Les Attaques

Les Attaques est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

Les Attaques

L'église Saint-Pierre-ès-Liens.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Calais
Intercommunalité Communauté d'agglomération Grand Calais Terres et Mers
Maire
Mandat
Nadine Denièle-Vanpouille
2020-2026
Code postal 62730
Code commune 62043
Démographie
Gentilé Attaquois
Population
municipale
2 009 hab. (2018 )
Densité 97 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 54′ 28″ nord, 1° 56′ 05″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 6 m
Superficie 20,81 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Calais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Calais-2
Législatives Septième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Les Attaques
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Les Attaques
Géolocalisation sur la carte : France
Les Attaques
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Les Attaques
Liens
Site web lesattaques.fr

    Géographie

    Entrée de la commune

    Les Attaques se trouve à km de Calais et est desservie par l'ancienne RN 43 (actuelle RD 943).

    Les Attaques est traversée par la ligne de Lille aux Fontinettes sur laquelle se trouvait autrefois un arrêt pour la commune. La gare la plus proche est désormais la gare de Pont-d'Ardres, desservie par des trains TER Hauts-de-France de la liaison Lille / Hazebrouck - Calais, mais une meilleure desserte est assurée par la gare de Calais-Ville. Elle est également traversée par l'autoroute A26.

    Hydrographie

    La commune se trouve sur un sol marécageux drainé par de nombreux canaux qui se rejettent dans le canal de Calais à Saint-Omer.

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Les Attaques est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Calais, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[4],[5].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (95,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (78,9 %), prairies (11,1 %), zones agricoles hétérogènes (4,1 %), zones urbanisées (3,6 %), eaux continentales[Note 3] (1,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,8 %)[6].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[7].

    Toponymie

    Pendant longtemps le village porta simplement un nom renvoyant à sa chapelle :

    • Capella (1173), Estachies (1319), Caple parish (1556), Couswade and Capeel (1556)[8].

    Selon Haigneré, Les Attaques serait la « corruption » du mot Les Estaches, c’est-à-dire le pieux ou pilotis, en référence au « pont sur estaches » qui servait jadis aux communications entre la terre de Merck et le comté de Guînes.

    Selon l’Almanach de 1844, le nom Les Attaques viendrait du mot patois « attaqué », c’est-à-dire « resté attaquer », car autrefois la partie dite du marais se trouvait couverte d’eau six mois de l’année et les terres étaient argileuses.

    Selon certaines personnes du pays, les estaches désignent les pieux qui servaient à attacher les bateaux dans les marais. La contraction progressive a donné Les Estaques et enfin Les Attaques[9].

    Histoire

    Les recherches archéologiques permettent d’apprécier l’ancienneté de la présence humaine sur le terroir ; elles essayent d’en préciser l’évolution historique. L’époque néolithique (5000 ans av. J.-C.) est signée de quelques pointes de flèches retrouvées dans la tourbe mais l’époque gallo-romaine n’est que probable.

    Sur le site des Cappes (la petite et la grande Cappe), les dernières fouilles ont pu apprécier l’importance régionale de l’abbaye de la Capelle. Monastère en l’honneur de la Vierge, il fut bâti en 1090 par sainte Ide, épouse du comte de Boulogne Eustache II et mère de Godefroy de Bouillon. Les moines bénédictins, venus de l’abbaye de Ham-en-Artois, se consacraient non seulement à la prière mais aussi aux travaux agricoles et d’assèchement. En 1183, le comte de Flandre Philippe d'Alsace se porte garant d'un accord conclu entre l'abbaye et les habitants de Marc (Marck), Oye, (Oye-Plage) et d'autres villages voisins qui s'engagent à donner au monastère un tiers de la pêche d'un homme par bateau pendant l'époque de la pêche au hareng[10].

    On raconte que sainte Ide aimait séjourner à l’abbaye et y déposa une boîte d’or renfermant onze cheveux de la Vierge, don du roi des Asturies Alphonse VI.

    Cependant le monastère ne fut pas à l’abri des guerres ; la plus terrible fut la guerre de Cent Ans et c’est en 1346 que les Anglais ruinèrent l’abbaye.

    C’est en 1814 que nous trouvons une première pétition des habitants du « Bas Marck » adressée à monsieur le préfet. Éprouvant de grandes difficultés à se déplacer sur un territoire marécageux et souvent inondé, les habitants du Bas Marck ne pouvaient gagner régulièrement le chef-lieu pour leurs démarches administratives. De là, retards, ignorance des lois et des arrêtés du gouvernement et parfois à leur insu.

    Irrités par cette situation, propriétaires et notables réclamèrent leur autonomie. Les démarches furent longues et l’indépendance de la commune fut obtenue sous Louis Philippe le 18 aout 1835.

    Au XVIIIe siècle, la commune est un hameau de Marck et s’appelle le Bas Marck.

