Varaville

Varaville est une commune française, située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de 976 habitants[Note 1] (les Varavillais).

Varaville

L'église Saint-Germain de Varaville.

Blason
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Calvados
Arrondissement Lisieux
Intercommunalité Communauté de communes Normandie-Cabourg-Pays d'Auge
Maire
Mandat
Patrick Thibout
2020-2026
Code postal 14390
Code commune 14724
Démographie
Gentilé Varavillais
Population
municipale
976 hab. (2018 )
Densité 59 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 17′ 05″ nord, 0° 09′ 16″ ouest
Altitude Min. 2 m
Max. 20 m
Superficie 16,49 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Caen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Cabourg
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Varaville
Géolocalisation sur la carte : Calvados
Varaville
Géolocalisation sur la carte : France
Varaville
Géolocalisation sur la carte : France
Varaville
Liens
Site web www.varaville.fr

    Géographie

    Couvrant 1 649 hectares, Varaville est la commune la plus étendue de la Côte Fleurie et parmi les plus vastes du pays d'Auge. Commune du littoral, située entre Cabourg et Merville-Franceville-Plage, elle figure parmi les nombreuses stations balnéaires de la Côte Fleurie. Elle possède deux pôles : le Home, situé en front de mer, et le Bourg, entouré de terres agricoles et des marais de la Dives.

    Une plage de trois kilomètres de sable fin est entourée de dunes et bordée de villas historiques. La Manche offre à cet endroit une eau de bonne qualité pour la baignade (classée A).

    Communes limitrophes de Varaville[1]
    Merville-Franceville-Plage Mer de la Manche Cabourg,
    Dives-sur-Mer (sur quelques mètres)
    Gonneville-en-Auge,
    Bavent (sur quelques dizaines de mètres)
    Périers-en-Auge
    Petiville Bavent Brucourt,
    Goustranville

    Le , la commune passe de l'arrondissement de Caen à celui de Lisieux[3].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[6]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de température : 10,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 12 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 705 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sallenelles », sur la commune de Sallenelles, mise en service en 2004[10] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[11],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de précipitations de 715,8 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Deauville », sur la commune de Deauville, mise en service en 1973 et à 19 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 10,3 °C pour la période 1971-2000[14] à 10,7 °C pour 1981-2010[15], puis à 11 °C pour 1991-2020[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Varaville est une commune rurale[Note 6],[17]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[18],[19]. Elle appartient à l'unité urbaine de Dives-sur-Mer, une agglomération intra-départementale regroupant 24 communes[20] et 36 564 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[21],[22].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Caen, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 296 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[23],[24].

    La commune, bordée par la baie de Seine, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[25]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[26],[27].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (88,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (78,9 %), zones urbanisées (7,3 %), terres arables (5,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (4,2 %), forêts (2,4 %), eaux continentales[Note 8] (1,4 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,3 %), zones agricoles hétérogènes (0,1 %)[28].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[29].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Waraville en 1155 (Wace, Roman de Rou, vers 2881); Warevile, Wareville en 1160 (Benoît de Sainte-Maure); Varrevilla en 1190 (charte d’Aunay, n° 12); Waravilla au XIIIe siècle (cartulaire de Troarn)); Varavilla en 1230 (charte de fondation de l’abbaye Saint-Martin de Troarn)[30].

    Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en -ville au sens ancien de « domaine rural ». Le premier élément Vara- représente un anthroponyme[31] selon le cas général. Probablement le nom de personne vieux danois Wari[32], variante du nom de personne norois Varr[32] que l'on retrouve dans Varreville (Calvados, Neuilly, Varvilla 1294, ch. de Barbery, n° 163).

    Albert Dauzat cite une forme Waretvilla de 1049 - 1058 sans référence[31] et qui n'apparaît pas dans le Dictionnaire topographique du département du Calvados[30]. Il propose le nom de personne germanique Warat, forme reprise par René Lepelley qui latinise en Waratus[33]. La principale objection est d'ordre phonétique, en effet Waretvilla aurait dû aboutir à *Varéville ou *Varetteville.

    Remarque : dans Waraville, W- se prononce d'abord [w], puis est régulièrement passé à [v] à partir du XIIe siècle, évolution phonétique qui caractérise le normand septentrional. Elle est généralement notée V / v de nos jours[34].

    Histoire

    Moyen Âge

    Au IXe siècle, des incursions scandinaves se produisent, favorisées par la proximité de l'estuaire de la Dives. Certains s'y sédentarisent rapidement. Un chef danois, Harald, tente à son tour de s'en emparer, mais brièvement[35].

