Saint-Agnin-sur-Bion

Saint-Agnin-sur-Bion est une commune française située dans le département de l'Isère en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Saint-Agnin-sur-Bion

Un coin du pays en 1912.
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Isère
Arrondissement Vienne
Intercommunalité Communauté de communes Bièvre Isère
Maire
Mandat
Andrée Rabilloud
2020-2026
Code postal 38300
Code commune 38351
Démographie
Population
municipale
1 076 hab. (2018 )
Densité 111 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 32′ 28″ nord, 5° 14′ 42″ est
Altitude 435 m
Min. 320 m
Max. 503 m
Superficie 9,7 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Lyon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de L'Isle-d'Abeau
Législatives Septième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Saint-Agnin-sur-Bion
Géolocalisation sur la carte : Isère
Saint-Agnin-sur-Bion
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Agnin-sur-Bion
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Saint-Agnin-sur-Bion
Liens
Site web www.saintagninsurbion.fr

    Située dans la petite région du Nord-Isère, la commune est d'abord adhérente à la Communauté de communes de la région Saint-Jeannaise avant de rejoindre la communauté de communes Bièvre Isère en 2016.

    Ses habitants se nomment les Saint-Agneaux[1].

    Géographie

    Plan de saint-Agnin-sur-Bion et des communes voisines

    Situation et description

    Le territoire de Saint-Agnin-sur-Bion se situe dans la partie septentrionale du département de l'Isère à quelques minutes, en voiture ou par les transports en commun, du centre-ville de Bourgoin-Jallieu, principale ville de ce secteur.

    Le centre-ville (bourg de Saint-Agnin) se situe (par la route) à 49 km du centre de Lyon, préfecture de la région Auvergne-Rhône-Alpes et à 74 km de Grenoble, préfecture du département de l'Isère, ainsi qu'à 318 km de Marseille et 519 km de Paris[2].

    Communes limitrophes

    Crachier Maubec Meyrié
    Artas N Les Éparres
    O    Saint-Agnin-sur-Bion    E
    S
    Meyrieu-les-Étangs Culin

    Géologie

    Le plateau ou est situé le bourg, se confond en grande partie avec la micro-région des Terres froides. secteur essentiellement composée de collines de basse ou moyenne altitude et des longues vallées et plaines. L'ouest de ce secteur correspond à la plaine lyonnaise.

    Hydrographie

    Le Bion, d'une longueur de 12 kilomètres, est un petit affluent de la Bourbre et un sous affluent du Rhône[3]. Ce cours d'eau borde la partie orientale de la commune, séparant ainsi Maubec de la commune voisine de Meyrié.

    Plusieurs petits ruisseaux, la plupart émissaires de petites étangs locaux, s'écoulent sur le territoire de la commune avant de rejoindre le Bion.

    Climat

    La région de Saint-Agnin-sur-Bion présente un climat de type semi-continental[4].

    Les étés sont chauds et plutôt sec mais connaissent de nombreuses périodes orageuses. Les hivers sont généralement assez froids et marqués par des gelées fréquentes, d'autant plus que le secteur resté très longtemps marécageux est souvent marqués par de nombreuses brumes matinales et des brouillards plus ou moins persistant durant les périodes froides.

    Voies de communication

    Le bourg central de la commune et ses principaux hameaux sont situés à l'écart des grandes voies de circulation. Le territoire communal n'est longé que par une seule route à grande circulation, autrefois route nationale, déclassée en route départementale et par quelques petites routes d'importance secondaire.

    • La RD 522 correspond au tracé de l'ancienne route nationale 522 (RN 522) reliant Saint-Jean-de-Bournay à Bourgoin-Jallieu. Celle-ci a été déclassée en route départementale en 1972.
    • La RD 23 relie la commune de Saint-Agnin-sur-Bion à la commune de Maubec, après avoir traversé le territoire des communes de Crachier et de Chèzeneuve avec jonction à la RD 522 à chaque extrémité.
    • La RD 53 relie la commune de Saint-Agnin-sur-Bion à la commune de Valencin (limite avec le département du Rhône), après avoir traversé les communes de Charantonnay et de Saint-Georges-d'Espéranche.

    La bretelle d'autoroute la plus proche (A43 relie la commune à Lyon et à Chambéry) est située à moins de dix kilomètres du bourg :

     8 à 37 km : Bourgoin-Jallieu-centre, Nivolas-Vermelle, Ruy-Montceau

    Transports

    La ligne 2090 (Lignes de proximité) du réseau interurbain de l'Isère (connu sous l'appellation Transisère) permet de relier Bourgoin-Jallieu à Saint-Jean-de-Bournay après avoir traversé Saint-Agnin-sur-Bion avec cinq arrèts (le moule café, la Misère, école, le Chatenay, le Rafour)[5].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Agnin-sur-Bion est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[6],[7],[8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lyon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 398 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[9],[10].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (73,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (26,9 %), zones agricoles hétérogènes (24,2 %), terres arables (22,7 %), forêts (22,4 %), zones urbanisées (3,7 %), eaux continentales[Note 3] (0,1 %)[11].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].

