et desservent l'arrêt Mairie qui est le seul du village.

    Urbanisme

    Typologie

    Boz est une commune rurale[Note 1],[9]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[10],[11].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mâcon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 105 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (73,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (39,5 %), zones agricoles hétérogènes (31,9 %), forêts (16,2 %), zones urbanisées (7,8 %), eaux continentales[Note 3] (4,6 %)[14].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[15].

    Toponymie

    Panneau d'entrée.

    Boz a été citée dans cette phrase latine « Pratum unum, qui est in Luduneuse, ubi a Bosco vocatur » au début du XIe siècle dans une charte de l'abbaye de Cluny, puis Villa Bo en 1031 et 1061, avant d'évoluer vers Bos au XIVe siècle, puis Bosc en 1533[16], on verra un Bouz et un Boz coexister en 1734 dans une description de la Bourgogne, avant de prendre son nom actuel.

    Ce toponyme dérive de Bosc signifiant bois[17] rappelant en ces lieux l'existence d'une zone boisée suffisamment caractéristique par rapport à son environnement.

    Histoire

    Au Port Celet, les archéologues ont trouvé, dans le sol, des silex et des ossements datant de l’âge du bronze. À l’époque gallo-romaine, ce site fut sans doute très fréquenté et les habitations nombreuses : on a retrouvé dans les berges des poteries romaines, des médailles et une petite tête de bronze. Il s’agit également d’un ancien passage à gué. 

    Le village est mentionné dès le XIe siècle.

    En 1601, après la fin de la guerre franco-savoyarde qui se termine par le Traité de Lyon, Boz devient française avec l'acquisition par la France de la Bresse, du Bugey, du Valromey et du pays de Gex. Elle est par la suite intégrée à la province bourguignonne.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Lors de la création des départements par la Révolution française, elle est intégrée au département de l'Ain et au district de Pont-de-Vaux. En 1800, après la suppression des districts, elle intègre l'arrondissement de Bourg-en-Bresse et reste dans le canton de Pont-de-Vaux.

    Jusqu'en 2012, elle faisait partie de la quatrième circonscription de l'Ain pour l'élection des députés[18]. Avec l'ajout d'une nouvelle circonscription, Boz intègre la première circonscription de l'Ain cette année-là[19].

    En mars 2015, à l'occasion des élections départementales, le décret du 13 février 2014[20] portant sur le redécoupage cantonal des cantons de l'Ain entre en vigueur. Ainsi, la commune ainsi que toutes celles du canton dont elle était le chef-lieu sont intégrées au nouveau canton de Replonges.

    Du point de vue judiciaire, la commune relève du tribunal d'instance, du tribunal de grande instance, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes, du tribunal de commerce et du tribunal paritaire des baux ruraux de Bourg-en-Bresse[21]. De plus, elle relève aussi de la cour d'assises de l'Ain, elle-même située à Bourg. Enfin, Boz dépend de la cour d'appel, du tribunal administratif et de la cour administrative d'appel de Lyon.

    Administration municipale

    Lors des conseils municipaux, le maire est entouré de quatorze conseillers municipaux[22].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[23]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1995 2008 Annie Vanzo    
    2008 2020 Monique Joubert-Laurencin SE Fonctionnaire
    2020 En cours Alain Giraud[24]    

    Intercommunalités

    Boz faisait partie de la communauté de communes du canton de Pont-de-Vaux jusqu'au qui avait été fondée le . Depuis le , la commune est intégrée à la nouvelle communauté de communes du pays de Bâgé et de Pont-de-Vaux. Cette intercommunalité regroupe les communes de l'ancienne intercommunalité à celles du pays de Bâgé. La structure devient communauté de communes Bresse et Saône le de la même année[25].

    Toutefois, ce n'est pas la seule structure intercommunale dont fait partie la localité bressane. On peut mentionner le syndicat mixte Bresse Val de Saône créé en 1995 et regroupant 40 communes[26],[27]. Son but est de négocier les procédures que proposent l'Union européenne, l'État ou la région Auvergne-Rhône-Alpes qui pourraient développer un territoire plus vaste que la simple communauté de communes.

