Bellencombre

Bellencombre est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Bellencombre

Carte postale de la ville vers 1910 : la Poste
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Dieppe
Intercommunalité CC Communauté Bray-Eawy
Maire
Mandat
Thierry Prévost
2020-2026
Code postal 76680
Code commune 76070
Démographie
Gentilé Bellencombrais
Population
municipale
652 hab. (2018 )
Densité 51 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 42′ 30″ nord, 1° 13′ 37″ est
Altitude Min. 69 m
Max. 199 m
Superficie 12,91 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Rouen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Neufchâtel-en-Bray
Législatives 10e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Bellencombre
Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Bellencombre
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Bellencombre
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Bellencombre

    Géographie

    Localisation

    Bellencombre est un bourg périurbain normand du Pays de Bray, situé au pied de la forêt d'Eawy dans la haute vallée de la Varenne, à mi-chemin entre Rouen et Dieppe, desservi par la route départementale 154 qui relie Saint-Saëns à Torcy-le-Grand et Dieppe, et aisément accessible des autoroutes A28 et A29.

    Communes limitrophes

    Saint-Hellier Ardouval
    La Crique N Ventes-Saint-Rémy
    O    Bellencombre    E
    S
    Rosay

    Hydrographie

    La commune est drainée par plusieurs bras de la Varenne, affluent de la Béthune et de l'Eaulne et donc sous-affluent du fleuve côtier qui confluent l'Arques.

    Une source naturelle se trouve cent mètres après la sortie du village, route de Dieppe[1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 933 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Buchy », sur la commune de Buchy, mise en service en 1960[8] et qui se trouve à 17 km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,2 °C et la hauteur de précipitations de 901,9 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et à 36 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,5 °C pour 1981-2010[13], puis à 11 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Bellencombre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[15],[16],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (51,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (51,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (51,4 %), prairies (26,1 %), terres arables (20,1 %), zones urbanisées (2,3 %), zones agricoles hétérogènes (0,1 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Toponymie

    Le nom de Belencunbre apparaît à la fin du XIe siècle[22].

    Le nom viendrait du gaulois pour René Lepelley[23], qui ne précise cependant pas de quelles racines il s'agit, et signifierait l'« endroit couvert par les arbres ».

    L'élément -encombre qui a servi à former Bellencombre, dériverait du vieux français combre « barrage » précédé du préfixe en- et de l'adjectif bel « beau ». Sa signification toponymique est obscure pour François de Beaurepaire[24].
    Le mot « encombre » doit sans doute être ici considéré comme un synonyme de l'ancien français combre, barrage destiné notamment à arrêter et retenir le poisson.
    Le mot combre est attesté au XVe siècle au sens de « barrage pratiqué dans le lit d'une rivière » et est mentionné en latin médiéval sous la forme combrus au VIIe siècle au sens d'« abattis d'arbres ». La racine en serait combr d'un gaulois *Kombero qui a un correspondant en celtique insulaire, le gallois kymmer, au sens différent de « rencontre de cours d'eau ». Même mot que le français encombre, encombrer.

    Histoire

    Une monnaie gauloise a été retrouvée en 1840 près du château de Bellencombre, et, vers 1836, des hachettes en silex et en bronze ainsi que des monnaies gauloises[25]. Selon l' Abbé Cochet, « Les bois montrent une grande quantité de terrassements qui proviennent pour la plupart d'anciennes ferrières, forges ou mines de fer présentement abandonnées ; mais si les extractions de fer, communes dans ce canton, remontent jusqu'aux Gaulois et aux Romains, comme le démontrent les tuiles, les poteries et les médailles, elles descendent aussi jusqu'au Moyen Âge : on a des preuves de l'existence de forges et de mines de fer dans ce pays depuis le XIVe jusqu'au XVIIe siècle[25]. »

    Dans l'antiquité, le même secteur était occupé par des constructions romaines, dont on a retrouvé les vestiges d'une salle pavée en pierre de liais[25].

    Le lieu était également habité au haut Moyen Âge, puisqu'on signalait à la fin du XIXe siècle avoir trouvé deux cimetières francs situés sur une colline près de l'église, où se trouvaient des ossements, des vases et des armures[25].

