Calès (Lot)

Calès est une commune française située dans le département du Lot, en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Calès.

Calès

Moulin de Cougnaguet.
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Lot
Arrondissement Gourdon
Intercommunalité Communauté de communes Causses et Vallée de la Dordogne
Maire
Mandat
Jean-François Poncelet
2020-2026
Code postal 46350
Code commune 46047
Démographie
Gentilé Calésiens
Population
municipale
168 hab. (2018 )
Densité 4,9 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 48′ 48″ nord, 1° 32′ 19″ est
Altitude 277 m
Min. 99 m
Max. 295 m
Superficie 34,23 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Souillac
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Calès
Géolocalisation sur la carte : Lot
Calès
Géolocalisation sur la carte : France
Calès
Géolocalisation sur la carte : France
Calès
Liens
Site web Site officiel

    Géographie

    Calès est une commune située dans l'ancienne région du Quercy, en haute Bouriane, sur le causse de Gramat. Elle est bordée à l'est par l'Ouysse et traversée par la D 673 qui relie Gourdon et Rocamadour.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 12,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 10,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 921 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, mise en service en 1961[7]et qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[8],[Note 2], où la température moyenne annuelle évolue de 12,4 °C pour la période 1971-2000[9], à 12,7 °C pour 1981-2010[10], puis à 13,1 °C pour 1991-2020[11].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[12],[13].

    La commune fait partie de parc naturel régional des Causses du Quercy, un espace protégé créé en 1999 et d'une superficie de 183 039 ha, qui s'étend sur 102 communes du département du Lot[14]. La cohérence du territoire du Parc s’est fondée sur l’unité géologique d’un même socle de massif karstique, entaillé de profondes vallées. Le périmètre repose sur une unité de paysages autour de la pierre et du bâti (souvent en pierre sèche), de l’empreinte des pelouses sèches et du pastoralisme et de l’omniprésence des patrimoines naturels et culturels[15],[16]. Ce parc a été classé Géoparc en mai 2017 sous la dénomination « géoparc des causses du Quercy », faisant dès lors partie du réseau mondial des Géoparcs, soutenu par l’UNESCO[17],[18].

    La commune fait également partie de la zone de transition du bassin de la Dordogne, un territoire d'une superficie de 1 880 258 ha reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en juillet 2012[19],[20].

    Un autre espace protégé est présent sur la commune : les « falaises lotoises (rapaces) », objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 6,6 ha[21].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : les « vallées de l'Ouysse et de l'Alzou »[23], d'une superficie de 3 009 ha, un territoire très riche en entomofaune, comprenant notamment, outre les insectes répertoriés de l'annexe II, nombre d'espèces remarquables d'orthoptères (Omocestus raymondi, Sphingonotus caerulans), de lépidoptères (Brenthis hecate, Chazara briseis, Euchloe tagis) et de coléoptères (Acmaedora pilosellae, Barypeithes pyreneus, Carabus hispanus, Sphenoptera parvula)[24].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Cinq ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[25] :

    • les « bois des Dames et des pechs de Mouret et de Guidon » (471 ha), couvrant 3 communes du département[26] ;
    • les « combes de la Damette et de Gouny et combels tributaires » (1 961 ha), couvrant 5 communes du département[27] ;
    • le « pech Roudé et bois Grand » (345 ha), couvrant 2 communes du département[28] ;
    • les « vallées de l'Ouysse et de l'Alzou » (3 030 ha), couvrant 5 communes du département[29] ;
    • les « vieux chênes de Cantegrel » (94 ha), couvrant 2 communes du département[30] ;

    et une ZNIEFF de type 2[Note 5],[25] : la « vallée de la Dordogne quercynoise » (8 758 ha), couvrant 30 communes dont trois dans la Corrèze, deux dans la Dordogne et 25 dans le Lot[31].

    Urbanisme

    Typologie

    Calès est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[32],[33],[34]. La commune est en outre hors attraction des villes[35],[36].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (66,1 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (63,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (58,8 %), zones agricoles hétérogènes (31,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (7,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,3 %), prairies (1,2 %)[37].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le nom Calès peut provenir[38],[39] :

    • soit de la racine indo-européenne kal qui signifie pierre à laquelle fut ajoutée le suffixe -ensis ;
    • soit d'un nom de domaine gallo-romain : Calicius avec le suffixe -anum.

