Ordre de Saint-Lazare de Jérusalem

L'ordre de Saint-Lazare de Jérusalem, ou ordre des hospitaliers de Saint-Lazare de Jérusalem, est un ordre hospitalier fondé à Jérusalem aux XIe ou XIIe siècle pour accueillir les pèlerins atteints de la lèpre, il ouvrira ses portes aux croisés et chevaliers lépreux pendant les croisades nommés Lazarites. Certains de ses chevaliers lépreux participent à la défense des états latins d'Orient. Après la perte de la Terre sainte, l'ordre se regroupe en France autour de son grand maître à la commanderie de Boigny-sur-Bionne jusqu'à la confiscation de tous ses biens en France à la Révolution. Il subit bien des aléas du fait de ses protecteurs jusqu'au moment où Louis XVIII dilapide les derniers biens restants pendant son exil.

« Lazarite » redirige ici. Ne pas confondre avec Congrégation de la Mission.
Ne doit pas être confondu avec Ordre militaire et hospitalier de Saint-Lazare.

Ordre de Saint-Lazare
Ordre de droit pontifical
Approbation pontificale 1255
par Alexandre IV
Type Ordre hospitalier
Spiritualité Règle de saint Augustin
Structure et histoire
Fondation XIe siècle
Fondateur Moines Arméniens
Fin 1830
Liste des ordres religieux

Les origines de l'Ordre

Les historiens ne disposent d'aucun document permettant de décrire la création de l'ordre de Saint-Lazare de Jérusalem. En 1099, les armées croisées de Godefroy de Bouillon s'emparent de Jérusalem. S'il est fait alors mention des Hospitaliers de Saint-Jean, à qui Godefroy de Bouillon fait don de terre pour avoir soigné les croisés[1], il n'est toujours pas fait état des hospitaliers de Saint-Lazare.

La première mention de l'ordre de Saint-Lazare trouvée dans des sources date de 1142[2]. La tradition veut que l'hôpital de Saint-Lazare se trouve à l'extérieur de Jérusalem comme d'ailleurs tous les lazarets (mot dérivé de Lazare de Béthanie pour désigner les léproseries) l'étaient à cette époque. Cet hôpital serait alors desservi par des moines régis par la règle de saint Basile le Grand sous la juridiction du patriarche grec-melkite de Jérusalem.

À l’origine, et c’était là leur particularité, seuls des lépreux étaient membres de l’Ordre : les lépreux prenaient soin des lépreux. De là vient leur nom de « Lazarites » par référence au « Lazare » de l’Évangile, un mendiant lépreux. Les membres des autres ordres de Terre sainte (les Hospitaliers, Templiers et Teutoniques), atteints de la lèpre devaient quitter leur ordre pour intégrer celui de Saint-Lazare[3]. L'ordre de Saint-Lazare crée des lazarets en Terre sainte comme à Acre mais aussi en Europe.

Les membres de Saint-Lazare, dont les chevaliers lépreux issus des autres ordres militaires seront aux côtés de leurs anciens frères pour la défense de la Terre sainte face aux infidèles. Ils participent à la bataille de Gaza en 1244 et y sont décimés. Cela a fait croire que l'ordre de Saint-Lazare était aussi un ordre militaire mais aucune bulle papale ne lui reconnait ce titre ; cependant son but était bien de recevoir et sauvegarder les pèlerins, et de soigner les chrétiens malades, spécialement les lépreux. Le pape Alexandre IV confirma en 1255 cette pieuse association, qui adopta la règle de saint Augustin ; le Saint-Siège étant très réticent pour développer l'état de moine-soldat, les Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem attendront 125 ans avant d'obtenir le statut d'ordre militaire.

L'Ordre en Terre sainte

Des chevaliers lépreux, maintenant de Saint-Lazare, arborant la croix verte à la place de l'étoile blanche des Hospitaliers, rouge des Templiers ou noire des Teutoniques, se retrouvent les armes en mains dans les combats de Terre sainte comme pour la prise d'Acre en 1191, la bataille de Gaza en 1244, au combat de Damiette, à la bataille de Mansourah en 1250[4]. C'est en adoptant alors la règle augustinienne que l'Ordre est reconnu comme hospitalier par une bulle d'Alexandre IV fulminée le . Lorsque la ville d’Acre est perdue lors du siège de Saint-Jean-d'Acre en 1291, confirmant la perte des États latins d'Orient, le maître général de l'ordre, Thomas de Sainville, regroupe les restes de l'Ordre sur le Royaume de France, lui-même installant le siège de l'Ordre à la commanderie de Boigny-sur-Bionne.

