Arbérats-Sillègue

Arbérats-Sillègue est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Arbérats et Sillègue.

Arbérats-Sillègue

Le fronton d'Arbérats.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Bayonne
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays Basque
Maire
Mandat
Sauveur Bacho
2020-2026
Code postal 64120
Code commune 64034
Démographie
Gentilé Arberaztar
Population
municipale
277 hab. (2018 )
Densité 52 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 20′ 33″ nord, 0° 59′ 41″ ouest
Altitude Min. 60 m
Max. 153 m
Superficie 5,29 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Palais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Arbérats-Sillègue
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Arbérats-Sillègue
Géolocalisation sur la carte : France
Arbérats-Sillègue
Géolocalisation sur la carte : France
Arbérats-Sillègue

    Le gentilé est Arberaztar[1],[2].

    Géographie

    Localisation

    La commune d'Arbérats-Sillègue se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[3].

    Elle se situe à 83 km par la route[Note 1] de Pau[4], préfecture du département, à 79 km de Bayonne[5], sous-préfecture, et à km de Saint-Palais[6], bureau centralisateur du canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[3]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Palais[3]

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[7] : Béhasque-Lapiste (2,3 km), Aïcirits-Camou-Suhast (2,3 km), Domezain-Berraute (3,0 km), Arbouet-Sussaute (3,2 km), Saint-Palais (3,4 km), Amendeuix-Oneix (4,1 km), Gabat (4,5 km), Garris (5,3 km).

    Sur le plan historique et culturel, Arbérats-Sillègue fait partie de la province de la Basse-Navarre, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[8]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[9]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones[10],[11]. La commune est dans le pays de Mixe (Amikuze), au nord-est de ce territoire.

    Hydrographie

    Réseaux hydrographique et routier d'Arbérats-Sillègue.

    La commune est drainée par Eiheraxaharreko erreka, Errekaldeko erreka et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de km de longueur totale[13],[Carte 1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[14]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[15].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[16]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[14]

    • Moyenne annuelle de température : 13,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 13,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 274 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[17] complétée par des études régionales[18] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Aicirits », sur la commune d'Aïcirits-Camou-Suhast, mise en service en 1993[19]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[20],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 14,1 °C et la hauteur de précipitations de 1 216,7 mm pour la période 1981-2010[21]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Biarritz-Pays-Basque », sur la commune d'Anglet, mise en service en 1956 et à 45 km[22], la température moyenne annuelle évolue de 14,1 °C pour la période 1971-2000[23], à 14,3 °C pour 1981-2010[24], puis à 14,6 °C pour 1991-2020[25].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 6]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « la Bidouze (cours d'eau) »[27], d'une superficie de 2 570 ha, un vaste réseau hydrographique drainant les coteaux du Pays basque[28],[Carte 2].

    Urbanisme

    Typologie

    Arbérats-Sillègue est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[29],[30],[31].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Palais, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 25 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[32],[33].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (98,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (69,3 %), terres arables (22,7 %), zones urbanisées (5,9 %), forêts (1,5 %), prairies (0,5 %)[34].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

    Voies de communication et transports

    Arbérats-Sillègue est desservie par les routes départementales D 933 et D 134.

    Lieux-dits et hameaux

    Toponymie

    Attestations anciennes

    Le toponyme Arbérats apparaît sous les formes Arberas (1125[36]), Arberatz (1150[36]), Sanctus Laurentius de Arberaz (1160[36]), Arberas (XIIIe siècle[35], collection Duchesne volume CXIV[37]), Arberaz (1350[36]), Arberatz (1413[36] et 1487[35], contrats d'Ohix[38] pour cette dernière mention), Arberaz (1513[35], titres de Pampelune[39]) Arberatz (1975[35], ouvrage de Philippe Veyrin[40]), Arbezats (1793[41], ou an II) et Arberats (1801[41], Bulletin des lois).

    Jean-Baptiste Orpustan[36] mentionne deux origines possibles au toponyme Arbérats, provenant toutes deux du basque, soit ar(r)-bera (ou beratz) signifiant ’fragile’ ou ’friable', ou le mot composé arbel, désignant une ’pierre noire’ ('ardoise’). Brigitte Jobbé-Duval[1] interprète également Arbérats par lieu rocheux d’ardoises.