    Une importante motte castrale supportant les vestiges d'un château-fort édifié en silex aux alentours de 1030 ou 1040[26], qui dut porter primitivement le nom de Warinna, probablement emprunté à celui de la rivière La Varenne, et qui devient le siège de la famille des Warenne au Moyen Âge quin après la conquête de l'Angleterre en 1066, deviennent comtes de Surrey[27].

    Le prieuré d'Augustins dit Prieuré de Toussaint, fondé en 1130 par le seigneur de la Grande Heuze. L'église initiale, dédicacée en 1135 est reconstruite dans la première moitié du XIIIe siècle. Le prieuré était une léproserie en 1264 et était desservie par des chanoines réguliers[28],[25].

    L'église romane qui se trouvait dans l'enceinte du château a été détruite en 1863 et remplacée par l'édifice actuel[25].

    Politique et administration

    La commune de Bellencombre, instituée par la Révolution française, a absorbé en 1813 celles de Les Authieux, La Grande-Heuze et de Saint-Martin-sous-Bellencombre[29].

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Dieppe du département de la Seine-Maritime. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la dixième circonscription de la Seine-Maritime.

    Elle était depuis 1793 le chef-lieu du canton de Bellencombre[29]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, Bellencombre est intégrée au canton de Neufchâtel-en-Bray.

    Intercommunalité

    Bellencombre était le siège de la Communauté de communes du Bosc d'Eawy, créée en 2002.

    Dans le cadre de l'approfondissement de la coopération intercommunale prévu par la Loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , le projet de schéma départemental de coopération intercommunale présenté par le préfet de Seine-Maritime le prévoit l'éclatement du Bosc d'Eawy entre plusieurs structures résultant de la fusion d'intercommunalités préexistante, et Bellencombre est depuis le , membre de la communauté de communes Communauté Bray-Eawy.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[30]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1898 1907 Jules Auvray    
    1907 1911 Alexandre Quenouille    
    1911 1918 Henri Papin    
    1918 1925 Gaston Thirel    
    1926 1935 Antoine Duvivier    
    1935 1936 Pierre Leverdier    
    1936   Gaston Buron    
    1937 1940 André Pessy    
    1940 1945 Gaston Buron    
    1945 1953 Eugène Duvauchel    
    1953 1959 Étienne Frechon    
    1959 1965 Julien Boucher    
    1965 1981 René Thionville    
    1981 2001 Hubert Lefebvre    
    mars 2001 2014[31] Bernard Caux   Retraité de l’ONF
    mars 2014[32] En cours
    (au 10 août 2020)
    Thierry Prévost   Électricien
    Vice-président de la CC du Bosc d'Eawy (2014 → 2016)
    Vice-président de la Communauté Bray-Eawy (2017 → )
    Réélu pour le mnadt 2020-2026[33],[34]

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[36].

    En 2018, la commune comptait 652 habitants[Note 7], en diminution de 5,09 % par rapport à 2013 (Seine-Maritime : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2502522779119278648581 025953
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    944939938858831791731720732
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    726696677589642621600678673
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    652654648640638662641687677
    2018 - - - - - - - -
    652--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune dispose du groupe scolaire David-Douillet, qui accueille à la rentrée 2020-2021 des enfants de La Crique à la suite de la dissolution du SIVOS qui scolarisait les enfants de Beaumont-le-Hareng, La Crique, Val-de-Scie. L'école comptera alors 4 classes[38].

    Autres équipements

    La mairie et l'agence postale communale vont occuper les anciens locaux de la Gendarmerie nationale, rachetés par la commune en 2016[39], après des travaux de réaménagement menées en 2021[40].

    Le centre social Caravelles[41] est l'une des 43 structures labellisés Maisons France Services de la Seine-Maritime le [42].

    Une maison d'assistantes maternelles, Les Ptits princes de la forêt, s'installe en 2021 dans des locaux loués par la commune[43].

