Beauvoisin (Gard)
Beauvoisin est une commune française située dans le département du Gard, en région Occitanie.
Pour les articles homonymes, voir Beauvoisin.
Beauvoisin | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Gard | ||||
Arrondissement | Nîmes | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de Petite Camargue | ||||
Maire Mandat |
Mylène Cayzac 2020-2026 |
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Code postal | 30640 | ||||
Code commune | 30033 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Beauvoisinois, Beauvoisinoises[1] | ||||
Population municipale |
4 905 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 176 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 43′ 09″ nord, 4° 19′ 28″ est | ||||
Altitude | Min. 1 m Max. 128 m |
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Superficie | 27,82 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Beauvoisin (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Nîmes (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Vauvert | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Gard
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | beauvoisin.com | ||||
Géographie
Localisation
Beauvoisin s'adosse au plateau des Costières. De sa position dominante sur la plaine du Vistre, le paysage embrasse un rayon de plus de 100 km :
- au nord : Nîmes, les garrigues nîmoises et le massif des Cévennes ;
- au sud : la Petite Camargue, la Camargue et la mer Méditerranée ;
- à l'est : le village voisin de Générac, la vallée du Rhône et le mont Ventoux ;
- à l'ouest : Montpellier et l'Hérault jusqu'au pic Saint-Loup.
Communes limitrophes
Les communes de Générac, Aubord, Saint-Gilles, Vauvert, Vestric-et-Candiac et Uchaud sont limitrophes de la commune de Beauvoisin.
Climat
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Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[2].
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Vestric-et-Candiac », sur la commune de Vestric-et-Candiac, mise en service en 1966[7] et qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[8],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 14,9 °C et la hauteur de précipitations de 700,5 mm pour la période 1981-2010[9].
Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nimes-Garons », sur la commune de Saint-Gilles, mise en service en 1964 et à 10 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 14,6 °C pour la période 1971-2000[11], à 15 °C pour 1981-2010[12], puis à 15,3 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Beauvoisin est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Beauvoisin, une unité urbaine monocommunale[17] de 4 780 habitants en 2017, constituant une ville isolée[18],[19]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 92 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[20],[21]. Beauvoisin est l'une des 79 communes membres du Schéma de Cohérence Territoriale (SCOT) du Sud du Gard et fait également partie des 51 communes du Pays Vidourle-Camargue.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (84,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (75,2 %), zones urbanisées (7,4 %), forêts (6,9 %), zones agricoles hétérogènes (5,6 %), zones humides intérieures (4,3 %), terres arables (0,6 %)[22]. L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Bellumvicinum en 1027, castrum Belvedin en 1121, de Velvezin en 1197, Belvoysin en 1435[23]. De l'adjectif bas latin bellus (beau») et vicinium (voisinage, village)[23]. Voisin (vicinus), comme toponyme, est un dérivé du latin vicus (quartier, village)[24]. Ses habitants sont les Beauvoisinois et les Beauvoisinoises[1]. On les appelle également li tèfles, les grosses têtes ! dans le langage des sobriquets collectifs[25] utilisé dans les villages méridionaux[26].
Histoire
Moyen Âge
Les premières mentions de Beauvoisin apparaissent vers 820 sur un cartulaire de l'abbaye de Psalmodie, située près d'Aigues-Mortes. Le lieu est appelé Tovana ou Tufana. Il est situé à l'emplacement actuel du vieux village, autour de la butte du Château. Ce site surélevé était propice à la surveillance et sa propre défense, en des périodes de grandes invasions qui empruntaient le couloir de Nîmes vers l'ouest. En 973, l'évêque Bernard de Nîmes, cède un harmas (terre sans culture) aux portes de Beauvoisin à un nommé Raoux et sa femme, en échange d'une vigne sous les murs de Nîmes. Sous le nom de Bellovicidum, la terre de village appartient au vicomte de Nîmes de la famille Aton, de 1027 à 1041. Le château construit en 1067 aurait appartenu aux templiers et aurait été détruit vers 1150, ainsi que sa chapelle Saint-Pierre (à l'emplacement de l'église