Aigues-Vives (Ariège)
Aigues-Vives (Aigasvivas en occitan languedocien) est une commune française, située dans le département de l'Ariège en région Occitanie.
Pour les articles homonymes, voir Aigues-Vives.
Aigues-Vives | ||
![]() Vue sur le village. | ||
![]() Blason |
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Administration | ||
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Pays | ![]() |
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Région | Occitanie | |
Département | Ariège | |
Arrondissement | Pamiers | |
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays de Mirepoix | |
Maire Mandat |
Jean-Luc Tardy 2020-2026 |
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Code postal | 09600 | |
Code commune | 09002 | |
Démographie | ||
Gentilé | Aigues-Viviens | |
Population municipale |
655 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 127 hab./km2 | |
Géographie | ||
Coordonnées | 42° 59′ 51″ nord, 1° 52′ 35″ est | |
Altitude | Min. 391 m Max. 621 m |
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Superficie | 5,16 km2 | |
Unité urbaine | Commune rurale | |
Aire d'attraction | Lavelanet (commune de la couronne) |
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Élections | ||
Départementales | Canton de Mirepoix | |
Législatives | Deuxième circonscription | |
Localisation | ||
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | ||
Site web | aiguesvives-mairie.fr | |
Géographie
Localisation
La commune d'Aigues-Vives se trouve dans le département de l'Ariège, en région Occitanie[1].
Elle se situe à 22 km à vol d'oiseau de Foix[2], préfecture du département, à 25 km de Pamiers[3], sous-préfecture, et à 10 km de Mirepoix[4], bureau centralisateur du canton de Mirepoix dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Lavelanet[1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[5] : Régat (1,2 km), Tabre (1,6 km), Esclagne (2,8 km), Laroque-d'Olmes (3,0 km), Léran (3,0 km), Troye-d'Ariège (3,4 km), Limbrassac (3,5 km), Saint-Quentin-la-Tour (4,5 km).
Sur le plan historique et culturel, Aigues-Vives fait partie du pays d'Olmes, haut lieu de la tragédie cathare alliant des paysages d'une extrême diversité[6].
Aigues-Vives est limitrophe de six autres communes.
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Hydrographie
Le ruisseau du Countirou, qui prend sa source dans le village voisin de Tabre, traverse la commune d'Aigues-Vives, le long de la route départementale 625, et finit sa course dans l'Hers-Vif près de Mirepoix. Un certain nombre de ruisseaux traversent la commune et vont se jeter dans le Countirou (notamment les ruisseaux de la fontaine de Toustou, de Couxou, de Ribalerie, de Saint-Paul)[8].
Le lac de Montbel situé à trois kilomètres au sud-est, est visible depuis les collines qui surplombent Aigues-Vives.
Géologie et relief
Le village se situe sur un territoire formé lors du tertiaire, sur un sol mêlant poudingue et molasse[9], sur des strates dites de poudingues de Palassou, placées sur la faille nord-pyrénéenne[10].
Aigues-Vives est environnée de plusieurs collines, la plus élevée étant à 630 m d'altitude, en bordure ouest de la commune. Le village en lui-même se trouve à 420 m en moyenne, le point le plus bas étant 391 m[8].
Sismicité et catastrophes
Selon le décret no 2010-1255 du portant délimitation des zones de sismicité du territoire français, Aigues-Vives est exposée à un risque de niveau 3 (modéré)[11].
Les autres risques auxquels est exposée Aigues-Vives sont les feux de forêt, les risques industriels et les risques dus au transport de marchandises dangereuses[12]. Les catastrophes passées incluent la tempête de , les inondations et coulées de boue de et les coulées de boue de novembre-[13].
Climat
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Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats en France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[14]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[15]. À l'est du département, l’influence méditerranéenne accentue les contrastes saisonniers, le climat y est plus sec[16].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[17]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[14].
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[18] complétée par des études régionales[19],[20] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Les Cascades », sur la commune de Roquefort-les-Cascades, mise en service en 1996[21]et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[22],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,5 °C et la hauteur de précipitations de 1 053,2 mm pour la période 1981-2010[23]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Carcassonne », sur la commune de Carcassonne, dans le département de l'Aude, mise en service en 1948 et à 42 km[24], la température moyenne annuelle évolue de 13,7 °C pour la période 1971-2000[25], à 14,1 °C pour 1981-2010[26], puis à 14,5 °C pour 1991-2020[27].
