Peyrole

Peyrole (en occitan Peiròla) est une commune française située dans le département du Tarn, en région Occitanie.

Peyrole

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Tarn
Arrondissement Albi
Intercommunalité Gaillac Graulhet Agglomération
Maire
Mandat
Richard Bruneau
2020-2026
Code postal 81310
Code commune 81208
Démographie
Gentilé Peyrolaise, Peyrolais
Population
municipale
592 hab. (2018 )
Densité 29 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 48′ 19″ nord, 1° 53′ 57″ est
Altitude Min. 154 m
Max. 325 m
Superficie 20,59 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Toulouse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Deux Rives
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Peyrole
Géolocalisation sur la carte : Tarn
Peyrole
Géolocalisation sur la carte : France
Peyrole
Géolocalisation sur la carte : France
Peyrole
Liens
Site web https://www.mairie-peyrole.fr

    Géographie

    Localisation

    Commune située à 11 km au sud de Gaillac[1] dans la vallée du Tarn, en Albigeois.

    Communes limitrophes

    Peyrole est limitrophe de sept autres communes.

    Carte de la commune de Peyrole et de ses proches communes.
    Communes limitrophes de Peyrole[2]
    Montans Técou
    Parisot Cadalen
    Puybegon Busque Labessière-Candeil
    (sur 100 m)

    Hydrographie

    La commune est arrosée par le Riou Frayzi et le ruisseau des Rodes, deux affluents du Tarn.

    Géologie et relief

    La superficie de la commune est de 2 059 hectares ; son altitude varie de 154 à 325 mètres[3].

    Commune de Peyrole, France

    Voies de communication et transports

    La ligne 710 du réseau régional liO assure la desserte de la commune, en la reliant à Gaillac et à Lavaur[4], ainsi que le réseau Tarn'bus.

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 12,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 887 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,7 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[6].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[7]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[5].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Montans », sur la commune de Montans, mise en service en 1992[10]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[11],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 13,7 °C et la hauteur de précipitations de 753,9 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Albi », sur la commune du Sequestre, mise en service en 1976 et à 20 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 13,4 °C pour 1981-2010[14] à 13,8 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Peyrole est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[16],[17],[18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[19],[20].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (75,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (38,8 %), forêts (22,5 %), prairies (21,8 %), zones agricoles hétérogènes (11,3 %), cultures permanentes (3,3 %), zones urbanisées (1,3 %), eaux continentales[Note 5] (0,9 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Histoire

    La commune de Peyrole comprend de l’est à l’ouest les plateaux élevés qui marquent la séparation du bassin du Dadou et du Tarn. Sur le point culminant du plateau, entre le lieu-dit de Peyrole et l’église de Saint Maurice existait autrefois un château fort. De nombreux débris sont restés jonchés sur les abords témoignant que ce château fort avait été élevé sur l’emplacement d’habitation gallo-romaine. Au moyen âge, le château et le village étaient possédés par Pierre de Pétapol, qui le céda en 1184 au seigneur de Candeil. La communauté revint ensuite à Philippe de Montfort, et après lui au comte de Comminges et de Foix. De ces derniers la communauté passa au domaine du roi, qui la conserva jusqu’en 1700. Il y avait très anciennement dans les communes deux églises : Saint Maurice de Privats et Saint Laurent de Gros Biou. Ces deux églises existent encore aujourd’hui. La 1ère est citée dans les actes de 1271 et se situe au hameau de st Maurice, venant d’être restaurée, elle possède un clocher surmontée d’une flèche de 18 m de hauteur. Celle de St Laurent se situe à l’extrémité du plateau qui domine le bassin du Dadou. Plus petite, elle domine et jouit d’une très belle vue.

    L’histoire au XIXème siècle fait état d’un souterrain creusé de main d’homme dans le roc. Ce souterrain situé au lieu de la Marquio, aurait son ouverture au pied d’une butte, et se composerait de plusieurs salles reliées par corridors. Nul doute que ces excavations servaient de lieu refuge pour la population rurale des environs du temps de la guerre des Albigeois, ou plus tard pendant la guerre des Anglais. Non loin du lieu-dit de Ste Raffine existait une fontaine dite « sacrée », aux eaux de laquelle on attribuait des vertus curatives. Légèrement ferrugineuses, elles étaient employées comme breuvages ou en lotion afin de guérir notamment les fièvres, les œdèmes, conjonctivites, et enfin donnait la fécondité aux femmes.