    Des marais salants ont existé au Home. Mais au XIVe siècle, à la suite de vexations des commis de la gabelle, ils cessent d'être exploités. Certaines de ces salines avaient appartenu à des abbayes normandes[35].

    En , une rencontre décisive eut lieu dans les marais de Varaville, entre les français du roi Louis qui avaient envahis la Normandie, et une coalition des troupes du duc de Normandie Richard, du duc des Francs Hugues le Grand, et des drakkars, installé à Cherbourg par Guillaume, d'Harold le Danois, qui rallièrent dans l'embouchure de la Dives le rassemblement des troupes du Cotentin et des ducs Richard et Hugues. Les Français furent mis en déroute, le roi Louis, fait prisonnier, fut livré à Hugues le Grand, qui le libéra en et Herluin de Montreuil mourut dans le combat[36].

    En 1027, eu lieu une autre bataille.

    Stèle commémorative de la bataille de Varaville.

    Le marais qui s'étend à l'est de Varaville a été le théâtre d'une bataille[37] en 1057 entre le duc de Normandie Guillaume, et le roi de France Henri Ier.

    À l'époque, deux seigneurs, le comte Geoffroy II d'Anjou et le duc de Normandie Guillaume, sont en forte rivalité. Le roi de France soutient tantôt l'un, tantôt l'autre, afin de contenir leur puissance grandissante. Après avoir aidé le duc Guillaume à reprendre Alençon et Domfront au comte d'Anjou, le roi de France se retourne contre Guillaume et mène quelques incursions en Normandie.

    En 1054, le roi attaque la Normandie au sud. Le frère du roi est défait à Mortemer.

    Trois ans plus tard, des troupes françaises commandées cette fois-ci par le roi Henri Ier de France en personne, remontent du sud en direction de Caen en Normandie. L'armée royale pille le pays, mais ne peut affronter les Normands qui, à quelques centaines contre des milliers, se dérobent. Le roi décide de faire route vers l'est sans doute pour prendre Rouen. Le [Note 9], l'avant garde de l'armée, où se trouve le roi, atteint la rive est de la vallée alors que son arrière-garde, se trouvant encore à 3 kilomètres, se fait attaquer par les Normands commandés par Guillaume qui ont attaqué par surprise en empruntant notamment un gué au travers des marais. Il s'ensuit une déroute totale de l'armée française laquelle, cernée par les Normands, les marécages au sud et la mer au nord, ne peut s'enfuir. Des hauteurs de Bassebourg[38], le roi Henri Ier observe impuissant sa défaite. Il ne s'en remettra pas et mourra trois ans plus tard dans la peine.

    La puissance continentale du duc de Normandie fut définitivement acquise lors de cette bataille qui eut lieu non loin de Croissanville[39].

    C'est toujours au nord de ce même endroit que neuf ans plus tard, la flotte normande sera rassemblée dans l'estuaire de la Dives pour la conquête de l'Angleterre, après une escale dans la baie de Somme.

    Époque comtemporaine

    La Belle Époque

    L'apparition du chemin de fer et la mode des stations balnéaires permettent au Home de renaître. Là où se trouvaient des « dunes à lapins », au nord de la commune, un lotissement permet la construction de quelques belles demeures. Mais l'isolement relatif (le Home n'étant pas desservi par une ligne de chemin de fer classique mais par les tramways des chemins de fer du Calvados) et le manque d'animations ne permettront jamais au Home de devenir une station familiale, comme Merville-Franceville-Plage ou Cabourg). Le Home ne vit qu'en saison, l'été, et s'endort l'hiver.

    L'entre-deux-guerres

    Un préventorium est créé dans l'ancien grand hôtel, qui accueille des enfants susceptibles de développer la tuberculose. Ce site, appartenant à la clinique Saint-Joseph de Caen, fonctionne grâce à des sœurs de l'ordre de Saint-Vincent-de-Paul, acquiert vite une certaine renommée, qui fait que la plage du Home bénéficie d'une réputation croissante.

    La Seconde Guerre mondiale

    Les autorités allemandes font évacuer le Home en , afin d'avoir une zone dégagée face à la Manche pour déceler et empêcher toute tentative de débarquement allié. De petits bunkers avaient été construits dans les dunes, face à la mer. Les familles des fermes isolées ou des marais sont évacuées pour permettre d'inonder la zone conformément aux ordres de Rommel. Ses inondations sont destinées à gêner des parachutages alliés. La plupart des arbres sont abattus pour ériger les asperges de Rommel. Lors des mois de et de , la proximité du front (Sword Beach) vers Merville-Franceville-Plage fait que la plupart des maisons et des infrastructures du Home ou du bourg sont très endommagées, voire détruites, souvent pillées. Certaines sont vandalisées par l'occupant[40]. Le bourg est libéré le par les parachutistes anglo-canadiens de la 6th Airborne Division qui subissent de lourdes pertes, mais il est réoccupé dès le lendemain par les Allemands. Dans l'immédiate après-guerre, des prisonniers de guerre allemands, du camp de prisonniers de la Grâce de Dieu, près de Fleury-sur-Orne, sont employés pour nettoyer et déminer la zone. L'église est relevée à son emplacement, dans le bourg, alors que la mairie de Varaville est édifiée au Home.