L’Ordre en Occident

Les Chevaliers de Saint-Lazare ayant été plus tard chassés de Palestine, vinrent en France, où ils fondèrent la commanderie de Boigny, dans l'Orléanais ; ainsi près d'Orléans, le domaine de Boigny-sur-Bionne aurait été fondée par Louis VII et érigé en domaine royal. Au retour de la deuxième croisade, le roi installe sur le domaine des chevaliers de l'ordre de Saint-Lazare. Après son mariage avec Constance de Castille qui y aurait été célébré en 1154, il cédera l'ensemble du domaine à l'Ordre qui en fera sa commanderie mère. En Occident, les Lazarites ont une nouvelle vie et les fondations sont très nombreuses durant les XIIIe siècle et XIVe siècles : des commanderies de l’Ordre existent alors, en plus de la France, en Angleterre, Écosse, Allemagne, Hongrie, Espagne, Italie, Suisse, Flandres, etc.

Dans le même temps où Philippe le Bel cherche à réduire l'ordre du Temple, il met sous sa garde, en 1308, l'ordre de Saint-Lazare en déclarant le roi de France comme protecteur héréditaire de l'Ordre.

Leur compétence au service des malades est appréciée. Au XVe siècle cependant, l’ordre périclite rapidement. En Allemagne, ils sont incorporés à l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem en 1498. En France, les Templiers[réf. nécessaire] reprennent leur commanderie à Boigny. Au XVIe siècle l'Ordre perd une grande partie de ses ressources en même temps que des biens importants en Italie, Angleterre, Allemagne et Suisse. En 1534 lorsqu’il rompt avec l'église catholique, Henri VIII réunit le Prieuré anglais de Burton au domaine royal. En Allemagne et en Suisse, l'Ordre est dépossédé de ses biens par les princes protestants lors de la Réforme.

L'ordre des Saints-Maurice-et-Lazare en Italie

Le le pape Grégoire XIII - par la bulle Pro Comissa Nobis - réunit l'Ordre de Saint-Lazare de Jérusalem et l'ordre savoyard de Saint-Maurice, créé en 1434, pour former l’Ordre des Saints-Maurice-et-Lazare qui se place sous la protection héréditaire des Ducs de Savoie.

Les ducs de Savoie deviennent rois de Piémont-Sardaigne, puis rois d'Italie. Après l'unification italienne l’Ordre des Saints-Maurice-et-Lazare devient le premier ordre du mérite du nouveau royaume d'Italie[5]. Les commanderies héréditaires sont abolies et ses membres continuent à entretenir leurs hôpitaux dans le Piémont[5].

L'Ordre cesse d'être un ordre national à l'établissement de la République italienne. Elle confisque les hôpitaux de l'Ordre , dont celui de Turin[6]. Par des statuts en 1996, il se recrée et devient un ordre dynastique non national, reconnu par la république italienne.

Union de l'Ordre avec l'ordre Notre-Dame du Mont-Carmel en France

Louis XIV recevant le serment du grand-maître des ordres réunis du Mont-Carmel et de Saint-Lazare le 18 décembre 1695.

En 1607, Henri IV fonde l’ordre de Notre-Dame du Mont-Carmel pour sceller la réconciliation du roi de France, converti au catholicisme en 1593, avec le Saint-Siège : ainsi cette même année 1607 le pape Paul V unit les chevaliers de Saint-Lazare de Jérusalem aux Chevaliers de Notre-Dame du Mont-Carmel, à la prière d'Henri IV, qui en 1608, confie la direction au grand maître de l’ordre de Saint-Lazare, Philibert de Nerestang. Après un refus du pape, l’union est confirmée le par une bulle du cardinal de Vendôme, légat du pape en France.

