Bavent

Bavent est une commune française, située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de 1 869 habitants[Note 1].

Ne doit pas être confondu avec Bavans.

Pour les articles homonymes, voir Magdelaine Bavent.

Bavent

L'église Saint-Hilaire des XIIe et XIXe siècles.

Blason
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Calvados
Arrondissement Lisieux
Intercommunalité Communauté de communes Normandie-Cabourg-Pays d'Auge
Maire
Mandat
Jean-Luc Garnier
2020-2026
Code postal 14860
Code commune 14046
Démographie
Gentilé Baventais
Population
municipale
1 869 hab. (2018 )
Densité 101 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 13′ 50″ nord, 0° 11′ 18″ ouest
Altitude Min. 2 m
Max. 66 m
Superficie 18,45 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Caen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Cabourg
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Bavent
Géolocalisation sur la carte : Calvados
Bavent
Géolocalisation sur la carte : France
Bavent
Géolocalisation sur la carte : France
Bavent
Liens
Site web www.bavent.fr

    Géographie

    La commune est en bordure nord de la plaine de Caen et du pays d'Auge. Son bourg est à km au nord de Troarn, à km au sud-ouest de Cabourg et à 15 km au nord-est de Caen[1].

    Couvrant 1 845 hectares, son territoire est le plus étendu du canton de Cabourg.

    Le point culminant (66 m) se situe à l'ouest, près du lieu-dit la Grande Bruyère. Le point le plus bas (m) correspond à la sortie de la Dives du territoire, au nord-est.

    En raison de sa proximité à la mer, Bavent bénéficie d'un climat océanique. La station météorologique la plus proche est Caen-Carpiquet, à 19 km[2].

    Le , la commune passe de l'arrondissement de Caen à celui de Lisieux[4]

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[6].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[7]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[5]

    • Moyenne annuelle de température : 10,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 12,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 681 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sallenelles », sur la commune de Sallenelles, mise en service en 2004[11] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[12],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de précipitations de 715,8 mm pour la période 1981-2010[13]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Caen-Carpiquet », sur la commune de Carpiquet, mise en service en 1945 et à 19 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 10,9 °C pour la période 1971-2000[15] à 11,2 °C pour 1981-2010[16], puis à 11,5 °C pour 1991-2020[17].

    Urbanisme

    Typologie

    Bavent est une commune rurale[Note 6],[18]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[19],[20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Caen, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 296 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[21],[22].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (79,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (60,7 %), terres arables (17,5 %), forêts (14,6 %), zones urbanisées (4 %), zones humides intérieures (1,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,4 %), zones agricoles hétérogènes (0,1 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24].

    Toponymie

    Bavent est attesté sous les formes : Bavent en 1059[25], Badvento en 1063[26], Batvent en 1066[27].

    L'origine de ce nom de lieu divise les toponymistes :

    • Albert Dauzat et Charles Rostaing[28] bat vent : « endroit où bat le vent ».
    • René Lepelley émet une hypothèse similaire : celle d'un ancien moulin dont « les ailes battaient le vent »[29]. Il existe effectivement un moulin à Sénoville (Manche), appelé La Masse de Bavent. Si ce nom se réfère à un moulin à vent cela implique l'apparition de tels moulins en Occident un siècle plus tôt qu'on ne l'admet communément[30].
    • Ernest Nègre[31] propose d'expliquer Bavent par un anthroponyme germanique Badvin, pris absolument.

    On peut proposer un nom celtique en -ent-, latinisé -entu(m), que l'on trouve également dans Douvrend (Dovrent XIIe siècle)[32] précédé d'un élément indéterminé en l'absence de forme plus ancienne. Le même suffixe a pu être identifié dans les Nogent (Novientum, sur novio, nouveau) et Drevant (Derventum, sur dervo, chêne, cf. breton derv, chêne).

    Le gentilé est Baventais.

    L'ancienne commune de Robehomme lui est associée depuis 1975.

    Histoire

    En 1974, Bavent (984 habitants en 1968) fusionne avec Robehomme (122 habitants en 1954)[33],[34], qui garde le statut de commune associée.

    Politique et administration

    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
             
    1848   Henri-Gabriel-Marie Le Bègue de Germiny    
             
    1956 mars 1982 André Yvonnet   Médecin généraliste
    1983[35] mars 2008 Joël Leroy   Professeur
    mars 2008[36] En cours Jean-Luc Garnier[37]   Cadre administratif
    Les données manquantes sont à compléter.

    Le conseil municipal est composé de dix-neuf membres, dont le maire et de quatre adjoints[réf. souhaitée]. L'un de ces conseillers, Laurent Marie, est maire délégué de la commune associée de Robehomme.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[39].

    En 2018, la commune comptait 1 869 habitants[Note 8], en augmentation de 6,62 % par rapport à 2013 (Calvados : +0,6 %, France hors Mayotte : +1,78 %). Au XIXe siècle, Bavent avait compté un maximum de 968 habitants en 1831, avant de dépasser ce nombre en 1968 (984). Avant la fusion, Robehomme avait atteint 323 habitants en 1836.