    Politique et administration

    Le monument aux morts.
    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    1945 1947 Georges Simon    
    1947 1964 Jean Bernard    
    1964 1971 Charles Labarrière    
    1971 1972 Georges Romeuf    
    1972 1983 Louis Bastide    
    1983 mars 2001 Gilbert Schwaller    
    mars 2001 mars 2008 Jean-Paul Lepoittevin   Gérant
    mars 2008[41] En cours Joseph Letorey[42] SE Ingénieur (retraité)
    Pour les données antérieures, dérouler la boîte ci-dessous.

    Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et quatre adjoints[43].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[45].

    En 2018, la commune comptait 976 habitants[Note 10], en augmentation de 3,28 % par rapport à 2013 (Calvados : +0,6 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    186276319320254263292310292
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    309297311261247250252289319
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    320341366424488561524397570
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    461511595729826815774888960
    2018 - - - - - - - -
    976--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[46] puis Insee à partir de 2006[47].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Patrimoine naturel

    Activité et manifestations

    Sur la commune se trouvent un golf 18 trous, des étangs de pêche et un centre équestre. En été, expositions de peintures ou de photos, randonnées pédestres, animations et soirées sont organisées.

    L'Association sportive du Hôme-Varaville a fait évoluer une équipe de football en divisions de district[50].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason
    De gueules à deux léopards d’or l'un au-dessus de l'autre.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2018.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Cette date qui figure sur la stèle de commémoration est quasiment impossible car elle se situe une semaine avant Pâques qui tombe le . Il est difficile de croire qu'une bataille ait eu lieu à ce moment-là, il est plus facile de croire le chanoine Wace de Bayeux qui nous parle du mois d'août.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée »
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée »
    3. « Recueil des actes administratifs du 22 décembre 2016 » [PDF], sur le site de la préfecture du Calvados (consulté le ).
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    7. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    10. « Station Météo-France Sallenelles - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Varaville et Sallenelles », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Sallenelles - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Varaville et Deauville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Deauville - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Deauville - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Deauville - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Unité urbaine 2020 de Dives-sur-Mer », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    21. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    22. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    23. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    25. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    26. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    27. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    28. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    29. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    30. Célestin Hippeau, Dictionnaire topographique du département du Calvados, Paris, 1883, p. 291 (en ligne sur Dico Topo
    31. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Librairie Guénégaud, , 2e éd., 738 p. (présentation en ligne), p. 700
    32. Wari sur Nordic Names (lire en anglais)
    33. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Caen, Presses Universitaires de Caen, (ISBN 2-905461-80-2), p. 263b
    34. René Lepelley, Guillaume le duc, Guillaume le roi : extraits du roman de Rou de Wace, Centre de publication de l'Université de Caen, Caen, 1987, p. 15.
    35. J. Chanson, Dictionnaire alphabétique, topographique, archéologique et historique du département du Calvados, 1853, réédition Les Éditions du Bastion, 1993.
    36. André Davy, Les barons du Cotentin, Condé-sur-Noireau, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits et introuvables du patrimoine Normand », , 319 p. (ISBN 978-2-91454-196-1), p. 81.
    37. Barthélemy Pont, Histoire de la ville de Caen, 1866, p. 244 et suivantes.
    38. Wace Le Roman de Rou et des ducs de Normandie, 1827, p. 446 qui renvoie à la page 93.
    39. Jean Dubuc Histoire chronologique de la Normandie et des Normands 2003, p. 168.
    40. « Le site des clochers de la France - Varaville » (consulté le ).
    41. « Joseph Letorey, le maire et ses adjoints ont été élus », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    42. Réélection 2014 : « Joseph Letorey a pris ses fonctions de maire », sur Ouest-france.fr (consulté le )
    43. « Varaville (14390) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    44. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    45. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    46. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    47. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    48. « Manoir dit Cour de la Maison », notice no PA00111775.
    49. « ZNIEFF 250020004 - MARAIS DE VARAVILLE », sur Inventaire national du patrimoine naturel
    50. « Site officiel de la Ligue Basse-Normandie – AS Le Hôme Varaville » (consulté le )
    • Portail du Calvados
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.