Marolles-en-Brie (Seine-et-Marne)

Marolles-en-Brie (prononcé [ma.ˈʁɔ.lɑ̃ ˈbʁi]) est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Marolles et Marolles-en-Brie (Val-de-Marne).

Marolles-en-Brie

L'église Saint-Georges-et-Thomas-Beckett.

Blason
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Meaux
Intercommunalité Communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie
Maire
Mandat
Christine Guillette
2020-2026
Code postal 77120
Code commune 77278
Démographie
Gentilé Marollais
Population
municipale
406 hab. (2018 )
Densité 45 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 46′ 41″ nord, 3° 09′ 54″ est
Superficie 9,05 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Coulommiers
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Marolles-en-Brie
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Marolles-en-Brie
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Marolles-en-Brie
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Marolles-en-Brie
Liens
Site web marollesenbrie.info

    Géographie

    Localisation

    Marolles-en-Brie est une commune rurale du plateau briard, située au Nord-Est de la Seine-et-Marne, à km de Coulommiers, à 11 km de Rebais et à 12 km de La Ferté-Gaucher.

    Une partie du territoire est concernée par un site Natura 2000[1]

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Marolles-en-Brie
    Chailly-en-Brie Saint-Siméon
    Choisy-en-Brie
    Amillis Chevru

    Réseau hydrographique

    Carte des réseaux hydrographique et routier de Marolles-en-Brie.

    Le réseau hydrographique de la commune se compose de quatre cours d'eau référencés :

    • le ru de Vannetin ou ru de Pietree, long de 18,63 km[2], affluent du Grand Morin ;
      • le ru de l'Étang Nodart, 2,59 km[3], et ;
      • le ru de Non Gérard ou Fossé 01 de Milhard, 1,63 km[4], et ;
      • le ru de Non Gérard[Note 1], 0,36 km[5], affluents du Vannetin.

    La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 6,87 km[6].

    Gestion des cours d'eau

    Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[7].

    La commune fait partie du SAGE « Petit et Grand Morin », approuvé le . Le territoire de ce SAGE comprend les bassins du Petit Morin (630 km2) et du Grand Morin (1 185 km2)[8]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat mixte d'aménagement et de gestion des Eaux (SMAGE) des 2 Morin, qualifié de « structure porteuse »[9].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 3,6 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 3,6 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,3 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 757 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : 0,2 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : -3,2 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[10].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[11]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[10]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[12]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 40 km à vol d'oiseau[13], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour 1981-2010[14] à 11,6 °C pour 1991-2020[15].

    Réseau Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[16].

    Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats »[17],[Carte 1] : la « Rivière du Vannetin », d'une superficie de 63,3 ha, une rivière de première catégorie piscicole située dans un contexte agricole encore varié et extensif mais qui a conservé des écosystèmes naturels particulièrement riches pour la région Île-de-France. Ce cours d’eau accueille des populations de Lamproie de Planer et de Chabot. La Loche de rivière a aussi été observée sur le site[18],[19].

    Urbanisme

    Typologie

    Marolles-en-Brie est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[20],[21],[22].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire regroupe 1 929 communes[23],[24].

    Lieux-dits, écarts et quartiers

    La commune compte 13 hameaux, dont[25] : Ranchien, La Hante, La Hallée, Les Morils, La Cressonnière, Forêt Malnoue, Bois Saint Georges, La Bassignière, Maison Rouge, Milhard, La Ferrière.

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (93,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (81,9% ), zones agricoles hétérogènes (8,6% ), forêts (6,8% ), zones urbanisées (2,7 %)[26].

    Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[27],[28],[Carte 2]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 3].

    Planification

    La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT du Bassin de vie de Coulommiers, approuvé le et porté par le syndicat intercommunal d’étude et de programmation (SIEP) de Coulommiers[29].

    La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en révision[30]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 4].

    Logement

    En 2017, le nombre total de logements dans la commune était de 178 dont 98,9 % de maisons (maisons de ville, corps de ferme, pavillons, etc.) et 0,6 % d'appartements[Note 5].

    Parmi ces logements, 83,1 % étaient des résidences principales, 11,9 % des résidences secondaires et 5,1 % des logements vacants.

    La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 87,1 % contre 10,8 % de locataires et 2,1 % logés gratuitement[31].

    Voies de communication et transports

    La commune est desservie par la ligne d’autocars No 10 (Coulommiers - Meilleray) ) du réseau Transdev-IdF[32].

    Marolles est à km de la gare de Coulommiers, la gare de Saint-Siméon, plus proche, étant fermée depuis 2002.

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous les formes Capella de Mairoliis en 1135[33] ; Merroliae castellum en 1201[34] ; Dominus de Merroliis en 1213[35] ; Merroliae en 1243[36].

