Andres

Andres est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Andres (homonymie).

Andres

L'école, ancienne mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Calais
Intercommunalité CC Pays d'Opale
Maire
Mandat
Allan Turpin
2021-2026
Code postal 62340
Code commune 62031
Démographie
Gentilé Andresiens
Population
municipale
1 556 hab. (2018 )
Densité 218 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 52′ 05″ nord, 1° 55′ 18″ est
Altitude Min. 1 m
Max. 34 m
Superficie 7,15 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Guînes
(banlieue)
Aire d'attraction Calais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Calais-2
Législatives 6e circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Andres
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Andres
Géolocalisation sur la carte : France
Andres
Géolocalisation sur la carte : France
Andres
Liens
Site web https://www.andres62340.fr/

    Géographie

    Localisation

    Panneau d'entrée de la commune.

    La commune de Flandre française et l'Ardrésis est située à une dizaine de kilomètres au sud-est de Calais, 27 km au nord-est de Boulogne-sur-Mer, 27 km au nord-est de Saint-Omer (Pas-de-Calais), et à une vingtaine de kilomètres de la frontière franco-belge.

    Elle est desservie par la RD 231 qui relie Marquise à Ardres.

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    La commune est marquée par son sol marécageux, la présence de nombreux canaux de drainage et étangs.

    La Rivierette et la Rivière du Moulin y coulent.

    Urbanisme

    Typologie

    Andres est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Guînes, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[4] et 7 190 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[5],[6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Calais dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[7],[8].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (81,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (57,7 %), prairies (17,1 %), zones humides intérieures (11,4 %), zones urbanisées (7,5 %), zones agricoles hétérogènes (6,3 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

    Toponymie

    Le lieu était dénommé Andrensis pagus, Andernes en 1084 (chronic. Andr. p. 782 b), Andernense monasterium en 1114 (ibid., p. 794 b). Ecclesia Sanctœ Rolrudis Andrennensis en 1159-1160 (cartulaire. de Thérouanne., p. 30), Anderna en 1164 (ch. de Licques, p. 42), Andreiœ en 1178 (Giry, hist. de Saint-Om., pr., p. 395), Andrens en 1194 (cbronic. Andr., p. 856 a), Andria au XIIIe siècle (Lambert. Ard., p. 63), Andrenes en 1232 (ch. de Saint-Bert., no 799), Anders en 1339-1340 (ibid., no 1594), Andarne en 1556 (pl. angl. du Calaisis), Andrenetz en 1557 (seenes de Thér., G. 488), Anderne en 1559 (Arch. nat., J. 787,no 8). Andres en 1697 (arch. de Boul., évéché)[11].

    Le nom du village est une variante du nom de baptême André, du latin Andreas, du grec andros (homme).

    Le village est dénommé Anderne en flamand[12].

    Histoire

    Andres est connue au XIe siècle pour la fondation sur son territoire en 1080 par Baudouin Ier de Guînes, comte de Guînes de l'abbaye Saint-Médard d'Andres, dépendant de l'ordre de Saint-Benoît. Détruite en 1544, elle resta en commende, avec refuge à Ardres, jusqu'à sa suppression définitive, en 1790[11].

    Après 1160, Henry II de Campagne (Campagne-lès-Guînes), est seigneur d'Andres. Il est le frère de Baudouin de Campagne, seigneur d'Hames (Hames-Boucres). Henry II était l'époux d'Adelis de Conteuille. Il laisse en mourant un fils en bas-âge Henry III, et deux filles Adelis et Aliénor. Son frère Baudouin, qui bénéficie de l'affection du comte de Flandres Philippe d'Alsace, va en assurer la tutelle contre la volonté de leur mère[13].

    Adelis de Campagnes, fille d'Henry II épouse d'abord Eustache seigneur de Cauquelle ou Calquelle (Coquelles) puis Raoul ou Rodolphe de Fiennes. Elle avait apporté en dot à Eustache la seigneurie d'Andres[14].

    En 1193, Eustache de Calquilla, marié à Adelide, est seigneur d'Andres et il cède à l'abbaye d'Andres des biens au moment où il prend l'habit religieux[15].

    En 1347, un des bourgeois de Calais (Les Bourgeois de Calais) présentant les clefs de la ville au roi d'Angleterre Edouard III après la reddition de la cité, s'appelle Andrieu d'Andres; on peut le présumer originaire du village.

    Circonscriptions d'Ancien Régime

    Andres, une des douze baronnies du comté de Guines, faisait partie, en 1789, du Pays-Reconquis (Calaisis), et ressortait de la justice royale de Calais, en suivant la coutume d'Amiens[11].

