Artas
Artas est une commune française située dans le département de l'Isère, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Pour les articles homonymes, voir Artas (homonymie).
Artas | |||||
Le village d'Artas en avril 2019 | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Isère | ||||
Arrondissement | Vienne | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Bièvre Isère | ||||
Maire Mandat |
Martial Simondant 2020-2026 |
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Code postal | 38440 | ||||
Code commune | 38015 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Artasiens[1] | ||||
Population municipale |
1 804 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 127 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 32′ 10″ nord, 5° 09′ 54″ est | ||||
Altitude | Min. 364 m Max. 507 m |
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Superficie | 14,15 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Lyon (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de La Verpillière | ||||
Législatives | Septième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Géolocalisation sur la carte : Isère
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | http://www.artas-mairie.fr | ||||
Autrefois adhérente à la communauté de communes de la région Saint-Jeannaise, la petite commune essentiellement rurale est rattachée depuis 2014 à la communauté de communes Bièvre Isère et historiquement, dans l'ancienne province du Dauphiné.
La commune, qui se présente sur son site officiel comme un village à caractère rural, revendique le titre de « berceau de la fête des mères », en France, celle-ci y a été organisée pour la première fois en 1906 à l'initiative du maire. Une fresque commémorant ce fait local est visible à l'entrée du bourg.
Ses habitants sont appelés les Artasiens[1].
Géographie
Situation et description
Située dans la partie septentrionale du département de l'Isère et dans l'arrondissement de Vienne, le territoire de la commune se positionne entre les agglomérations de Bourgoin-Jallieu et de l'ancienne ville nouvelle de L'Isle-d'Abeau, au nord et de Saint-Jean-de-Bournay, au sud et fit longtemps partie du canton organisé autour de cette dernière commune. Elle est depuis 2014, rattachée au canton de La Verpillière.
Géologie et relief
La zone des collines doucement ondulées du secteur d'Artas et de Saint-Jean-de-Bournay se développe au sud de la plaine lyonnaise et elle est caractérisée par un recouvrement général de moraines dessinant des vallums morainiques et par une série de vallées mortes fluvio-glaciaire.
Le glacier du Rhône avait envahi envahi tout le secteur de l'actuel Bas-Dauphiné à la fin du Pléistocène jusqu'à la région saint-jeannaise à laquelle appartient Artas. La marge latérale occidentale de ce glacier coïncide avec la limite nord du plateau de Bonnevaux, façonnée par l'érosion fluvio-glaciaire des torrents qui longeaient ce gigantesque glacier et dont on retrouve les traces sous forme de terrasses alluviales et de traces d'écoulement[2]. On retrouve sur le territoire une accumulation de roches, vestige de la période glaciaire[3].
Particularité géologique
La « Pierre du diable » est un volumineux bloc erratique morainique déposé par le glacier du Rhône qui recouvrait cette partie du Dauphiné durant l'ère quaternaire (entre - 30 000 et - 14 000 ans)[4].
Communes limitrophes
La commune est riveraine de huit autres communes du département de l'Isère.
Roche | Four / Chèzeneuve | |||
Charantonnay | N | Crachier / Saint-Agnin-sur-Bion | ||
O Artas E | ||||
S | ||||
Saint-Jean-de-Bournay | Meyrieu-les-Étangs |
Hydrographie
La commune ne possède pas de cours d'eau notable, excepté le ruisseau de Charavoux, d'une longueur de 6,2 km[5], lequel prend sa source dans le hameau de Révolet avant de rejoindre le territoire voisin de la commune de Charentonnay.
Climat
La région d'Artas présente un climat de type semi-continental[6].
Les étés sont chauds et plutôt sec mais connaissent de nombreuses périodes orageuses. Les hivers sont généralement assez froids et marqués par des gelées fréquentes, d'autant plus que le secteur resté très longtemps marécageux est souvent marqués par de nombreuses brumes matinales et des brouillards plus ou moins persistant durant les périodes froides.
Voies de communication
Le territoire communal est situé en dehors des axes de grande circulation. Le bourg est cependant traversé par deux routes secondaires qui se traversent en son centre :
- la RD53 qui relie la commune de Valencin (par Saint-Georges-d'Espéranche) à celle de Saint-Agnin-sur-Bion.
- la RD126 qui relie la commune de La Verpillière à Saint-Jean-de-Bournay.
Transports publics
- Autocars
Le réseau interurbain de l'Isère, plus connu sous l'appellation Transisère, permet de relier le village d'Artas à d'autres villes de l'Isère, grâce à la ligne de proximité 2080 qui relie Valencin ↔ Artas ↔ Bourgoin-Jallieu.
