Nivolas-Vermelle

Nivolas-Vermelle est une commune française située dans le département de l'Isère en région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle est située à l'est de Bourgoin-Jallieu.

Nivolas-Vermelle

Le centre ville.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Isère
Arrondissement La Tour-du-Pin
Intercommunalité Communauté d'agglomération Porte de l'Isère
Maire
Mandat
Christian Beton
2020-2026
Code postal 38300
Code commune 38276
Démographie
Population
municipale
2 649 hab. (2018 )
Densité 435 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 33′ 27″ nord, 5° 18′ 26″ est
Altitude Min. 258 m
Max. 441 m
Superficie 6,09 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Bourgoin-Jallieu
(banlieue)
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Bourgoin-Jallieu
Législatives Dixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Nivolas-Vermelle
Géolocalisation sur la carte : Isère
Nivolas-Vermelle
Géolocalisation sur la carte : France
Nivolas-Vermelle
Géolocalisation sur la carte : France
Nivolas-Vermelle
Liens
Site web www.nivolas-vermelle.fr

    La commune appartient à l'unité urbaine de Bourgoin-Jallieu, troisième agglomération du département avec plus de 57 000 habitants en 2013.

    Située dans la petite région du Nord-Isère est adhérente à la communauté d'agglomération Porte de l'Isère dont le siège est fixé à L'Isle-d'Abeau, ses habitants sont dénommés les Nivolésiens[1].

    Géographie

    Plan de Nivolas-Vermelle et des communes vosines

    Situation et description

    Le territoire de Nivolas-Vermelle se situe dans la partie septentrionale du département de l'Isère à quelques minutes, en voiture ou par les transports en commun, du centre-ville de Bourgoin-Jallieu, commune limitrophe qui marque la limite Nord-Nord-ouest du bourg de Nivolas[2].

    Le village est situé entre l'ancienne RN85 vers Grenoble qui se sépare, au Nord, de l'ex-RN6, la ligne de voie ferrée Lyon - Grenoble et l'A43. Le bourg central s'est essentiellement construit autour de cette première route, notamment sur les flancs d'une colline.

    Le centre-ville (bourg de Nivolas) se situe (par la route) à 46 km du centre de Lyon, préfecture de la région Auvergne-Rhône-Alpes et à 66 km de Grenoble, préfecture du département de l'Isère, ainsi qu'à 341 km de Marseille et 516 km de Paris[3].

    Géologie et relief

    Nivolas-Vermelle se situe entre la plaine de Lyon et la bordure occidentale du plateau du Bas-Dauphiné qui recouvre toute la partie iséroise où il n'y a pas de massifs montagneux. Le plateau se confond donc avec la micro-région du Nord-Isère, région qui est composée essentiellement de collines de basse ou moyenne altitude et des longues vallées et plaines. L'ouest de ce secteur correspond à la plaine lyonnaise.

    Il s'agit donc d'une pénéplaine accidentée avec des collines miocènes, éminences qui séparent les vallées de rivières toutes tributaires du Rhône. Au nord de la plaine berjalienne, dans laquelle se situe la majeure partie territoire de la commune, se présente un modeste massif calcaire jurassique dénommé localement l'Isle-Crémieu du fait de son élévation. Celui-ci se prolonge jusqu'au nord de la commune de La Verpillière, située à l'autre extrémité de la communauté de communes des portes de l'Isère.

    Les glaciations qui se sont succédé au cours du Quaternaire sont à l'origine du modelé actuel de la plaine, les produits antéglaciaires restant profondément enfoui sous les dépôts d'alluvions liés à l'écoulement des eaux lors de la fonte des glaces[4].

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    L'Agny à Nivolas-Vermelle

    Le ruisseau de l'Agny, d'une longueur de 17,2 km, traverse le territoire communal selon un axe sud-nord[5] avant de rejoindre la Bourbre, un affluent du Rhône. Cette petite rivière est rejointe par le ruisseau de Vernécu (ou Verneicu) d'une longueur de km[6], en limite du territoire communal.

    Climat

    La région de Nivolas-Vermelle présente un climat de type semi-continental[7] qui se caractérise par des précipitations généralement plus importantes au printemps et en été qu'en hiver.

    Les étés sont chauds et plutôt sec mais connaissent de nombreuses périodes orageuses. Les hivers sont généralement assez froids et marqués par des gelées fréquentes, d'autant plus que le secteur resté très longtemps marécageux est souvent marqués par de nombreuses brumes matinales et des brouillards plus ou moins persistant durant les périodes froides.

