Ansacq

Ansacq est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Ansacquois et les Ansacquoises.

Ansacq

L'église Saint-Lucien.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité CC du Clermontois
Maire
Mandat
Christine Marienval
2020-2026
Code postal 60250
Code commune 60016
Démographie
Gentilé Ansacquois, Ansacquoises
Population
municipale
275 hab. (2018 )
Densité 33 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 20′ 43″ nord, 2° 21′ 36″ est
Altitude Min. 60 m
Max. 151 m
Superficie 8,4 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Mouy
Législatives 7e circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Ansacq
Géolocalisation sur la carte : Oise
Ansacq
Géolocalisation sur la carte : France
Ansacq
Géolocalisation sur la carte : France
Ansacq
Liens
Site web http://www.ansacq.fr/

    Géographie

    Localisation

    Communes limitrophes

    La commune se situe à 61 kilomètres au sud d'Amiens, à 23 kilomètres à l'est de Beauvais, à 35 kilomètres à l'ouest de Compiègne et à 54 kilomètres au nord de Paris[1].

    Topographie et géologie

    La commune s'étend entre 60 mètres et 151 mètres au-dessus du niveau de la mer. La mairie du village se situe à 70 mètres d'altitude. Le village se situe dans un vallon formé par les vallées Rotinet et du Foulandreau naissant sur le plateau d'Auvillers. Le point culminant du territoire est situé près de la limite communale avec Agnetz, au nord-est, tandis que le point le plus bas se trouve en contrebas de l'étang du château d'Ansacq, à la limite sud de la commune avec Bury. La ferme du Plessier-Bibault, au nord, se situe à 149 mètres d'altitude. La cavée de Neuilly, à l'est du chef-lieu, se trouve entre 120 et 125 mètres au-dessus du niveau de la mer. Au sud-est débute également le vallon de la vallée Monnet, orienté vers le sud[2]. La commune se situe en zone de sismicité 1[3].

    Hydrographie et eau potable

    Le rû du Moineau, appelé rû d'Ansacq.

    La commune est traversée par le rû de Moineau[4], affluent du Thérain. Prenant sa source dans la vallée du Foulandreau, en amont d'une source captée, il traverse le village puis passe au Vieux-château avant de quitter la commune par la sud. Un second ruisseau prend sa source dans la vallée Rotinet avant de rejoindre le rû du Moineau au lieu-dit la Hergerie. Une troisième petit ruisseau naît depuis une source située rue Bertrand avant de rejoindre le rû du Moineau dans un petit étang quelques mètres plus loin. Deux autres étangs plus étendus se trouvent près du Vieux-château. La vallée Monet, bien que ne possédant pas de ruisseau, se trouve également dans le bassin versant du Thérain[2]. Les zones les plus basses du territoire se trouvent au-dessus de plusieurs nappes phréatiques[5].

    Voies de communications et transports

    La route départementale 929, ancienne route nationale 329 reliant Beaumont-sur-Oise à Clermont-en-Beauvaisis et Brunvillers-la-Motte à Albert est le principal axe routier traversant la commune. En arrivant d'Angy au sud-ouest, son itinéraire longe d'abord la limite communale à l'ouest du territoire puis passe ensuite au sud de la ferme du Plessier-Bibault, avant de rejoindre Clermont, au nord-est. La route départementale 144, reliant Angy à l'intersection entre la D 110 et la D 540 près de Neuilly-sous-Clermont, passe au vieux-château (au sud) puis par traverse le village par la Grande-Rue. Elle rejoint ensuite Neuilly-sous-Clermont par la route de Neuilly, à l'est. Une route communale passant par la rue d'En-Haut relie également le village au hameau d'Auvillers, à l'est (commune de Neuilly-sous-Clermont) et une seconde relie cette dernière à la route départementale 929 (au nord-est)[2].

    La gare ferroviaire la plus proche est celle de Mouy-Bury à 4 kilomètres au sud-est sur la ligne de Creil à Beauvais. Située sur la ligne de Paris-Nord à Lille, la gare de Clermont-de-l'Oise se trouve à 5 kilomètres au nord-est[1].

    La commune d'Ansacq est desservie par plusieurs lignes de transports scolaires rejoignant le collège de Mouy et les établissements secondaires de l'agglomération de Clermont[6].

    L'aéroport de Beauvais-Tillé se trouve à 21,6 km à l'ouest de la commune et l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle se trouve à 39,4 km au sud-est[1]. Il n'existe aucune liaison entre la commune et ces aéroports par des transports en commun.