En 1672, Louis XIV ordonna la réunion à l'ordre de Saint-Lazare et du Mont-Carmel de tous les biens des léproseries de France. Ce fut alors qu'on vit apparaître les prétentions des chevaliers de Saint-Lazare, particulièrement en Bretagne où ils réclamèrent spécialement le prieuré de Saint-Lazare de Montfort, la chapelle de la Magdeleine de Fougères, et celle de Saint-Antoine de la Houlle à Cancale[7] : il apparaît qu'originairement l'ordre de Saint-Lazare avait réellement possédé Saint-Lazare de Montfort et la Magdeleine de Fougères. Quoi qu'il en fût, les prétentions de ces chevaliers, étant surtout fondées sur l'édit de 1672, ne furent pas de longue durée, car Louis XIV révoqua cet édit dès 1693, et unit alors tous les biens des léproseries aux hôpitaux voisins, à la charge pour ces hôpitaux de recevoir les pauvres malades des paroisses où étaient situés ces mêmes biens.

Depuis lors, les deux ordres réunis sont plus soumis à la royauté qu'à la papauté. C'est le roi de France, et non le pape ou même les chevaliers, qui désigne le grand maître conjoint des deux ordres. Ils aident leur protecteur, le roi de France, en fonction de ses désirs, dans le secours aux vieux soldats, dans la course barbaresque ou sus à l'« Anglais » en armant dix frégates à Saint-Malo, en créant en 1667 l'académie de marine à Paris ou en administrant toutes les léproseries et hôtels-Dieu du Royaume entre 1672 et 1693[réf. nécessaire].

La royauté se servira aussi de l'ordre royal de Notre-Dame du Mont-Carmel et de Saint-Lazare de Jérusalem réunis comme d'un ordre de chevalerie avec l'ordre de Saint-Michel. À la création de l'ordre de Saint-Louis en 1693 par Louis XIV, l'ordre royal de Notre-Dame du Mont-Carmel et de Saint-Lazare de Jérusalem fut réservé aux personnes de fraîche noblesse, voire à de simples roturiers.

Avec la nomination, en 1720, de Louis, duc d'Orléans comme grand maître des ordres réunis (1720-1752), la grande maîtrise n'échappera plus à un prince de sang. Le duc d'Orléans va s'attacher à redonner aux ordres une plus grande rigueur religieuse en réinstituant une lecture de l’office quotidien tel que le veut la règle. Suivra Louis, duc de Berry (1757-1773), futur Louis XVI, qui devra régler un différend avec l’assemblée du Clergé de France au sujet de la capacité pour un ordre essentiellement laïque de recevoir des biens ecclésiastiques. Clément XIV règlera le problème avec la bulle Militarium Ordinum Institutio, le , déniant cette capacité à un ordre non religieux.

Enfin Louis, comte de Provence (1773-1814), futur Louis XVIII, est le dernier grand maître, il donnera une indépendance à chacun des deux ordres en 1779. C'est par un nouveau règlement du , que le comte de Provence réserve l'ordre de Notre-Dame du Mont-Carmel aux seuls élèves de l’École militaire. Le prieur de la commanderie de Boigny, seigneur de Saint-Lazare, Jérusalem, Bethléem (en Galilée) et Nazareth, est également seigneur de plusieurs maisons et 18 rues à Paris, sises depuis le carrefour de la Pierre-au-Lait jusqu'au cloître Saint-Jacques de la Boucherie, et jusqu'au crucifix Saint-Jacques en revenant audit cloître[8].

Fin de l'Ordre

Après la dernière promotion à l'École militaire en , le comte de Provence ferme l’École en 1788 et supprime l'ordre de Notre-Dame du Mont-Carmel en attribuant par lettres patentes de , ses biens à l'ordre de Saint-Lazare de Jérusalem.

Le pape Clément XIV fulmina en 1772 la bulle, Institutio de Ordinum Militarium, par laquelle il déclare que les ordres unis de Saint-Lazare et de Notre-Dame-du-Mont-Carmel ne seront plus qualifiés d’ordres religieux et, on l'a vu plus haut, il leur dénie de pouvoir recevoir des dons ou biens ecclésiastiques. La Révolution va précipiter la fin de l'ordre de Saint-Lazare quand le gouvernement révolutionnaire confisque tous les biens de l’Ordre en 1791, à commencer par la commanderie magistrale de Boigny-sur-Bionne.