    Morphologie urbaine

    L’urbanisation s’est tout d'abord développée autour du village et des hameaux disséminés sur la commune. Lors des années 1970 et 1980, l'urbanisation est venue amplifier le phénomène de dispersions des constructions avec notamment l’implantation de nouvelles habitations de part et d’autre de la route de Bourgoin à Saint-Jean-de-Bournay[13].

    Hameaux, lieux-dits et écarts

    Voici, ci-dessous, la liste la plus complète possible des divers hameaux, quartiers et lieux-dits résidentiels urbains comme ruraux qui composent le territoire de la commune de Saint-Agnin-sur-Bion, présentés selon les références toponymiques fournies par le site géoportail de l'Institut géographique national[14].

    • Buffevent
    • le Moule
    • les Vers (bois)
    • les Pins
    • Guichère
    • les Pelletières
    • l'Orme
    • les Seyères
    • les Crozes
    • la Tour
    • les Prairies
    • Bachelet Tily
    • le Chatenay
    • les Vernes (bois)
    • Chapounoux
    • Mussicon (bois)
    • les Rives
    • les Cassières
    • Bois Girard Pendu
    • le Raffour
    • Bois Champion
    • le Boutat
    • les Bourrelières
    • Maison Petit
    • Maison Veyet
    • Maison Lardière
    • les Bruyères
    • Bois Pouloud

    Risques sismiques

    L'ensemble du territoire de la commune de Saint-Agnin-sur-Bion est situé en zone de sismicité n°3 (sur une échelle de 1 à 5), comme la plupart des communes de son secteur géographique[15].

    Terminologie des zones sismiques[16]
    Type de zoneNiveauDéfinitions (bâtiment à risque normal)
    Zone 3Sismicité modéréeaccélération = 1,1 m/s2

    Histoire

    Pour un article plus général, voir Histoire de l'Isère.

    Le texte, ci-dessous, reprend essentiellement la page relative à l'histoire de la commune sur le site de officiel de Saint-Agnin-sur-Bion[17].

    Préhistoire et Antiquité

    A l’époque romaine, Saint-Agnin était appelé Fort-de-Vaulx, du fait des fortifications construites par les Romains pour défendre le vallon du Bion emprunté par la voie de communication de Vienne à la Tour du Pin.

    Au début du IVe siècle de notre ère, Saint-Agnin, devint la paroisse de Saint-Laurent-de-Fort-de-Vaulx, lorsque les empereurs romains accordèrent la paix et la liberté à la religion chrétienne. L’usage courant étant d’adjoindre à l’ancien nom celui de leur saint patron : Saint Laurent.

    Moyen Âge

    Au Ve siècle « Saint-Laurent-de-Fort-de-Vaulx » fut transformé, en « Saint-Agnien  » ou « Saint-Agnin » (déformation de « Sanctus Anianus » par le langage populaire) pour vénérer l’évêque d’Orléans Saint-Agnan ou Aignan connu pour avoir sauvé sa ville épiscopale de l’invasion des Huns. D’après la tradition, Saint-Agnin serait natif du village, affirmation non confirmée par les hagiographes.

    Au VIIIe siècle, le site gallo-romain de Pian, situé sur la commune de Saint-Agnin entre les routes d’Artas et de Crachier fut détruit par les Sarrazins. Les fondations d’une imposante villa romaine qui fut sans doute un relais sur la voie de communication de Vienne à Bourgoin.

    Durant l'époque médiévale, un pèlerinage et une grande foire avaient lieu le jour de la St-Laurent. Les étrangers venaient de loin y vénérer les reliques de Saint-Aignan.

    Temps Modernes

    Au XVIe siècle, Bayard, le célèbre « Chevalier sans Peur et sans Reproche », vint à plusieurs reprises à la Tour, maison forte de la famille des « de Polloud », seigneurs de Saint-Agnin pendant quatre siècles.

    En 1784, les femmes de Saint-Agnin se sont rebellées. Depuis 1769, les paysans étaient grevés d’impôts, accablés de servitudes. Les villageois menacés de saisies, décidèrent d’accueillir à coups de pierres tout huissier qui se présenterait. Le , une soixantaine de femmes armées de gourdins et de tridents, les poches remplies de cailloux, mirent en fuite l’huissier et ses compagnons.

