Bouleurs

Bouleurs est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France.

Bouleurs

Blason
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Meaux
Intercommunalité Communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie
Maire
Mandat
Monique Bourdier
2020-2026
Code postal 77580
Code commune 77047
Démographie
Gentilé Bouleurois
Population
municipale
1 663 hab. (2018 )
Densité 202 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 52′ 58″ nord, 2° 54′ 28″ est
Altitude Min. 65 m
Max. 156 m
Superficie 8,25 km2
Type Commune urbaine
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Serris
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Bouleurs
Géolocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
Bouleurs
Géolocalisation sur la carte : France
Bouleurs
Géolocalisation sur la carte : France
Bouleurs
Liens
Site web bouleurs.fr

    Au dernier recensement de 2018, la commune comptait 1 663 habitants.

    Géographie

    Localisation

    Localisation de la commune de Bouleurs dans le département de Seine-et-Marne.

    Bouleurs est à environ 10 km au sud de Meaux.

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    L'altitude de la commune varie de 65 mètres à 156 mètres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant à environ 97 mètres d'altitude (mairie)[1]. Elle est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[2].

    Réseau hydrographique

    Carte des réseaux hydrographique et routier de Bouleurs.

    Le réseau hydrographique de la commune se compose de deux cours d'eau référencés :

    La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 3,58 km[5].

    Gestion des cours d'eau

    Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[6].

    La commune fait partie du SAGE « Petit et Grand Morin », approuvé le . Le territoire de ce SAGE comprend les bassins du Petit Morin (630 km2) et du Grand Morin (1 185 km2)[7]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le Syndicat Mixte d'Aménagement et de Gestion des Eaux (SMAGE) des 2 Morin, qualifié de « structure porteuse »[8].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 3,5 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 3,5 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,4 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 723 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : -1,1 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : 0,8 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[9].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[9]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 35 km à vol d'oiseau[10], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour 1981-2010[11] à 11,6 °C pour 1991-2020[12].

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[13],[14],[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Bouleurs est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[16],[17],[18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire regroupe 1 929 communes[19],[20].

    Lieux-dits, écarts et quartiers

    La commune compte 87 lieux-dits administratifs répertoriés[21].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (82 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (61,8% ), zones agricoles hétérogènes (14,1% ), forêts (10,8% ), zones urbanisées (8,3% ), prairies (5,1 %)[22].

    Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[23],[24],[Carte 1]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].

    Planification

    La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme approuvé[25]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le géoportail de l'urbanisme[Carte 3].

    Logements

    En 2009, le nombre total de logements dans la commune était de 563, alors qu'il était de 476 en 1999[a 1].

    Parmi ces logements, 92,0 % étaient des résidences principales, 3,2 % des résidences secondaires et 4,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 86,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 9,5 % des appartements[a 2].

    La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 82,6 %, en légère hausse par rapport à 1999 (78,6 %). La commune se distingue par l'absence de logements sociaux (logements HLM loués vides)([a 3]. C'est pour faire face à cette situation que le conseil municipal a décidé en 2013 de faire construire 37 logements HLM.

    Voies de communication

    Le sentier de grande randonnée GR1 traverse le territoire de la commune et se prolonge au nord à la limite de Boutigny et Quincy-Voisins et au sud vers Crécy-la-Chapelle.

    Transports

    La commune est desservie par la ligne d'autocars No 70 (SancySaint-Germain-sur-Morin) du réseau de cars Transdev[26].

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous les formes Bolorria à la fin du VIIe siècle[27] ; Boloirre XIIe siècle[28],[29] ; Bolorrium en 1133[30],[29] ; Bolerium vers 1145[31],[32] ; Bolorria vers 1170[33],[32] ; Boleire vers 1180[34],[32] ; Bulluere en 1182[35],[29],[32] ; Buleria en 1202[36],[32] ; Bollerria en 1210[37],[32] ; Boulouria en 1219[38],[32] ; Bollorria en 1228[39],[32] ; Boloria in Bria en 1228[40],[32] ; Bolleria in Bria en 1230[41],[32] ; Bouloure en 1231[42],[29] ; Bolloire en 1235[43],[32] ; Boulerre en 1274[44],[29] ; Boloirria au XIIIe siècle[45],[32] ; Boulairre en 1302[46],[32] ; Boulourre en 1306[47],[32] ; Boulleurria in Bria en 1353[48],[32] ; Boulleure en 1363[49],[32] ; Boullerre en 1376[50],[32] ; Bolloire en 1393[51],[32] ; Boullorre en 1409[51],[32] ; Bolorre en 1410[51],[32] ; Boullere en 1469[52],[32] ; Bouleure en 1779[32].