    Voies de communication

    Panneau routier de la RD 1085

    L'A43 relie la commune à Lyon et à Chambéry et l'A48 la relie à Grenoble. Une bretelle autoroutière dessert la commune au nord de son territoire (section à péage) :

     8 à 37 km : Bourgoin-Jallieu-centre, Nivolas-Vermelle, Ruy-Montceau

    La route départementale 1 085 (RD 1085) correspond à l'ancienne RN 85, reclassé en route départementale. Celle-ci relie la commune de Bourgoin-Jallieu, en se détachant de la RN 6 (route de Chambéry), pour se terminer sur la Côte d'Azur, d'abord à Cagnes-sur-Mer, puis à Golfe-Juan, sous le nom de Route Napoléon dans cette dernière section.

    Transports publics

    Pour un article plus général, voir réseau urbain Bourgoin-Jallieu - Agglomération nouvelle.

    Localement, la commune est desservie par le réseau de bus de l'agglomération dénommé « Ruban », réparti en plusieurs lignes.

    • La ligne 20 : Eclose-Badinières ↔ les Eparres ↔ Nivolas-Vermelle ↔ Bourgoin-Jallieu.
    • La ligne 21 : Châteauvilain ↔ Succieu ↔ Sérézin-de-la-Tour ↔ Nivolas-Vermelle ↔ Meyrié ↔ Maubec (le Bas) ↔ Bourgoin-Jallieu.

    Urbanisme

    Typologie

    Nivolas-Vermelle est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bourgoin-Jallieu, une agglomération intra-départementale regroupant 9 communes[11] et 59 057 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13]. La commune est en outre hors attraction des villes[14],[15].

    Panorama de Nivolas-Vermelle

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (51,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (54 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (33,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (17,5 %), zones urbanisées (16,7 %), forêts (14,8 %), terres arables (12,5 %), prairies (5,1 %)[16].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[17].

    Morphologie urbaine

    Le territoire de la commune est située dans la partie méridionale de l'aire urbaine de Bourgoin-Jallieu. Elle fut longtemps un hameau mais l'urbanisation progressive de la région a entraîné le doublement de la population entre 1968 et 2016.

    Hameaux, lieux-dits et écarts

    Voici, ci-dessous, la liste la plus complète possible des divers hameaux, quartiers et lieux-dits résidentiels urbains comme ruraux qui composent le territoire de la commune de Nivolas-Vermelle, présentés selon les références toponymiques fournies par le site géoportail de l'Institut géographique national[18].

    • le Tillaret
    • Ruffieu
    • le Vernay (ZA)
    • les Platières
    • la Plaine
    • les Muriers
    • les Chaumes
    • Montcizet
    • Mas de Branton
    • Branton
    • Bas Vermelle
    • Combe de Vez
    • Vermelle
    • la Rivoire
    • Coubarat
    • le Carcan
    • la Mangattière
    • les Curtets
    • la Vignole
    • les Bottes
    • Pont de Curtet
    • la Commande
    • Bois de la Cure

    Eau et assainissement

    La gestion du service du réseau d'eau potable et l'assainissement de Nivolas-Vermelle sont gérés par la communauté de communes.

    Risques sismiques

    La totalité du territoire de la commune de Nivolas-Vermelle est situé en zone de sismicité no 3, comme la plupart des communes de son secteur géographique[19].

    Terminologie des zones sismiques[20]
    Type de zoneNiveauDéfinitions (bâtiment à risque normal)
    Zone 3Sismicité modéréeaccélération = 1,1 m/s2

    Toponymie

    Selon André Planck, auteur d'un livre sur la toponymie des communes de l'Isère, le nom Nivolas-Vermelle a une double signification correspondant au deux anciens bourgs[21] :

    • Nivolas doit son origine au terme latin « Nebula » qui signifie brouillard que le patois local dénomme « niévoule ».
    • Vermelle possède un nom à l'origine plus ancienne, et se rapproche du terme gaulois (ou celtique) « Verno » qui désigne l'aulne, arbre des régions maraicageuses.

    Histoire

    Territoire des Allobroges

    Pour un article plus général, voir Histoire de l'Isère.

    Antiquité

    Le secteur actuel de Nivolas-Vermelle se situe à l'ouest du territoire antique des Allobroges, ensemble de tribus gauloises occupant l'ancienne Savoie, ainsi que la partie du Dauphiné située au nord de la rivière Isère.

    Datant de la période romaine, un petit trésor composé de cinq aurei dont le plus récent date de 254 ou 255 ap. J.-C., de quelques bijoux et d'argenterie a été découvert en 1837 à Ruffieu, sur la commune[22].

    Temps modernes

    En 1737, Louis XV accorde à la province du Dauphiné 250 000 livres pour aménager les ponts et chaussées qui seront répétées pour quatre ans. Un plan de rectification est établi, et le devis des ouvrages pour la construction d’une nouvelle partie du chemin d’Eclose à Bourgoin est présenté le 10 février 1739. Les travaux commencent dès le 1er octobre de cette même année. Les travaux durent une dizaine d’années[23].