- Trains
La gare ferroviaire la plus proche de la commune est la gare de Bourgoin-Jallieu, desservie par des trains TER Auvergne-Rhône-Alpes.
Urbanisme
Typologie
Artas est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lyon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 398 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[10],[11].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (77 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (45,2 %), zones agricoles hétérogènes (22,2 %), forêts (13,6 %), prairies (8,8 %), zones urbanisées (7,3 %), mines, décharges et chantiers (2,9 %)[12].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[13].
Hameaux lieux-dits et écarts
Voici, ci-dessous, la liste la plus complète possible des divers hameaux, quartiers et lieux-dits résidentiels urbains comme ruraux qui composent le territoire de la commune d'Artas, présentés selon les références toponymiques fournies par le site géoportail de l'Institut géographique national[14].
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Risques sismiques
La totalité du territoire de la commune d'Artas est situé en zone de sismicité n°3 (sur une échelle de 1 à 5), comme la plupart des communes de son secteur géographique[15].
Type de zone | Niveau | Définitions (bâtiment à risque normal) |
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Zone 3 | Sismicité modérée | accélération = 1,1 m/s2 |
Toponymie
Selon André Planck, auteur d'un livre sur la toponymie des communes de l'Isère, le nom du village dériverait du gaulois Artos désignant également l'ours, animal reconnu pour sa force et son prestige, très apprécié avant l'implantation du christianisme[17].
Mercurius Artaios, une assimilation du dieu Mercure avec le dieu celte Artaios, un dieu ours vénéré autrefois à Beaucroissant, cité assez proche d'Artas est également évoquée[18].
L'influence du grec ancien avec le terme artos (du grec ancien : Ἄρτος, signifiant « pain levé ») a également été suggéré par F. Crozet, dans son ouvrage édité en 1870[19].
Histoire
Antiquité
Le territoire de la commune était déjà occupé durant la période antique[1].
Durant cette période, le territoire des Allobroges s'étendait sur la plus grande partie des pays qui seront nommés plus tard la Sapaudia (ce « pays des sapins » deviendra la Savoie) et au nord de l'Isère. Les Allobroges, comme bien d'autres peuples gaulois, sont une « confédération ». En fait, les Romains donnèrent, par commodité le nom d'Allobroges à l'ensemble des peuples gaulois vivant dans la civitate (cité) de Vienne, à l'ouest et au sud de la Sapaudia.
Au cœur d'un secteur forestier, au lieu-dit Mollard du Puits, il existe des traces d’une voie romaine d'environ cinq mètres de large. La même voie se retrouverait un peu plus loin au lieu-dit Cancarot et des tombes gallo-romaines auraient été exhumées au lieu-dit du Mas de la Vergne[20].
Moyen Âge
Durant l'époque médiévale, il existait un prieuré, rattaché à l'ordre de Cluny. La famille Vignon de Tarnésieu y possédait un château, aujourd'hui disparu.
Temps Modernes
Sous le règne de Louis XIV, les chênes de la forêt d'Artas sont renommés et fournissaient en grande partie des bois nécessaires pour construire les galères du Roi à Marseille.
Époque contemporaine
Artas revendique être le berceau de la fête des mères, en France, organisée pour la première fois en 1906[1]. Une fresque murale a été créée en contrebas de l'entrée du bourg ancien afin de témoigner de cet événement.
Organisée par l'« Union des pères de famille méritants », créée par le maire de la commune sous l'initiative de l'instituteur Prosper Roche, son but était de promouvoir l'accroissement de la population en « honorant » les familles nombreuses[21]. L'homme politique et ancien ministre, François Baroin évoque cette création dans son livre dénommé « Une histoire de France par les villes et les villages »[22].
Politique et administration
Administration municipale
Le conseil municipal d'Artas est composé de dix-neuf conseillers municipaux (neuf femmes et dix hommes) dont un maire, trois adjoints municipaux, quatre conseillers délégués et onze conseillers municipaux.
Le maire de la commune est également le premier vice-président de la communauté de communes Bièvre Isère chargé du développement économique, de l'aménagement numérique et de l'agriculture[23].
Scrutins nationaux
Lors de l'élection présidentielle de 2017, la candidate du Front national fut, au niveau local, placée en tête des deux tours de scrutin par les électeurs de la commune qui se sont (en moyenne) déplacés vers les urnes de façon plus importante que les autres électeurs français.