    De la racine gauloise *BALLO "membre", en toponymie le sens d'usage est « hauteur »[53].

    Histoire

    Bouleurs apparaît pour la première fois dans les textes au VIIe siècle sous l’appellation de Bolorria[54]. Mais son origine est plus ancienne puisqu’une voie romaine allant de Lyon à Boulogne-sur-Mer le traverse dès l’Antiquité et atteste de la présence humaine à cette époque[55].

    Plusieurs notaires et tabellions seigneuriaux y résident. La seigneurie de Bouleurs appartient pendant longtemps aux seigneurs de Quincy et Rohan de Montbazon, seigneurs de Coupvray. Et enfin vers 1775, passa au comte d’Eu dont le duc de Penthièvre était héritier à la révolution. La population augmente fortement à partir de la seconde moitié du XVIIIe siècle mais diminue dans le courant du XIXe siècle à la suite d’une épidémie, qui entraîne la disparition de grandes familles et à la suite de l’amélioration des procédés de culture qui nécessitent moins de main-d’œuvre et provoque un exode rural. Bouleurs était réputé pour son Brie[55]. En 1794, Bouleurs avait sa société populaire. Une députation se serait d’ailleurs rendue à la convention le 1er avril 1794 pour protester contre Hébert et son "Père Duchesne":. En 1850, la commune compte 487 habitants[55]. La population a fortement augmenté à partir des années 1970 et de l’ouverture de l’autoroute A4 ; elle compte actuellement 1 400 habitants[55].

    Politique et administration

    La mairie.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 En cours Monique Bourdier LREM Présidente de la CC du Pays Créçois (2019 → )

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[56]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[57].

    En 2018, la commune comptait 1 663 habitants[Note 4], en augmentation de 13,67 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +3,47 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    633641663628581566549497503
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    473448441396387386393389379
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    353331308312321334298300291
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    3323825528211 0491 2281 3751 4411 498
    2018 - - - - - - - -
    1 663--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[58] puis Insee à partir de 2006[59].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2018, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 603, représentant 1 630 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 25 430 euros[60].

    Emploi

    En 2018 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 128, occupant 833 actifs résidants. Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 77,1 % contre un taux de chômage de 6 %. Les 17 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 9,3 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 3,6 % de retraités ou préretraités et 4,1 % pour les autres inactifs[61].

    Entreprises et commerces

    En 2019, le nombre d’unités légales et d’établissements (activités marchandes hors agriculture) par secteur d'activité était de 112 dont 11 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 19 dans la construction, 27 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 7 dans l’Information et communication, 2 dans les activités financières et d'assurance, 4 dans les activités immobilières, 18 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 12 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 12 étaient relatifs aux autres activités de services[62].

    En 2020, 25 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 20 individuelles.

    Au , la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[63].

    Agriculture

    Bouleurs est dans la petite région agricole dénommée la « Brie laitière » (anciennement Brie des étangs), une partie de la Brie à l'est de Coulommiers[Carte 4]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 5] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[64].

    Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[65]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 14 en 1988 à 9 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 36 ha en 1988 à 90 ha en 2010[64]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Bouleurs, observées sur une période de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à Bouleurs entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension économique[64],[Note 6]
    Nombre d’exploitations (u) 14 9 9
    Travail (UTA) 22 14 16
    Surface agricole utilisée (ha) 506 678 809
    Cultures[66]
    Terres labourables (ha) 418 632 727
    Céréales (ha) 271 368 473
    dont blé tendre (ha) 181 s 338
    dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 82 82 89
    Tournesol (ha) 17 s
    Colza et navette (ha) s 71 58
    Élevage[64]
    Cheptel (UGBTA[Note 7]) 525 190 104

    Culture locale et patrimoine

    L'église Sainte Marie-Madeleine.
    Le lavoir.

    Lieux et monuments

    • L'église Sainte Marie-Madeleine dont deux vitraux, situés derrière l'autel, sont monuments historiques.
    • Le lavoir de forme semi-circulaire.

    Héraldique

    Blason
    Tiercé en pairle renversé : au 1er de sinople à un casque de légionnaire romain d'or, au 2e d'or à un flacon de gueules, au 3e d'azur à trois fasces ondées d'argent[67].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 1, Paris, Editions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Bouleurs », p. 351

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    5. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    6. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    7. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
    • Cartes
    1. « Bouleurs - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    2. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    3. « Géoportail de l’urbanisme », sur https://www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/ (consulté le ).
    4. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Insee

    1. LOG T1M - Évolution du nombre de logements par catégorie.
    2. LOG T2 - Catégories et types de logements.
    3. LOG T7 - Résidences principales selon le statut d'occupation.