Urbanisme
Typologie
Aigues-Vives est une commune rurale[Note 4],[28]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[29],[30].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lavelanet, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 28 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[31],[32].
Occupation des sols
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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (56,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (35,2 %), zones agricoles hétérogènes (23,7 %), prairies (16,5 %), terres arables (15 %), zones urbanisées (9,6 %)[33].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Aigues-Vives, de l'occitan Aigas Vivas (eaux vives) tient son nom des sources qui jaillissent des collines environnantes[34],[35]. Les formes anciennes Aygas vivas (1300), Aquisvivis (1377) et Aiguesvives (1801) sont également répertoriées[36].
Il y a quatre communes qui font référence à ce nom en France, mais aucune ne paraît d'origine romaine. C'est un vocable du haut Moyen Âge[37].
Histoire
La première mention écrite d'Aigues-Vives date de 1301[35]. Le village est sous la dépendance de Mirepoix, qui se trouve a une dizaine de kilomètres au nord, jusqu'en 1329, date à laquelle Gaston de Lévis-Léran s'approprie le château ainsi que les terres attenantes ; le village restera possession des Lévis-Léran jusqu'à la Révolution[36].
Les principales industries au XXe siècle sont le peigne en corne et le textile, comme c'est le cas pour une grande partie du pays d'Olmes[36].
Politique et administration
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Administration municipale
De par son nombre d'habitants (supérieur à 100, inférieur à 499), la commune dispose d'un conseil municipal de 11 membres (article L2121-2 du Code général des collectivités territoriales[38]).
Rattachements administratifs et électoraux
Commune faisant partie de l'arrondissement de Pamiers de la communauté de communes du Pays de Mirepoix et du canton de Mirepoix.
Liste des maires
Population et société
Démographie
Les habitants sont appelés les Aigues-Viviens[36].
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[40].
En 2018, la commune comptait 655 habitants[Note 6], en augmentation de 6,5 % par rapport à 2013 (Ariège : +0,25 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
selon la population municipale des années : | 1968[43] | 1975[43] | 1982[43] | 1990[43] | 1999[43] | 2006[44] | 2009[45] | 2013[46] |
Rang de la commune dans le département | 179 | 141 | 87 | 65 | 63 | 63 | 61 | 55 |
Nombre de communes du département | 340 | 328 | 330 | 332 | 332 | 332 | 332 | 332 |
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (16,5 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (28,3 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (52,2 % contre 48,4 % au niveau national et 48,8 % au niveau départemental).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :
- 52,2 % d’hommes (0 à 14 ans = 21,9 %, 15 à 29 ans = 15 %, 30 à 44 ans = 21,9 %, 45 à 59 ans = 26,5 %, plus de 60 ans = 14,6 %) ;
- 47,8 % de femmes (0 à 14 ans = 17,2 %, 15 à 29 ans = 9,7 %, 30 à 44 ans = 23,9 %, 45 à 59 ans = 30,7 %, plus de 60 ans = 18,5 %).
Enseignement
Aigues-Vives dispose d'une école maternelle et primaire, qui compte 68 élèves (pour l'année scolaire 2010-2011)[49].
Sports
Plusieurs structures sportives existent à Aigues-Vives : un club de football, de gymnastique, de Tai-chi-chuan, un vélo-club ainsi qu'un centre de loisirs qui accueille un club de karting et une piste de mini-golf[35].
Santé
Il n'y a ni pharmacie, ni médecin à Aigues-Vives, les plus proches se trouvant à Laroque-d'Olmes soit à environ trois kilomètres. Le centre hospitalier le plus proche, quant à lui, se situe sur Lavelanet à sept kilomètres.
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2008, le revenu fiscal médian par ménage était de 17 598 €, ce qui plaçait Aigues-Vives au 14 462e rang parmi les 31 604 communes de plus de 50 ménages en métropole[50].
Emploi, entreprises et commerces
Le taux de chômage en 2007 était de 13.6 %, légèrement plus haut chez les femmes que sur les hommes[51].