Le comte de Provence part en exil à Coblence, à Kalmar, Riga et enfin Mittau d'où il continue de diriger un semblent d’Ordre en nommant des chevaliers. En 1799, il admet le tsar Paul Ier de Russie, grand admirateur des ordres de chevalerie et son fils le futur tsar Alexandre Ier de Russie. En 1808, c'est le roi Gustave IV Adolphe de Suède qu'il nomme chevalier. Il s'installera dès 1807 en Grande-Bretagne qui lui versera, ainsi que la cour du Brésil, des fonds. Le futur Louis XVIII épuisera aussi les derniers biens de l'ordre de Saint-Lazare pour entretenir la petite cour qui l'entoure.

Devenu roi de France en 1814-1815, il ne porte plus le titre de grand maître mais celui de protecteur de l'ordre de Saint-Lazare. Il se gardera bien de nommer un nouveau grand maître, laissant l'Ordre à la direction d'un administrateur général, Claude-Louis, duc de La Châtre (1814-1824). À la mort de Louis XVIII, la protection de l'Ordre revient à Charles X qui laisse la direction de l'Ordre à un conseil des officiers. L'Ordre disparaît définitivement en 1830, à la chute de Charles X.

Liste des grands maîtres de l’ordre de Saint-Lazare

Le manque de documents sur l'origine de l'Ordre ne permet pas de connaitre avec certitude les premiers responsable de l'Ordre. Il existe même une confusion avec les Hospitaliers de Saint-Jean qui fait attribuer certains de ses responsables aux Hospitaliers de Saint-Lazare comme frère Gérard, Boyant Roger et même Raymond du Puy. Nous possédons une liste dressée par Dorat de Chameulles dans son Armorial des Ordres de Notre-Dame du Mont-Carmel et de Saint-Lazare qui fait débuter la liste des supérieurs de l'ordre en 1234.

Supérieurs de l'Ordre en Terre sainte

  • Raynaud de Flory (1234-1254) : les Flory tenaient un rang distingué dans le royaume de Jérusalem, mais leurs origines et leurs armes ne sont pas connues. Vers 1200, un Flory de Fouquerol était prieur de France des Hospitaliers de Saint-Jean.
  • Jean de Meaux (1254-1277) : titré précepteur général de l'Ordre. Plusieurs membres de cette famille se croisèrent et l'un d'eux escorta de Terre sainte à la Sainte-Chapelle de Paris la Sainte Couronne d'épines du Christ.
  • Thomas de Sainville (1277-1312) : titré maître général de lOrdre.

Supérieurs de l'Ordre au Royaume de France

  • Adam de Veau (1312-1342).
  • Jean de Paris (1342-1349).
  • Jean de Coaraze (1349-1354/55) : dit fautivement Courras et Couraze.
  • Jean Le Conte (1354/55-1368).
  • Jacques de Besnes alias de Baynes (1368-1384).
  • Pierre des Ruaux (1413-1454).
  • Guillaume des Mares (1454-1469) : il existe en Normandie, province dont ce maître des Hospitaliers de Saint-Lazare était originaire, une famille des Mares de Bellefossé qui revendique Guillaume pour l'un des siens.
  • Jean Le Cornu (1469-1493).
  • François d'Amboise (1493-1500) : fils aîné de Charles Ier de Chaumont d'Amboise, et neveu d'Emery d'Amboise, grand maître de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem.
  • Agnan de Mareuil (1500-1519).
  • François de Bourbon, comte de Saint-Pol (1519-1521) : son inscription sur la liste des chefs de l'Ordre n'est justifiée que par un acte du le qualifiant commandeur de Boigny. Il appartenait à la branche des Bourbon-Vendôme et c'est par son mariage, en 1535, qu'il devint duc d'Estouteville.
  • Claude de Mareuil (1521-1524) : neveu d'Agnan de Mareuil.
  • Jean Conti (1524-1557).