    La commune est traversée par le sentier de grande randonnée n°124 (GR 124), reliant Cires-les-Mello (Oise) à Rebreuviette (Pas-de-Calais). Son itinéraire rejoint la route départementale 144 et la Grande-Rue puis quitte le village par la rue du Val avant de se diriger vers Thury-sous-Clermont[2]. Les circuits 3 (de la vallée Monnet) et 4 (le Camp des Cerfs) du GEP Centre Oise traversent également le territoire[7]. Le parcours du sentier de grande randonnée 225 (GR 225) suit la rue du Val puis se dirige vers la vallée Foulandreau et Neuilly-sous-Clermont.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[9].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[10]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[8]

    • Moyenne annuelle de température : 10,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 683 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Airion », sur la commune d'Airion, mise en service en 1989[14] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[15],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 663,5 mm pour la période 1981-2010[16]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 22 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[18] à 10,6 °C pour 1981-2010[19], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[20].

    Milieux naturels

    Coteaux boisés au sud-ouest du village.

    Hormis les espaces bâtis, qui s'étendent sur 21 hectares (2,5 % de la surface communale), le territoire est composé à 63,4 % de cultures sur plus de 530 hectares. Les espaces boisés, principalement situés sur les coteaux des vallons d'Ansacq et de la vallée Monnet, occupent toute l'étendue des vallées du Foulandreau et Rotinet. Une parcelle de la forêt de Hez-Froidmont dépend également de la commune. Ils rassemblent 238 hectares pour 28,5 % de la superficie. Les vergers et prairies regroupent 37 hectares, et les espaces humides que sont les étangs du château et les zones marécageuses autour du rû du Moineau comprennent 6 hectares[21],[2]. La forêt de Hez-Froidmont et ses bois périphériques ainsi que les coteaux de la vallée Monnet (de Mérard et de Cambronne-lès-Clermont) sont inscrits en Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique de type 1[22],[23]. Un corridor écologique potentiel traverse la commune des coteaux du vallon où se trouve le village et se prolonge jusqu'à la forêt de Hez-Froidmont, au nord[24].

    Urbanisme

    Typologie

    Ansacq est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[25],[26],[27].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire regroupe 1 929 communes[28],[29].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (71,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (63,1 %), forêts (28,8 %), zones agricoles hétérogènes (4,7 %), prairies (3,5 %)[30].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[31].

    Hameaux et lieux-dits

    L'habitat communal est essentiellement situé dans le chef-lieu. On compte deux écarts : la ferme du Plessier-Bilbaut au nord et le Vieux Château au sud[2]

    Toponymie

    Le village s'est appelé Antiacum en 969[réf. nécessaire].

    Histoire

    L'existence du village remonte à la plus haute Antiquité, certains vestiges, aujourd'hui disparus, attestaient du passage des Romains. Les Normands détruisirent le village au IXe siècle de même que les communes voisines. Le village fut vraisemblablement très rapidement rebâti.

    Renaud II de Trie fut seigneur du fief du Plessis-Billebaue[32],[33]

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1981   Michel Marienval    
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1995 2008 Bernard Piquette DVD  
    mars 2008 En cours
    (au 3 juin 2020)
    Christine Marienval DVD Réélue pour le mandat 2020-2026[34]

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[36].

    En 2018, la commune comptait 275 habitants[Note 7], en augmentation de 1,48 % par rapport à 2013 (Oise : +1,44 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    294300317312332328283283294
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    255224231247257241241205194
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    204208181173165167140148133
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    10810388135228263271272274
    2018 - - - - - - - -
    275--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Pyramide des âges en 2007

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (7 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,5 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (51,7 % contre 48,4 % au niveau national et 49,3 % au niveau départemental).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 51,7 % d’hommes (0 à 14 ans = 21,4 %, 15 à 29 ans = 17,1 %, 30 à 44 ans = 27,1 %, 45 à 59 ans = 25,7 %, plus de 60 ans = 8,5 %) ;
    • 48,3 % de femmes (0 à 14 ans = 23,7 %, 15 à 29 ans = 16 %, 30 à 44 ans = 26 %, 45 à 59 ans = 29 %, plus de 60 ans = 5,4 %).
    Pyramide des âges à Ansacq en 2007 en pourcentage[39]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,7 
    90  ans ou +
    0,8 
    0,7 
    75 à 89 ans
    2,3 
    7,1 
    60 à 74 ans
    2,3 
    25,7 
    45 à 59 ans
    29,0 
    27,1 
    30 à 44 ans
    26,0 
    17,1 
    15 à 29 ans
    16,0 
    21,4 
    0 à 14 ans
    23,7 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2007 en pourcentage[40]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90  ans ou +
    0,8 
    4,5 
    75 à 89 ans
    7,1 
    11,0 
    60 à 74 ans
    11,5 
    21,1 
    45 à 59 ans
    20,7 
    22,0 
    30 à 44 ans
    21,6 
    20,0 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    19,9 

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    La commune ne compte qu'un seul monument historique sur son territoire :

