Arhansus
Arhansus est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
Arhansus | |||||
Le chœur de l'église Saint-Étienne. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Bayonne | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Pays Basque | ||||
Maire Mandat |
Christine Erdozaincy-Etchart 2020-2026 |
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Code postal | 64120 | ||||
Code commune | 64045 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Arhantsusiar | ||||
Population municipale |
74 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 14 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 15′ 30″ nord, 1° 02′ 04″ ouest | ||||
Altitude | Min. 60 m Max. 370 m |
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Superficie | 5,32 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Saint-Palais (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Géographie
Localisation
La commune d'Arhansus se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[3].
Elle se situe à 96 km par la route[Note 1] de Pau[4], préfecture du département, à 66 km de Bayonne[5], sous-préfecture, et à 11 km de Saint-Palais[6], bureau centralisateur du canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[3]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Palais[3].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[7] : Juxue (2,6 km), Uhart-Mixe (2,7 km), Ostabat-Asme (2,9 km), Larribar-Sorhapuru (4,3 km), Orsanco (4,6 km), Lohitzun-Oyhercq (5,2 km), Pagolle (5,2 km), Larceveau-Arros-Cibits (5,6 km).
Sur le plan historique et culturel, Arhansus fait partie de la province de la Basse-Navarre, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[8]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[9]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones[10],[11]. La commune est dans le pays d’Ostabarret (Oztibarre), à l’est de ce territoire[12].
Accès
Arhansus est desservie par la route départementale D933.
Lieux-dits et hameaux
- Aguerrengoyhenko Borda (ruines)[13]
- Bidartia[13]
- Bordaberria[13]
- Carricondoa[13]
- Castellu Cahara[14] ou Gastelusare[13],[15]
- Charcoa[13]
- Cuçuluteguia[13]
- Elgartia[13]
- Etchessaria[13]
- Eyhera[13]
- Eyheraberria[13]
- Goyhenetchea[13]
- Haramberria[13]
- Harispouria[13]
- Hirrundoya[13]
- Inchaurrague[13]
- Ithurbidia[13]
- Larrondoa[13]
- Lastapia[13]
- Mendionda[13]
- Olieta[13]
- Portasanse[16]
- Solaquia[13]
- Uligainia[13]
Hydrographie
La commune est drainée par la Bidouze, un bras de la Bidouze et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 5 km de longueur totale[17],[Carte 1].
La Bidouze, d'une longueur totale de 82,2 km, prend sa source dans la commune d'Aussurucq et s'écoule du sud vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans l'Adour à Guiche, après avoir traversé 26 communes[18].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[19]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[20].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[21]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[22] complétée par des études régionales[23] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Aicirits », sur la commune d'Aïcirits-Camou-Suhast, mise en service en 1993[24]et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[25],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 14,1 °C et la hauteur de précipitations de 1 216,7 mm pour la période 1981-2010[26]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Biarritz-Pays-Basque », sur la commune d'Anglet, mise en service en 1956 et à 47 km[27], la température moyenne annuelle évolue de 14,1 °C pour la période 1971-2000[28], à 14,3 °C pour 1981-2010[29], puis à 14,6 °C pour 1991-2020[30].
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 6]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « la Bidouze (cours d'eau) »[32], d'une superficie de 2 570 ha, un vaste réseau hydrographique drainant les coteaux du Pays basque[33],[Carte 2].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 2[Note 7] est recensée sur la commune[34],[Carte 3] : le « réseau hydrographique de la Bidouze et annexes hydrauliques » (2 867,4 ha), couvrant 30 communes dont 1 dans les Landes et 29 dans les Pyrénées-Atlantiques[35].
Urbanisme
Typologie
Arhansus est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[36],[37],[38].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Palais, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 25 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[39],[40].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (82,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (45,2 %), zones agricoles hétérogènes (37,3 %), forêts (17,6 %)[41].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].
Toponymie
Attestations anciennes
Le toponyme Arhansus apparaît sous les formes sanctus stephanus de aranchiis et aranchus (1160[42]), Arhanssus (1291[43],[42]), eransus et aransus (1305[42]), Eranssus (1350[43]), Arhansus (1365[42] et 1413[43],[42]), Aransus (1513[43],[15], titres de Pampelune[44]) et Aransusi (1621[43],[15],[42], Martin Biscay[45]).
Étymologie
Le toponyme est basé sur le radical basque Arhan-, Arran- ou son dérivé Arhantz[42] mais l’étymologie 'où abonde le prunellier'[43] est incertaine[42].