Grands maîtres de l'Ordre en France

  • Jean de Levis (1557-1564) : il est mis à la tête de l'ordre en vertu de la bulle Nos igitur de 1489. Prend le titre de grand maître.
  • Michel de Sèvre (1564-1578) : chevalier de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, l'un des plus remarquables grands maîtres de Saint-Lazare avec ses successeurs Salviati et Clermont-Chastes.
  • François Salviati (1578-1586) : parent et conseiller de Catherine de Médicis.
  • Michel de Sèvre (1586-1593) : en renonçant à sa charge en faveur de Salviati, il s'en était réservé certains droits honorifiques et reprit ses fonctions après la disparition de ce dernier.
  • Aymar de Clermont de Chastes (1593-1603) : chevalier de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, Vice-amiral des mers du Ponant[réf. à confirmer]. Selon certains auteurs, dont Dorat de Chameulles qui le cite dans son armorial, Clermont aurait eu pour successeur immédiat Hugues Catelan de Castelmore dont le magistère fut bref.
  • Charles de Gayand de Monterolles (1603-1604) : neveu de Clermont et assumant les fonctions de grand maître dès 1599 d'après Gautier de Sibert.
  • Philibert, marquis de Nérestang (1604-1620) : grand maître de Saint-Lazare puis (1608) des ordres réunis de Saint-Lazare et de Notre-Dame du Mont-Carmel.
  • Claude, marquis de Nérestang (1620-1639) : fils du précédent.
  • Charles, marquis de Nérestang (1639-1644) : fils du précédent.
  • Charles-Achille, marquis de Nérestang (1645-1673) : frère de Charles.
  • Michel Le Tellier, marquis de Louvois (1673-1691) : avec le titre de vicaire général jouissant des pouvoirs attachés à celui de grand maître.
  • Philippe de Courcillon, marquis de Dangeau (1693-1720).
  • Louis d'Orléans, duc de Chartres, puis duc d’Orléans (1720-1752).
  • Louis de France, duc de Berry (1757-1773) : il quitta le grand magistère en devenant dauphin et fut le roi Louis XVI.
  • Louis de France, comte de Provence (1773-1814) : frère du précédent et futur Louis XVIII.

Commanderie

Liste non exhaustive des commanderies de l'Ordre :

  • Aigrefeuille, à Bâgé-la-Ville.
  • Commanderie d'Amboise.
  • Commanderie de Touraine à Vouvray.
  • Commanderie de Lutèce.
  • Commanderie Boigny à Boigny.
  • Commanderie de Bourgogne.
  • Commanderie d'Île-de-France.
  • Commanderie de Saint-Giles.
  • Commanderie de Touraine et Comté de Blois.

Héraldique

Escudo de la Orden de San Lázaro.

Articles connexes

Notes et références

  1. acte conservé à la Bibliothèque nationale de Malte, B. Gallimard Flavigny, 2006, p. 19
  2. D. Marcombe (2003) p. 11
  3. A. Dumerger, référence à venir
  4. D. Marcombe (2003) p. 14
  5. Seward, 2000, p.303
  6. Seward, 2000, p.344
  7. Archives Nationales, S. 4850
  8. Henri Sauval, Histoire et recherches des antiquités de la ville de Paris, t. 2, Paris, Jacques Chardon, (lire en ligne), p. 425.

Sources et bibliographie

  • (en) Peter Bander van Duren, Orders of Knighthood and of Merit The Pontifical, Religious and Secularised Catholic-founded Orders and their relationship to the Apostolic See, 1995
  • Alain Demurger, Chevaliers du Christ, les ordres religieux-militaires au Moyen Âge, Seuil, 2002 (ISBN 2-02-049888-X)
  • Lt Col. Gayre of Gayre and Nigg, Le crépuscule de la chevalerie, Fernand Lanore, 1973, (ISBN 978-7-6300-0360-1)
  • Rafael Hyacinthe, L'Ordre de St-Lazare de Jérusalem au Moyen Âge, Études et Communications Éditions, 2003, (ISBN 2-911722-20-5)
  • (en) David Marcombe, Leper Knights, The Order of St. Lazarus of Jerusalem in England, c. 1150-1544, The Boydell Press, Rochester, 2003
  • (es) Félix Alberto Montilla Zavalía, Las Órdenes de Caballería y las Órdenes Honoríficas Católicas en la actualidad, Editorial Dunken, Buenos Aires, 2001
  • Desmond Seward, Les Chevaliers de Dieu, Perin, 2000
  • Pierre Edmé Gautier de Sibert, Histoire des Ordres royaux hospitaliers-militaires de Notre-Dame du Mont-Carmel et de Saint-Lazare de Jérusalem, Paris, 1983, première édition 1772
  • F. Toussaint de Saint-Luc, Mémoires sur l'institution, progrès et privilèges de Notre_Dame du Mont-Carmel et de Saint-Lazare de Jérusalem, Paris, 1666
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