Candidat | 1er tour | 2e tour | ||
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Commune d'Artas | Ensemble de la France | Commune d'Artas | Ensemble de la France | |
Emmanuel Macron | 18,68 % | 24,01 % | 46,7 % | 66,10 % |
François Fillon | 14,11 % | 20,01 % | ||
Jean-Luc Mélenchon | 14,11 % | 19,58 % | ||
Marine Le Pen | 38,04 % | 21,30 % | 53.3 % | 33,90 % |
Benoît Hamon | 4,48 % | 6,36 % | ||
Votants | 83,68 % | 77,77 % | 78,58 % | 74,56 % |
Liste des maires
Économie
Activités industrielle et commerciale
L'économie de la commune est liée à des commerces et des services de proximité, mais aussi une zone artisanale. Celle-ci, dénommée « Zone d'activités de Chaplanière », appartient au domaine des zones industrielles et parcs d'activités de la région Saint-Jeannaise[25].
Activité agricole
Selon le site de la mairie, « Artas a conservé un caractère rural ». L'activité agricole est encore très marquée sur son territoire et la mairie dénombre encore dix-neuf exploitations dont huit ont leur siège sur la commune. La surface agricole utile (SAU) revendiquée est de 877 hectares[26].
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[28].
En 2018, la commune comptait 1 804 habitants[Note 3], en augmentation de 1,46 % par rapport à 2013 (Isère : +2,28 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Enseignement
La commune est située dans l'académie de Grenoble. L'école élémentaire qui compte plusieurs sections de primaire et des classes de maternelle est située au centre du village. L'établissement présente un effectif de 120 lèves lors la rentrée scolaire de 2018[31].
Animation culturelle
La « journée des fours » ou « matinée des fours », généralement organisée à la fin du mois d'avril est une fête locale[32].
Presse écrite
Historiquement, le quotidien à grand tirage Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition du Nord-Isère, un ou plusieurs articles à l'actualité du canton et quelquefois de la commune, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.
Culte catholique
La communauté catholique et l'église d'Artas (propriété de la commune) dépendent de la paroisse Saint Hugues de Bonnevaux (relais Saint-Jean) qui est, elle-même, rattachée au diocèse de Grenoble-Vienne[33].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église à deux clochers des XIIe et XIXe siècles.
L'ancien clocher roman de style lombard est le dernier vestige de l'église prieurale qui fut édifiée durant le Moyen Âge. En 1835, le cloître fut démoli. Une partie fut conservée pour y installer la mairie et l'école. Ce dernier bâtiment considéré comme trop vétuste fut, à son tour rasé, en 1900, afin d'y construire une école de filles[34].
- Le fresque du jardin dédié à la Fête des Mères.
Le village d'Artas revendique être le « berceau de la fête des Mères ». En effet, le 10 juin 1906, à l'initiative de Prosper Roche, fondateur de l'Union fraternelle des pères de famille méritants d'Artas, une cérémonie en l'honneur de mères de familles nombreuses eut lieu. Deux mères de neuf enfants reçurent, ce jour-là, un prix de « Haut mérite maternel ». Le diplôme original créé par Prosper Roche est conservé dans la bibliothèque de l'Institut de France avec les archives de l'association[35],[36],[37].
- La « Pierre du Diable ».
Il s'agit d'un bloc erratique d'origine morainique déplacé par le glacier du Rhône durant les grandes glaciations. Le rocher, dénommé ainsi en raison d'une légende locale, est situé en pleine forêt. Celle-ci a fait l'objet d'un roman de l'écrivaine Nicole Provence, dénommé La Pierre du diable, édité chez Flammarion[38].
- Le monument aux morts.
Celui-ci est situé au centre du bourg à proximité immédiate du porche de l'église.
- L'ancienne mairie.
Considérée comme trop étroite pour accueillir l'ensemble des services municipaux, celle-ci, rénovée récemment, est toujours présente au centre du village.
- L'église d'Artas
- Autre vue de l'église.
- Square de la fresque
- Le monument aux morts.
- L'ancienne mairie.
- Ruelle du village
Patrimoine culturel
- La Grange Chevrotière
Cette ancienne grange-étable est un lieu dédié à la fois à l'art et au patrimoine local. Le site accueille des expositions et des spectacles[39].
Patrimoine naturel
- L'étang de Charavoux
La ZNIEFF de l'étang de Charavoux s'étend uniquement sur le territoire de la commune d'Artas. Sa superficie est de 17,04 hectares. Le plan d'eau est alimenté par le ruisseau de Charavoux et présente un paysage typique des milieux humides avec des bois, des prairies des roselières.
Ce site naturel accueille ainsi diverses espèces dont certaines présentent un intérêt scientifique et naturaliste. On peut y observer des oiseaux tels que la Bouscarle de Cetti, la Rousserolle turdoïde et le Héron pourpré[40].
