Balaruc-le-Vieux

Balaruc-le-Vieux [ba.la.ʁyk lə vjø] est une commune française située dans le département de l'Hérault, en région Occitanie. Depuis le , elle fait partie de la communauté d'agglomération Sète Agglopôle Méditerranée et depuis 2010, de l'unité urbaine de Sète.

Balaruc-le-Vieux

La mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Montpellier
Intercommunalité Sète Agglopôle Méditerranée
Maire
Mandat
Norbert Chaplin
2020-2026
Code postal 34540
Code commune 34024
Démographie
Gentilé Balarucois
Population
municipale
2 631 hab. (2018 )
Densité 444 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 27′ 41″ nord, 3° 41′ 07″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 196 m
Superficie 5,92 km2
Type Commune urbaine et littorale
Unité urbaine Sète
(banlieue)
Aire d'attraction Montpellier
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Frontignan
Législatives Huitième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Balaruc-le-Vieux
Géolocalisation sur la carte : Hérault
Balaruc-le-Vieux
Géolocalisation sur la carte : France
Balaruc-le-Vieux
Géolocalisation sur la carte : France
Balaruc-le-Vieux

    Ses habitants sont appelés les Balarucois.

    Géographie

    Carte

    Le village de Balaruc-le-Vieux est situé à l’extrémité du Bassin de Thau, tout contre le Massif de la Gardiole, à six kilomètres de la ville de Sète. C'est la sortie no 33 de l'A9.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Balaruc-le-Vieux
    Poussan Gigean
    Bouzigues Frontignan
    Balaruc-les-Bains

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 14,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 0,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 13,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 650 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 5,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 2,7 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[1].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sete », sur la commune de Sète, mise en service en 1949[6]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[7],[Note 2], où la température moyenne annuelle évolue de 15 °C pour la période 1971-2000[8], à 15,4 °C pour 1981-2010[9], puis à 15,8 °C pour 1991-2020[10].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[11],[12].

    Un espace protégé est présent sur la commune : l'« étang de Thau », un terrain acquis par le Conservatoire du Littoral, d'une superficie de 69,5 ha[13],[14].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3].

    Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[16] : les « herbiers de l'étang de Thau », d'une superficie de 8 320 ha, abritant de très vastes herbiers de zostères (Zostera marina et Zostera noltii) en très bon état de conservation[17]

    et un au titre de la directive oiseaux[16] : la ZPS de l'« étang de Thau et lido de Sète à Agde », 7 770 ha répartis sur les mêmes dix communes de la ZNIEFF de l'étang de Thau'[Note 4]. Ce site comprend l'étang de Thau (le plus grand des étangs languedociens avec 19,5 km en plus grande longueur) et une partie du cordon dunaire qui le sépare de la mer Méditerranée, le tout présentant une très grande diversité d'habitats (sansouire, prés humides, marais salants, boisements, étendue d'eau saumâtre, vasière, roselière, herbiers, et anciens salins). Les salins et les zones humides au nord de l'étang accueillent une riche variété d'oiseaux migrateurs et nicheurs. L'étang est un site classé d'importance internationale pour le flamant rose ; c'est également une zone d'hivernage pour le grèbe à cou noir, il abrite une colonie de sternes naines, et les lagunes et salins attirent la mouette mélanocéphale. Les steppes à salicornes y sont fréquentées par le pipit rousseline. Les buttes des tables salantes sont des lieux privilégiés pour la nidification des laro-limicoles (voir Charadriiformes)[18].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[19] :

    • la ZNIEFF de l'étang de Thau : 6 790 ha de terrains en friche et terrains vagues (habitat déterminant) répartis entre huit communes[Note 6],[20] ;
    • la ZNIEFF du marais de la crique de l'Angle : 44 ha de terrains en friche et terrains vagues (habitat déterminant) répartis entre les communes de Balaruc-le-Vieux et Poussan[21] ;

    et deux ZNIEFF de type 2[Note 7],[19] :

    • la ZNIEFF de la montagne de la Gardiole : 5 289 ha de prairies humides méditerranéennes à grandes herbes (habitat déterminant) réparties sur dix communes[Note 8],[22] ;
    • la ZNIEFF du complexe paludo-laguno-dunaire de Bagnas et de Thau : 9 072 ha de prairies humides méditerranéennes à grandes herbes (habitat déterminant) répartis entre dix communes[Note 9],[23].