    Autres sources

    1. « Bouleurs » sur Géoportail. Carte IGN classique.
    2. « Plan séisme consulté le 28 août 2021 ».
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru du Mesnil (F6585000) » (consulté le ).
    4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de Vignot (F6585050 ) » (consulté le ).
    5. Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 3 septembre 2018
    6. « SAGE dans le département de Seine-et-Marne », sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
    7. « SAGE Petit et Grand Morin - Documents », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le ).
    8. site officiel du Syndicat Mixte d'Aménagement et de Gestion des Eaux (SMAGE) des 2 Morin
    9. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Bouleurs et Melun-Villaroche », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    13. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Bouleurs », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    14. « Liste des ZNIEFF de la commune de Bouleurs », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « Liste des espaces protégés sur la commune de Bouleurs », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. Site territoires-fr.fr consulté le 12 décembre 2019 sous le code commune 77047.
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    23. IAU Île-de-France, « Mode d'occupation du sol de l'Île-de-France », sur www.institutparisregion.fr (consulté le ).
    24. « Nomenclature du MOS en 11 postes », sur www.iau-idf.fr (consulté le ).
    25. « Etat d'avancement des documents d'urbanisme locaux au 01/11/2019 », sur /www.seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
    26. Transdev, ligne 70
    27. Paul Bailly, 1989, Toponymie en Seine-et-Marne, page 27, (ISBN 2402033592).
    28. Archives nationales, LL 1351, fol. 58.
    29. Ernest Nègre - 1990 - Toponymie générale de la France - Page 175 - (ISBN 2600028838).
    30. Du Plessis, II, p. 25.
    31. Cartulaire de Tiron, II, p. 55.
    32. Henri Stein et Jean Hubert, Dictionnaire topographique du département de Seine-et-Marne, Paris, (lire en ligne), p. 56.
    33. Archives nationales, L 876, n° 57.
    34. Du Plessis, II, p. 67.
    35. Cartulaire de Fontaines, fol. 59 v°.
    36. Du Plessis, II, p. 88.
    37. Archives nationales, S 5186, fol. 27.
    38. Rôles des fiefs, 561.
    39. Bibl. nat., ms. latin 10944, fol. 115.
    40. Bibl. nat., ms. latin 10944, fol. 56 v°.
    41. Bibl. nat., ms. latin 10944, fol. 91.
    42. Cartulaire de Pont-aux-Dames, fol. 15 v°.
    43. Cartulaire chap. Meaux, t. II, p. 42.
    44. Cartulaire de Noëfort.
    45. Obit. prov. Sens, IV, p. 54.
    46. Cartulaire de Pont-aux-Dames, fol. 12 v°.
    47. Archives nationales, JJ 46, fol. 21 v°.
    48. Bibl. nat., ms. latin 10944, fol. 163.
    49. Archives nationales, KK 4.
    50. Archives nationales, X1c 32.
    51. Archives nationales, S 1368.
    52. Cartulaire de Fontaines, fol. 84.
    53. Nouvelle revue d'onomastique -1997 - Numéros 29 à 32 - Page 11.
    54. « Fiche signalétique de Bouleurs », sur Atome 77 (consulté le ).
    55. « L'historique », sur Bouleur, site officiel (consulté le ).
    56. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    57. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    58. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    59. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    60. Statistiques officielles de l'Insee, section «Revenus et pauvreté des ménages en 2018», consultée le 31 août 2021.
    61. Statistiques officielles de l'Insee, section «Population active, emploi et chômage au sens du recensement en 2018», consultée le 31 août 2021.
    62. Statistiques officielles de l'Insee, section «Démographie des entreprises en 2019», consultée le 31 août 2021.
    63. Statistiques officielles de l'Insee, section «Tourisme en 2021», consultée le 31 août 2021.
    64. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Bouleurs », sur http://recensement-agricole.agriculture.gouv.fr/ (consulté le ).
    65. « L'agriculture en Seine-et-Marne », sur www.seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
    66. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Bouleurs », sur le site « Agreste » du service de la statistique et de la prospective (SSP) du ministère de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt. (consulté le ).
    67. « 77047 Bouleurs (Seine-et-Marne) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
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