    Le Centre des impôts est menacé de fermeture en 2023, l'accueil du public pouvant désormais être assuré par la Maison France Services[44].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Pierre et Saint-Paul, construite sur les plans de l'architecte rouennais Georges Simon, de style néo-roman et achevée en 1867 en bichromie de pierres blanches et de briques rouges[45].
    • Ancienne chapelle du prieuré de Tous-les-Saints (Saint-Martin-sous-Bellencombre).
      Reconstruite au XIIIe siècle, sa nef est détruite pendant la Révolution française et son clocher vers 1810. Les contreforts du chœur sont repris en brique et un début de démolition intervient en 1967[28],[46],[47].
    • Vestiges du château médiéval de Bellencombre construit par Guillaume de Varenne aux alentours de 1030 ou 1040, dont la motte castrale est située en haut d'une petite côte près de l'église, et qui a été démembré à partir de 1833[26]. Ils font l'objet de fouilles archéologiques en 2020[48], après un débroussaillage du site par des caprins[49]. Le château remanié au XVIe siècle et restauré au XIXe siècle, a conservé de son origine médiévale un donjon carré sur motte, enfermé dans une grande enceinte flanquée de tours[50].
    L'Abbé Cochet en faisant la description suivante en 1871 « Cette forteresse, demeure des Warenne, conquérants de l'Angleterre, remonte au XIe siècle, avec des -retouches du XVIe siècle. Elle se compose encore d'une grande enceinte fossoyée , remparant d'énormes murs en tuf, en pierre et en grès. Plusieurs tours rondes flanquent les murs, que domine un donjon carré, assis sur un tertre élevé. Ce château était encore entier en 1833, avec son pont, sa herse, ses portes et ses fenêtres. Ii a joué un rôle militaire à toutes les époques. Quoique en ruine depuis 25 ans il est encore des plus intéressants. Ses murs ont 7 mètres d'épaisseur[25]. »
    • Château de la Grande Heuzé, qui aurait été fondé au Xe ou au XIe siècle. Le logis est du XIIIe ou du XIIIe siècle et remanié à plusieurs époques[51].

    Personnalités liées à la commune

    • Guillaume de Varenne, propriétaire au Moyen Âge du château de Bellencombre, fait construire en Angleterre un autre château près de Lewes[26].

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Pierre-François Frissard, Plan de Dieppe et de ses environs, avec texte explicatif à l'usage des étrangers, Paris, Carilian-Cœury, , 54 p. (lire en ligne), p. 51-54.
    • Alexandre-Auguste Guilmeth, Histoire communale des environs de Dieppe : contenant les cantons de Longueville, Tôtes, Bacqueville, Offranville, Envermeu et Bellencombre, Paris, Delaunay, , 2e éd., 300 p. (lire en ligne), p. 239-272, lire en ligne sur Gallica.