    Urbanisme

    Typologie

    Balaruc-le-Vieux est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 10],[24],[25],[26]. Elle appartient à l'unité urbaine de Sète, une agglomération intra-départementale regroupant 7 communes[27] et 90 720 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[28],[29].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune de la couronne[Note 11]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[30],[31].

    La commune, bordée par la mer Méditerranée, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[32]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[33],[34].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (30,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (30,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (26,6 %), zones agricoles hétérogènes (24,1 %), zones urbanisées (24 %), eaux maritimes (14,8 %), prairies (4,5 %), forêts (4,3 %), cultures permanentes (1,3 %), zones humides intérieures (0,4 %)[35].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes alode de Balarug en 961 (dans une copie du XVIIe siècle)[36]; Ballaruc en 1083[36]; castrum de Baladuco[36] dans une charte de 1120; Balazuc en 1129[36] et en 1130; Bazaluch en 1130[36]; Baladuc en 1140[36] et dans une charte de 1182; Balazuc en 1145[36]; de Balazuco en 1169[36]; castelli Bazaluci en 1170[36]; Bazaluco en 1226[36].

    En 1962, Charles Camproux donne une origine gauloise au nom Balaruc dont une des formes anciennes serait Baladunum dans une charte de 1099; bal évoque un escarpement et dunum la notion de forteresse[37].
    Dans son Dictionnaire des noms de lieux de l'Hérault, Frank R. Hamlin est plus prudent mais, lui aussi, propose une origine prélatine. Balaruc serait donc un oppidum gaulois[38].

    Balaruc Vièlh [ba.la.'ʁyk ˈbjɛl] en occitan.

    Le 11 décembre 1886, Balaruc est scindé en deux communes; Balaruc-le-Vieux et Balaruc-les-Bains étaient nées.(B.L. 1887, XXXIII-1263).

    Histoire

    Plan par masse de culture (an XII).

    Antiquité

    Une nécropole du Ier siècle a été mise au jour à Balaruc. Un vase gallo-romain de forme Drag. 29 y a été trouvé, qui a d'abord été attribué à l'atelier de poterie de Montans (Tarn)[39] avant d'être attribué à la Graufesenque après analyse chimique comparative de sa pâte par M. Picon (1974)[40],[41].

    Epoque moderne

    11 décembre 1886 : la commune de Balaruc est divisée en deux communes dont les chefs-lieux sont Balaruc-le-Vieux et Balaruc-les-Bains[42].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    décembre 1919 juin 1954
    (décès)
    Marcel Pradel[43] SFIO Conseiller d’arrondissement du canton de Frontignan (1928 → 1940)
    Conseiller général du canton de Frontignan (1951 → 1954)
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1983 mars 1989 Lucien Assié SE  
    mars 1989 mars 2014 Max Serres DVG Retraité
    mars 2014 En cours
    (au 15 mars 2020)
    Norbert Chaplin[44],[45] DVD Ancien cadre[46], membre du syndicat mixte du Bassin de Thau[47]
    Vice-président de Sète Agglopôle Méditerranée[47]

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[49].

    En 2018, la commune comptait 2 631 habitants[Note 12], en augmentation de 3,42 % par rapport à 2013 (Hérault : +6,12 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    404438424553621623595671584
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    661690745782890992512504517
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    532515530521510508383360394
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    4755335217011 0651 8022 0242 0912 644
    2018 - - - - - - - -
    2 631--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[50] puis Insee à partir de 2006[51].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pour la période antérieure à 1886, les données de recensement comptabilisent la population des deux sections qui constituent la commune de Balaruc-les-Bains : Balaruc-le-Vieux et Balaruc-les-Bains. Le recensement de 1856 distingue explicitement la section de Balaruc-le-Vieux de celle de Balaruc-les-Bains avec 285 habitants pour la première contre 376 pour la seconde.

    Manifestations culturelles et festivités

    Au mois de juillet, la cité retrouve les couleurs médiévales, en devenant le théâtre de la Fête médiévale, accueillant un public de plus en plus nombreux. La journée se termine en beauté avec un spectacle pyrotechnique de qualité, avec l'embrasement des remparts du village.

    Le centre commercial depuis le sud-est.

    Culture locale et patrimoine

    La forme typique à la géométrie circulaire spécifique à de nombreux bourgs languedociens, vaut au village de Balaruc-le Vieux l’appellation de circulade.