    En 1718, la paroisse de Marck est trop vaste (4 400 ha environ), le curé ne pouvait assurer son service à tous. On décidera de scinder la cure en deux paroisses avec une nouvelle église ou plutôt une chapelle, sous l’invocation de saint Pierre-ès-Liens. Le vicaire du Bas Marck avait ses fonts baptismaux, son cimetière, son presbytère.

    Conservée en 1802 comme vicariat indépendant, la chapelle fut érigée en succursale le . Devenue insuffisante pour les paroissiens, on prit le parti de construire l’église actuelle sur les plans de M. Steusmagt, architecte de Saint-Pierre-les-Calais. La pose de la première pierre eut lieu le 28 mai 1866. Le 16 avril 1868 l’église est consacrée solennellement par Monseigneur Lequette[9].

    Pendant la Première Guerre mondiale, en 1917, les Attaques dépend du commandement d'étapes , (élément de l'armée organisant le stationnement de troupes, comprenant souvent des chevaux, pendant un temps plus ou moins long, sur les communes dépendant du groupement, en arrière du front), ayant son siège à Nouvelle-Église [11]. Le 25 août 1917, un cas de diphtérie est signalé sur la commune obligeant à des mesures de désinfection pour préserver les troupes qui sont au cantonnement sur le village[12]. Le commandement d'étapes est transféré à Saint-Folquin le 1er décembre 1917. La commune dépend également du commandement d'étapes de Guînes en 1917-1918[11]. En juillet 1917, stationnent, dans le cadre de ces commandements d'étape quelques soldats belges dont des éléments de la gendarmerie[13]. Au début août 2017, se sont déclarés parmi les troupes stationnées dans la commune deux cas de méningite, qui ont imposé une désinfection des locaux concernés[14].

    Le 2 janvier 1918, le commandement d'étapes de Guînes est transféré aux Attaques[15] avant de revenir à Guînes le 14 mars 1918[16].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    décembre 1935[17] juillet 1976[17] Gustave Rivenet    
    Les données manquantes sont à compléter.
      1981[17] René Norel   Décédé en fonction
    mars 1981[17] décembre 2018 Jacques Rivenet[18] DVD Démissionnaire
    janvier 2019[19] En cours
    (au 30 mai 2020)
    Nadine Deniele-Vampouille
    Réélue pour le mandat 2020-2026[20]
    DVD Salariée dans le conseil d'entreprise
    Vice-présidente de Grand Calais Terres et Mers

    Population et société

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1836. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[22].

    En 2018, la commune comptait 2 009 habitants[Note 4], en augmentation de 3,61 % par rapport à 2013 (Pas-de-Calais : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1836 1841 1846 1851 1856 1861 1866 1872 1876
    1 2301 2591 3441 3591 3001 3291 3961 4211 505
    1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921 1926
    1 5421 5961 6141 6661 6991 8191 8001 8561 720
    1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982 1990
    1 6981 6981 7871 7181 8071 7901 7751 8781 887
    1999 2006 2011 2016 2018 - - - -
    1 8211 9611 9581 9482 009----
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Pyramide des âges en 2007

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (48,4 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (19,8 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (50,1 % contre 48,4 % au niveau national et 48,2 % au niveau départemental).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 80,1 % d’hommes (0 à 14 ans = 21,5 %, 15 à 29 ans = 19,3 %, 30 à 44 ans = 22,2 %, 45 à 59 ans = 21,5 %, plus de 60 ans = 15,6 %) ;
    • 69,9 % de femmes (0 à 14 ans = 19,7 %, 15 à 29 ans = 47,3 %, 30 à 44 ans = 21,4 %, 45 à 59 ans = 20,3 %, plus de 60 ans = 21,3 %).
    Pyramide des âges à Les Attaques en 2007 en pourcentage[25]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3 
    90 ans ou +
    1,0 
    4,4 
    75 à 89 ans
    7,8 
    10,9 
    60 à 74 ans
    12,5 
    21,5 
    45 à 59 ans
    20,3 
    22,2 
    30 à 44 ans
    21,4 
    19,3 
    15 à 29 ans
    17,3 
    21,5 
    0 à 14 ans
    19,7 
    Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2007 en pourcentage[26]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90 ans ou +
    0,8 
    5,1 
    75 à 89 ans
    9,1 
    11,1 
    60 à 74 ans
    12,9 
    21,0 
    45 à 59 ans
    20,1 
    20,9 
    30 à 44 ans
    19,6 
    20,4 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    18,9 

    Associations

    Cette section ne cite pas suffisamment ses sources (mai 2019). 
    Pour l'améliorer, ajoutez des références vérifiables [comment faire ?] ou le modèle {{Référence nécessaire}} sur les passages nécessitant une source.
    • ACPG (anciens combattants et prisonniers de guerre
    • Aiki Goshindo
    • Les Archers des Estaches
    • Calais Respire
    • Le Club Détente
    • Le Comité des Loisirs
    • Les Gazelles
    • Les Attaques Basket Club (LABC)
    • Les parents d'élèves
    • Les Quinqu'Attaquois & Cie
    • Sports pour tous
    • Toutes au Sport
    • US Les Attaques