    Son église paroissiale, dépendant d'abord du diocèse de Thérouanne, puis de Boulogne, doyenné de Guines, était consacrée à saint Jean-Baptiste. L'abbé d'Andres présentait à la cure[11].

    Époque contemporaine

    De 1875 à 1955, la commune était desservi par le chemin de fer d'Anvin à Calais, une ligne de chemin de fer secondaire à voie métrique, dont la gare, restaurée, existe toujours[16].

    Pendant la première guerre mondiale, Guînes est le siège en 1917-1918 d'un commandement d'étapes, c'est-à-dire un élément de l'armée organisant le stationnement de troupes, comprenant souvent des chevaux, pendant un temps plus ou moins long, sur les communes dépendant du commandement, en arrière du front. Andres en dépend et a à ce titre accueilli des troupes sur la commune[17], notamment un contingent belge[18].

    Politique et administration

    La mairie.

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve depuis 1962 dans l'arrondissement de Calais du département du Pas-de-Calais. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1986 de la sixième circonscription du Pas-de-Calais.

    Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Guînes[19]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, Andres intègre le canton de Calais-2.

    Intercommunalité

    Andres était membre de la communauté de communes des Trois Pays créée fin 1996.

    Celle-ci fusionne avec sa voisine, la petite communauté de communes du sud-ouest du Calaisis, qui n'atteignait pas les 150 000 habitants prescrits par la loi NOTRe, pour former, le , la communauté de communes Pays d'Opale dont est désormais membre la commune.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[20]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 avril 2014[21] Rose-Marie Guillemant MDC puis PS  
    avril 2014[21] février 2017[22] Ludovic Langlet DVD Démissionnaire
    mars 2017[23] juin 2021[24] Bruno Benedetti[25]   Démissionnaire
    juin 2021[26],[27] En cours
    (au 18 juin 2021)
    Allan Turpin   Agent de maîtrise dans le transport maritime

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[29].

    En 2018, la commune comptait 1 556 habitants[Note 3], en augmentation de 1,17 % par rapport à 2013 (Pas-de-Calais : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    458532631743873780853835779
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    781850907817803757756754749
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    752723770773750795776766758
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    7847596971 0071 3961 4451 5051 5151 574
    2018 - - - - - - - -
    1 556--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Pyramide des âges en 2007

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (10,6 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (19,8 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (50,2 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 49,8 % d’hommes (0 à 14 ans = 24,8 %, 15 à 29 ans = 21,1 %, 30 à 44 ans = 23 %, 45 à 59 ans = 22,4 %, plus de 60 ans = 8,6 %);
    • 50,2 % de femmes (0 à 14 ans = 24,3 %, 15 à 29 ans = 17,5 %, 30 à 44 ans = 24,1 %, 45 à 59 ans = 21,6 %, plus de 60 ans = 12,6 %).
    Pyramide des âges à Andres en 2007 en pourcentage[31]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,1 
    90 ans ou +
    0,3 
    2,1 
    75 à 89 ans
    4,5 
    6,4 
    60 à 74 ans
    7,8 
    22,4 
    45 à 59 ans
    21,6 
    23,0 
    30 à 44 ans
    24,1 
    21,1 
    15 à 29 ans
    17,5 
    24,8 
    0 à 14 ans
    24,3 
    Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2007 en pourcentage[32]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90 ans ou +
    0,8 
    5,1 
    75 à 89 ans
    9,1 
    11,1 
    60 à 74 ans
    12,9 
    21,0 
    45 à 59 ans
    20,1 
    20,9 
    30 à 44 ans
    19,6 
    20,4 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    18,9 

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    • En 1269, un Ranulfe d'Andre se croisa[40].
    • Andres est surtout connue pour le nom d'Andrieu d'Andres, un des six Bourgeois de Calais qui se dévouèrent pour sauver leur cité en 1347, fait immortalisé par la sculpture d'Auguste Rodin visible devant l'hôtel de ville de Calais[40].

    Héraldique

    Blason
    D'azur à un lion d'or (armé et lampassé de gueules) surmonté d'un lambel de gueules[41].
    Détails
    D'après la commune, le blason daterait du XIIIe siècle[42].