    Le village ancien, blotti au cœur de ses remparts restaurés, conserve, au sein de ruelles étroites et tortueuses, quelques beaux souvenirs du temps passé : portes Louis XIII, quelques vestiges du château moyenâgeux, une église de tradition romane et gothique.

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Maurice de Balaruc-le-Vieux, XIVe siècle. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie[52].
    • Les anciens remparts.
    • La place du Truc qui domine la crique de l'Angle.

    Personnalités liées à la commune

    • Séverine Brémond née Beltrame, joueuse de tennis professionnelle.
    • Aurélien Evangélisti, septuple vainqueur du Tournoi de joutes languedociennes de la Saint-Louis à Sète.
    • Ludivine Lachèvre, championne du monde de Fitness 2009.
    • Robert Caplain, ingénieur du son, directeur artistique, professeur d'enseignement supérieur et directeur d'établissements spécialisés en cinéma et audiovisuel. Deux fois primé aux Victoires. de la musique, deux prix de l'Académie Charles Cros. Grand prix du disque 1999.
    • Guilhem de Balaruc, troubadour du XIIIe siècle, appelé aussi "de Balaun" ou "de Balazuc" (ancien nom de Balaruc).

    Animal totémique

    L'animal totémique de Balaruc-le-Vieux est le muge ( lo mujol en occitan).

    L'origine se situe dans un conflit qui a opposé l'évêque de Maguelone, seigneur de Balaruc et les habitants au sujet d'impôts à payer sur les fruits de la pêche.

    Héraldique

    Les armes de Balaruc-le-Vieux se blasonnent ainsi :

    de gueules à un saint Maurice à cheval d'or tenant de sa dextre une bannière d'argent chargée d'une croix aussi de gueules[53]

    Voir aussi

    Bibliographie

    • A. Germain, « Privilèges et franchises de Balaruc d'après les textes inédits du cartulaire de Maguelone », Mémoires de la société́ archéologique de Montpellier, Montpellier, Société archéologique de Montpellier, t. 5, no 30, , p. 199-226 (lire en ligne)
    • Marc Lugand, Balaruc antique et médiéval : histoire et archéologie de la presqu'île balarucoise, Montpellier, Espace sud éd., , 141 p.
    • André Soutou, « Le leudaire de Balaruc-le-Vieux au XIVe siècle », Annales du Midi (Toulouse), a, t. 108, no 214, , p. 247-252

    Fonds d'archives

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[15].
    4. Les dix communes de la ZPS de l'étang de Thau et lido de Sète à Agde sont Balaruc-les-Bains, Balaruc-le-Vieux, Bouzigues, Frontignan, Loupian, Marseillan, Mèze, et Sète.
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Les huit communes de la ZNIEFF de l'étang de Thau sont Balaruc-les-Bains, Balaruc-le-Vieux, Bouzigues, Frontignan, Loupian, Marseillan, Mèze, et Sète.
    7. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    8. Les dix communes de la ZNIEFF de la montagne de la Gardiole sont Balaruc-les-Bains, Balaruc-le-Vieux, Fabrègues, Frontignan, Gigean, Lattes, Mireval, Saint-Jean-de-Védas, Vic-la-Gardiole et Villeneuve-lès-Maguelone.
    9. Les dix communes de la ZNIEFF du complexe paludo-laguno-dunaire de Bagnas et de Thau sont Agde, Balaruc-les-Bains, Balaruc-le-Vieux, Bouzigues, Frontignan, Loupian, Marseillan, Mèze, Poussan, et Sète.
    10. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    11. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    12. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
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    4. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    6. « Station Météo-France Sete - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    7. « Orthodromie entre Balaruc-le-Vieux et Sète », sur fr.distance.to (consulté le ).
    8. « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    9. « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    10. « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
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    14. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    16. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Balaruc-le-Vieux », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « site Natura 2000 FR9101411 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. NATURA 2000 - FR9112018 - Étang de Thau et lido de Sète à Agde.
    19. « Liste des ZNIEFF de la commune de Balaruc-le-Vieux », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    21. ZNIEFF 910006979 - Marais de la crique de l'Angle sur le site de l’INPN et sa carte sur le site de la DIREN..
    22. ZNIEFF 910010764 - Montagne de la Gardiole sur le site de l’INPN et sa carte sur le site de la DIREN..
    23. ZNIEFF 910006980 - Complexe paludo-laguno-dunaire de Bagnas et de Thau sur le site de l’INPN et sa carte sur le site de la DIREN..
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