    • Église Saint-Lucien : Elle suit un plan cruciforme réduit à sa plus simple expression, et réunit une nef romane à un transept et un chœur de style gothique primitif, le croisillon sud ayant toutefois été rebâti entièrement à la période flamboyante. Il n'y a pas de bas-côtés ni de véritable clocher, et le petit clocher en charpente au-dessus de la croisée du transept est dépourvu de cloche. Hormis les baies flamboyantes des murs latéraux du croisillon sud et du chevet, et les vestiges de multiples transformations des ouvertures, le seul élément remarquable de l'église est son portail monumental roman. Il se caractérise par une triple archivolte surmontée de deux frises et richement décoré de divers motifs, tant dans les voussures, sur les chapiteaux que sur les piédroits. La nef est recouverte par de fausses voûtes en plâtre, tandis que transept et chœur sont voûtés sur croisées d'ogives. Ils se signalent par leur construction soignée[41].

    On peut également signaler :

    • L'ancien château : À la sortie du village, vers Mérard, subsistent les vestiges du château fort d'Ansacq, datant du IXe siècle. Commandé par un lieutenant dépendant du capitaine de Mouy, il fut démoli par l'invasion des Normands. Les douves étaient alimentées par le ru d'Ansacq. L'entrée comprenait un bâtiment auquel on accédait par un pont-levis. Dans la muraille on observe encore les entailles où viennent s'encastrer les montants du pont-levis lorsqu'on le relevait. À chaque extrémité, les restes de deux tours peu élevées subsistent.
    • Le nouveau château : Château Renaissance garni de tourelles et entouré de fossés alimentés par le ru d'Ansacq qui forme un beau plan d'eau. Les fortifications, en partie détruites par les guerres de religion, ne sont plus représentées que par les bâtiments de la ferme. Le domaine a appartenu au secrétaire du connétable de Bourbon. Le cardinal de Mazarin, en disgrâce, s'y réfugie en 1651. La Révolution le confisque sur les biens du comte de Provence, futur Louis XVIII. Le domaine devint la propriété du duc de Mouchy, de la Société Noury-Land de Venette, de monsieur Bernard Bécret, agriculteur, et enfin de madame Isabelle Gruet, l'actuelle propriétaire. Le château possède également un jardin d'agrément inscrit au préinventaire des jardins remarquables[42].
    • Calvaire, sur la route du Val, offert par Adolphe Cyrille Fulion.
    • Monument aux morts.

    Personnalités liées à la commune

    • Le cardinal de Mazarin a probablement passé plusieurs jours au château d'Ansacq lors de La Fronde au XVIIe siècle.
    • Pierre de Popillon, chevalier, né à Ansacq et mort en 1584.[réf. nécessaire]

    Héraldique

    Les armes d'Ansacq se blasonnent ainsi :
    D'azur chargé de fleurs de lys d'or

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Antoine-Joseph Warmé, Mouy et ses environs : Ansacq, Beauvais, Impr. de D. Père, , 520 p. (lire en ligne), p. 197-224

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Ansacq », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[11].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « orthodromie : distance à vol d'oiseau », sur le site lion1906.com, site personnel de Lionel Delvarre (consulté le ).
    2. « Carte 1/15 000e » sur Géoportail..
    3. « Risques potentiels majeurs de la commune d'Ansacq », sur macommune.prim.net (consulté le ).
    4. « Le rû du Moineau », sur www.services.sandre.eaufrance.fr (consulté le ).
    5. « Carte de remontée des nappes », sur www.innondationsnappes.fr (consulté le ).
    6. « Transports en commun à Ansacq (carte et lignes) », sur www.oise-mobilité.fr (consulté le ).
    7. 14 randonnées en Centre Oise, GEP Centre Oise, carte au verso
    8. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    9. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    10. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    11. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    12. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    13. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    14. « Station Météo-France Airion - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    15. « Orthodromie entre Ansacq et Airion », sur fr.distance.to (consulté le ).
    16. « Station Météo-France Airion - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    17. « Orthodromie entre Ansacq et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    18. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    20. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    21. « Synthèse des zonages du patrimoine naturel et paysager, de la faune, de la flore et des habitats naturels sur la commune d'Ansacq », sur www.donnees.picardie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Forêt de Hez-Froidmont et bois périphériques, fiche znieff détaillée », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
    23. « Coteaux de Mérard et de Cambronne-lès-Clermont, fiche znieff détaillée », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
    24. « Corridor écologique potentiel sur la commune d'Ansacq (carte) », sur www.donnees.picardie.developpement-durable.fr (consulté le ).
    25. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    26. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    27. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    28. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    29. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    30. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    31. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    32. également orthographié Plessier-Billebault ou Plessis-Billebaut
    33. Le fief du Plessier-Billebault
    34. « Ils sont été élus permier magistrat de leur commune », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3606, , p. 20.
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
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