    Nivolas-Vermelle en 1912.

    Époque contemporaine

    En 1789 Vermelle est une commune du département de l'Isère puis elle est rattaché à la commune des Éparres en 1802 (an X de la République)[24].

    Le 21 mai 1859, le Conseil Municipal de Sérézin-la-Tour, commune dont dépendait alors le village de Nivolas, émet un avis favorable à l’ouverture d'un pensionnat de jeunes filles. L'établissement fut ensuite transformé en établissement public. En 2019, ce bâtiment héberge l'agence postale, les services techniques et la salle pour tous[25].

    La commune est créée par la « loi qui distrait les sections de Vermelle et de Nivolas des communes des Éparres et de Sérézin (Isère) pour en former une commune distincte qui prendra le nom de Nivolas-Vermelle » du 7 août 1882, promulguée au Journal officiel le 8 août 1882. Cette loi stipule dans son article 1 que « les sections de Vermelle et de Nivolas sont distraites, la première de la commune des Éparres, (canton de Bourgoin, arrondissement de la Tour-du-Pin, département de l'Isère), la seconde de la commune de Sérézin (même canton) et formeront à l'avenir une commune distincte dont le chef-lieu sera fixé à Nivolas et qui prendra le nom de Nivolas-Vermelle ».

    Politique et administration

    La mairie.

    Administration municipale

    En 2019, le conseil municipal de la commune compte dix-neuf membres (dix hommes et neuf femmes) dont un maire, quatre adjoints au maire, deux conseillers délégués et douze conseillers municipaux. Deux élus de cette assemblée siègent au conseil communautaire de la CAPI[26].

    Élections nationales

    Liste des élus

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1978 juin 1995 Gabriel Pellet PCF Technicien à l'usine de Cessieu
    juin 1995 mai 2020 Michel Rival PCF Retraité de l'enseignement
    mai 2020 En cours Christian Beton   Agent ERDF
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1881. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[29].

    En 2018, la commune comptait 2 649 habitants[Note 2], en augmentation de 8,12 % par rapport à 2013 (Isère : +2,28 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921 1926
    9759821 0061 1311 2681 2771 2651 1861 401
    1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982 1990
    1 4941 2051 1221 1611 1871 3721 6991 6151 638
    1999 2005 2010 2015 2018 - - - -
    1 8232 1412 3392 5362 649----
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune qui est rattachée à l'académie de Grenoble compte plusieurs établissements scolaires :

    • L'école publique municipale est située près de la mairie[32].
    • Le lycée Saint-Marc est un lycée général et technologique ainsi qu'un lycée professionnel de statut privé est situé rue du Vernay[33].

    Équipements sanitaire et social

    La commune compte un centre d'hébergement non médicalisé pour personnes âgées dénommé Les Tilleuls. Les services de soins sont extérieurs à l'établissement et ceux-ci interviennent en cas de besoin à la demande et au choix des familles[34].

    Équipements culturels et sportifs

    La bibliothèque municipale est située près de la mairie et de l'école publique.

    Médias

    Presse régionale

    Historiquement, le quotidien à grand tirage Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition du Nord-Isère, un ou plusieurs articles à l'actualité de la ville, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.

    Cultes

    Église de Nivolas-Vermelle

    Culte catholique

    La communauté catholique de Nivolas-Vermelle dépend de la paroisse Saint-François d'Assise qui recouvre vingt communes et vingt-trois églises. La paroisse est organisée en sept relais, celle de Nivolas-Vermelle porte le nom d'Agny‐Terres Froides[35].

    Économie

    Entreprises et secteurs d'activité

    Durant le XIXe siècle, la commune a connu une importante industrialisation liée à l'installation de l'industrie textile qui a disparu progressivement.

    Culture et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église Saint-Blaise.

    Église Saint-Blaise

    L'Église Saint-Blaise est labellisée Patrimoine en Isère[36]. L'édifice religieux, de rite catholique, généralement fermé au public, date du XIIe siècle et se situe dans le petit hameau de Vermelle qui domine la commune

    Ancienne grange du site des industries Porcher

    Cette grange, installée dans un coude du ruisseau de l'Agny, est le dernier bâtiment subsistant d'un vaste ensemble industriel connu sous le nom des « Usines Porcher ». il s'agit d'une grange en pisé, restauré au début du XXIe siècle et ayant abrité les locaux de l'ONF. Quelques-uns de ses encadrements en bois d'origine ont été conservés. le site dispose d'un barrage sur la petite rivière et d'une chute de 4 m environ actionnant une roue à axe horizontal.

    À l'origine, le site accueillait une raffinerie de sucre, édifiée par Joseph Rivoire de la Bâtie en 1834[37].