actuelle). En 1121, le château de Beauvoisin passe sous la juridiction vauverdoise lorsque Rostaing II de Posquières (ancien nom de Vauvert) épouse Ermessinde, fille de Bernard Aton IV, vicomte de Nîmes et Béziers. Elle apporte en dot les châteaux de Beauvoisin, Calvisson et Marguerittes. En 1143, Pierre de Beauvoisin est témoin de la donation par Pons-Guilhem de ses terres de francavallis à l'abbaye de Franquevaux. Puis en 1145, Bernard Raymond de Beauvoisin est témoin de l'acte de Bernard Aton IV en faveur des foires de Nîmes. Pour garder ses juridictions, Rostaing III de Posquières rachète en 1146 à Bernard Aton la dot de sa mère Ermessinde contre 98 marcs d'argent du poids de Saint-Gilles, c’est-à-dire la justice des châteaux de Beauvoisin, Calvisson et Marguerittes et le pouvoir d'exiger serment de fidélité de tous leurs habitants. Les brigands cathares ou albigeois occupent le castrum de Belote. En 1197, Raymond VI comte de Toulouse l'assiège et le délivre. Un accord est passé en 1198 entre l'abbé de Franquevaux et Guillaume de Cazellis, prévôt du chapitre de Nîmes et prieur de Beauvoisin sur les limites de leurs territoires respectifs. Plus tard, le prieur Pierres du Besset assure un concordat entre le seigneur et les habitants de Beauvoisin par lequel on lui accorde un treizième de la dîme. Le dénombrement de la sénéchaussée de Nîmes, organisé en 1384, révèle 9 feux au village de Bellovicinum, c’est-à-dire environ 50 habitants. La réparation du subside (impôt) au roi Charles VI mentionne l'ecclésia de Bellovicino, celle à Charles VII, en 1437, cite Belvoysin. Dans les actes du notaire Ursy à Nîmes on trouve cité le prieuré Saint-Thomas de Beauvoysin. Dans les actes du même notaire, en 1575, le village est appelé Beauvoisin.
Époque moderne
En cette fin du XVe siècle, Beauvoisin adhère presque totalement aux idées de la Réforme. Jusqu'à la révocation de l'édit de Nantes en 1685, la commune sera gouvernée par des consuls protestants. De cette période, on retiendra la volonté des élus d'assurer la formation des enfants du village. Il existe en effet des contrats de précepteurs engagés pour cette fonction. Les troubles de l'après Édit de Nantes n'épargneront pas Beauvoisin. Des assemblées interdites, les déserts, organisées autour du village seront réprimées. Les camisards investiront la commune en 1704, y brûleront l'église et feront des victimes parmi la population.
Révolution française et Empire
À la Révolution, le village occupe le territoire au pied du château, entre la rue de la Poste, la Grand Rue, la rue Pavée et la rue du Jeu du Mail. Les cultures vivrières surtout (blé, orge, oliviers) sont essentiellement dans la plaine. Les Costières, appartenant pour majeure partie a l'abbaye de Franquevaux, sont couvertes de bois, au milieu desquels on trouve quelques mas comme Listerne ou Sainte-Colombe. La vente de ces biens, devenus biens nationaux, à quelques propriétaires beauvoisinois et leur défrichement, va amorcer l'essor de l'agriculture qui a modelé le village d'aujourd'hui.
Politique et administration
Liste des maires
Intercommunalité
La commune appartient à la Communauté de communes de Petite-Camargue.
Jumelages
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[30].
En 2018, la commune comptait 4 905 habitants[Note 5], en augmentation de 10,22 % par rapport à 2013 (Gard : +1,67 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Manifestations culturelles et festivités
La vie de la commune de Beauvoisin est marquée par sa fête votive, positionnée la première semaine après le quinze août. Elle est l'occasion, comme dans toutes les communes environnantes, de festivités principalement liées à la bouvine. Chaque année une classe de jeunes doit « s’occuper » de la fête votive. Ils réalisent, entre autres, des aubades. Au début du XXe siècle, il s’agissait de fêter le départ pour le Service national des jeunes hommes qui venaient d’avoir 18 ans. C’était les conscrits de « la classe » (la classe d’âge). Les aubades continuent toujours, un peu comme un rite de passage, bien que la conscription n’existe plus. Avant ces aubades les jeunes de la fête (les abats) réalisent des empègues. L’empègue vient du mot occitan empeguar, qui signifie « coller ». Ce sont des dessins fait au pochoir qui sont plus ou moins directement liés à la culture taurine et à la course libre. Chaque empègue comporte les 3 lettres V L J pour « Vive la jeunesse » suivi de l'année de la classe.
- Empègue de Beauvoisin - VLJ 2000.
- VLJ 1996.
- VLJ 1989.
Économie
Culture locale et patrimoine
Édifices civils
- Le château fut construit à partir de 1067. Il aurait, à l'instar du château de Générac, appartenu aux Templiers.