    Adopté par la municipalité.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • J. Balteau, « Andre (Andrieu d') », dans Dictionnaire de biographie française, Paris, Tome 2, 1936, Letouzey et Ané.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Unité urbaine 2020 de Guînes », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    5. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    6. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Calais », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    11. Comte Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Imprimerie nationale, , 499 p. (lire en ligne), p. 11 sur Gallica.
    12. « proussel.voila.net/pages/noms_… »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?).
    13. André Du Chesne, Histoire généalogique des maisons de Guines, d'Ardres, de Gand et de Coucy et de quelques autres familles illustres, Paris, 1632, p. 61, lire en ligne.
    14. A. du Chesne, option citée, p. 85.
    15. Alphonse Wauters,Table chronologique des chartes et diplômes imprimés concernant l'histoire de la Belgique, 10 volumes en 11 tomes, Bruxelles, 1866 à 1904. Tome 3, Année 1193.
    16. S. D. (Clp), « Histoire Au temps où l’on prenait le train à Andres : De 1875 à 1955, le train circulait sur la ligne étroite (1 mètre de large) Calais-Anvin et passait par Andres où il s’arrêtait cinq fois dans la journée », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    17. « Journaux des marches et opérations des corps de troupe - Mémoire des hommes », sur www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le ).
    18. Journal de marche du commandement d'étapes de Guînes, période du 4 décembre 1917 au 27 mars 1918, p. 31.
    19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    20. « Les maires de Andres », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    21. BE. B. (CLP), « Andres : sans surprise, Ludovic Langlet a été désigné maire, dimanche », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    22. Dominique Salomez, « Le maire Ludovic Langlet dépose sa démission à la préfète : Élu maire en 2014, Ludovic Langlet a déposé sa démission à la préfète le 3 février. Contacté, le maire invoque des « convenances personnelles et des raisons de santé ». Dans l’attente de la réponse de la préfecture, c’est la première adjointe, Corinne Dentreuil, qui assure les affaires municipales. Cette démission n’est pas liée avec l’affaire de Philippe Agez, adjoint, incarcéré pour tentative de meurtre. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    23. Dominique Salomez, « La commune d’Andres a un nouveau maire depuis ce samedi matin : Après la démission, au début du mois de février, de Ludovic Langlet, le conseil municipal a procédé ce samedi matin à l’élection d’un nouveau maire. C’est Bruno Benedetti, conseiller municipal jusqu’alors, qui a été choisi par les élus. « Ma priorité sera de faire baisser la tension présente au sein de la commune », a-t-il confié après la séance », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    24. « Bruno Benedetti a démissionné du conseil municipal : Battu aux élections municipales, l’ancien maire cède sa place à l’un de ses colistiers », Le Journal des Flandres, (lire en ligne, consulté le ).
    25. Ariane Delepierre, « Le maire Bruno Benedetti fait le point sept mois après son élection : En mars, Bruno Benedetti était élu maire à la suite de la démission de Ludovic Langlet. Dans ce village de 1 600 âmes à la vie municipale mouvementée, l’ancien conseiller municipal de 58 ans aspirait à redonner de la sérénité parmi les élus. Sept mois après sa prise de fonction, l’élu ne cache pas que l’ambiance est toujours tendue. En témoignent les discordes lors de la récente démission de sa première adjointe », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    26. François Delencre, « Municipales à Andres : Allan Turpin axe sa campagne sur le bien-vivre : Le 1er adjoint sortant part avec la plupart des conseillers municipaux démissionnaires, et met l’accent sur le bien-vivre et la démocratie participative. », Nord Littoral, (lire en ligne, consulté le ).
    27. S. D. (Clp) Avec A. Del., « Municipales à Andres: Allan Turpin élu au premier tour avec plus de 50% des voix : Ce dimanche, les habitants se sont rendus aux urnes pour élire un nouveau conseil municipal. Trois listes s’affrontaient : celle du maire sortant, du premier adjoint dissident et celle d’un élu d’opposition. Un seul tour aura suffi pour qu’Allan Turpin soit élu avec plus de 50 % des voix », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    31. « Évolution et structure de la population à Andres en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    32. « Résultats du recensement de la population du Pas-de-Calais en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    33. Louis Alexandre Expilly, Dictionnaire géographique, historique et politique des Gaules et de la France, 1761
    34. Pierre Mirmet, abbé d'Andernes. Histoire littéraire de la France : suite du douzième siècle, tome XV. 1820. pp. 48-50.
    35. Guillaume, abbé d'Andres. Histoire littéraire de la France : suite du treizième siècle, tome XVIII. 1835. pp. 131-134.
    36. Jacques Remy Antoine Texier, Grégoire de Bavelingahem, Dictionnaire d'orfévrerie, de gravure et de ciselure chrétiennes. 1856. pp. 906-907.
    37. « Fonts baptismaux », notice no PM62000051, base Palissy, ministère français de la Culture.
    38. « Dalle funéraire de Baudouin jeune », notice no APMH00078514, base Mémoire, ministère français de la Culture.
    39. « Dalle funéraire de Marguerite de Nielles », notice no APMH00078513, base Mémoire, ministère français de la Culture.
    40. J. Balteau cité dans la bibliographie
    41. « 62031 Andres (Pas-de-Calais) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
    42. https://www.andres62340.fr/la-commune/historique Site de la mairie - Histoire de la commune.
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