    Le toponyme Sillègue apparaît sous les formes Sanctus Petrus de Silegue (1160[36]), Sileugue (1316[36]), Silegoe (1350[36]), Silleugue (1413[36]), Silegoe (1472[35], notaires de Labastide-Villefranche[42]), Silengoa (1513[35], titres de Pampelune[39]), Sillègue-les-Domezain (1734[35], règlement de la cour de Licharre) et Sillegue (1793[43] et 1801[43], Bulletin des lois).

    Pour Jean-Batiste Orpustan[36], le toponyme Sillègue est un composé du mot basque zil(h)o, qui signifie ’trou’, ’dépression du terrain’ et d’un deuxième élément, leku, ’lieu’.

    Autres toponymes

    Aitciria est une ferme de la commune mentionnée sous les graphies Ayciri de Arberatz en 1487 (contrats d'Ohix[38]) et Aïtciry (1863[35], dictionnaire topographique Béarn-Pays basque).

    Beheitia, hameau de la commune, apparaît sous la forme Béhéity dans le dictionnaire de 1863[35].

    Le même dictionnaire mentionne un fief du nom de Charritte, vassal du royaume de Navarre[35].

    Iratzia, sous la forme Iratce (1863[35], dictionnaire topographique Béarn-Pays basque), était un fief présent à Sillègues, vassal du royaume de Navarre.

    Graphie basque

    Son nom basque actuel est Arberatze-Zilhekoa[2].

    Au XIXe siècle, Paul Raymond indique pour Sillègue la forme Silhecoa[35].

    Histoire

    La commune actuelle a été créée le [44] par la réunion des communes d' Arbérats et de Sillègue.

    Héraldique

    Blasonnement :
    De gueules à dix coquilles d'argent rangées en pal 3, 4 et 3[45].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1995 2001 Jacques Sallenave    
    2001 En cours Sauveur Bacho DVG Retraité
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    La commune appartient à la communauté d'agglomération du Pays Basque. Elle est membre du syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques, de l'Agence publique de gestion locale, du syndicat intercommunal pour le fonctionnement des écoles d'Amikuze et du syndicat Elgarrekin Ikas[46].

    Population et société

    Démographie

    En 1350, 13 feux sont signalés à Arbérats et 6 à Sillègue[47].

    Le recensement[48] à caractère fiscal de 1412-1413, réalisé[49] sur ordre de Charles III de Navarre, comparé à celui de 1551 des hommes et des armes qui sont dans le présent royaume de Navarre d'en deçà les ports[50], révèle une démographie en forte croissance. Le premier indique à Arbérats la présence de 7 feux, le second de 26 (24 + 2 feux secondaires). De même pour Sillègue, le recensement de 1412 relève 5 feux et celui de 1551 22 (20 + 2 feux secondaires).
    Le recensement de la population de Basse-Navarre de 1695[51] dénombre 40 feux à Arbérats et 20 à Sillègues.

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[52]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[53].

    En 2018, la commune comptait 277 habitants[Note 9], en diminution de 4,15 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,37 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    193213204210212246351314320
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    308271251262251268248233231
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    242259242228226230233235196
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    184175177198222270302299273
    2018 - - - - - - - -
    277--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee à partir de 2006[54].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    De 1793 à 1836, la population indiquée ne reflète que celle d'Arbérats, encore séparé de Sillègue, dont la population durant cette même période est décrite ci-dessous[43].

    Évolution de la population
    1793 1800 1806 1821 1831 1836
    100115111102109125
    (Sources : Cassini)

    Enseignement

    La commune dispose d'une école élémentaire publique[55].

    Économie

    La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

    Culture et patrimoine

    Langues

    D'après la Carte des Sept Provinces Basques éditée en 1863 par le prince Louis-Lucien Bonaparte, le dialecte basque parlé à Arbérats-Sillègue est le bas-navarrais oriental.

    Patrimoine religieux

    L'église Saint-Laurent[56], à Arbérats, date de 1615. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel depuis 2006.

    Équipements

    Éducation

    La commune dispose d'une école élémentaire.

    Festivités

    Située au centre du bourg, la commune s'est équipé d'une salle des fêtes. À l'origine du bâtiment, une ancienne école totalement rénovée.

    Sports

    Seulement doté d'un mur à gauche, Arbérats-Sillègue a inauguré en 2007 un nouveau fronton ainsi que des sanitaires et un terrain de pétanque. Un terrain de football a également vu le jour sur ce même complexe.