    Époque contemporaine

    Pendant la brève période de la Révolution, le mot « saint » étant proscrit, on appela le village « Coupe-Jarrets  ». Saint-Agnin, qui au Moyen-Âge dépendait de la baronnie de Maubec, fut rattaché au canton de Saint-Jean-de-Bournay en 1800.

    En 1950, le vocable Saint-Agnin est devenu Saint-Agnin-sur Bion-par décret du .

    La cure, construite dans les années 1820-1821, est devenue mairie en 1990. Grâce à la générosité des habitants et à leur participation au chantier, l’église de style roman a été édifiée en 1839 avec les pierres de l’ancienne église située à la place des remparts de Fort-de-Vaulx . En 1878, le groupe scolaire actuel a été construit sous la surveillance du Maire, M. Joseph Ginon. Il abritait la mairie jusqu’en 1990.

    Après avoir abrité les Sœurs du Rosaire de 1899 à 1968, le couvent est devenu Notre Dame des Sans Abris, puis la Résidence des Hauts de Saint-Laurent en 1990.

    En 1942, la Résistance a débuté à Saint-Agnin à l’initiative de Louis Colomb, dit “Raisin”. Une des missions les plus délicates pour les hommes du “plateau” était de récupérer la nuit, les containers parachutés par l’aviation anglaise, sur le plateau de Verrière. Les armes, les munitions et autres objets étaient stockés dans la grange du Liaudet de Hyacinthe Fouilleux. Le groupe “Raisin” rattaché au “Secteur 7” participa à la libération de Bourgoin, de Jallieu et de toute la région, le .

    En 1957, l’eau courante est installée sur la commune. Le , le foyer communal est inauguré par le ministre Christian Nucci.

    En , un nouveau bâtiment accueille la cantine scolaire et la classe maternelle. Le , la Salle Sportive et Socio-Educative est inaugurée.

    Politique et administration

    Administration municipale

    En 2019, le conseil municipal de Saint-Agnin-sur-Bion est composé de quinze membres (onze hommes et quatre femmes) dont un maire, quatre adjoints au maire et dix conseillers municipaux[18].

    Liste des élus

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 2014 Andrée Rabilloud UDI (PR) Conseillère régionale de Rhône-Alpes
    Présidente de l'Association iséroise des maires ruraux
    2014 2020 Louis Roy SE Agriculteur
    2020 En cours Andrée Rabilloud    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[20].

    En 2018, la commune comptait 1 076 habitants[Note 4], en augmentation de 15,82 % par rapport à 2013 (Isère : +2,28 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
    400411563616645617637440552
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    536502528522490507505514472
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    471452444432370370363428375
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
    3473906026466747627759141 043
    2018 - - - - - - - -
    1 076--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[22].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune est rattachée à l'académie de Grenoble (Zone A)

    Médias

    Historiquement, le quotidien à grand tirage Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition du Nord-Isère, un ou plusieurs articles à l'actualité de la communauté de communes et quelquefois du canton, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.

    Culture et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Le monument aux morts, avec la statue d'un Poilu - Sentinelle (d'Étienne Camus)[23].
    • L'église

    Personnalités liées à la commune

    • La famille de Polloud, seigneurs de Saint-Agnin depuis 1270, a donné au Dauphiné de nombreux personnages de premier plan dont
    • Scipion de Polloud de Foissy, seigneur de Saint-Agnin, grand prévôt général du Dauphiné, commanditaire du monument du tombeau du chevalier Bayard.

    Héraldique

    Saint-Agnin-sur-Bion possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Site habitants.fr, page sur le nom des habitants des communes de l'Isère, consulté le 7 novembre 2019
    2. Site annuaire mairie, page des distances entre Saint-Agnin-sur-Bion et les plus grandes villes, consulté le 5 novembre 2019
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau (V1740520) ».
    4. Annick Auffray, Alain Brisson, Agnès Tamburini, Valérie Dziak, Véronique Maloisel, Sophie Martinoni-Lapierre, « Climat de la région Rhône-Alpes », sur rhone-alpes.developpement-durable.gouv.fr, (consulté le ).
    5. site carsannequin.com Horaire de la ligne 2090 du réseau Transisère, consulté le 7 novembre 2019.
    6. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    8. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    12. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    13. site saintagninsurbion.fr, page de présentation de la commune, consulté le 7 novembre 2019.
    14. Site géoportail, page des cartes IGN
    15. Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité
    16. Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique
    17. Site saintagninsurbion.fr, page sur l'histoire de la commune, consulté le 7 novembre 2019.
    18. Site saintagninsurbion.fr, page sur le conseil municipal de Saint-Agnin-sur-Bion, consulté le 7 novembre 2019.
    19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    23. Site monumentsmorts.univ-lille.fr, page sur le monument aux morts de Saint-Agnin-sur-Bion, consulté le 7 novembre 2019.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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