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    827778846941968870880907890
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    912871817812791739727675675
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    669638597641660686547741905
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
    9849939141 6061 7231 7391 7381 7311 814
    2018 - - - - - - - -
    1 869--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Bavent est connu pour être le foyer de l'élevage de l'oie de Bavent, oie fermière reconnaissable à son dimorphisme sexuel (jars blanc et oie tachetée) et à son toupet sur la tête, et excellente oie à rôtir[41].

    Le groupe Terreal y dispose d'une usine de production de tuiles.

    La poterie du Mesnil de Bavent crée des épis de faîtage en faïence. Elle détient le label Entreprise du patrimoine vivant et son savoir-faire est inscrit à l'Inventaire du patrimoine culturel immatériel en France.

    Culture locale et patrimoine

    Distinction

    Candidat au palmarès 2019 du Concours départemental des villes et villages fleuris de France, Bavent a reçu le 2ème prix dans la 3ème catégorie (communes de plus de 5 000 habitants) le 14 octobre 2019[42].

    Lieux et monuments

    Manifestation

    À partir de , un Festiv'Argile est organisé, en principe tous les deux ans[48].

    Sports

    Le Football club baventais, qui ne fait plus évoluer qu'une équipe de football en catégorie vétéran[49].

    Jumelages

    La commune est jumelée avec :

    Personnalités liées à la commune

    • Henri-Gabriel-Marie Le Bègue de Germiny (1811-1900), homme politique, maire de Bavent
    • Louis Loriot (1883-1962 au manoir du Prieuré de Bavent), fils de Charles Loriot. Homme politique. Il a été notamment directeur de cabinet du garde des sceaux, en 1926[50], puis élu conseiller général de l'Eure dans le canton de Beuzeville en 1927[51], jusqu'en 1940.
    • David Haig-Thomas, explorateur, commando britannique, mort à Bavent le 6 juin 1944. Il est enterré dans le cimetière autour de l'église.

    Héraldique

    La municipalité de Bavent a choisi de ne plus communiquer avec le blason ci-dessous [52].

    Les armes de la commune de Bavent se blasonnent ainsi[Note 9] :
    D'argent à la cotice de gueules chargée de quatre poteries de Bavent d'or (un pot à deux anses, un broc, un vase et un pot à col évasé) posées en barre, et accompagnée en chef de trois fleurs de jonquilles aussi d'or* ordonnées en orle et en pointe d'un héron contourné du même * becqué et membré de sable ; au chef d'or chargé de l'inscription en capitales de sable BAVENT senestré de gueules à deux léopards aussi d'or l'un sur l'autre [53].

    Voir aussi

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2018 (2018).
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[8].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    9. La règle de contrariété des couleurs n'est pas respectée : ces armes sont fautives (or sur ag).

    Références

    1. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr
    2. Distance orthodromique selon le site Lion 1906
    3. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée »
    4. « Recueil des actes administratifs du 22 décembre 2016 » [PDF], sur le site de la préfecture du Calvados (consulté le ).
    5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    6. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    7. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    8. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    9. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    10. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    11. « Station Météo-France Sallenelles - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    12. « Orthodromie entre Bavent et Sallenelles », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station Météo-France Sallenelles - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    14. « Orthodromie entre Bavent et Carpiquet », sur fr.distance.to (consulté le ).
    15. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    20. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    24. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    25. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Librairie Guénégaud 1978.
    26. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France. 2. Formations non-romanes…, Volume 2, Droz, p. 829.
    27. J. Adigard des Gautries et F. Lechanteur, "Les noms des communes de Normandie", in Annales de Normandie, octobre 1961 à juin 1969.
    28. Ibidem
    29. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Presses Universitaires de Caen, 1996 (ISBN 2-905461-80-2), p. 60.
    30. Guy Chartier - De l'étymologie de certains noms de communes normandes [article] Annales de Normandie - Année 1999 - page 99.
    31. Ibidem
    32. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150)
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Robehomme », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    35. « Claude Ecobichon et Joël Leroy sont médaillés », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    36. « Jean-Luc Garnier a été désigné nouveau maire de la commune », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    37. Réélection 2014 : « Jean-Luc Garnier en route pour un deuxième mandat », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    41. Rustica, Élever des oies normandes
    42. « Concours des villes et villages fleuris », sur www.calvados.fr (consulté le )
    43. Le patrimoine des communes du Calvados, vol. 1, Paris, Flohic Éditions, , 1715 p. (ISBN 2-84234-111-2), p. 359-362
    44. Notice no PA00111041, base Mérimée, ministère français de la Culture
    45. « Parc », notice no IA14003360, base Mérimée, ministère français de la Culture
    46. « Château », notice no PA00111040, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    47. DREAL Basse-Normandie pdf
    48. « Ouest-france.fr - Un festival de l'argile en projet pour 2012 - Bavent » (consulté le )
    49. « FC baventais », sur Site officiel de la Ligue de Normandie (consulté le )
    50. « Le Rappel (numéro 20462) », sur Gallica,
    51. « Le Rappel », sur Gallica,
    52. Elle a défini un logo, qui ne peut plus se définir comme blason. Ce nouvel emblème est visible sur le site de la mairie de Bavent à cette adresse : « Nouveau blason de la commune de Bavent. »
    53. http://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=1209

    Liens externes


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