    Toponyme d'origine gauloise très répandu, Marolles est composé de l'adjectif maros signifiant « grand » suivi de l'appellatif -ialon « clairière, lieu défriché » et par extension « village », donnant māro-ialon (ultérieurement latinisé en maro-ialum) dont le sens global est « grande clairière », « grand bourg »[37],[38].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune était intégrée à l'arrondissement de Provins du département de Seine-et-Marne.

    Afin de faire coïncider les limites d'arrondissement et celles des intercommunalités, elle intègre le l'arrondissement de Meaux[39].

    Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la cinquième circonscription de Seine-et-Marne.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton de La Ferté-Gaucher[40]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle intègre le canton de Coulommiers.

    Intercommunalité

    La commune était membre de la communauté de communes Avenir et développement du secteur des Trois Rivières, créée fin 1993.

    Le , celle-ci fusionne avec la communauté de communes de la Brie des Templiers pour former la communauté de communes du Pays de Coulommiers.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants (et 5 000 habitants en zone de montagnes), le schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) de Seine-et-Marne prescrit sa fusion avec la communauté de communes de la Brie des moulins.

    La communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie est ainsi créée le , dont la commune est désormais membre.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[41]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1914   Edouard René Sanglier    
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1981  ? Pierre Parnot    
    mars 2001 avril 2014 René Darcy[42]   maître ouvrier pâtissier
    avril 2014 En cours
    (au 26 février 2018[43])
    Christine Guillette   Agricultrice

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [44],[45].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Marolles-en-Brie est assurée par la communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie (CACPB) pour la collecte, le transport et la dépollution[46],[47],[48].

    L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[49]. Le Syndicat mixte d'assainissement du Nord-Est (SIANE) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[46],[50].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le syndicat de l'Eau de l'Est seine-et-marnais (S2E77) qui gère le service en régie[46],[51],[52].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[53]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[54].

    En 2018, la commune comptait 406 habitants[Note 6], en augmentation de 2,27 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +3,47 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    290282262302353411372394385
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    367372412380400420425378374
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    370369332298292295284276270
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    258218210224278355418401404
    2018 - - - - - - - -
    406--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[55].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Les enfants de la commune sont scolarisés en 2016 par un regroupement pédagogique intercommunal qui regroupe les écoles de d'Amillis, Dagny et Marolles-en-Brie. Celle de Marolles-en-Brie accueillait deux classes primaires à deux niveaux[56].

    Économie

    Le village compte en 2018 sept exploitations agricoles, dont quatre en agriculture biologique[43]

    Deux puits de pétrole sont exploités dans la commune[réf. nécessaire].

    Agriculture

    Marolles-en-Brie est dans la petite région agricole dénommée la « Brie est », une partie de la Brie[Carte 5]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 7] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[57].

    Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[58]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 11 en 1988 à 7 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 79 ha en 1988 à 97 ha en 2010[57]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Marolles-en-Brie, observées sur une période de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à Marolles-en-Brie entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension économique[57],[Note 8]
    Nombre d’exploitations (u) 11 10 7
    Travail (UTA) 22 17 8
    Surface agricole utilisée (ha) 869 861 679
    Cultures[59]
    Terres labourables (ha) 804 835 653
    Céréales (ha) 518 593 385
    dont blé tendre (ha) 372 403 265
    dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 112 130 48
    Tournesol (ha) 35
    Colza et navette (ha) 51 s s
    Élevage[57]
    Cheptel (UGBTA[Note 9]) 158 96 125

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Georges-et-Saint-Thomas-Beckett.
    L'église Saint-Georges-et-Saint-Thomas-Beckett - cloche de l'église sonnant la demie :

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Les armes de Marolles-en-Brie se blasonnent ainsi :
    Écartelé en sautoir : au 1er de sinople au rencontre de bœuf d'or, bouclé de gueules, au 2e de gueules à gerbe de blé de sinople, les épis d'or et liée de sable, au 3e de gueules à la crosse de sable, au 4e de sinople au bosquet d'or sur une terrasse isolée du même et soutenue d'azur.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Nature en attente de mise à jour.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    7. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    8. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    9. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
    • Cartes
    1. « Sites Natura2000 de Marolles-en-Brie » sur Géoportail (consulté le 15 janvier 2021)..
    2. « Marolles-en-Brie - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    3. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    4. « Géoportail de l’urbanisme », sur https://www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/ (consulté le ).
    5. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Références

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    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de l'Étang Nodart (F6537800) » (consulté le ).
    4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de Non Gérard (F6537700) » (consulté le ).
    5. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de Non Gérard (F6537750) » (consulté le ).
    6. Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 7 novembre 2018
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