Montans
Montans est une commune française située dans le département du Tarn en région Occitanie.
Montans | |||||
Four à céramique. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Tarn | ||||
Arrondissement | Albi | ||||
Intercommunalité | Gaillac Graulhet Agglomération | ||||
Maire Mandat |
Gilles Crouzet 2020-2026 |
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Code postal | 81600 | ||||
Code commune | 81171 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Montanais | ||||
Population municipale |
1 472 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 45 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 52′ 02″ nord, 1° 53′ 10″ est | ||||
Altitude | 106 m Min. 95 m Max. 209 m |
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Superficie | 32,43 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Gaillac (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton des Deux Rives | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Tarn
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | Site officiel | ||||
Géographie
Localisation
Commune située au sud-ouest de Gaillac[1]. Le village est construit à l'extrémité d'une terrasse dominant le Tarn. On y produit du vin d'appellation gaillac.
Communes limitrophes
Montans est limitrophe de sept autres communes :
Hydrographie
Les terres de la commune sont arrosées par le Tarn et ses affluents le ruisseau des Rodes, le Riou Frayzi et le Rieutort[1].
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 3 243 hectares ; son altitude varie de 95 à 209 mètres[1],[2].
Voies de communication et transports
Accès avec l'autoroute A68 sortie no 9 et la Route nationale 88[1].
La ligne 710 du réseau régional liO assure la desserte de la commune, en la reliant à Gaillac et à Lavaur[3].
Climat
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Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[6]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[4].
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1992 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 1,7 | 1,9 | 3,8 | 6,3 | 10,5 | 13,8 | 15,4 | 15,4 | 11,5 | 9,2 | 4,8 | 2,3 | 8,1 |
Température moyenne (°C) | 5,7 | 6,8 | 9,7 | 12,2 | 16,6 | 20,2 | 22,2 | 22,1 | 18,2 | 14,6 | 9,1 | 6,1 | 13,7 |
Température maximale moyenne (°C) | 9,8 | 11,6 | 15,5 | 18,1 | 22,7 | 26,6 | 28,9 | 28,9 | 24,8 | 20,1 | 13,3 | 9,9 | 19,2 |
Record de froid (°C) date du record |
−8,5 13.01.03 |
−12,4 09.02.12 |
−9,6 01.03.05 |
−2 20.04.17 |
1,7 06.05.02 |
3,9 01.06.06 |
7,7 17.07.00 |
6,2 31.08.10 |
2,8 28.09.02 |
−3,6 31.10.1997 |
−7,5 17.11.07 |
−10,2 25.12.01 |
−12,4 2012 |
Record de chaleur (°C) date du record |
19 25.01.16 |
23,6 19.02.1998 |
26,9 15.03.12 |
31,3 29.04.05 |
33,6 30.05.01 |
39,9 22.06.17 |
39,2 13.07.03 |
41,6 26.08.10 |
37,1 03.09.05 |
32,6 02.10.11 |
26,3 07.11.15 |
20,8 07.12.10 |
41,6 2010 |
Ensoleillement (h) | 66,4 | 87,3 | 140,5 | 176,2 | 207 | 216,6 | 221,3 | 224,6 | 179,2 | 121,1 | 70,6 | 56,6 | 1 767,3 |
Précipitations (mm) | 57,2 | 43,8 | 47,2 | 82 | 77,8 | 64,7 | 42,7 | 61 | 66,6 | 74,7 | 67,7 | 68,5 | 753,9 |
Urbanisme
Typologie
Montans est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Gaillac, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 14 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (89,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (65,4 %), zones agricoles hétérogènes (20,5 %), forêts (6,9 %), cultures permanentes (2,7 %), eaux continentales[Note 4] (2,4 %), zones urbanisées (1,8 %), prairies (0,3 %)[14].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Histoire
Préhistoire
Le site de Montans présente des traces d'occupation depuis la Préhistoire[15].
Protohistoire
Le lieu-dit le Rougé était occupé au premier âge du fer (Hallstatt), puis au second âge du fer (la Tène). Cette dernière époque a laissé de la céramique commune de tradition gauloise (urnes peignées, coupes à bord rentrant, jattes carénées) et quelques vestiges de poterie campanienne B[16].
