Baldenheim

Baldenheim est une commune française située dans la circonscription administrative du Bas-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.

Baldenheim

Blason
Administration
Pays France
Région Grand Est
Collectivité territoriale Collectivité européenne d'Alsace
Circonscription départementale Bas-Rhin
Arrondissement Sélestat-Erstein
Intercommunalité Communauté de communes de Sélestat
Maire
Mandat
Virginie Muhr
2020-2026
Code postal 67600
Code commune 67019
Démographie
Gentilé Baldenheimois [1]
Population
municipale
1 178 hab. (2018 )
Densité 125 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 14′ 19″ nord, 7° 32′ 21″ est
Altitude Min. 165 m
Max. 172 m
Superficie 9,44 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Sélestat
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Sélestat
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Baldenheim
Géolocalisation sur la carte : Bas-Rhin
Baldenheim
Géolocalisation sur la carte : France
Baldenheim
Géolocalisation sur la carte : France
Baldenheim

    Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.

    Géographie

    Milieu du village et ses maisons à colombages.
    Ancienne ferme en pan de bois (XVIIIe siècle).
    Le village et quelques maisons à colombages.
    Maison à colombages fleurie.

    Village du canton de Sélestat et de l'arrondissement de Sélestat-Erstein situé sur la route entre Hessenheim et Muttersholtz, au centre de l'Alsace, dans la plaine alluviale du Rhin, à 45 km au sud de l'agglomération de Strasbourg, à 8 km à l'est de la commune de Sélestat et à 10 km au nord-ouest de Marckolsheim, chef-lieu du canton, qui compte aujourd'hui plus de 1 000 habitants ; le territoire communal avoisine les 1 000 hectares. Baldenheim fait partie de la communauté de communes de Sélestat, créée le 28 décembre 1995, composée de 12 communes, et qui intervient dans quatre directions : l'activité économique, l'environnement, les services à la population et le tourisme, la culture et les loisirs.

    Milieu naturel

    Le territoire communal ne présente pas de relief et se trouve au centre de la plaine alluviale. La vie dans le Ried est conditionnée par l'eau. La nappe phréatique est située à plus ou moins grande profondeur, soit 1,50 mètre en moyenne. Elle perce la couche d'argile et donne naissance à des cours d'eau qui sont d'origine phréatique. Par ailleurs, l'Ill présente un aspect de rivière de plaine relativement calme. Comme toutes les rivières vosgiennes, elle est soumise à un régime océanique caractérisé par de hautes eaux hivernales et de basses eaux estivales, à l'inverse du Rhin. La dernière grande crue prit des allures de catastrophe en survenant au mois de mai 1983. Le climat est de type semi-continental. On y recueille environ 600 mm de pluie par an. Les écarts de température sont particulièrement importants : les étés peuvent être très chauds et les hivers rigoureux.

    Le paysage

    Le ban communal se singularise en dehors de la partie agglomérée, par cinq types de paysages :

    • l'espace péri-villageois : des vergers et des jardins ;
    • l'espace ouvert des grandes cultures : les champs et les bois ;
    • la zone humide : le Ried Noir ;
    • les terrains riverains de l'Ill : le Ried Gris ;
    • les espaces boisés.

    Environ 80 % de la surface agricole utilisée sont cultivés. Les près représentant 16 % de la surface agricole utilisée.

    Cours d'eau

    • L'Ill, la Blind, le Hanfgraben et de nombreux ruisseaux arrosent le territoire communal, avec une orientation de leur lit sud-ouest - nord-est.

    Toponymie

    • Bandenheim, 1182.
    Communes limitrophes de Baldenheim
    Muttersholtz Wittisheim
    Sélestat Schwobsheim
    Mussig Bœsenbiesen

    Urbanisme

    Typologie

    Baldenheim est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Sélestat, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 37 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[5],[6].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (86,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (60,1 %), zones agricoles hétérogènes (18,1 %), zones urbanisées (9,4 %), prairies (8,5 %), forêts (3,8 %)[7].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].