    Enfin, comme la totalité des communes du département de l'Ain, le village appartient au syndicat intercommunal d'énergie et de e-communication de l'Ain, organisation fondée le [28]. Le syndicat est compétent dans la gestion des réseaux d'électrification, de gaz, de l'éclairage public, de la communication électronique[29]. En plus de ces compétences, la structure accompagne les communes pour qu'elles puissent maîtriser leur consommation d'énergie, gère un système d'information géographique et a mis en place dans le département, par l'intermédiaire de sa régie Réso-Liain, un réseau de fibre optique pour avoir accès à Internet à très haut débit.

    Jumelages

    Localisation des villes jumelées avec Boz.
    Localisation des communes jumelées.

    La communauté de communes du canton de Pont-de-Vaux dont la commune faisait partie jusqu'en 2017, année de dissolution de l'intercommunalité, était jumelée avec Dornhan depuis 1994[30]. Cette commune, composée de sept villages est localisée dans le Bade-Wurtemberg à l'est de la Forêt-Noire en Allemagne. L'idée de ce jumelage est née suite aux échanges scolaires entre le collège Antoine Chintreuil de Pont-de-Vaux et la Realschule de Dornhan[31].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[33].

    En 2018, la commune comptait 523 habitants[Note 4], en augmentation de 2,95 % par rapport à 2013 (Ain : +4,54 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    880889788856866863844852845
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    844799762753724704714689660
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    638625601542479464454416372
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    332335348323352359464496516
    2018 - - - - - - - -
    523--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    École communale.

    La seule école est une école publique qui appartient à un RPI qui regroupe aussi les écoles d'Ozan et de Reyssouze[36].

    L'école de Reyssouze accueille les élèves du niveau maternelle séparés en trois classes. Ensuite, les jeunes des trois communes commencent leur scolarité primaire jusqu'au niveau CE2 à Ozan où il y a trois classes. Enfin, l'école de Boz donne un enseignement aux élèves du niveau CM1 et CM2 qui sont répartis dans deux classes.

    La poursuite des études dans l'enseignement secondaire se fait au collège Antoine-Chintreuil à Pont-de-Vaux puis sont redirigés vers les lycées de Mâcon.

    Toutefois, pour les familles voulant donner un accès à une école privée, l'école Saint-Joseph composé de quatre classes reçoit des élèves des environs à Manziat. Ces derniers peuvent continuer leur scolarité à Feillens au collège Saint-Charles.

    Médias

    Le Progrès est un journal régional diffusant dans les départements de l'Ain, du Jura, du Rhône, de la Loire et de la Haute-Loire. Chaque vendredi est publié le journal local hebdomadaire Voix de l'Ain.

    Dans le domaine télévisuel, la chaîne France 3 émet un décrochage local dans la commune par le biais de France 3 Rhône Alpes. Enfin, Radio Scoop est une radio musicale d'Auvergne-Rhône-Alpes qui possède une station à Bourg-en-Bresse diffusant dans l'Ain.

    Numérique

    Depuis 2014[37], la commune dispose du très haut débit avec la fibre optique grâce au réseau public de fibre optique LIAin régi par le syndicat intercommunal d'énergie et de e-communication de l'Ain.

    Économie

    Une zone d’activités ACTIPARC installée en partenariat avec la communauté de communes du Canton de Pont de Vaux accueille des entreprises artisanales ou industrielles. Boisse

    Culture et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Le Port Celet est un hameau en bord de Saône, il est référencé sous le nom de Port Cellet sur le cadastre de 1813[38].
    • La lande tourbeuse des Oignons, située à l'est de la commune, est un site naturel protégé classé ZNIEFF de type I[40]. Elle s'est formée à la fin du quaternaire, après la fonde des glaciers. La matière organique qui n'a pas pu se décomposer, s'est accumulée dans une dépression sur un substrat acide.