    Économie

    • Zone Industrielle Les Estaches : Véritable carrefour culturel et économique du sud du calaisis, elle a donné à la ville ses lettres de noblesse et l'attractivité suffisante pour dominer les villages rivaux de la région, notamment Hames-Boucres.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église.
    • L'église Saint-Pierre-ès-Liens.
    • Le pont Sans-Pareil.
      En 1681, le roi décide d’établir une communication fluviale entre Saint-Omer et Calais plus directe que celle existante par l’Aa, l’Oye et le canal de Marck. En 1747, une inondation causa de nombreux dommages et ravages, particulièrement dans le bas pays privé de voies de communication. Le gouvernement envoya un ingénieur des ponts et chaussés reconnaître les lieux et apporter une solution. Monsieur Barbier eu l’idée remarquable d’élever un pont au point même où les canaux de Saint Omer-Calais, Ardres-Marck se coupent à angle droit. Ouvrage extraordinaire, pont à quatre branches, pont Sans-Pareil, carrefour de l’eau et de la terre, il n’avait qu’une seule voûte en cul-de-four pénétrée par deux cylindres qui forment quatre issues pour le passage d’autant de cours d’eau. Commencé le 10 juin 1749, il fut terminé en 1752[27].

    Héraldique

    Blason
    De gueules au bateau de pêche (chalutier) d’argent.
    Détails
    Blason suggéré par les Archives du Pas-de-Calais en 1996, il rappellerait le don qui fut fait par le comte de Flandre, Philippe d'Alsace, d'un bateau de pêche aux religieux de l'abbaye de La Capelle, fondée au XIe siècle et détruite en 1347 par les Anglais.
    Le champ de gueules est celui des armes dudit comte.
    Adopté par la municipalité.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Liste des communes composant l'aire d'attraction des Calais », sur insee.fr (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    7. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    8. Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 17.
    9. Source : site de la mairiehttp://www.lesattaques.fr/histoire_patrimoine.aspx
    10. Alphonse Wauters,Table chronologique des chartes et diplômes imprimés concernant l'histoire de la Belgique, 10 volumes en 11 tomes, Bruxelles, 1866 à 1904. Tome VII, 1re partie, Année 1183.
    11. « Journaux des marches et opérations des corps de troupe - Mémoire des hommes », sur www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le ).
    12. Journal d'opérations du commandement d'étapes de Nouvelle-Église, p. 58, lire en ligne.
    13. Journal de marche du commandement d'étapes de Nouvelle-Église, p. 5, lire en ligne..
    14. Journal de marche du commandement d'étapes de Nouvelle-Église, p. 43, lire en ligne..
    15. Journal de marche du commandement d'étapes de Guînes, période du 4 décembre 1917 au 27 mars 1918, p. 31.
    16. Journal de marche du commandement d'étapes de Guînes, période du 4 décembre 1917 au 27 mars 1918, p. 101.
    17. Bruno Mallet, « Bilan du maire des Attaques: un mandat marqué par une gestion foncière ingénieuse : Nous poursuivons notre série sur le bilan des maires avec aujourd’hui Jacques Rivenet, maire des Attaques depuis mars 1981, qui achève son cinquième mandat complet. Est-ce le dernier ? Il affirme ne pas avoir pris sa décision. », La Voix du Nord, .
    18. BE. B. (CLP), « À Les Attaques, Jacques Rivenet entame un sixième mandat consécutif : Avec 55,66% des voix, la Liste d’union et de défense des intérêts communaux menée par le maire sortant Jacques Rivenet, a remporté le scrutin des dernières municipales dès le premier tour, devançant d’un peu plus de cinq points la liste d’opposition dont quatre membres ont été élus au conseil municipal », La Voix du Nord, (lire en ligne).
    19. « Nadine Deniele-Vampouille élue maire des Attaques : Nadine Deniele-Vampouille a été désignée hier soir par le conseil municipal pour prendre la succession de Jacques Rivenet en tant que maire de la commune », Nord Littoral, (lire en ligne, consulté le ) « À la suite de l’annonce de la démission de Jacques Rivenet en décembre après 37 années de mandat, sa première adjointe depuis 2015 Nadine Deniele-Vampouille, 63 ans, avait annoncé dans nos colonnes sa volonté d’être candidate à sa succession, à la demande de l’ancien édile. C'est donc sans surprise que Nadine Deniele-Vampouille a été élue, par 14 voix contre 4 pour Eliane Krasinski, jeudi soir maire de la commune après en avoir assuré l'intérim depuis le 29 décembre ».
    20. https://reader.cafeyn.co/fr/1978716/21599238
    21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    25. « Évolution et structure de la population à Les Attaques en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    26. « Résultats du recensement de la population du Pas-de-Calais en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le ).
    27. Source : http://www.lesattaques.fr/histoire_patrimoine.aspx
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