    Le territoire de la commune de Peyrole se compose de plateaux et de vallons, de nature siliceuse ou argilo calcaire, et est arrosé par de nombreux cours d’eau tels que le Riou Frayzi et le ruisseau des Rodes, deux affluents du Tarn. Le ruisseau des Rodes prend sa source au sein de la commune de Peyrole sous le nom de ruisseau du Rigou puis prend le nom de ruisseau de Bugarel et Ruisseau de Brames-Aygues afin de se jeter dans le Tarn en rive gauche de la commune de Montans sous le nom de ruisseau des Rodes. Le Ruisseau de Banis, le Ruisseau de la Bastide, le Ruisseau de la Pimpe viennent s’ajouter à la liste des cours d’eau. Peyrole est depuis toujours une commune essentiellement agricole. Début 1900, quelques gros propriétaires employaient une main d’œuvre assez importante sous la responsabilité de maîtres valets. Ces propriétés furent découpées et transformées en métayages puis en fermages. Peyrole comptaient aussi de nombreux viticulteurs avec une superficie de plusieurs centaines d’hectares. Il ne reste plus que quelques dizaines actuellement. Les vignes ayant été arrachées au profit quelques élevages bovins ou porcins, et des cultures céréalières.

    Autrefois, Peyrole possédait une petite épicerie qui faisait office de café, tabac et salon de coiffure et qui se situait à l’emplacement de la mairie actuelle. Composée de plusieurs hameaux tels que St Maurice au centre et St Laurent à l’est, un troisième noyau de maisons s’est constitué dans les années 90 au Pas de Peyrole.

    Un lac et une zone naturelle où l’on peut observer de nombreux oiseaux y sont présents. Ce lac permet d’irriguer les champs de l’ensemble de la commune.

    Héraldique

    Son blasonnement est : D'azur aux trois billettes d'argent posées et rangées en barre.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2017 étant compris entre 500 habitants et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2020 est de quinze[22],[23].

    Commune de Peyrole, France

    Rattachements administratifs et électoraux

    Commune faisant partie de la communauté de communes Tarn et Dadou et du canton des Deux Rives (avant le redécoupage départemental de 2014, Peyrole faisait partie de l'ex-canton de Lisle-sur-Tarn).

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1977 1995 Maurice Gontier DVG  
    1995 mars 2014 Sylvère Nivelais    
    mars 2014 mars 2020 Marie-Hélène Hamelle    
    mars 2020 En cours Richard Bruneau    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[25].

    En 2018, la commune comptait 592 habitants[Note 6], en augmentation de 15,18 % par rapport à 2013 (Tarn : +1,75 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    350342445505487515570557574
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    534555561530573520479423419
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    401407383318352367388355376
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    350311268251256306449501573
    2018 - - - - - - - -
    592--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[28] 1975[28] 1982[28] 1990[28] 1999[28] 2006[29] 2009[30] 2013[31]
    Rang de la commune dans le département 171 171 237 190 166 130 128 125
    Nombre de communes du département 326 324 324 324 324 323 323 323

    Économie

    Viticulture : gaillac (AOC), côtes-du-tarn.

    Service public

    Le village compte une crèche associative récente ("au petit pré"), comportant une vingtaine de place (chiffres 2020), au Hameau le Pas de Peyrole.

    Enseignement

    Le hameau de Saint Maurice compte une école primaire liée au syndicat intercommunal Parisot-Peyrole. Peyrole fait partie de l'académie de Toulouse.

    Activités sportives

    Randonnée pédestre, pétanque,

    Écologie et recyclage

    La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la Gaillac Graulhet Agglomération[32].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Site internet de la commune, les informations pratiques, historiques et touristiques[33]

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes

    Références

    1. « Infos, distance et photos de Peyrole et Gaillac », sur www.voldoiseau.com (consulté le ).
    2. Carte IGN sous Géoportail
    3. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    4. « Documents - Site web de la région Occitanie » (consulté le ).
    5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    6. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    7. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    10. « Station météofrance Montans - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Peyrole et Montans », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météofrance Montans - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Peyrole et Le Sequestre », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique d'Albi - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique d'Albi - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Toulouse », sur insee.fr (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    23. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur https://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Municipales/elecresult__municipales-2020 (consulté le ).
    24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    28. INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
    29. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    30. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    31. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    32. http://environnement.ted.fr/
    33. « Informations pratiques, historiques et touristiques de la commune », sur www.mairie-peyrole.fr.
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