    Loisirs

    Puits datant de l'époque romaine reconverti en base de loisirs.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Le Pays Basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[26].
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. « Hydro » sur Géoportail (consulté le 9 août 2021)..
    2. « Sites Natura2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Arbérats-Sillègue », sur www.geoportail.gouv.fr.
    3. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Brigitte Jobbé-Duval, Dictionnaire des noms de lieux - Pyrénées-Atlantiques, Archives et Culture, (ISBN 978-2-35077-151-9).
    2. - Académie de la langue basque
    3. « Métadonnées de la commune d'Arbérats-Sillègue », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Arbérats-Sillègue et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. Stephan Georg, « Distance entre Arbérats-Sillègue et Bayonne », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    6. Stephan Georg, « Distance entre Arbérats-Sillègue et Saint-Palais », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    7. « Communes les plus proches d'Arbérats-Sillègue », sur www.villorama.com (consulté le ).
    8. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 22.
    9. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
    10. « Toponymes Nafarroa Beherea », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
    11. (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
    12. {{Lien web
      • Quartier du bas
      |url=http://www.geoportail.fr/ |titre=Géoportail |auteur=Géoportail - IGN |année= |éditeur= |consulté le=23 décembre 2011 }}.
    13. « Fiche communale d'Arbérats-Sillègue », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
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    15. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
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    18. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
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    21. « Station Météo-France Aicirits - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    22. « Orthodromie entre Arbérats-Sillègue et Anglet », sur fr.distance.to (consulté le ).
    23. « Station météorologique de Biarritz-Pays-Basque - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    24. « Station météorologique de Biarritz-Pays-Basque - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    25. « Station météorologique de Biarritz-Pays-Basque - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    26. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    27. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Arbérats-Sillègue », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    28. « site Natura 2000 FR7200789 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    29. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    30. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    31. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    32. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Saint-Palais », sur insee.fr (consulté le ).
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    34. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    35. Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (notice BnF no FRBNF31182570, lire en ligne)..
    36. Jean-Baptiste Orpustan, Nouvelle toponymie basque : noms des pays, vallées, communes et hameaux, Pessac, Presses Universitaires de Bordeaux, coll. « Centre d'études linguistiques et littéraires basques », , 246 p. (ISBN 978-2-86781-396-2 et 9782867813962, notice BnF no FRBNF40190262).
    37. Collection Duchesne, volumes 99 à 114, renfermant les papier d'Oihenart, ancienne bibliothèque impériale - Bibliothèque nationale de France
    38. Contrats retenus par Ohix, notaire de Soule - Manuscrit du XVe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    39. Titres publiés par don José Yanguas y Miranda
    40. Philippe Veyrin, Les Basques : de Labourd, de Soule et de Basse-Navarre, leur histoire et leurs traditions, Grenoble, Arthaud 1975, 366 p. (ISBN 978-2-7003-0038-3, notice BnF no FRBNF34554156), page 16
    41. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    42. Notaires de Labastide-Villefranche - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    43. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Sillègue », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
    44. Ordonnance du 14 avril 1841 (Bulletin des lois de la République française).
    45. Guy Ascarat
    46. Comersis, « Liste des groupements d'Arbérats-Sillègue ».
    47. Jean-Baptiste Orpustan, Ouvrage collectif, Amikuze - Le Pays de Mixe, Éditions Izpegi - 1992 (ISBN 2 909262 05 7), page 77
    48. Recensements cités par Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque III : Évolution économique et sociale du XVIe au XVIIIe siècle, t. 3, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, , 411 p. (ISBN 8483317443 et 9788483317440, OCLC 466971263), p. 26. Le même ouvrage de Manex Goyhenetche indique (page 284) qu'il faut compter une moyenne démographique de 5.5 par feu.
    49. Transcrit et publié par Ricardo Cierbide, Censos de población de la Baja Navarra, Max Niemeyer Verlag, Tübingen, 1993
    50. Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, E 575, transcrit par Louis Baratchart dans Les amis de la vieille Navarre, janvier 1995, pages 44-54
    51. Bibliothèque nationale, 6956, registre Moreau 979, cité par Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque III : Évolution économique et sociale du XVIe au XVIIIe siècle, t. 3, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, , 411 p. (ISBN 8483317443 et 9788483317440, OCLC 466971263), p. 299.
    52. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    53. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    54. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    55. {{http://www.education.gouv.fr/pid24302/annuaire-resultat-recherche.html?ecole=1&lycee_name=&localisation=1&ville_name=Arb%C3%A9rats-Sill%C3%A8gue%20%2864%29}}.
    56. « L'église Saint-Laurent », notice no IA64000683, base Mérimée, ministère français de la Culture.

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