Plusieurs entreprises du bâtiment, notamment de maçonnerie, de peinture existent à Aigues-Vives, mais aussi une entreprise de tissage et une entreprise de création de sites web. Un traiteur asiatique exerce également, sans oublier le camping et le club de karting[52].
L'agriculture et l'élevage est un autre pan des activités d'Aigues-Vives : des céréales (blé), du fourrage et des vignes sont cultivés, tandis que bovins et ovins sont élevés. Les forêts proches sont également exploitées, et sont riches en champignons[53].
Projet de parc éolien
Un projet de création d’un parc éolien sur les crêtes de la serre du tut a été lancé, puis abandonné[54], en raison d’une vive opposition, notamment de la part de l’Association pour la Préservation du Tourisme et des Sites du Pays des Pyrénées Cathares.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Étienne, église romane dédiée à saint Étienne, avec un clocher-mur. Les anciens fonts baptismaux, avec vasque en pierre calcaire octogonale et socle en grès, datent de 1657. Ils ont depuis été transformés en bénitier, et ont été classés comme monument historique au titre d'objet[55]. Le monument aux morts se trouve également dans l'église[56].
- L'église, vue du nord-ouest.
Vitrail représentant le martyre de saint Étienne. - L'autel.
- Plusieurs croix de chemin, éparpillées aux quatre coins du village, servaient d'oratoires. Des processions en l'honneur de la Vierge y étaient organisées[35].
- Une colonne, avec un socle à section carrée, surmontée d'une statue de l'Immaculée Conception détériorée, se trouve sur le parking près de l'église. Elle fait environ quatre mètres de haut.
- Fontaine ancienne avec dispositif de pompage à manivelle, hors d'état d'usage.
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- Cabanes en pierre sèche en ruine, anciennement utilisées par les agriculteurs.
- Le Lac de Montbel se trouve à 5 kilomètres au sud-est.
- L'écomusée du camping de la Serre.
Personnalités liées à la commune
- Faust Nadal, médecin colonial. Né le à Aigues-Vives, décédé le dimanche à Souk El Arba (Tunisie). Médecin-chef de l'hôpital de Souk El Arba, il crée une maternité et une école enseignant les méthodes d'accouchement. Conseiller municipal de Souk El Arba, Membre du Conseil régional de Bizerte.
- Jean Pélissier (1883-1939), historien, sociologue, journaliste né à Aigues-Vives[57].
Pour approfondir
Bibliographie
- Histoire et patrimoine en Pays de Mirepoix, Office de tourisme de Mirepoix, , p. 115 à 119.
Articles connexes
Liens externes
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Site de la mairie
- Site de l’association Aigues-Vives Demain
Notes et références
Notes
- Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
Références
- « Métadonnées de la commune d'Aigues-Vives », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Aigues-Vives et Foix », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Aigues-Vives et Pamiers », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Aigues-Vives et Mirepoix », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches d'Aigues-Vives », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 348-349.
- Carte IGN sous Géoportail
- « Carte IGN », sur Geoportail - le portail des territoires & des citoyens (consulté le )
- [PDF] « Carte géologique simplifiée de l'Ariège », sur le site de la mairie de Vira (consulté le )
- « Répartition des corps ultra-basiques le long de la chaîne des Pyrénées », sur le site de l'académie de Toulouse (consulté le )
- [PDF] « Décret no 2010-1255 du 22 octobre 2010 portant délimitation des zones de sismicité du territoire français, dans les régions Aquitaine, Languedoc-Roussillon, Midi-Pyrénées », sur le site Légifrance (consulté le )
- « Base Gaspar - Risques pour le département ARIÈGE », sur le site prim.net du ministère de l’écologie, du développement durable, des transports et du logement (consulté le )
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- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- [PDF]« Plan Local d’Urbanisme d’Allières – Rapport de présentation », sur wxs-gpu.mongeoportail.ign.fr, (consulté le ), p. 125
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- « Page d'accueil », sur le site de la mairie d'Aigues-Vives (consulté le )
- Jean-Jacques Pétris, « Aigues-Vives », sur le site de l'association Histariège (consulté le ).
- Carte archéologique de la Gaule romaine - Parties 8 à 10 - Page 219.
- (fr) « nombre des membres du conseil municipal des communes », Legifrance
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
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- « Jean Pélissier (1883-1939) », sur BnF (consulté le )
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