- L'horloge, surmontée d'un campanile en fer, et la mairie, sont également édifiées dans cette première moitié du XIXe siècle.
- L'école primaire de 1900 à aujourd'hui.
- La mairie et l'horloge de 1900 à 2006.
- Un des deux moulins.
- Les arènes de Beauvoisin après réfection en 2007.
Édifices religieux
- Temple protestant de Beauvoisin. Le temple construit en 1834 par l'architecte Charles Durand sur les ruines de l'église a été inscrit monument historique par arrêté du 30 janvier 2012[33]. Originale forme en hémicycle, portique à colonnes de style néoclassique et clocher tour.
- Église Saint-Thomas de Beauvoisin.
- Chapelle de l’abbaye de Franquevaux.
- Chapelle du cimetière de Beauvoisin.
Patrimoine naturel
- Les chemins de René
Distance | Dénivelé | Durée | Équipement | Difficulté | Balisage | Point d'eau |
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17,5 km | 50 mètres | 5 heures | randonnée légère | facile | bleu | aucun |
Ces chemins permettent de découvrir le territoire de la commune, des Costières aux étangs de la Petite Camargue, en suivant les vallons creusés pendant des millénaires par les anciens bras du Rhône. D'une façon générale, les collines boisées des Costières regorgent de sentiers permettant la pratique de la randonnée pédestre, notamment. Par son hameau de Franquevaux, construit autour d'une abbaye cistercienne du XIIe siècle, la commune s'étend aux zones marécageuses de la petite Camargue. Une grande tradition de course camarguaise, pierre angulaire de la bouvine, caractérise tous les villages de cette contrée entre Costières et Camargue.
Personnalités liées à la commune
- Philadelphe Delord, né à Beauvoisin, est un pasteur envoyé en 1897 sur l'île de Maré en Nouvelle-Calédonie pour l'évangélisation des populations locales[34]. Il y découvre les ravages de la lèpre et décide à son retour en métropole en 1910 de s'y consacrer. En 1926, il acquiert la chartreuse de Valbonne qui devient à partir de 1929 un refuge pour lépreux. La même année, il crée l'Association de Secours aux Victimes des Maladies Tropicales (ASVMT)[35] qui deviendra le propriétaire de la chartreuse. Il y meurt le et est enterré dans le grand cloître[36].
- Cyril Jeunechamp, ancien footballeur professionnel.
- Jean-Marc Sibille, ancien footballeur professionnel.
- Gérard Barbeyrac, raseteur.
- Marion Mazauric, éditrice.
- Hadrien Rozier, lauréat du prix national du meilleur mémoire de masters du service public local de l'institut national des études territoriales (INET[37]
Héraldique
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Écartelé : aux 1 et 4 d'or aux quatre branches de genêt, ordonnées 2 et 2, arrondies et affrontées de sinople; aux 2 et 3 de gueules à l'aigle d'argent |
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Ecartelé : aux 2 et 3 de gueules à l'aigle d'argent, aux 1 et 4 d'or (!) au cep de vigne surmonté de roncier, ordonnées 2 et 2, arrondies et affrontées de sinople.
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Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Site officiel
- « Insee - Chiffres clés : Beauvoisin », sur www.insee.fr (consulté le )
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- « Gentilé de Beauvoisin », sur www.habitants.fr (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Vestric-et-Candiac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Beauvoisin et Vestric-et-Candiac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Vestric-et-Candiac - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Beauvoisin et Saint-Gilles », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Nimes-Garons - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Nimes-Garons - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Nimes-Garons - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Beauvoisin », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Ernest Nègre - Toponymie générale de la France - Page 384 - (ISBN 2600028838).
- Alain Derville - La Société française au Moyen-Âge - Page 41 - (ISBN 2859396217).
- André Bernardy, Les Sobriquets collectifs, Uzès, Les ateliers Henri Pelatan, .
- « Quelques sobriquets du midi », sur mc42.free.fr (consulté le ).
- Exclu à la suite d'une candidature dissidente aux élections cantonales.
- « Réussir l'avenir Beauvoisin-Franquevaux », sur www.reussirlavenir30640.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Liste des immeubles protégés au titre des monuments historiques en 2012.
- Bibliographie méthodique, analytique et critique de la Nouvelle-Calédonie, de Patrick O'Reilly, 1955, musée de l'Homme, 361 pages (page 242)
- « Association Secours Victimes Maladies Tropicales ASVMT VALBONNE », sur www.ville-saintpauletdecaisson.fr.
- [PDF]« rapport moral de l'ASVMT », sur www.chartreusedevalbonne.com, .
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