    Histoire

    L'occupation du site est attestée par l'existence d'un cimetière mérovingien et carolingien d'une centaine de tombes, dont le riche mobilier livre notamment le célèbre casque de Baldenheim conservé au musée archéologique de Strasbourg, localisé au nord du village, au lieu-dit Lange Gasse, et découverte par hasard vers 1902 La plupart des tombes, peu profondes (entre 0,50 et 0,60 mètre sous le sol arable) ne contenaient pas de mobilier, et les squelettes bouleversés témoignaient d'un pillage ancien. Un autre groupe de sépultures, plus profondes (entre 1,20 et 1,50 mètre) contenait un mobilier relativement riche (fibules en bronze et en argent cloisonnées de grenat, perles de verre, collier en pâte de verre, collier d'ambre, ainsi que d'autres objets datant de la seconde moitié du VIe siècle et du second tiers du VIIe siècle. L'ensemble du mobilier recueilli à Baldenheim se place dans une période chronologique comprise entre 550 et 650.

    Baldenheim apparaît déjà dans un document de la seconde moitié du VIIe siècle sous la forme de Baldenheim Villa. Le nom de ce village, raconte la légende, vient du fait que le diable y perdit un jour son chapeau. Il refusa qu'on le lui rende en disant B'haltene (gardez-le). Le village n'ayant pas encore de nom à cette époque adopta cette onomatopée. Mais le nom de Baldenheim apparaît vraiment au IXe siècle.

    La Réforme fut introduite en 1576. Un château fut construit en 1740 et détruit en 1821. le simultaneum provoqua en 1843 un violent conflit entre les deux communautés religieuses (protestante et catholique). Au XIXe siècle, le tissage connut un développement important, et on compta jusqu'à 150 tisserands. Dans le dernier tiers du XIXe siècle, le mouvement coopératif se développa dans la commune. Une caisse d'épargne fut créée en 1890 ainsi qu'une coopérative laitière qui fonctionna jusqu'en 1981.

    Le village a appartenu vers 1324 au duché de Wurtemberg. Celui-ci l'avait ensuite donné en fief à la famille Rathsamhausen zum Stein. À l'extinction de cette noble famille, Louis XIV le donna à l'ingénieur de Chamlay, à charge pour lui de prêter hommage au duc de Wurtemberg, qui lors de la mort du commandeur de Chamlay, concéda le fief à la famille de Sandersleben-Coligny. Jusqu'à la Révolution, il était possédé par la famille de Waldner Freundstein dont le château fut démoli en 1820. À partir du XIXe siècle, le tissage à domicile tient une très grande place dans l'économie locale.

    Baldenheim est connue pour sa fête du Pfingstpflitteri dont la dixième édition a eu lieu en 1999.

    Casque mérovingien

    Le casque de Baldenheim au musée archéologique de Strasbourg.

    En juillet 1902, Oscar Pfiffer découvre des objets dans son champ. Une fouille plus complète mettra au jour un casque d'apparat et divers objets mérovingiens. Une étude publiée en 1907 par R. Henning, fait de Baldenheim le site éponyme de ce type de casque, dont une trentaine d'exemplaires sont recensés à l'heure actuelle.

    Le casque de Baldenheim est constitué de plaques de fer montées sur une carcasse en bronze; les plaques et la monture étaient recouverts d'argent; les protège-oreilles en fer, assez importantes, sont couvertes de bronze doré. Les montants de la carcasse (Spangen) sont décorés; un bandeau horizontal se développant le long de la bordure inférieure de la coiffe, était richement orné de motifs figurés : personnages (dont un cavalier), végétaux stylisés.

    Ce casque présente un intérêt considérable; l'étude publiée par Henning en 1906 le fit connaître et on parle depuis de casques du type de Baldenheim (Baldenheimertypus). Son origine, sa datation ont soulevé des discussions multiples. La dernière mise au point est due à J.Werner qui étudie 17 casques de ce type et y reconnaît une fabrication non pas pontique, mais ostrogothe d'Italie du Nord. Ces casques, fabriqués principalement durant la première moitié du VIe siècle, et vraisemblablement encore après la reconquête byzantine, étaient décorés spécialement pour le goût des acquéreurs germaniques.

    Le casque est aujourd'hui exposé au musée archéologique de Strasbourg[9].

    Héraldique

    Les armes de Baldenheim se blasonnent ainsi :
    « De gueules au coutre d'argent. »[10].

    Économie

    Le ratio population active/population totale de la commune a augmenté. Le village se situe au-dessus de la moyenne cantonale. On constate aussi que le chômage diminue.

    On y produit des fruits et légumes, des fleurs et plantes, et une douzaine d'éleveurs de porcs sont dans la commune.

    Le nombre des exploitations agricoles a diminué. Mais les vergers occupent une place importante, et Baldenheim est connu pour sa « pomme blanche de Baldenheim ».

