Chevru

Chevru (prononcé [ʃə.ˈvʁy]) est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Chevru

La mairie.
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Meaux
Intercommunalité Communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie
Maire
Mandat
Jean-François Masson
2020-2026
Code postal 77320
Code commune 77113
Démographie
Gentilé Chevrotins
Population
municipale
1 102 hab. (2018 )
Densité 79 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 44′ 00″ nord, 3° 12′ 00″ est
Altitude Min. 121 m
Max. 165 m
Superficie 13,94 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Coulommiers
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Chevru
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Chevru

    Géographie

    Localisation

    Chevru est située dans la Brie, à 13 km au sud-est de Coulommiers et à 11 km au sud-ouest de La Ferté-Gaucher.

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[1].

    L'altitude varie de 121 mètres à 165 mètres pour le point le plus haut , le centre du bourg se situant à environ 146 mètres d'altitude (mairie)[2].

    Réseau hydrographique

    Carte des réseaux hydrographique et routier de Chevru.

    Le réseau hydrographique de la commune se compose de trois cours d'eau référencés :

    • le ru de Chevru, long de 7,72 km[3], affluent de l'Aubetin, qui traverse la commune d'est en ouest ;
      • le ru de Faujus, long de 3,72 km[4], affluent du ru de Chevru ;
    • le fossé 01 du Petit Beaufour, long de 2,29 km[5], qui conflue dans le ru de Beaufour.

    La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 10,97 km[6].

    Gestion des cours d'eau

    Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[7].

    La commune fait partie du SAGE « Petit et Grand Morin », approuvé le . Le territoire de ce SAGE comprend les bassins du Petit Morin (630 km2) et du Grand Morin (1 185 km2)[8]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat Mixte d'Aménagement et de Gestion des Eaux (SMAGE) des 2 Morin, qualifié de « structure porteuse »[9].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 10,4 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 3,5 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 3,2 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,4 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 733 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : -3 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : -1,2 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[10].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[10]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 41 km à vol d'oiseau[11], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour 1981-2010[12] à 11,6 °C pour 1991-2020[13].

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[14],[15],[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Chevru est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[17],[18],[19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire regroupe 1 929 communes[20],[21].

    Lieux-dits, écarts et quartiers

    La commune compte 100 lieux-dits administratifs[Note 4] répertoriés[22] dont le Trembloy, Larrue, le Perthuis, Faujus.

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (85,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (81,5% ), forêts (10,4% ), zones urbanisées (4,5% ), zones agricoles hétérogènes (3,5 %)[23].

    Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[24],[25],[Carte 1]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].

    Planification

    La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT du Bassin de vie de Coulommiers, approuvé le et porté par le syndicat intercommunal d’étude et de programmation (SIEP) de Coulommiers[26].

    La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme approuvé[27]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 3].

    Logement

    En 2017, le nombre total de logements dans la commune était de 405 dont 96,5 % de maisons et 3,3 % d'appartements[Note 5].

    Parmi ces logements, 91,3 % étaient des résidences principales, 5,4 % des résidences secondaires et 3,2 % des logements vacants.

    La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 87,2 % contre 12 % de locataires et 0,8 % logés gratuitement[28].

    Transports

    La commune est desservie par la ligne d’autocars no 10 (Coulommiers - Meilleray) ) du réseau Transdev-IdF[29].

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous les formes H. de Cebrus vers 1092[30] ; Chevreu en 1135[31] ; Villa de Chevrous en 1203[32],[33] ; Vivarium de Cheveru en 1212[34],[33] ; Chevru en 1217[32] ; Chevreu vers 1222[35] ; Chevrucum en 1247[36] ; Parrochia de Cheuvroto en 1327[37] ; [Le fief de] Chevru les Coulommiers en 1461[38],[33] ; Chevreu en Brye en 1548[39] ; Chevreulx en 1607[40],[41].

    Son étymologie provient de l'agglutination des mots latins caput et rivus qui signifie : à la « source de la rivière »[42].

    Histoire

    La seigneurie de Chevru appartient successivement aux chevaliers du Temple puis à ceux de Malte[43].

    L'existence d'une paroisse, avec une église consacrée à saint Denis, est attestée en 937[44].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune était intégrée à l'arrondissement de Provins du département de Seine-et-Marne.

    Afin de faire coïncider les limites d'arrondissement et celles des intercommunalités, elle intègre le l'arrondissement de Meaux[45].

    Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la cinquième circonscription de Seine-et-Marne.

    Elle faisait partie depuis 1793 du canton de La Ferté-Gaucher[46]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle intègre le canton de Coulommiers.

    Intercommunalité

    La commune était membre de la communauté de communes Avenir et développement du secteur des Trois Rivières, créée fin 1993.

    Le , celle-ci fusionne avec la communauté de communes de la Brie des Templiers pour former la communauté de communes du Pays de Coulommiers.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants (et 5 000 habitants en zone de montagnes), le schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) de Seine-et-Marne prescrit sa fusion avec la communauté de communes de la Brie des moulins.

    La communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie est ainsi créée le , dont la commune est désormais membre.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1942 1959 Emile Couesnon    
    1959 1965 Lucien Masson    
    1965 2001 Paul Lanciaux[47]    
    2001 2007 Philippe Saubin[48] DVD  
    2007 En cours Jean-François Masson[49]   Agriculteur

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [50],[51].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Chevru est assurée par la communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie (CACPB) pour la collecte, le transport et la dépollution[52],[53],[54].

    L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[55]. Le Syndicat mixte d'assainissement du Nord-Est (SIANE) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[52],[56].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le syndicat de l'Eau de l'Est seine-et-marnais (S2E77) qui gère le service en régie[52],[57],[58].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[59]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[60].

    En 2018, la commune comptait 1 102 habitants[Note 6], en augmentation de 0,55 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +3,47 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    476288452490504525507491539
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    506544564525483463440440428
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    407417408366367397363340369
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    3133023093804968551 0631 0811 116
    2018 - - - - - - - -
    1 102--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[46] puis Insee à partir de 2006[61].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Sports

    On peut noter[réf. nécessaire] :

    • Centre équestre.
    • randonnées pédestres.

    Manifestations culturelles et festivités

    • Fête communale : dernier dimanche de juin ; patronale : dernier dimanche de juillet.

    Économie

    La commune a une activité rurale[réf. nécessaire] :

    • Exploitations agricoles.
    • Pépinière.
    • Artisanat rural.

    L'épicerie a rouvert en 2010 avec l'aide municipale[62].

    Agriculture

    Chevru est dans la petite région agricole dénommée la « Brie est », une partie de la Brie[Carte 4]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 7] de l'agriculture sur la commune est diverses cultures (hors céréales et oléoprotéagineux, fleurs et fruits)[63].

    Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[64]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 16 en 1988 à 15 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 71 ha en 1988 à 118 ha en 2010[63]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Chevru, observées sur une période de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à Chevru entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension économique[63],[Note 8]
    Nombre d’exploitations (u) 16 13 15
    Travail (UTA) 36 26 25
    Surface agricole utilisée (ha) 1 128 1 388 1 767
    Cultures[65]
    Terres labourables (ha) 1 102 1 330 1 734
    Céréales (ha) 693 898 1 108
    dont blé tendre (ha) 468 670 803
    dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 145 185 256
    Tournesol (ha) 43 s
    Colza et navette (ha) 50 s 84
    Élevage[63]
    Cheptel (UGBTA[Note 9]) 123 270 151

    Culture locale et patrimoine

    L'église Saint-Thibault.
    Le lavoir.

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    • Médéric Charot (1846-1916), écrivain français né à Chevru.
    • Le chanteur Michel Sardou, qui donna un gala lors de la fête de la bière de Chevru le [69].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
    5. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    7. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    8. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    9. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
    • Cartes
    1. « Chevru - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    2. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    3. « Géoportail de l’urbanisme », sur https://www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/ (consulté le ).
    4. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Références

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    2. « Chevru » sur Géoportail. Carte IGN classique.
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de Chevru (F6569000) » (consulté le ).
    4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de Faujus (F6569200) » (consulté le ).
    5. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 du Petit Beaufour (F6569650) » (consulté le ).
    6. Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 13 décembre 2018
    7. « SAGE dans le département de Seine-et-Marne », sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
    8. « SAGE Petit et Grand Morin - Documents », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le ).
    9. site officiel du Syndicat Mixte d'Aménagement et de Gestion des Eaux (SMAGE) des 2 Morin
    10. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Chevru et Melun-Villaroche », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
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    15. « Liste des ZNIEFF de la commune de Chevru », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    18. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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