Personnalités liées à la commune
- Prosper Roche :
- instituteur du village au début du XXe siècle, initiateur d'une fête des mères locales considérée comme un des créateur de cette célébration en France.
Héraldique
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Artas possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles. |
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Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- Daniel Delattre et al., L'Isère - les 533 communes. Grandvilliers : Éditions Delattre, 2008. (ISBN 2-915907-40-4 et 978-2-915907-40-7).
- Site ficehinfotterre, "carte géologique, feuille de la Côte Saint-André, consulté le 19 avril 2019
- Google Livre "Monographie géologique des anciens glaciers et du terrain erratique de la partie moyenne du bassin du Rhône par A. Falsan et E. Chantre", consulté le 21 avril 2019
- Site de la mairie d'Artas, page sur le patrimoine naturel, consulté le 20 avril 2019
- Site Sandre, fiche sur le ruisseau de Charavoux, consulté le 19 avril 2019
- Annick Auffray, Alain Brisson, Agnès Tamburini, Valérie Dziak, Véronique Maloisel, Sophie Martinoni-Lapierre, « Climat de la région Rhône-Alpes », sur rhone-alpes.developpement-durable.gouv.fr, (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Site géoportail, page des cartes IGN
- Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité
- Livre "L'origine du nom des communes du département de l'Isère" par André Planck (ISBN 2-84424-043-7), édition L'atelier, 2006, page 27
- (en) Miranda Aldhouse-Green, Dictionary of Celtic Myth and Legend, London, Thames and Hudson, 1992, p. 148-149. (ISBN 978-0-5000-1516-2).
- Google Livre "Description topographique, historique et statistique des cantons formant le département de l'Isère", page sur le canton de Saint-Jean-de-Bournay, consulté le 21 avril 2019
- Site de JC Michel sur la carte archéologique de l'Isère, page sur Artas, consulté le 19 avril 2019
- Site Gallica, fac-similé de "Bulletin de l'Alliance nationale pour l'accroissement de la population française", consulté le 21 avril 2019
- Google livre, "Une histoire de France par les villes et les villages" de François Baroin, consulté le 21 avril 2019
- site de la mairie d'Artas, page sur le conseil municipal, consulté le 21 avril 2019
- Résultats de l'élection présidentielle de 2017 à Arats sur le site de l'Express
- Site Zones activités.net, page sur la "Zone d'activités de Chaplanière - Artas", consulté le 20 avril 2019
- Site de la mairie d'Artas, page de présentation, consulté le 21 avril 2019
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Site du Ministère de l'Éducation, page sur l'école d'Artas, consulté le 20 avril 2019
- site du quotidien le dauphiné libéré, page sur la matinée des fours, consulté le 21 avril 2019
- Site de la paroisse Saint Hugues de Bonnevaux, consulté le 18 avril 2019
- Site de la mairie d'Artas, page sur le patrimoine communal, consulté le 21 avril 2019
- Gilbert Coffano, Dauphiné mystérieux et légendaire, Montmélian, La Fontaine de Siloé, , 254 p. (ISBN 978-2-84206-114-2, notice BnF no FRBNF37093416), « Artas, village isérois à l'origine de toutes les mamans », p. 233–237.
- Pascal Chauvin, Artas, berceau de la fête des Mères, Bourgoin-Jallieu, Association Mémoire et patrimoine d'Artas, , 44 p. (ISBN 978-2-904396-01-4, notice BnF no FRBNF35820864) et Pascal Chauvin (préf. Virginie de Luca Barrusse), L'Union fraternelle des pères de famille méritants d'Artas : À l'origine de la fête des Mères : histoire française d'une célébration illustrée par la carte postale, Artas, Association Mémoire et patrimoine d'Arras, , 40 p. (ISBN 978-2-9535118-0-2, notice BnF no FRBNF42325596).
- « Artas, berceau de la fête des Mères », site de la mairie d'Artas
- Site de l'éditeur Flammarion, fiche sur le livre "La Pierre du diable", consulté le 21 avril 2019
- Site isère-tourisme, page sur la grange Chevrotière, consulté le 20 avril 2019
- Site de l'INPN, page sur la znieff de l'étang de Charavoux, consulté le 21 avril 2019
Voir aussi
Bibliographie
- La Pierre du diable (roman) de Nicole Provence, 308 pages, ed. Flammarion - 2004 (ISBN 978-2080685582)
- Artas, village du Bas-Dauphiné, 465 pages de Joseph Morel, Pascal Chauvin, Lefebre - 1983 (Université du Michigan)
Articles connexes
Liens externes
- Artas, sur le site de l'Institut géographique national
- Artas, sur le site de l'Insee
- Site officiel de la Commune
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