    C'est un village bénéficiant d'une activité économique relativement importante et en expansion. 440 emplois sont offerts par l'ensemble des acteurs économiques pour 1 000 habitants environ.

    Lieux et monuments

    Église médiévale protestante.
    La nef de l'église protestante avec ses fresques des XIVe et XVe siècles.
    Fresque murale du XVe siècle dans la nef de l'église protestante.
    Église catholique Saint-Louis.
    Mairie de Baldenheim (XVIIe siècle).

    Église protestante (fin du XIe début du XIIe siècle)

    Au VIIe siècle, Baldenheim possède une chapelle ou une église faisant partie des biens de l'abbaye d'Ebersmunster. L'église paroissiale est attestée dès 1371. La nef est agrandie à l'époque romane ou au début de l'époque gothique, le chœur du XVe siècle. Le clocher n'était autrefois accessible que de l'intérieur du chœur. Les fentes de lumière, véritables meurtrières, et la présence de pierres à bosses dans le chaînage d'angle, réservées en général à l'architecture militaire, suggèrent un espace fortifié avec une fonction de surveillance.

    La Réforme protestante est introduite en 1576 entrainant des modifications de l'édifice, notamment de la nef. Le simultaneum est établi au milieu du XVIIIe siècle. En 1749, les catholiques reprirent possession du chœur et ce jusqu'à la construction d'une nouvelle église catholique en 1938. Les seigneurs de Baldenheim, propriétaire du village, assistaient à l'office depuis leur loge accrochée tel un balcon à l'intérieur du chœur. La porte d'accès de cette loge est encore visible aujourd'hui.Les monuments funéraires, à l'intérieur de l'église, réalisés entre le XVe et le XVIIIe siècle, témoignent de l'histoire nobiliaire alsacienne. À l'intérieur de l'église on aperçoit deux dalles funéraires de la famille des Rathsamhausen. En 1939, le retour au culte protestant exclusif donne lieu à un projet de nouveau travaux dans la nef, qui seront stoppés en raison de la Seconde Guerre mondiale. Les peintures murales mise à jour lors des travaux de restauration en 1992-1993 datent du XIVe et XVe siècles .Celles du chœur ont été réalisées d'après les dessins de Martin Schongauer, célèbre graveur et peintre alsacien. Ce décor peint médiéval est par son importance unique en Alsace.

    Cette église fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis 1970[11].

    Église catholique Saint-Louis

    En 1576, l'église paroissiale placée sous le patronage de saint Blaise, devient protestante[12] . Vers 1758, le simultaneum est instauré, avec pour patron saint Louis, en hommage à Louis XIV roi de France. Au XIXe siècle, l'exercice simultané des deux cultes rencontre des difficultés.

    Les deux cultes se pratiquaient alors simultanément et en alternance dans les églises, tant bien que mal, en fonction des événements et des personnes en place. Pour interdire l'accès au chœur aux luthériens, celui-ci fut fermé d'une grille. De même, un grand rideau vert dissimulait le tabernacle à leurs regards, et pour ne pas gêner la vue sur l'autel catholique, les luthériens durent équiper le leur de roulettes pour pouvoir le ranger. Le simultaneum dura jusqu'en 1938, où la nouvelle église catholique fut inaugurée.

    Des affrontements assez violents ont lieu en 1843. La construction d'une église réservée au culte catholique est alors envisagée. La pose de la première pierre n'est établie qu'en 1937. C'est Mgr Ruch, évêque de Strasbourg qui se déplacera personnellement pour consacrer l'église Saint-Louis qui est achevée en 1939 juste avant le début de la Seconde Guerre mondiale[13].

    Peintures murales de l'église protestante

    L'église protestante conserve des peintures murales du XIVe au XVIe siècle probablement réalisées d'après les dessins du célèbre graveur alsacien Martin Schongauer qui ont été découvertes lors de la restauration de l'église en 1904. D'autres fresques sont révélées lors des travaux effectués dans la nef en 1939. Des relevés sont alors faits et les peintures sont recouvertes d'un badigeon protecteur.