    Histoire

    C’est en 930 qu’apparaît le nom de Calès. La paroisse fut alors donnée à l’abbaye Saint-Martin de Tulle. Le village a connu beaucoup de vicissitudes. Il subit pillages et exactions de la part des Anglais au milieu du XIVe siècle. Les guerres de Religion ne l’épargnent pas et ce sont ensuite les troupes de brigands et la peste qui sévissent. Au cours du XIXe siècle le village se repeuple et la population tire ses ressources de la vigne jusqu’à sa disparition en raison du phylloxera.

    Vie locale

    L’économie repose :

    • sur l’agriculture : élevage de brebis caussenardes  ;
    • sur le tourisme : un hôtel-restaurant, gîtes et chambres d’hôtes.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs[40]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1802 1813 Antoine Lacroix    
    1813 1839 Amans Pierre Lacroix    
    1839 1844 Hugues Darnis    
    1844 1846 Jean Sanadre    
    1846 1858 Henri Maynard De Lavalette    
    1858 1862 Guillaume Vidal    
    1862 1868 Jacques Lacroix    
    1869 1878 Guillaume Lacroix    
    1878 1881 Auguste Hebrard    
    1881 1884 G. Darnis    
    1885 1888 Antoine Serre    
    1888 1893 Jean Hebrard    
    1893 1895 Antoine Lamothe    
    1895 1925 Marcelin Lacroix    
    1925 1930 Léon Maury    
    1930 1935 Armand Hébrard    
    1935 1944 Louis Alquié    
    1944 1945 Paul Cabarroc    
    1945 1946 Adrien Fabre    
    1946 1959 Henri Pagès    
    1959 1961 Albert Floirac    
    1961 1988 Georges Floirac    
    1988 1995 Jean Lormeau    
    1995 2001 Georges Floirac    
    2001 2014 Jacqueline Vergnes    
    2014 2020 Marie Noëlle Tsolakos    
    2020 En cours Jean-François Poncelet    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[42].

    En 2018, la commune comptait 168 habitants[Note 7], en augmentation de 3,07 % par rapport à 2013 (Lot : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    554601941674654661669704705
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    696723683620623614576588504
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    505471422305256232230184162
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    155139131130141149127164157
    2018 - - - - - - - -
    168--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[43] puis Insee à partir de 2006[44].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Au début du XXe siècle, Calès comptait 504 habitants[45].

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station météofrance Gourdon - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Calès et Gourdon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    10. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
    13. « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    14. « Le parc naturel régional des Causses du Quercy – charte 2012-2024 », sur https://www.parc-causses-du-quercy.fr (consulté le )
    15. [PDF]« Le parc naturel régional des Causses du Quercy – charte 2012-2024 - le rapport », sur https://www.parc-causses-du-quercy.fr (consulté le )
    16. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « le géoparc des Causses du Quercy », sur le site des Géoparks de l'Unesco (consulté le )
    18. « Géoparc des Causses du Quercy - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « Réserve de biosphère du bassin de la Dordogne », sur mab-france.org (consulté le )
    20. « Bassin de la Dordogne - zone de transition - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « les « falaises lotoises (rapaces) » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    23. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Calès », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « site Natura 2000 FR7300902 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    25. « Liste des ZNIEFF de la commune de Calès », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « ZNIEFF les « bois des Dames et des pechs de Mouret et de Guidon » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « ZNIEFF les « combes de la Damette et de Gouny et combels tributaires » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    28. « ZNIEFF le « pech Roudé et bois Grand » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    29. « ZNIEFF les « vallées de l'Ouysse et de l'Alzou » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    30. « ZNIEFF les « vieux chênes de Cantegrel » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    31. « ZNIEFF la « vallée de la Dordogne quercynoise » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    32. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    33. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    34. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    35. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    36. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    37. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    38. Gaston Bazalgues et Jacqueline Bazalgues, À la découverte des noms de lieux du Quercy et des communes du Lot : Toponymie lotoise, Aubenas, Gourdon : Éditions de la Bouriane et du Quercy, , 133 p. (ISBN 2-910540-16-2, notice BnF no FRBNF40220401), p. 108.
    39. Gaston Bazalgues, « Les noms des communes du Parc », Les cahiers scientifiques du Parc naturel régional des Causses du Quercy, vol. 1, , p. 115 (lire en ligne).
    40. « Les maires de Calès », sur Site francegenweb, (consulté le ).
    41. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    42. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    43. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    44. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    45. Armand Viré, Le Lot, chapitre « Centres d'excursion », p. 232. Réédition de l'ouvrage de 1907 (ISBN 2-7455-0049-X).
    46. « Moulin de Cougnaguet », notice no PA00095035, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    47. « Église paroissiale Saint-Jacques », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[22].
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Liens externes

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