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Bellencombre », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Raphaël Tual, « Une source réputée, mais pas sans danger : Une source naturelle jaillit de la roche, sans avoir subi aucune intervention. Les habitants considèrent qu’elle est pure, mais les autorités sanitaires appelle à la prudence. », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Buchy - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Bellencombre et Buchy », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Buchy - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Bellencombre et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rouen », sur insee.fr (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. Archives de Seine-Maritime, 55 H.
    23. Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Presses universitaires de Caen, 1993.
    24. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150)
      Ouvrage publié avec le soutien du CNRS
      .
    25. Abbé Cochet, Répertoire archéologique du département de la Seine-Inférieure : rédigé sous les auspices de l'Académique des sciences, belles-lettres et art de Rouen, Paris, Imprimerie nationale, coll. « Répertoire archéologique de la France », , 652 p. (lire en ligne), p. 8-10, lire en ligne sur Gallica.
    26. Laurent Hellier, « Château de Bellencombre. Déjà deux ans de nettoyage en attendant les fouilles archéologiques : Le château médiéval de Bellencombre pointe le bout de son nez derrière la dense végétation. L'association de sauvegarde présidée par Lionel Gaudefroy nettoie les lieux. », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
    27. « Les remparts de Bellencombre (Seine-Maritime) », sur http://remparts-de-normandie.eklablog.com/accueil-c28719114, (consulté le ).
    28. « Prieuré d'Augustins dit Prieuré de Toussaint », notice no IA00022874, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. « Les maires de Bellencombre », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    31. « Un travail honnête… », Paris Normandie, (lire en ligne).
    32. Romain Savary, « Thierry Prévost élu au premier tour : Pour 11 des 15 communes du canton de Bellencombre, un tour a suffi à connaître l'ensemble des conseillers municipaux. Dans le chef-lieu de canton, le maire sortant a été battu. », Le Réveil, (lire en ligne).
    33. Stéphanie Petit, « Municipales 2020 : Thierry Prévost présente sa liste à Bellencombre : Thierry Prévost maire sortant de Bellencombre est candidat à sa succession. Il accueille de nouveaux colistiers pour les élections municipales 2020. », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
    34. « À Bellencombre, Thierry Prévost est élu pour un deuxième mandat : À Bellencombre, Thierry Prévost repart pour un deuxième mandat de maire. Il a décidé de s'entourer de trois adjoints. L'équipe travaille sur la nouvelle mairie », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    38. S. P., « Cap sur les travaux en 2021 : Réfection de la nouvelle mairie en lieu et place de l’ancienne gendarmerie, installation de réserves pour la défense incendie et autres travaux sont inscrits au budget 2021 de Bellencombre. Précisions », Le Réveil de Neufchâtel, édition Pays de Bray, no 3707, , p. 18.
    39. Stéphanie Petit, « Près de 400 000 € pour la nouvelle mairie de Bellencombre : En 2016 la gendarmerie a quitté Bellencombre (Seine-Maritime), la mairie a racheté les bâtiments. Elle envisage d'y installer la mairie et la poste. Coût du projet : 407 000 € TTC. », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
    40. Stéphanie Petit, « A Bellencombre, les travaux pour transformer l'ancienne gendarmerie en mairie commencent début janvier 2021 : Dès janvier 2021, les travaux devraient commencer dans l'ancienne gendarmerie de Bellencombre. La mairie et poste communale emménageront quelques mois plus tard », Le Réveil de Neufchâtel, (lire en ligne, consulté le ).
    41. Stéphanie Petit, « À Bellencombre, Caravelles adopte une direction collégiale dès la rentrée : Caravelles donne du poids aux habitants du territoire, acteurs des actions mises en place. Ainsi, la direction est chamboulée au profit d'une direction plus collégiale. », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
    42. Stéphanie Petit, « A Bellencombre, Caravelles devient Maison France Services dès le 1er janvier 2020 : Dès janvier 2020, Caravelles fera partie des 43 nouvelles Maisons France Service de la Seine-Maritime. Un label conforme aux services actuellement proposés. », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
    43. Stéphanie Petit, « À Bellencombre, une maison d'assistantes maternelles ouvrira ses portes d'ici fin 2021 : Noëlle et Vanessa souhaitent ouvrir une maison d'assistantes maternelles près de la perception à Bellencombre. Les professionnelles espèrent accueillir les enfants d'ici fin 2021 », Le Réveil de Neufchâtel, (lire en ligne, consulté le ).
    44. Stéphanie Petit, « La perception de Bellencombre est-elle vouée à disparaître ? : Après le centre des impôts de Neufchâtel-en-Bray, c'est au tour de celui de Bellencombre d'être menacé. Plusieurs élus ont voté des motions de soutien pour la perception. », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
    45. « Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul », Observatoire du patrimoine religieux (consulté le ).
    46. Photographie de Philippe des Forts : « Vue extérieure côté sud-ouest », notice no APDSF2844, base Mémoire, ministère français de la Culture
    47. Photographie de Philippe des Forts : « Base Mémoire » (fonts baptismaux)
    48. « A Bellencombre : quatre archéologues sont au chevet du château : À la demande de Nicolas de Warren, descendant des anciens propriétaires du château et sous l'égide de la Drac, quatre archéologues indépendants étudient les ruines du château. », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
    49. Stéphanie Petit, « A Bellencombre, une vie de château pour les chèvres : Deux chèvres naines et un bouc ont une vie de rêve. Ils vivent et travaillent au château de Bellencombre. Leur mission : débroussailler l'édifice et son terrain. », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
    50. Bernard Beck, Châteaux forts de Normandie, Rennes, Ouest-France, , 158 p. (ISBN 2-85882-479-7), p. 148.
    51. « Château », notice no IA00022887, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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