    Monuments funéraires des nobles de la localité

    Des sépultures dans le sol de l'église, celles situées côté nef, devant l'arc triomphal, ont été conservées visibles. Un dallage à l'ancienne, de tomettes cuites spécialement au feu de bois, recouvre le sol. Les sépultures gardées visibles sont à ranger en deux catégories : celles (d'adultes et d'enfants) dont les pierres tombales étaient polies par le passage des gens ont reçu de nouvelles dalles de grès rose respectant leur taille d'origine, et les deux sépultures extrêmes qui ont été décapées et recouvertes d'une dalle de verre afin de maintenir visibles leurs sculptures et épitaphes. Celle de gauche, avec les armoiries sculptées des Rathsamhausen, et l'épitaphe du pasteur Schmutz sont remarquables. Quant aux monuments funéraires incrustés dans les murs, abîmés en grande partie par les déprédations dues à la Révolution, ils sont restés en l'état, en attendant leur restauration fin 1996[14].

    Abri de la ligne Maginot (1930)

    Abri du 242e R.I. construit en 1930, PC du colonel Bouchon.

    Cet abri fait partie intégrante d'une propriété individuelle.

    Mairie

    La maison actuelle se trouve à l'ancien emplacement de l'école communale occupée dès 1600 qui dispensait pendant longtemps les cours séparés pour les enfants des confessions catholique et protestante. Le bâtiment ne comporte aucune date de construction. Il est composé d'un rez-de-chaussée en dur et d'un étage au colombage parfaitement ordonnancé. Le toit à quatre pans rappelle le style des presbytères de la région ou de certaines maisons de maître. Seul le clocheton traditionnel signale la fonction administrative de l'édifice.

    Les services de la commune

    Le village compte des équipements scolaires, socio-éducatifs et culturels, des équipements sportifs et touristiques, des équipements culturels, des liaisons de transport, et une vie associative riche.

    Les équipements d'infrastructures

    Le ban communal est traversé par des routes départementales, communales, par un réseau fluvial, des réseaux divers (eau potable, assainissement, éclairage, câble, gaz...). Un ramassage sélectif des déchets ordinaires et encombrants est assuré par le SMICTOM.

    L'habitat

    Le nombre de logements augmente plus vite que la population. Les résidences principales ainsi que les résidences secondaires sont également en hausse, par contre les logements vacants restent stables. Les constructions en habitations individuelles sont en progression à la suite de la politique active de l'habitat. Les habitations et les annexes sont d'architecture alsacienne traditionnelle à colombages.

    Les objectifs de la commune sont de maintenir une situation démographique favorable, d'éviter le mitage et de diminuer la consommation de terrain et de favoriser l'emploi. À long terme, il y a lieu de protéger la commune des nuisances, de préserver le paysage et le caractère rural de la commune et de renforcer le tourisme.

    Personnalités

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1988  ? Jean-Jacques Bury    
    mars 2001 mai 2020 Willy Schwander[15] DVD Retraité
    mai 2020 En cours Virginie Muhr [16]    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[18].

    En 2018, la commune comptait 1 178 habitants[Note 3], en augmentation de 3,15 % par rapport à 2013 (Bas-Rhin : +2,17 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8267588721 0191 0041 0401 0711 0791 040
    1856 1861 1866 1871 1875 1880 1885 1890 1895
    1 0321 0451 0831 0741 0421 0621 0491 0751 079
    1900 1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 0781 1051 134989943910846841863
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    7898008639158759241 0601 0801 099
    2013 2018 - - - - - - -
    1 1421 178-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[20].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Voir aussi

    Liens externes

    Bibliographie

    • Registres paroissiaux protestants et état civil de Baldenheim - Mariages de 1684 à 1935 - P. HIRTZ - 2013

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. https://www.habitants.fr/bas-rhin-67
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Sélestat », sur insee.fr (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    8. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    9. Fiche descriptive du casque mérovingien de Baldenheim sur le site internet du musée archéologique de Strasbourg
    10. Jean-Paul de Gassowski, « Blasonnement des communes du Bas-Rhin », sur http://www.labanquedublason2.com (consulté le ).
    11. Notice no PA00084595, base Mérimée, ministère français de la Culture Église protestante (ancienne église catholique)
    12. Notice no IA67010725, base Mérimée, ministère français de la Culture Église luthérienne, ancienne église paroissiale Saint-Blaise
    13. Notice no IA67010726, base Mérimée, ministère français de la Culture Église catholique Saint-Louis
    14. Plaquette vendue sur place dans l'église.
    15. [PDF] Liste des maires au 1 avril 2008 sur le site de la préfecture du Bas-Rhin.
    16. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    17. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    18. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    20. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
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