    Gastronomie

    Les spécialités culinaires sont celles de la région bressane, c'est-à-dire la volaille de Bresse, les gaudes, la galette bressane, les gaufres bressanes, la fondue bressane[41].

    La commune se situe dans l'aire géographique l'AOC Volailles de Bresse[42]. Elle a aussi l'autorisation de produire le vin IGP Coteaux de l'Ain sous les trois couleurs, rouge, blanc et rosé[43].

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Gentilé, sur habitants.fr
    2. « PPR Confluence Saône Reyssouze - Commune de Boz - Carte des risques », sur ain.gouv.fr, (consulté le )
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Le bief de la Jutane (U4110500) » (consulté le ).
    4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Le bief de Nieuse (U4111000) » (consulté le )
    5. Archives climatologiques mensuelles - Mâcon (1981-2010)
    6. Ligne Trévoux - Saint-Trivier-de-Courtes, sur tramdelain.fr.
    7. « Quand passait le train à Boz ! », Petit Burrhin, (lire en ligne [PDF])
    8. Horaires de la ligne 155 sur car.ain.fr
    9. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
    10. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le )
    11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
    12. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le )
    13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    15. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    16. Henry Suter, « Origine des noms de lieux en Suisse romande, Savoie et environs » (consulté le ).
    17. [PDF] « Les noms de lieux en France : Glossaire de termes dialectaux (p. 84) » (consulté le ).
    18. « Loi n° 86-1197 du 24 novembre 1986 relative à la délimitation des circonscriptions pour l'élection des députés », sur legifrance.gouv.fr,
    19. Légifrance, Ordonnance n° 2009-935 du 29 juillet 2009 portant répartition des sièges et délimitation des circonscriptions pour l'élection des députés (lire en ligne)
    20. Manuel Valls, « Décret n° 2014-147 du 13 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de l'Ain », Légifrance, (lire en ligne)
    21. « Liste des juridictions compétentes pour Boz », sur annuaires.justice.gouv.fr (consulté le )
    22. Légifrance, Code général des collectivités territoriales - Article L2121-2 (lire en ligne)
    23. « Les maires de Boz » (consulté le )
    24. « Alain Giraud est élu maire », sur leprogres.fr,
    25. Arnaud Cochet, « Recueil des actes administratifs n°01-2017-208 : Arrêté portant modification de la dénomination de la Communauté de Communes du Pays de Bâgé et de Pont-de-Vaux » [PDF], sur ain.gouv.fr, , p. 63-64
    26. « Le syndicat mixte Bresse – Val de Saône », sur bresse-valdesaone.fr
    27. « Le territoire et son périmètre », sur bresse-valdesaone.fr
    28. « Nos missions - Une collectivité territoriale qui regroupe les 410 communes de l'Ain », sur siea.fr
    29. « Nos domaines de compétence », sur siea.fr
    30. Présentation du jumelage, sur cc-pontdevaux.com.
    31. « Naissance du jumelage », sur cc-pontdevaux.com,
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    36. « RPI Boz Ozan Reyssouze », sur rpibor.marelle.org (consulté le )
    37. « Le Très Haut Débit à Boz », sur communeboz.fr,
    38. Cadastre napoléonien, BOZ).
    39. « Zone de Protection des Prairies humides du Val de Saône : arrêté préfectoral du 25 février 1994 », Préfecture de l'Ain.
    40. « Lande tourbeuse des Oignons ZNIEFF N°01000011 », DIREN Rhône-Alpes
    41. « Bourg-en-Bresse - Ville de départ de l'étape 15 », sur Tour de France 2016
    42. François Fillon, Décret n° 2009-1601 du 18 décembre 2009 relatif à l'appellation d'origine contrôlée « Volaille de Bresse » ou « Poulet de Bresse », « Poularde de Bresse », « Chapon de Bresse », Paris, (lire en ligne)
    43. « Boz, commune viticole », sur vin-vigne.com (consulté le ).

    Voir aussi

    Articles connexes

    Lien externe

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