Meilleray

Meilleray est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Meilleray

La mairie.
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
(Melun)
Arrondissement Provins
Intercommunalité Communauté de communes des Deux Morin
Maire
Mandat
Jean-Pierre Bertin
2020-2026
Code postal 77320
Code commune 77287
Démographie
Gentilé Meillerassiens
Population
municipale
499 hab. (2018 )
Densité 64 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 47′ 25″ nord, 3° 25′ 34″ est
Superficie 7,77 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Coulommiers
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Meilleray
Géolocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
Meilleray
Géolocalisation sur la carte : France
Meilleray
Géolocalisation sur la carte : France
Meilleray

    Géographie

    Localisation

    Le village est situé en limite est du département à km à l'est de La Ferté-Gaucher, .

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[1].

    Réseau hydrographique

    Carte des réseaux hydrographique et routier de Meilleray.

    Le réseau hydrographique de la commune se compose de neuf cours d'eau référencés :

    • la rivière le Grand Morin, longue de 118,16 km[2], affluent en rive gauche de la Marne ;
      • le ru du Val, 6,83 km[3], affluent du Grand Morin ;
        • le ru du Mouton[Note 1], 0,62 km[4], et ;
        • le ravin des Brosses, 1,21 km[5], et ;
        • le ravin des Prés, 1,44 km[6], et ;
        • le fossé 01 de la Commune de Meilleray, 1,74 km[7], et ;
        • le ru des Trois Pierres, 1,88 km[8], et ;
        • le ru Yonnet, 2,08 km[9], et ;
        • le ru de la Garenne, 2,24 km[10], affluents du ru du Val ;

    La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 11,76 km[11].

    Gestion des cours d'eau

    Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[12].

    La commune fait partie du SAGE « Petit et Grand Morin », approuvé le . Le territoire de ce SAGE comprend les bassins du Petit Morin (630 km2) et du Grand Morin (1 185 km2)[13]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat mixte d'aménagement et de gestion des Eaux (SMAGE) des 2 Morin, qualifié de « structure porteuse »[14].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 10,3 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 3,9 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 4,1 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,4 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 752 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : -2,9 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : -3,1 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[15].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[16]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[15]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[17]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 58 km à vol d'oiseau[18], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour 1981-2010[19] à 11,6 °C pour 1991-2020[20].

    Milieux naturels et biodiversité

    Carte des ZNIEFF de type 1 localisées sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal de Meilleray comprend une ZNIEFF de type 1[Note 3],[21],[Carte 1], les « Bois du Mont-Mitou à Villeneuve-La-Lionne » (11,42 ha), couvrant 2 communes dont 1 dans la Marne et 1 en Seine-et-Marne[22].

    Urbanisme

    Typologie

    Meilleray est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[23],[24],[25].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire regroupe 1 929 communes[26],[27].

    Lieux-dits, écarts et quartiers

    La commune compte 59 lieux-dits administratifs[Note 6] répertoriés[28] dont Les Bordes (ferme), le Bois-Saint-Père (partagé avec Saint-Barthélemy), la Butte (partagé avec Montolivet).

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (87,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (82,1% ), forêts (7,5% ), zones urbanisées (5,2% ), zones agricoles hétérogènes (5,1% ), prairies (0,1 %)[29].

    Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[30],[31],[Carte 2]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 3].

    Planification

    La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en révision[32]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 4].

    Logement

    En 2017, le nombre total de logements dans la commune était de 237 dont 96,6 % de maisons (maisons de ville, corps de ferme, pavillons, etc.) et 2,9 % d'appartements[Note 7].

    Parmi ces logements, 83,1 % étaient des résidences principales, 10,1 % des résidences secondaires et 6,8 % des logements vacants.

    La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 88,8 % contre 10,2 % de locataires et 1 % logés gratuitement[33].

    Transports

    La commune est desservie par la ligne d’autocars No 10 (Coulommiers - Meilleray) ) du réseau Transdev-IdF[34].

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous les formes Villa quae dicitur Melleraie super Mucram en 1135[35] ; Pastura de Mailleria en 1328[36] ; Melerayum en 1353[37] ; Meleray en 1394[38] ; Melleroy en 1426[39] ; Melleray en 1788 (Terrier N.-D. de Meaux)[40].