En 1982 des fouilles de prévention et de sauvetage dans le quartier de Labouygue[17] ont mis au jour sept fours de potiers rudimentaires de la Tène III, à sole pleine et à foyer ouvert. En activité dans la première moitie du Ier siècle av. J.-C., ils ont produit des jarres décorées d'un cordon incisé sur leur épaulement, des jattes carénées, des écuelles à bord rentrant et des urnes ovoïdes. Un habitat de cabanes de la même époque a laissé des trous de poteaux, des sols et des foyers domestiques. Le mobilier inclut de la céramique commune, des tessons d'amphores italiques Dressel 1A, de la poterie campanienne A et trois monnaies à la croix en argent[18]. Un large chemin aménagé de la même époque a été repéré sur plus de 100 m[18].
L'environnement était favorable à la fabrication de poterie : les alluvions qui recouvrent la terrasse de Montans comportent des poches d'argile et le Tarn est une voie de communication très ancienne.[réf. nécessaire]
Le site, défendu naturellement par sa position en surplomb du Tarn et du ruisseau du Rieutort, a été occupé par un oppidum gaulois rutène au deuxième âge du fer (période de La Tène).[réf. nécessaire]
Atelier de poterie gallo-romain
Les premiers vestiges d'ateliers de potiers à Montans sont mentionnés en 1868[19]. T. Martin effectue des fouilles de 1972 à 1974 et recueille plus de 500 estampilles de potiers[20] (ce qui ne veut pas dire que 500 potiers ont travaillé à Montans : il s'agit seulement de différentes formes d'estampilles ; mais le nombre est cependant assez élevé).
L'époque tibérienne (14-37) a livré des sigillées et de nombreux vestiges d'amphores vinaires de type Pascual 1 signées TARANI, plus trapues que les amphores catalanes ou languedociennes[16]. Datées du tout début du Ier siècle, ces amphores accompagnent les débuts du vignoble de Gaillac[21].
Deux vases décorés Drag. 37 de la Graufesenque et un fragment de moule de la même provenance illustrent les liens de Montans avec ce très grand centre de production céramique aveyronnais du Ier siècle[17]. La similarité de structure des engobes des sigillées de Montans et de la Graufesenque indique des procédés d'élaboration proches[22].
Avec l'occupation romaine, le site devient au Ier siècle un centre de production important de poteries sigillées de la Gaule du sud. On trouve de nombreuses poteries de Montans dans tout l'Ouest de la France, jusqu'en Espagne, en Bretagne, ainsi qu'en Grande-Bretagne. On fabrique également à Montans d'autres productions en céramique : des antéfixes, des lampes à huile, des statuettes[réf. nécessaire], des vases à engobe blanc[23], de la céramique commune, des tuiles…[réf. nécessaire]. Au IIe siècle apr. J.-C., la production décline, puis s'arrête, sans doute en raison de divers facteurs (concurrence, perte de qualité, effet de mode, exploitation intensive des ressources naturelles : argile, bois...).[réf. nécessaire]
Ce patrimoine archéologique est conservé et étudié à l'Archéosite de Montans, à la fois musée et centre de conservation et d'étude inauguré en 1995[24],[25].
- Autres vestiges antiques
L'occupation de la fin de l'Antiquité puis du haut Moyen Âge à Montans est encore mal connue mais des fouilles préventives sont régulièrement menées au gré des aménagements dans la commune.
Des tessons de sigillée montanaise de l'époque tibérienne (14-37) accompagnant une amphore espagnole produite par l'atelier de l'Aumedina (à 1 km au nord-ouest de Tivissa, province de Tarragone) ont été découverts en 1994 lors du creusement d'une tranchée dans la place de l'église de Montans. L'amphore, de type Oberaden 74, est estampillée SEX. DOMITI[26].
En un dolium est découvert sous une rue lors de la réfection d'une conduite d'eau[19].
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 500 et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de quinze[27],[28].