Autres toponymes
L’Eldurne est un hydronyme désignant un tributaire de la Bidouze, circonscrit au territoire d’Arhansus, mentionné en 1863[15] par le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque.
Etchepare et Etcheverry sont d’anciens fiefs, relevant du royaume de Navarre, cités dans le dictionnaire de 1863[15].
Le gaztelu zahar, mont entre Arhansus et Juxue, est mentionné sous les graphies Gastelluçar par Paul Raymond en 1863[15], Gastellusahar sur la carte de Cassini, Gastelusare par l'IGN ou encore Castellu Cahara[14].
Graphie basque
Son nom basque est Arhantsusi[2].
Pierre Lhande indique dans son dictionnaire basque-français la forme Arhantsuse[46].
Politique et administration
Intercommunalité
Arhansus appartient à six structures intercommunales[48] :
- la communauté d'agglomération du Pays Basque ;
- le syndicat AEP de l'Ostabaret ;
- le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
- le syndicat intercommunal pour l'aménagement et la gestion de l'abattoir de Saint-Jean-Pied-de-Port ;
- le syndicat pour le soutien à la culture basque ;
- le syndicat pour le fonctionnement des écoles d'Ostibarret.
Démographie
Le recensement[49] à caractère fiscal de 1412-1413, réalisé sur ordre de Charles III de Navarre[50], comparé à celui de 1551 des hommes et des armes qui sont dans le présent royaume de Navarre d'en deçà les ports[51], révèle une démographie en forte croissance. Le premier indique à Arhansus la présence de cinq feux, le second de 13 feux.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[52]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[53].
En 2018, la commune comptait 74 habitants[Note 10], en augmentation de 7,25 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,37 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Économie
L'activité est principalement agricole. La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
Culture et patrimoine
Patrimoine civil
Un camp protohistorique est visible au lieu-dit Gaztelu Zahar (Castellu Cahara[14]), d'altitude 361 m, et un second au lieu-dit Portasanse[16].
Des maisons[56] du XVIIIe siècle sont inscrites à l'Inventaire général du patrimoine culturel.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Le Pays Basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[31].
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- « Carte hydrographique d'Arhansus » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
- « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Arhansus », sur www.geoportail.gouv.fr.
- « ZNIEFF de type II sur la commune d'Arhansus », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Brigitte Jobbé-Duval, Dictionnaire des noms de lieux : Pyrénées-Atlantiques, Paris, Archives et Culture, , 167 p. (ISBN 978-2-35077-151-9, notice BnF no FRBNF42089597).
- - Académie de la langue basque
- « Métadonnées de la commune d'Arhansus », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Arhansus et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Arhansus et Bayonne », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Arhansus et Saint-Palais », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches d'Arhansus », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 22.
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
- « Toponymes Nafarroa Beherea », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
- (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
- Nafarroa Beherea : toponymes (noms de lieux) sur le site de l'Académie de la langue basque.
- Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
- « Le camp protohistorique du lieu-dit Castellu Cahara », notice no PA00084316, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (notice BnF no FRBNF31182570, lire en ligne)..
- « Le camp protohistorique du lieu-dit Portasanse », notice no PA00084414, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Fiche communale d'Arhansus », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
- Sandre, « la Bidouze ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
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- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
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- « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Arhansus », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- « Présentation de la commune d'Arhansus », notice no IA64000791, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Titres publiés par don José Yanguas y Miranda
- Derecho de naturaleza que la merindad de San-Juan-del-pie-del-puerto, una de las seys de Navarra, tiene en Castilla - 1622 petit in-4°
- Pierre Lhande, Dictionnaire basque-français, 1926
- « Annuaire des Mairies des Pyrénées-Atlantiques », sur Annuaire des Mairies et Institutions de France, 2006-2007 (consulté le ).
- Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
- Recensements cités par Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque III : Évolution économique et sociale du XVIe au XVIIIe siècle, t. 3, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, , 411 p. (ISBN 8483317443 et 9788483317440, OCLC 466971263), p. 25. Le même ouvrage de Manex Goyhenetche indique (page 284) qu'il faut compter une moyenne démographique de 5.5 par feu.
- Transcrit et publié par Ricardo Cierbide, Censos de población de la Baja Navarra, Max Niemeyer Verlag, Tübingen, 1993
- Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, E 575, transcrit par Louis Baratchart dans Les amis de la vieille Navarre, janvier 1995, pages 44-54
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Les maisons du XVIIIe siècle », notice no IA64000820, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « L'église Saint-Étienne », notice no IA64000767, base Mérimée, ministère français de la Culture.
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
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