    Lieu où poussent les néfliers, du Grec : mespilion ; du latin : mespila (dérivé collectif de mespilarium) ; de l'ancien-français : mesle et nesple au XIIIe siècle[Note 8].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1983 2001 Guy Michaux   agriculteur
    mars 2001 2008 Véronique Noël   apicultrice
    mars 2008 En cours Jacqueline Falkowski[41]    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [42],[43].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la commune de Meilleray gère le service d’assainissement collectif (collecte, transport et dépollution) en régie directe, c’est-à-dire avec ses propres personnels[44].

    L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[45]. Le Syndicat mixte d'assainissement du Nord-Est (SIANE) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[44],[46].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le syndicat de l'Eau de l'Est seine-et-marnais (S2E77) qui gère le service en régie[44],[47],[48].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[50].

    En 2018, la commune comptait 499 habitants[Note 9], en diminution de 1,58 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +3,47 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    371346360339315343347390399
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    409461469423402384396378423
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    402444440410412390401410395
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    394354462385363398475511506
    2018 - - - - - - - -
    499--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[51] puis Insee à partir de 2006[52].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Exploitations agricoles.

    Agriculture

    Meilleray est dans la petite région agricole dénommée les « Vallées de la Marne et du Morin », couvrant les vallées des deux rivières, en limite de la Brie[Carte 5]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 10] de l'agriculture sur la commune est la polyculture et le polyélevage[53].

    Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[54]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 9 en 1988 à 4 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 45 ha en 1988 à 70 ha en 2010[53]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Meilleray, observées sur une période de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à Meilleray entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension économique[53],[Note 11]
    Nombre d’exploitations (u) 9 4 4
    Travail (UTA) 16 8 8
    Surface agricole utilisée (ha) 401 265 280
    Cultures[55]
    Terres labourables (ha) 371 235 255
    Céréales (ha) 301 s s
    dont blé tendre (ha) 122 s s
    dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 67 s s
    Tournesol (ha) 14 s
    Colza et navette (ha) 35 s s
    Élevage[53]
    Cheptel (UGBTA[Note 12]) 44 26 23

    Culture locale et patrimoine

    L'église Saint-Pierre-Saint-Paul.
    L'ancienne gare.

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Pierre-Saint-Paul, XIIIe siècle pour le clocher carré flanqué de contreforts et coiffé en bâtière, le reste ayant été reconstruit au XVe siècle surélevé par rapport au bâtiment primitif pour éviter les inondations.
    • Ferme des Bordes.
    • Ancienne gare de Meilleray sur la ligne La Ferté-Gaucher-Sézanne déclassée en 1990, terminus actuel du « vélo-rail » de la vallée du Grand-Morin.
    • Vélorail du Val du Haut-Morin entre Lescherolles et Meilleray.

    Personnalités liées à la commune

    • Philippe Pichon, écrivain, ex-commandant de police, a résidé au hameau de la Butte (cf. "Journal d'un flic" et "L'Enfance violée", éd. Flammarion) avant de s'établir à Coulommiers

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Cours d'eau issus de la densification du réseau (classe 7), nature en attente de mise à jour.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
    7. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
    8. Ses fruits portent , dans quelques provinces , le nom de "culs-de-chien" , par leurs prétendue ressemblance avec le derrière de cet animal (C. Verdot, Historiographie de la table, Paris, 1833, p.221.).
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    10. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    11. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    12. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
    • Cartes
    1. « Zones ZNIEFF de Meilleray » sur Géoportail (consulté le 15 janvier 2021)..
    2. « Meilleray - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    3. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    4. « Géoportail de l’urbanisme », sur https://www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/ (consulté le ).
    5. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Références

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    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru du Val (F6523000) ».
    4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru du Mouton (F6523280) ».
    5. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ravin des Brosses (F6523400) ».
    6. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ravin des Pres (F6523300) ».
    7. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 de la Commune de Meilleray (F6523700) ».
    8. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru des Trois Pierres (F4752200) ».
    9. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru Yonnet (F6523200) ».
    10. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de la Garenne (F6523600) ».
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    55. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Meilleray », sur le site « Agreste » du service de la statistique et de la prospective (SSP) du ministère de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt. (consulté le ).
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