Rattachements administratifs et électoraux
Commune faisant partie depuis le de Gaillac Graulhet Agglo ancienne communauté d'agglomération du Rabastinois - Tarn et Dadou - Vère Grésigne et Pays Salvagnacois et du canton des Deux Rives (avant le redécoupage départemental de 2014, Montans faisait partie de l'ex-canton de Gaillac) et de la communauté de communes Tarn et Dadou jusqu'au .
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[30].
En 2018, la commune comptait 1 472 habitants[Note 5], en augmentation de 6,98 % par rapport à 2013 (Tarn : +1,75 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
selon la population municipale des années : | 1968[33] | 1975[33] | 1982[33] | 1990[33] | 1999[33] | 2006[34] | 2009[35] | 2013[36] |
Rang de la commune dans le département | 54 | 58 | 58 | 58 | 58 | 56 | 54 | 53 |
Nombre de communes du département | 326 | 324 | 324 | 324 | 324 | 323 | 323 | 323 |
Économie
Enseignement
Montans fait partie de l'académie de Toulouse.
La commune possède un groupe scolaire Amandus (maternelle et élémentaire)[37]. Pour le collège, il faut allé dans la commune voisine de Lisle-sur-Tarn.
Culture et festivités
Salle des fêtes, comité des fêtes, bibliothèque,
Activités sportives
Rugby à XV, pétanque, gymnastique, tennis, chasse, VTT,
Culture locale et patrimoine
Archéosite
L'Archéosite de Montans, inauguré en 1995, devenu un service de la Communauté de communes Tarn et Dadou en 2010, retrace l'occupation du site de Montans mais aussi des communes alentour, de la Préhistoire au Moyen Âge (territoire de la communauté de communes). Une rue gallo-romaine reconstituée à partir des vestiges de la rue principale de Montans, ainsi qu'une maison de propriétaire d'officine de céramique sigillée permettent de s'immerger dans ce que pouvait être cette agglomération potière au Ier siècle apr. J.-C. Toute l'année, des animations, événements, démonstrations, expositions, ateliers et spectacles rythment la vie du musée[38].
Autres lieux
- Petit belvédère, vue sur la vallée du Tarn.
Personnalités liées à la commune
- Gilles Arroyo, joueur de rugby à XV[39].
- Raoul Cammas, né en 1905 à Montans, et décédé en 1987. Il consacra son temps libre à parcourir la campagne pour rassembler une imposante collecte d'objets, silex, ivoires, outils de la préhistoire. Il est l'inventeur, en 1949, de la « mandibule de Montmaurin »[40] et a travaillé sur plusieurs des grottes de Montmaurin.
- Roger Carrière (1924-2008), résistant, aquarelliste-peintre-forgeron-sculpteur et conteur occitan sous le pseudonyme de Jean Marc[41], né à Montans. On peut découvrir une de ses sculptures dans le village : un clown polychrome nommé « Le poète en tôle »[42], offert à la commune par la fille et le fils de l'artiste Alain Marc[43], peintre, carnettiste, maitre de stages et aquarelliste).
- Louis Mauriès, homme politique né à Montans.
- Élie Rossignol (1833-1914), historien, archéologue et collectionneur, né et mort à Montans. Sa maison est située, comme l'Archéosite, avenue Elie-Rossignol.
- Joseph Saint-Mars-Rigaudie, homme politique né à Montans.
- Pierre Stanislas Maruejouls décédé sur la commune.
Héraldique
Blason | D'or à l'épée basse d'argent accostée de deux capes affrontées de gueules et appendues à la garde de l'épée et soutenue d'une croix cléchée, vidée et pommetée de douze pièces de gueules; au chef palé d'argent et de sinople de quatre pièces[44]. |
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---|---|---|
Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
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Alias |
Pour approfondir
Bibliographie
- Marie Durand-Lefebvre, « Etude sur la décoration des vases de Montans. », Gallia, t. 12, no 1, , p. 73-88 (lire en ligne)
- Thierry Martin, « Deux années de recherches archéologiques à Montans (Tarn) », Revue archéologique du Centre de la France, t. 13, nos 1-2, , p. 123-143 (lire en ligne)
- G. Berges, Les lampes de Montans (Tarn). Une production céramique des Ier et IIe siècles ap. J.-C. : modes de fabrication, typologie et chronologie (Documents d'archéologie française, n° 21), Paris, Édition de la Maison des sciences de l'Homme, , 128 p. (ISBN 2-7351-0334-X)
- Thierry Martin, « Le port de Bordeaux et la diffusion atlantique des sigillées montanaises », Pallas, no 50, , p. 27-41 (lire en ligne)
- Julien Pech dir., Atlas archéologique de Montans, Montans, Archéosite de Montans, , 239 p. (ISBN 978-2-9534643-4-4)
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Archéosite de Montans (musée, expositions, activités pédagogiques, reconstitutions, manifestations...)