    Espaces verts et fleurissement

    En mars 2017, la commune confirme le niveau « une fleur » au concours des villes et villages fleuris, ce label récompense le fleurissement de la commune au titre de l'année 2016[38].

    Langue régionale

    Carte linguistique du Dauphiné : Le dauphinois est un dialecte arpitan parlé dans le nord du Dauphiné

    Historiquement, au niveau linguistique, le territoire de Bourgoin-Jallieu, ainsi que l'ensemble du Nord-Isère, se situe au nord-ouest de l'agglomération grenobloise et au sud-ouest de l'agglomération lyonnaise. Son secteur se situe donc dans la partie centrale du domaine linguistique des patois dauphinois, laquelle appartient au domaine de la langues dite francoprovençal ou arpitan au même titre que les parlers savoyards, vaudois, Valdôtains, bressans et foréziens.

    L'idée du terme, « francoprovençal », attribué à cette langue régionale parlée dans la partie centre-est de la France, différente du français, dit langue d'oil et de l'occitan, dit langue d'oc est l'œuvre du linguiste et patriote italien Graziadio Isaia Ascoli en 1873 qui en a identifié les caractéristiques, notamment dans le Grésivaudan, les pays alpins et la vallée de l'Isère, depuis sa source jusqu'à sa confluence avec le Rhône. .

    Personnalités liées à la commune

    • Maxime Clain : entraîneur de la section féminine du club sportif Nivolésien[39].

    Héraldique

    Blason
    Écartelé, au premier et au quatrième d'azur à trois fleurs de lys d'or disposées 2 et 1, au deuxième d'or à un dauphin d'azur et au troisième d'or à un canard nageant d'azur[40].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Site habitants.fr, page sur le nom des habitants des communes de l'Isère, consulté le 9 juin 2019
    2. « Nivolas-Vermelle - Google Maps », sur https://www.google.fr/maps?hl=fr&tab=wl (consulté le ).
    3. Site annuaire mairie, page des distances entre Nivolas-Vermelle et les plus grandes villes, consulté le 10 juin 2019
    4. Site Persée L'isère préhistorique et protohistorique d'Aimé Bocquet, page 124
    5. Sandre, « Fiche cours d'eau - l'agny (V1730500) » (consulté le ).
    6. Sandre, « Fiche cours d'eau (V1730660) ».
    7. Annick Auffray, Alain Brisson, Agnès Tamburini, Valérie Dziak, Véronique Maloisel, Sophie Martinoni-Lapierre, « Climat de la région Rhône-Alpes », sur rhone-alpes.developpement-durable.gouv.fr, (consulté le ).
    8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    11. « Unité urbaine 2020 de Bourgoin-Jallieu », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    12. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    17. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    18. Site géoportail, page des cartes IGN
    19. Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité
    20. André Planck, L'origine du nom des communes du département de l'Isère, édition L'atelier, 2006, (ISBN 2-84424-043-7), p. 136.
    21. Xavier Loriot, « Réflexions sur l'usage et les usagers de la monnaie d'or sous l'Empire romain », Revue numismatique, 6e série - Tome 159, année 2003 p. 58
    22. Site de la mairie de Nivolas-Vermelle, page "Construction de la route nationale 85 dans Nivolas", consulté le 10 juin 2019
    23. Jean-Joseph-Antoine Pilot de Thorey, Statistique du département de l'Isère, Grenoble : F. Allier père & fils, 1847, p. 45
    24. Site de la mairie de Nivolas-Vermelle, page "Du couvent à la maison pour tous", consulté le 10 juin 2019
    25. Site de la mairie de Nivolas-Vermelle, page sur le conseil municipal, consulté le 10 juin 2019
    26. Résultats sur le site de l'Express
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    31. site de l'Éducation nationale, page sur l'école maternelle et élémentaire de Nivolas-Vermelle, consulté le 9 juin 2019.
    32. Site journaldesfemmes.fr, page sur le lycée Saint-Marc, consulté le 20 juin 2019
    33. Site de la commune de Nivolas-Vermelle, page sur le centre d'hébergement pour personnes âgées Les Tilleuls, consulté le 9 juin 2019
    34. Site de la paroisse Saint-François d'Assise
    35. « Les labels patrimoine en Isère », sur isere-patrimoine.fr, Conseil Général de l'Isère (consulté le ).
    36. Site isere-tourisme.com, page "Ancienne grange du site des industries Porcher", consulté le 20 juin 2019
    37. « Les villes et villages fleuris > Isère », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
    38. « Entretien avec Maxime Clain, coach de Nivolas-Vermelle », sur Olympennesetmarseillaises.fr, (consulté le ).
    39. Site de la commune de Nivolas-Vermelle.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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