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
Références
- « Montans, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques », « Limites administratives » et « Hydrographie » activées.
- Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
- « Documents - Site web de la région Occitanie » (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Gaillac », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- http://nikoland.com/montans.html
- [Lequément 1983] H. Lequément (Chef d'équipe de chercheurs), « Circonscription de Midi-Pyrénées », Gallia, vol. 41, no 2, , p. 473-503 (lire en ligne [sur persee]), p. 499.
- Lequément 1983, p. 500.
- Lequément 1983, p. 501.
- [Martin 1974] Thierry Martin, « Deux années de recherches archéologiques à Montans (Tarn) », Revue archéologique du Centre de la France, vol. 13, nos 1-2, , p. 123-143 (lire en ligne [sur persee], consulté en ), p. 124.
- Martin 1974, p. 123.
- [Laubenheimer 2009] Fanette Laubenheimer, « Des amphores et des hommes », Dialogues d'histoire ancienne, , p. 183-196 (lire en ligne [sur cairn.info]), paragr. 31.
- [Dejoie et al. 2005] Catherine Dejoie, Sabrina Relaix et Philippe Sciau, « Les sigillées des ateliers de la Graufesenque et de Montans. Étude comparative des pâtes et engobes », dans Teresa Carreras Rossell (coord.) et al., La difusió de la terra sigillata sudgallica al nord d'Hispania [La diffusion de la sigillée sud-gauloise dans le nord d'Hispania], Barcelone, Museu d'Arqueologia de Catalunya, , sur s3.amazonaws.com (lire en ligne), p. 10.
- [Martin 1977] Thierry Martin, « Note sur quelques vases à engobe blanc de Montans », Revue archéologique du Centre de la France, vol. 16, nos 1-2, , p. 165-171 (lire en ligne [sur persee]).
- [Pech et al. 2017] Julien Pech, Fanny Maury, Daniel Schaad et al., Atlas archéologique de Montans, éd. Archéosite de Montans, (ISBN 9782953464344, OCLC 1010325464, présentation en ligne).
- « Archéosite de Montans », sur archeosite.ted.fr.
- [Martin 1996] Thierry Martin, « Découverte à Montans d'une amphore Oberaden 74 estampillée SEX. DOMITI », Pallas (Revue d'études antiques), no 44 « L'antiquité à la page », , p. 109-117 (lire en ligne [sur persee]).
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur https://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Municipales/elecresult__MN2014 (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- https://www.montans.fr/ecole-amandus
- (plus d'infos ).
- G.L., « Montans. L'Étoile Sportive XV au challenge de l'offensive », sur ladepeche.fr, La Dépêche du Midi, (consulté le ).
- [Granat & Peyre 2012] Jean Granat et Evelyne Peyre, « Les fossiles humains (125-200 ka) de la grotte du Coupe-Gorge - Montmaurin (Haute-Garonne-France), nouvelle interprétation. Émergence de la parole », Biométrie Humaine et Anthropologie (revue de la Société de biométrie humaine - SBH), vol. 29, nos 3-4, , p. 89-105 (lire en ligne [PDF] sur hal.archives-ouvertes.fr, consulté le ).
- « Jean Marc », vidéo, sur youtube.com (consulté le ).
- R. M., « Montans. Un clown de « Jean-Marc » offert à la ville », sur ladepeche.fr, La Dépêche du Midi, (consulté le ).
- « Alain Marc, artiste peintre », sur alain-marc.fr (consulté le ).
- http://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=15325
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